[quote="jej33"]L'homme joie - Christian Bobin Très partagé sur ce livre. J'aime beaucoup la manière poétique qu'il a de parler d'un quelconque objet ou à l'inverse d'une femme qui l'a aimé. Après moins emballé par certains passages où la croyance ( religion ) est omniprésente. Mais sur ce dernier point ça n'engage que moi et comme je suis pas spécialement croyant, ça va de soi...[/quote] C'est un peu une des caractéristiques de Bobin la référence à sa foi. Mais il écrit bien et je trouve qu'il a une poésie qui rend heureux. [quote="Eléa"]O Verlaine - Jean Teulé[/quote] En fait Teulé a fait une trilogie Villon-Rimbaud-Verlaine. Je te recommande les 2 autres ouvrages, même si celui sur Rimbaud est très spécial : Je, François Villon / Rainbow pour Rimbaud. Sur des conseils brillants, Quelque chose noir, de Jacques Roubaud. Un recueil publié suite à la mort de sa femme. Jamais dans le pathos, même si on entre dans l'intimité de la douleur, très beau. Bon ce n'est pas à lire si vous êtes déprimés. Vient d'attaquer Siddhartha, de Hermann Hesse. Ça se lit pas mal pour l'instant.
AnonymeIl y a 10 ans

L'homme joie - Christian Bobin

Très partagé sur ce livre.
J'aime beaucoup la manière poétique qu'il a de parler d'un quelconque objet ou à l'inverse d'une femme qui l'a aimé. Après moins emballé par certains passages où la croyance ( religion ) est omniprésente. Mais sur ce dernier point ça n'engage que moi et comme je suis pas spécialement croyant, ça va de soi...


C'est un peu une des caractéristiques de Bobin la référence à sa foi. Mais il écrit bien et je trouve qu'il a une poésie qui rend heureux.


O Verlaine - Jean Teulé


En fait Teulé a fait une trilogie Villon-Rimbaud-Verlaine. Je te recommande les 2 autres ouvrages, même si celui sur Rimbaud est très spécial : Je, François Villon / Rainbow pour Rimbaud.


Sur des conseils brillants, Quelque chose noir, de Jacques Roubaud. Un recueil publié suite à la mort de sa femme. Jamais dans le pathos, même si on entre dans l'intimité de la douleur, très beau. Bon ce n'est pas à lire si vous êtes déprimés.

Vient d'attaquer Siddhartha, de Hermann Hesse. Ça se lit pas mal pour l'instant.

[quote="Angie"]En fait Teulé a fait une trilogie Villon-Rimbaud-Verlaine. Je te recommande les 2 autres ouvrages, même si celui sur Rimbaud est très spécial : Je, François Villon / Rainbow pour Rimbaud.[/quote] merci @Angie, je vais jeter un œil pour voir si je trouve ça.
Eléa Il y a 10 ans

En fait Teulé a fait une trilogie Villon-Rimbaud-Verlaine. Je te recommande les 2 autres ouvrages, même si celui sur Rimbaud est très spécial : Je, François Villon / Rainbow pour Rimbaud.


merci angie, je vais jeter un œil pour voir si je trouve ça.

Je vous conseille "Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud" Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.
boudi Il y a 10 ans

Je vous conseille
"Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud"
Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.

[quote="Angie"] Sur des conseils brillants, Quelque chose noir, de Jacques Roubaud. Un recueil publié suite à la mort de sa femme. Jamais dans le pathos, même si on entre dans l'intimité de la douleur, très beau. Bon ce n'est pas à lire si vous êtes déprimés. [/quote] Son dernier recueil est génial, "ode à la ligne 29 des autobus parisiens". Jacques Roubaud est passé à Ombre blanche (libraire de Toulouse) et a un peu expliqué le processus d'écriture. J'aime beaucoup le jeu sur les mots, et son utilisation assez particulière de l'orthographe pour faire des rimes et des alexandrins parfait :-) .
Alizée Il y a 10 ans


Sur des conseils brillants, Quelque chose noir, de Jacques Roubaud. Un recueil publié suite à la mort de sa femme. Jamais dans le pathos, même si on entre dans l'intimité de la douleur, très beau. Bon ce n'est pas à lire si vous êtes déprimés.


