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[quote="Maitre Kaio"]Merci @éoline :)
(j'écoute pas deezer c'est des salauds d'enculés)[/quote]
Tu n'as pas tord, t'as même raison... ;-)
Mais hélas, ce morceau, à moins d'acheter l'album " prison dorée " nouvelle édition, tu ne le trouveras nulle part...( si tu le trouves, fais nous le savoir..)
Merci éoline
(j'écoute pas deezer c'est des salauds d'enculés)
Tu n'as pas tord, t'as même raison...
Mais hélas, ce morceau, à moins d'acheter l'album " prison dorée " nouvelle édition, tu ne le trouveras nulle part...( si tu le trouves, fais nous le savoir..)
On s'achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d'éphémère,
Sur l'étoile d'argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp L'obscur ou la lumière,
L'obscur ou la lumière...
Ce que l'amour n'est pas?
un fantasme du passé.
L'amour c'est un présent
que l'on déballe sur l'avenir.
Tu veux dire que l'amour c'est cul Q, c'est ça?
C'est toi qui laisses des acrostiches lourds de sens. Sinon la praline me va bien, je l'assume. ^^
je laisse rien du tout, à personne. J'suis un putain de lonesome cowboy, pas tant poor que pourri de l'intérieur, viscéralement contaminé aux injections de flatteries grossières en extra-veineux. T'as de la vaine, ma haine est open-source, elle se partage, elle fork, en une autre haine, plus personnelle ou plus universelle, libre arbitre et l'arbre m'abrite.
Vingt dieux!!!!
Ils font la fête au mois d'juillet,
En souv'nir d'une révolution,
Qui n'a jamais éliminé
La misère et l'exploitation,
Ils s'abreuvent de bals populaires,
D'feux d'artifice et de flonflons,
Ils pensent oublier dans la bière
Qu'ils sont gouvernés comme des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
Après une longue année d'usine,
Ils crient : "Vive les congés payés",
Ils oublient un peu la machine,
En Espagne, en Grèce ou en France,
Ils vont polluer toutes les plages,
Et par leur unique présence,
Abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on assassine,
Un peuple et une liberté,
Au coeur de l'Amérique latine,
Ils sont pas nombreux à gueuler,
Un ambassadeur se ramène,
Bras ouverts il est accueilli,
Le fascisme c'est la gangrène
À Santiago comme à Paris.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
C'est vraiment pas une sinécure,
Et le roi des cons, sur son trône,
Il est français, ça j'en suis sûr.
Renaud
[quote="Maitre Kaio"]je laisse rien du tout, à personne. J'suis un putain de lonesome cowboy, pas tant poor que pourri de l'intérieur, viscéralement contaminé aux injections de flatteries grossières en extra-veineux. T'as de la vaine, ma haine est open-source, elle se partage, elle fork, en une autre haine, plus personnelle ou plus universelle, libre arbitre et l'arbre m'abrite.[/quote]
Hommage à la rage ;)
je laisse rien du tout, à personne. J'suis un putain de lonesome cowboy, pas tant poor que pourri de l'intérieur, viscéralement contaminé aux injections de flatteries grossières en extra-veineux. T'as de la vaine, ma haine est open-source, elle se partage, elle fork, en une autre haine, plus personnelle ou plus universelle, libre arbitre et l'arbre m'abrite.
Hommage à la rage
Comme une pluie acide,
de millions d'illusions,
Une armée de questions
par nature insipides
se déverse sur mon âme.
Plus de raison,
Plus de frisson,
juste l'abîme.
Où est le crime
Qui tient la lame ?
J'ai posé les armes...
Du plaisir... les larmes,
De l'éveil des sens,
Notre extravagance
Ici, tout se trame.
Au delà du désir,
Au delà du plaisir,
Cette sensation secrète...
Mystère universel....
Des illusions, questions...
[quote="Muryel"]Hommage à la rage ;)[/quote]remarquablement remarqué ;)
[quote="éoline"]Comme une pluie acide,
de millions d'illusions,
Une armée de questions
par nature insipides
se déverse sur mon âme.
Plus de raison,
Plus de frisson,
juste l'abîme.
Où est le crime
Qui tient la lame ?
J'ai posé les armes...