Son dernier recueil est génial, "ode à la ligne 29 des autobus parisiens".
Jacques Roubaud est passé à Ombre blanche (libraire de Toulouse) et a un peu expliqué le processus d'écriture. J'aime beaucoup le jeu sur les mots, et son utilisation assez particulière de l'orthographe pour faire des rimes et des alexandrins parfait .

http://laconstellationdadrien.wordpress.com Site d'écriture à auteurs multiples. Ce n'est pas un livre, mais ça y ressemble... Et comme je suis fleur bleue ce matin... Le ton est léger, mais je crois que c'est ce qui fait le charme de ces échanges épistolaires d'un autre genre. Concept: Adrien est le centre de gravité. Chacun des auteurs publie les mails d’un personnage distinct, un correspondant d’Adrien, Adrien dont les multiples interlocuteurs dessinent peu à peu le portrait depuis leur point de vue singulier. Les personnages peuvent également échanger entre eux selon le bon vouloir de leurs auteurs. Cette plateforme est un site d’écriture collaboratif, où chacun participe à l’évolution d’une histoire globale à travers la voix intime de son personnage. Ensemble, nous revisitons le genre épistolaire, sans savoir à l’avance où nous mènera l’intrigue collective. Nous n’avons pour objectif que le seul plaisir d’écrire. Extrait : "Il y a de l’eau dans l’air, tu as vu, des millions de particules en suspens, alors je ne suis pas allé en cours aujourd’hui et je suis resté chez moi bien au chaud, à boire du thé devant mon écran, à essayer d’écrire, mais comme je le craignais la lecture a entravé mon inspiration. Pas moyen de me mettre au travail depuis mercredi, depuis que j’ai commencé les Mémoires d’Hadrien. On dirait que le style de Yourcenar exerce une emprise sur mon esprit et me paralyse. Déjà je commence à comprendre pourquoi tu m’as conseillé ce livre et pourquoi tu souriais en l’évoquant, car nos prénoms ressemblent à ceux des personnages : si j’ai le sentiment d’être ton Antinoüs, crois-moi ce n’est pas pour me déplaire. Finalement je ne t’ai pas vu de la semaine et j’espère que tu reviendras ce weekend, il me tarde que nous nous retrouvions sous mes draps, dans ma douche, à oublier le temps et l’espace, et les jours et les nuits, à essayer du moins de rencontrer l’infini, dans une bulle où nous serions seuls, retirés du monde aux innombrables soucis. Je voudrais me blottir dans tes bras d’empereur, écouter le récit de tes voyages, me ressourcer dans ta chaleur. Là il n’y aurait plus d’hiver, plus de froid ni de glace, ni de solitude. Nous ne serions plus qu’un, nos âmes accrochées l’une à l’autre avec un baiser, elles échangeraient dans leur langue des secrets. Je ne suis pas un garçon de l’hiver, tu le sais. J’aime mieux les printemps et les soleils d’été, les visages qu’on évente et la transpiration, l’odeur du sel et de la mer dans nos cheveux. J’aime mieux la chaleur que les engelures et les frissons, j’aime mieux les sorbets que les chocolats chauds. Parfois je me projette au loin, dans les mois à venir et je nous imagine, peut-être serons-nous encore ensemble qui sait, et nous pourrions nous promener main dans la main sur une plage de l’océan Atlantique, fouler l’écume avec nos pieds nus, ramasser des coquillages et nous courir après, regarder le jour se coucher, faire l’amour sur le sable et se réveiller le matin, avec les embruns et les rayons. Tout cela serait merveilleux. Donne-moi des nouvelles mon Adrien. Je retourne lire un peu, et puis il faudra que je mange. Je t’embrasse. Antoine. PS : les fleurs que tu m’as offertes, elles ont déjà fané. Ne m’en veux pas je n’ai pas su m’en occuper." En espérant que ça plaise à certains. :)
Vëlvet Il y a 10 ans

http://laconstellationdadrien.wordpress.com
Site d'écriture à auteurs multiples.

Ce n'est pas un livre, mais ça y ressemble... Et comme je suis fleur bleue ce matin... Le ton est léger, mais je crois que c'est ce qui fait le charme de ces échanges épistolaires d'un autre genre.



Concept:

Adrien est le centre de gravité.

Chacun des auteurs publie les mails d’un personnage distinct, un correspondant d’Adrien, Adrien dont les multiples interlocuteurs dessinent peu à peu le portrait depuis leur point de vue singulier. Les personnages peuvent également échanger entre eux selon le bon vouloir de leurs auteurs.

Cette plateforme est un site d’écriture collaboratif, où chacun participe à l’évolution d’une histoire globale à travers la voix intime de son personnage. Ensemble, nous revisitons le genre épistolaire, sans savoir à l’avance où nous mènera l’intrigue collective.

Nous n’avons pour objectif que le seul plaisir d’écrire.



Extrait :

"Il y a de l’eau dans l’air,

tu as vu, des millions de particules en suspens, alors je ne suis pas allé en cours aujourd’hui et je suis resté chez moi bien au chaud, à boire du thé devant mon écran, à essayer d’écrire, mais comme je le craignais la lecture a entravé mon inspiration. Pas moyen de me mettre au travail depuis mercredi, depuis que j’ai commencé les Mémoires d’Hadrien. On dirait que le style de Yourcenar exerce une emprise sur mon esprit et me paralyse. Déjà je commence à comprendre pourquoi tu m’as conseillé ce livre et pourquoi tu souriais en l’évoquant, car nos prénoms ressemblent à ceux des personnages : si j’ai le sentiment d’être ton Antinoüs, crois-moi ce n’est pas pour me déplaire.

Finalement je ne t’ai pas vu de la semaine et j’espère que tu reviendras ce weekend, il me tarde que nous nous retrouvions sous mes draps, dans ma douche, à oublier le temps et l’espace, et les jours et les nuits, à essayer du moins de rencontrer l’infini, dans une bulle où nous serions seuls, retirés du monde aux innombrables soucis. Je voudrais me blottir dans tes bras d’empereur, écouter le récit de tes voyages, me ressourcer dans ta chaleur. Là il n’y aurait plus d’hiver, plus de froid ni de glace, ni de solitude. Nous ne serions plus qu’un, nos âmes accrochées l’une à l’autre avec un baiser, elles échangeraient dans leur langue des secrets.

Je ne suis pas un garçon de l’hiver, tu le sais. J’aime mieux les printemps et les soleils d’été, les visages qu’on évente et la transpiration, l’odeur du sel et de la mer dans nos cheveux. J’aime mieux la chaleur que les engelures et les frissons, j’aime mieux les sorbets que les chocolats chauds. Parfois je me projette au loin, dans les mois à venir et je nous imagine, peut-être serons-nous encore ensemble qui sait, et nous pourrions nous promener main dans la main sur une plage de l’océan Atlantique, fouler l’écume avec nos pieds nus, ramasser des coquillages et nous courir après, regarder le jour se coucher, faire l’amour sur le sable et se réveiller le matin, avec les embruns et les rayons. Tout cela serait merveilleux.

Donne-moi des nouvelles mon Adrien. Je retourne lire un peu, et puis il faudra que je mange.

Je t’embrasse.

Antoine.

PS : les fleurs que tu m’as offertes, elles ont déjà fané. Ne m’en veux pas je n’ai pas su m’en occuper."

En espérant que ça plaise à certains.

Ah, une romance gayyyyy *Christine Boutin powa* C'est fleur bleue certes, mais franchement superbement écrit :o Pour moi, deux comics book, "Justice League", un realunch très réussi ma fois :o Dessins agréables, histoire sympa et quel bonheur de rassembler toute la team DC *O*
RedDragon Il y a 10 ans

Ah, une romance gayyyyy *Christine Boutin powa*
C'est fleur bleue certes, mais franchement superbement écrit

Pour moi, deux comics book, "Justice League", un realunch très réussi ma fois
Dessins agréables, histoire sympa et quel bonheur de rassembler toute la team DC *O*

[quote="boudi"]Je vous conseille "Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud" Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.[/quote] euh.... tu nous conseilles un livre visant à la réhabilitation d'un tortionnaire de poète! t'es sûr là? c'est l'écriture qui t'a séduit, l'argument bien ficelé ou en fait ça te réconforte dans l'idée qu' Artaud avait raison?
Eléa Il y a 10 ans

Je vous conseille
"Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud"
Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.


euh.... tu nous conseilles un livre visant à la réhabilitation d'un tortionnaire de poète!
t'es sûr là?

c'est l'écriture qui t'a séduit, l'argument bien ficelé ou en fait ça te réconforte dans l'idée qu' Artaud avait raison?

je vous recommande deux livres,le premier d,irwin shaw : "le riche et le pauvre",qui raconte la saga des fréres jordache,le premier rudy ayant gravi l,échelle sociale en devenant un important homme d,affaires et le second tom,qui lui aura un destin plus chaotique (et finalement tragique !!),ainsi que le volume 2 ou cette fois,c,est la seconde génération des jordache,wesley,le fils de tom et billy abbot,le neveu de rudy qui entre en scéne..! c,est passionnant et l,on ne s,ennuit pas un instant,malgré quelques longueurs dans le volume 1. et le second livre que je vous conseille vivement,s,intitule "l,ordinaire mésaventure d,archibald rapoport" un roman de pierre goldman (demi-frére de qui vous savez..) qui n,en demeure pas moins (bien qu,un peu court,187 pages)marquant!!il montre le parcourt (lui aussi tragique!) d,un tueur qui,à chacun de ses crimes,dépose un énorme phallus à coté de ses victimes... bon,bien sur,ce livre comme celui susnommé plus haut est introuvable en librairie,mais vous pouvez vous les procurer sur priceminister,la caverne aux raretées... à bon entendeur !!!
télévision noire Il y a 10 ans