Du plaisir... les larmes,
De l'éveil des sens,
Notre extravagance
Ici, tout se trame.
Au delà du désir,
Au delà du plaisir,
Cette sensation secrète...
Mystère universel....
Des illusions, questions...[/quote]
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Perce moi le cœur
De mille gouffres infinis
Pour ne plus avoir peur
De tes yeux quand je jouis
Quand l'acide de tes pleurs
Me ramène à la vie
Crache Femme ta rancœur
Aujourd'hui... on oublie.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Piétine donc mon âme
Arrache moi des songes
Routine qui te fait Femme
Je suis lâche et je plonge
Aux abysses de ces dames
Qui m'abîment et me rongent
On n'meurt pas de l'infâme
On souffre... et on éponge.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Et de vers en dévers
Un voile trouble mes sens
Vers l'Enfer je me perds
Etoile de ma démence
En travers de l'envers
Traîne ma nonchalance
Femmes amers de la terre
Les larmes... à mes paupières.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Hommage à la rageremarquablement remarqué
Comme une pluie acide,
de millions d'illusions,
Une armée de questions
par nature insipides
se déverse sur mon âme.
Plus de raison,
Plus de frisson,
juste l'abîme.
Où est le crime
Qui tient la lame ?
J'ai posé les armes...
Du plaisir... les larmes,
De l'éveil des sens,
Notre extravagance
Ici, tout se trame.
Au delà du désir,
Au delà du plaisir,
Cette sensation secrète...
Mystère universel....
Des illusions, questions...
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Perce moi le cœur
De mille gouffres infinis
Pour ne plus avoir peur
De tes yeux quand je jouis
Quand l'acide de tes pleurs
Me ramène à la vie
Crache Femme ta rancœur
Aujourd'hui... on oublie.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Piétine donc mon âme
Arrache moi des songes
Routine qui te fait Femme
Je suis lâche et je plonge
Aux abysses de ces dames
Qui m'abîment et me rongent
On n'meurt pas de l'infâme
On souffre... et on éponge.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
Et de vers en dévers
Un voile trouble mes sens
Vers l'Enfer je me perds
Etoile de ma démence
En travers de l'envers
Traîne ma nonchalance
Femmes amers de la terre
Les larmes... à mes paupières.
Il ya plus âme qui vive
Au royaume des fées
Seule toi Femme a la clé
En ta paume, poing serré
Sort ta lame et crie vive
... La Liberté.
[quote="Maitre Kaio"]trop vieille réponse..[/quote]
Peu importe.
Prends la plume...
trop vieille réponse..
Peu importe.
Prends la plume...
[quote="Maitre Kaio"]tu me donnes pas d'ordre.[/quote]
J'ai mis 3 petits points de suspension et pas un point d'exclamation, donc
Ce n'est pas un ordre...mais une suggestion...Pourquoi te donnerais-je un ordre ? oO
tu me donnes pas d'ordre.
J'ai mis 3 petits points de suspension et pas un point d'exclamation, donc
Ce n'est pas un ordre...mais une suggestion...Pourquoi te donnerais-je un ordre ?
[quote="Maitre Kaio"]bah j'sé pas, pourquoi tu m'en donnerais pas, t'es libre d'essayer.[/quote]
J'ai une autre suggestion : faut te détendre... :-)
bah j'sé pas, pourquoi tu m'en donnerais pas, t'es libre d'essayer.
J'ai une autre suggestion : faut te détendre...
[img]http://static1.fjcdn.com/thumbnails/comments/4073015+_0639ee10da759667c5980528fc4b0bea.gif[/img]
[img]http://static1.fjcdn.com/thumbnails/comments/This+is+some+excellent+plot+_d6eaad1614bd254bcdfaa369dae29008.gif[/img]
"Au fin fond d'une contrée
Par les vents battus, je suis
Le roi fou désuet,
Souverain d'un peuple de statues.
Ils ont tous quitté mes rêves, et moi je me souviens...
Les ombres sont des rêves.
Les ombres sont des rêves.
Les ombres sont des rêves.
(...)
Tu as quitté mon royaume sans prévenir
Ton ombre est un souvenir, statue de glace fût ton devenir
Tu hantes ma contrée avec un regard figé
Ici, tu as laissé notre amitié."