je vous recommande deux livres,le premier d,irwin shaw : "le riche et le pauvre",qui raconte la saga des fréres jordache,le premier rudy ayant gravi l,échelle sociale en devenant un important homme d,affaires et le second tom,qui lui aura un destin plus chaotique (et finalement tragique !!),ainsi que le volume 2 ou cette fois,c,est la seconde génération des jordache,wesley,le fils de tom et billy abbot,le neveu de rudy qui entre en scéne..! c,est passionnant et l,on ne s,ennuit pas un instant,malgré quelques longueurs dans le volume 1. et le second livre que je vous conseille vivement,s,intitule "l,ordinaire mésaventure d,archibald rapoport" un roman de pierre goldman (demi-frére de qui vous savez..) qui n,en demeure pas moins (bien qu,un peu court,187 pages)marquant!!il montre le parcourt (lui aussi tragique!) d,un tueur qui,à chacun de ses crimes,dépose un énorme phallus à coté de ses victimes... bon,bien sur,ce livre comme celui susnommé plus haut est introuvable en librairie,mais vous pouvez vous les procurer sur priceminister,la caverne aux raretées... à bon entendeur !!!

oups!! autant pour moi,le volume 2 s,intitule : le mendiant et le voleur"!
télévision noire Il y a 10 ans

oups!! autant pour moi,le volume 2 s,intitule : le mendiant et le voleur"!

[quote="boudi"]Je vous conseille "Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud" Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.[/quote] Ahah. Nouveaux ecrits de rodez, t'en apprendras bien plus. Et l'auteur, nan, c'est en option?
AnonymeIl y a 10 ans

Je vous conseille
"Ferdière, psychiatre d’Antonin Artaud"
Tentant de réhabiliter celui là qu'on croit un bourreau et ce forcément à raison parce que nommé ainsi depuis la bouche de victime du poète.


Ahah.
Nouveaux ecrits de rodez, t'en apprendras bien plus.

Et l'auteur, nan, c'est en option?

@Peb' auteur Emmanuel Venet fini..............Lituma dans les Andes- Mario Vargas Llosa le Pérou aux prises avec la violence, les Incas l'étaient bien eux violents, très violents, alors pourquoi s’étonner de la violence de ces communistes maoistes du "sentier lumineux". Quel bouquin! bienvenue dans le monde des pishtacos. (en anglais le titre a été traduit - Death in the Andes, comme un avertissement au lecteur)
Eléa Il y a 10 ans

@Peb' auteur Emmanuel Venet

fini..............Lituma dans les Andes- Mario Vargas Llosa
le Pérou aux prises avec la violence, les Incas l'étaient bien eux violents, très violents, alors pourquoi s’étonner de la violence de ces communistes maoistes du "sentier lumineux". Quel bouquin!

bienvenue dans le monde des pishtacos.

(en anglais le titre a été traduit - Death in the Andes, comme un avertissement au lecteur)

Je sais - Ito Naga
Erikaplume Il y a 10 ans

Je sais - Ito Naga

[b]Les Pavots Rouges, de Alai[/b] L'histoire d'un clan au Tibet et des luttes autour de la culture du pavot et des cultures vivrières, racontée par celui que tout le monde considère comme l'idiot, avec pour toile de fond les dernières heures du Tibet ancestral avant l'invasion chinoise. Intéressant et pas mal écrit, et donne une autre image de ce Tibet des chefs de clan. Cependant l'auteur a été récompensé par l'équivalent du Goncourt par la Chine, donc à prendre sans doute avec quelques réserves. [b]Siddharta, d'Hermann Hesse[/b] Bien écrit et intéressant, mais ne fait souvent que survoler les notions fondamentales. J'attaque [b]Le Dit de Tianyi, de François Cheng[/b] A suivre
AnonymeIl y a 10 ans

Les Pavots Rouges, de Alai L'histoire d'un clan au Tibet et des luttes autour de la culture du pavot et des cultures vivrières, racontée par celui que tout le monde considère comme l'idiot, avec pour toile de fond les dernières heures du Tibet ancestral avant l'invasion chinoise. Intéressant et pas mal écrit, et donne une autre image de ce Tibet des chefs de clan. Cependant l'auteur a été récompensé par l'équivalent du Goncourt par la Chine, donc à prendre sans doute avec quelques réserves.

Siddharta, d'Hermann Hesse Bien écrit et intéressant, mais ne fait souvent que survoler les notions fondamentales.

J'attaque Le Dit de Tianyi, de François Cheng A suivre

les fils d'Artaud m'a laissée perplexe, donc en bonne curieuse j'ai voulu lire du Antonin Artaud. c'est fait avec [bold]l'ombilic des limbes et Le pese-nerfs[/bold], ca reste hermétique, et je n'ai pas tout compris. L'homme était torturé du dedans, et prisonnier du carcan du langage et des mots si imparfaits pour lui permettre de s'exprimer. "je voudrais faire un livre qui dérange les hommes" pari gagné monsieur Artaud. bon mais fils d'Artaud, qu'est-ce qu'il a voulu dire? je n'ai pas la réponse avec ce livre la.
Eléa Il y a 10 ans

les fils d'Artaud m'a laissée perplexe, donc en bonne curieuse j'ai voulu lire du Antonin Artaud.
c'est fait avec [bold]l'ombilic des limbes et Le pese-nerfs[/bold], ca reste hermétique, et je n'ai pas tout compris. L'homme était torturé du dedans, et prisonnier du carcan du langage et des mots si imparfaits pour lui permettre de s'exprimer.
"je voudrais faire un livre qui dérange les hommes" pari gagné monsieur Artaud.

bon mais fils d'Artaud, qu'est-ce qu'il a voulu dire? je n'ai pas la réponse avec ce livre la.

Je te conseille Suppôts et suppliciations également, nouveaux écrits de Rodez, quelques lettres qu'il a écrit quand il était interné à l'hôpital de Rodez, vers la fin de sa vie plutôt .
AnonymeIl y a 10 ans

Je te conseille Suppôts et suppliciations également, nouveaux écrits de Rodez, quelques lettres qu'il a écrit quand il était interné à l'hôpital de Rodez, vers la fin de sa vie plutôt .

Le livre tibétain de la vie et de la mort
pitite lylize Il y a 10 ans

Le livre tibétain de la vie et de la mort

[quote="Peb'"]Je te conseille Suppôts et suppliciations également, nouveaux écrits de Rodez, quelques lettres qu'il a écrit quand il était interné à l'hôpital de Rodez, vers la fin de sa vie plutôt .[/quote] merci @Peb' j'ai une grosse pile de bouquins a lire (34 cm de haut la pile, si si c'est une mesure de lecture) ;)
Eléa Il y a 10 ans

Je te conseille Suppôts et suppliciations également, nouveaux écrits de Rodez, quelques lettres qu'il a écrit quand il était interné à l'hôpital de Rodez, vers la fin de sa vie plutôt .
@Peb'


merci @Peb' j'ai une grosse pile de bouquins a lire (34 cm de haut la pile, si si c'est une mesure de lecture)

la cuisinière d'Himmler - Franz-Olivier Giesbert une centenaire peu banale, qui sort son flingue des le début du livre. une salamandre nommée Théo, et une apologie de la vengeance. des trucs marrants, mais des cotés, je vous enseigne l'histoire au passage, qui m'a un peu énervée, mais je suis avec lui sur le devoir de mémoire accompli pour l'Arménie, et pour les victimes des nazis. Je vais me ré-écouter Aznavour. une petite phrase a retenir sur ce forum ;) ou ailleurs: "n’hésitez pas à aller contre le courant . Il n'y a que les poissons morts qui le suivent"
Eléa Il y a 10 ans

la cuisinière d'Himmler - Franz-Olivier Giesbert

une centenaire peu banale, qui sort son flingue des le début du livre.
une salamandre nommée Théo, et une apologie de la vengeance.
des trucs marrants, mais des cotés, je vous enseigne l'histoire au passage, qui m'a un peu énervée, mais je suis avec lui sur le devoir de mémoire accompli pour l'Arménie, et pour les victimes des nazis. Je vais me ré-écouter Aznavour.

une petite phrase a retenir sur ce forum ou ailleurs:
"n’hésitez pas à aller contre le courant . Il n'y a que les poissons morts qui le suivent"

Starmustang de Christophe Sirchis, frère ainé de Nicola Sirkis. Ce livre est puant, dégueu, puant. Non sincèrement, tant de haine, de jalousie étalée sur la place publique !
RedDragon Il y a 10 ans

Starmustang de Christophe Sirchis, frère ainé de Nicola Sirkis.
Ce livre est puant, dégueu, puant.

Non sincèrement, tant de haine, de jalousie étalée sur la place publique !

Je viens de refermer "l'ombre du vent" et déjà envie d'y repartir, dans ce bouquin. En fait il donne envie d'y repartir mais tout en étant à Barcelone histoire de s'y croire un peu plus. Bref, j'ai mis du temps à trouver le temps de le lire mais qu'il en vaut la peine! Je vais attaquer "quelque chose noir" qui me fait de l'œil depuis qu' @Angie me l'a laissé dans ma "corbeille à livres pas encore lus"
Anja Il y a 10 ans

Je viens de refermer "l'ombre du vent" et déjà envie d'y repartir, dans ce bouquin. En fait il donne envie d'y repartir mais tout en étant à Barcelone histoire de s'y croire un peu plus.
Bref, j'ai mis du temps à trouver le temps de le lire mais qu'il en vaut la peine!

Je vais attaquer "quelque chose noir" qui me fait de l'œil depuis qu' angie me l'a laissé dans ma "corbeille à livres pas encore lus"

Tous fans de l'ombre du vent ici ? :) Sympathique bouquin en effet. Moi j'ai fini aujourd'hui même [i]Mrs Dalloway[/i], de Woolf. C'est space, très nébuleux, avec un style assez ardu, mais quand on arrive à se plonger (et c'est là toute la difficulté) ça devient juste délectable. Une belle œuvre. Pas très optimiste mais belle.
AnonymeIl y a 10 ans

Tous fans de l'ombre du vent ici ? Sympathique bouquin en effet.
Moi j'ai fini aujourd'hui même Mrs Dalloway, de Woolf. C'est space, très nébuleux, avec un style assez ardu, mais quand on arrive à se plonger (et c'est là toute la difficulté) ça devient juste délectable. Une belle œuvre. Pas très optimiste mais belle.

[quote="RedDragon"]Starmustang de Christophe Sirchis, frère ainé de Nicola Sirkis. Ce livre est puant, dégueu, puant. Non sincèrement, tant de haine, de jalousie étalée sur la place publique ![/quote] A ça sent le regret d'avoir lue ce livre mdrrr ;D
pitite lylize Il y a 10 ans

Starmustang de Christophe Sirchis, frère ainé de Nicola Sirkis.
Ce livre est puant, dégueu, puant.

Non sincèrement, tant de haine, de jalousie étalée sur la place publique !

A ça sent le regret d'avoir lue ce livre mdrrr ;D

[i]Les Sketches inédits[/i] de Raymond Devos. Assez inégal, mais beaucoup de textes bien écrits, drôles et émouvants. Je vous en poste un, pas tout à fait au hasard : Je sors de mon paquet de gauloises ou de gitanes une cigarette... Soudain, l'idée de vous, femmes, me vient à l'esprit. Votre goût à la bouche... Femmes, vous êtes notre « gris » que l'on prend dans ses doigts et qu'on roule et qui nous saoule... Vous êtes notre opium ! Gauloises ou gitanes, nous vous allumons. Vous nous enflammez. Vous nous attisez. Nous vous respirons profondément, à pleins poumons. Vous êtes fumée et nous poussière. Ô femme flamme ! Vous vous dissolvez dans l'atmosphère. Atmosphère... atmosphère... Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? Oui, madame, vous n'êtes plus ni gauloise ni gitane... vous êtes atmosphère. Notre atmosphère. Vous êtes parfum. Vous êtes parfaite. On vous aspire en vous respirant. Vous êtes en nous, femmes, comme nous avons été en vous, avant d'être hommes ! Raymond DEVOS – La Femme Flamme
AnonymeIl y a 10 ans

Les Sketches inédits de Raymond Devos. Assez inégal, mais beaucoup de textes bien écrits, drôles et émouvants.
Je vous en poste un, pas tout à fait au hasard :

Je sors de mon paquet de gauloises ou de gitanes une cigarette...
Soudain, l'idée de vous, femmes, me vient à l'esprit.
Votre goût à la bouche...
Femmes, vous êtes notre « gris » que l'on prend dans ses doigts et qu'on roule et qui nous saoule...
Vous êtes notre opium !
Gauloises ou gitanes, nous vous allumons. Vous nous enflammez. Vous nous attisez.
Nous vous respirons profondément, à pleins poumons.
Vous êtes fumée et nous poussière.
Ô femme flamme !
Vous vous dissolvez dans l'atmosphère.
Atmosphère... atmosphère...
Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?
Oui, madame, vous n'êtes plus ni gauloise ni gitane... vous êtes atmosphère.
Notre atmosphère.
Vous êtes parfum.
Vous êtes parfaite.
On vous aspire en vous respirant.
Vous êtes en nous, femmes, comme nous avons été en vous, avant d'être hommes !

Raymond DEVOS – La Femme Flamme

@Angie joli texte, qui t'a donné l'idée d'aller lire ce bouquin?
Eléa Il y a 10 ans

angie joli texte, qui t'a donné l'idée d'aller lire ce bouquin?

@Eléa, en fait c'est un bouquin que j'ai offert à un pote qui, comme moi, aime beaucoup Devos et, comme on n'est pas près de le revoir en spectacle, on se rabat sur ce qu'on peut :)
AnonymeIl y a 10 ans

Eléa, en fait c'est un bouquin que j'ai offert à un pote qui, comme moi, aime beaucoup Devos et, comme on n'est pas près de le revoir en spectacle, on se rabat sur ce qu'on peut

le paysan de Paris - Louis Aragon des descriptions á n'en plus finir, j'ai vraiment eu envie de zapper, puis au milieu de tout ça des envolées sur l'amour, le désir, les femmes. pas un bouquin que j'ai adoré. et pour rester sur Paris, je commence: Paris ne finit jamais- Enrique Vila-Matas
Eléa Il y a 10 ans

le paysan de Paris - Louis Aragon

des descriptions á n'en plus finir, j'ai vraiment eu envie de zapper, puis au milieu de tout ça des envolées sur l'amour, le désir, les femmes.
pas un bouquin que j'ai adoré.

et pour rester sur Paris, je commence:
Paris ne finit jamais- Enrique Vila-Matas

J'ai fini [i]On n'est pas là pour disparaître[/i], d'une dénommée Rosenthal, sur la maladie d'A. J'ai rien contre l'expérimentation dans l'écriture, au contraire, mais c'est un pari risqué et quand c'est bancal... ben, non, on n'a pas le droit à l'erreur dans ces cas. [quote]Toute la journée je suis enfermé avec des gens complètement idiots qui ne comprennent rien à ce que j'essaye de leur dire toute la journée à me démener pour sortir de là toute la journée entouré d'incultes qui me demandent de participer je suis plus à l'école dites le nom d'une fleur je suis plus un enfant et aussi le nom d'un fromage et aussi le nom d'un monument camembert c'est pas le nom d'un monument d'une couleur rouge c'est bien et le nom d'une pâtisserie train ce n'est pas le nom d'une pâtisserie train faites encore un effort vous allez trouver paris-brest oui c'est ça j'aime pas quand ils me félicitent et le nom d'un pays je me souviens pas travailleurs de tous les pays pas tous juste un citez-en camembert non je les emmerde moi camembert j'ai pas envie d'être encouragé j'aime pas l'école je les emmerde camembert camembert camembert et j'encule la psychologue de service je l'encule et je l'emmerde et quand je le lui dis elle répond juste que je suis pas gentil et elle continue de sourire pauvre folle[/quote] Et je viens de débuter Rue de la Sardine, de Steinbeck. Très prometteur ! J'adore le début : [quote]La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain, de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : «ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains» ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : «ce sont des saints, des anges et des martyrs», et ce serait revenu au même.[/quote] ♥
AnonymeIl y a 10 ans

J'ai fini On n'est pas là pour disparaître, d'une dénommée Rosenthal, sur la maladie d'A. J'ai rien contre l'expérimentation dans l'écriture, au contraire, mais c'est un pari risqué et quand c'est bancal... ben, non, on n'a pas le droit à l'erreur dans ces cas.

Toute la journée je suis enfermé avec des gens complètement idiots qui ne comprennent rien à ce que j'essaye de leur dire toute la journée à me démener pour sortir de là toute la journée entouré d'incultes qui me demandent de participer je suis plus à l'école dites le nom d'une fleur je suis plus un enfant et aussi le nom d'un fromage et aussi le nom d'un monument camembert c'est pas le nom d'un monument d'une couleur rouge c'est bien et le nom d'une pâtisserie train ce n'est pas le nom d'une pâtisserie train faites encore un effort vous allez trouver paris-brest oui c'est ça j'aime pas quand ils me félicitent et le nom d'un pays je me souviens pas travailleurs de tous les pays pas tous juste un citez-en camembert non je les emmerde moi camembert j'ai pas envie d'être encouragé j'aime pas l'école je les emmerde camembert camembert camembert et j'encule la psychologue de service je l'encule et je l'emmerde et quand je le lui dis elle répond juste que je suis pas gentil et elle continue de sourire pauvre folle



Et je viens de débuter Rue de la Sardine, de Steinbeck. Très prometteur ! J'adore le début :
La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain, de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : «ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains» ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : «ce sont des saints, des anges et des martyrs», et ce serait revenu au même.

París no se acaba nunca (Paris ne finit jamais) - Enrique Vila_Matas le jeune Enrique á Paris dans les années 70, a la recherche de la création littéraire. Comment écrire son premier livre, qui a pour ambition de tuer tout lecteur qui le lira? des rencontres littéraires á foison (Marguerite Duras lui loue une chambre de bonne) et l'ironie tout au long de ce récit "autobiographique". et ma liste de bouquin á lire et de films á voir qui s'allonge puisqu'il fait des références tout au long du livre. (par exemple: Copi - Loretta Strong????? jamais entendu parler)
Eléa Il y a 10 ans

París no se acaba nunca (Paris ne finit jamais) - Enrique Vila_Matas

le jeune Enrique á Paris dans les années 70, a la recherche de la création littéraire. Comment écrire son premier livre, qui a pour ambition de tuer tout lecteur qui le lira?
des rencontres littéraires á foison (Marguerite Duras lui loue une chambre de bonne) et l'ironie tout au long de ce récit "autobiographique".

et ma liste de bouquin á lire et de films á voir qui s'allonge puisqu'il fait des références tout au long du livre. (par exemple: Copi - Loretta Strong????? jamais entendu parler)

le chat de Schrödinger- Philippe Forest tres dur de rentrer dedans, j'ai bien failli le refermer avant la fin du premier chapitre, oú il parle de physique quantique (j'étais larguée, mais je suis pas du genre á pas finir un bouquin) pour faire simple je résumerai le bouquin par: être [b]et[/b] ne pas être, (i.e. être les deux états á la fois, vivant et mort, celui-ci et un autre, ici et ailleurs) quelques phrases qui vous donneront peut être envie de le lire: "le réel porte le deuil de tous les possibles puisqu'il n'existe que pour avoir procédé á leur sacrifice" "chacun a spontanément la certitude d’être soi, d'habiter avec son corps et son esprit á lui un monde assuré de sa cohérence, de sa stabilité et dans lequel les phénomènes s'associent selon les règles familières et inflexibles. Mais la vérité n'a que faire de l'intuition. Elle se reconnait même souvent au fait qu'elle va exactement á l'encontre de ce que celle-ci prétend naturellement établir. Je vois de mes yeux que la terre est plate, je sens dans ma chair que la planète ne pivote pas perpétuellement sur elle même, qu'elle ne tourne pas comme une toupie á toute vitesse lancée dans le vide sidéral. Tout me dit qu'il en va ainsi. Et pourtant c'est faux" "il n'y a rien d'autre á apprendre de la vie, la seule leçon qu'elle vous donne est celle qui dit que vous sera ôté tout ce que vous avez aimé, il faudrait ne s'attacher á rien ni á personne, et, pourtant, le prix de la perte ne se mesure jamais qu'au prix de ce que l'on a perdu"
Eléa Il y a 10 ans

le chat de Schrödinger- Philippe Forest
tres dur de rentrer dedans, j'ai bien failli le refermer avant la fin du premier chapitre, oú il parle de physique quantique (j'étais larguée, mais je suis pas du genre á pas finir un bouquin)
pour faire simple je résumerai le bouquin par: être et ne pas être, (i.e. être les deux états á la fois, vivant et mort, celui-ci et un autre, ici et ailleurs)

quelques phrases qui vous donneront peut être envie de le lire:

"le réel porte le deuil de tous les possibles puisqu'il n'existe que pour avoir procédé á leur sacrifice"

"chacun a spontanément la certitude d’être soi, d'habiter avec son corps et son esprit á lui un monde assuré de sa cohérence, de sa stabilité et dans lequel les phénomènes s'associent selon les règles familières et inflexibles. Mais la vérité n'a que faire de l'intuition. Elle se reconnait même souvent au fait qu'elle va exactement á l'encontre de ce que celle-ci prétend naturellement établir. Je vois de mes yeux que la terre est plate, je sens dans ma chair que la planète ne pivote pas perpétuellement sur elle même, qu'elle ne tourne pas comme une toupie á toute vitesse lancée dans le vide sidéral. Tout me dit qu'il en va ainsi. Et pourtant c'est faux"

"il n'y a rien d'autre á apprendre de la vie, la seule leçon qu'elle vous donne est celle qui dit que vous sera ôté tout ce que vous avez aimé, il faudrait ne s'attacher á rien ni á personne, et, pourtant, le prix de la perte ne se mesure jamais qu'au prix de ce que l'on a perdu"

C'est moi qui éteint les lumières - Zoya Pirzad l'histoire du quotidien d'une femme arménienne en Iran, qui se dévoue pour tous, qui ne vit que pour les autres mais qui s'oublie. bien écrit, mais j'avais oublié mon crayon á la plage, donc j'ai pas de belles phrases á vous livrer. prochaine lecture: le club des incorrigibles optimistes, recommandé par Ernest que je salue au passage s'il lit encore en anonyme.
Eléa Il y a 10 ans

C'est moi qui éteint les lumières - Zoya Pirzad
l'histoire du quotidien d'une femme arménienne en Iran, qui se dévoue pour tous, qui ne vit que pour les autres mais qui s'oublie.
bien écrit, mais j'avais oublié mon crayon á la plage, donc j'ai pas de belles phrases á vous livrer.

prochaine lecture:
le club des incorrigibles optimistes, recommandé par Ernest que je salue au passage s'il lit encore en anonyme.