Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté
Alizée Il y a 11 ans

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Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course
zaberlo Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents

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Alizée Il y a 11 ans

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__Marine__ Il y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais...

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angelike Il y a 11 ans


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(Edit pour corriger mes fautes d'orthographe )

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite...
melie Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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kurdtkobane Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

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AnonymeIl y a 11 ans

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Alizée Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui

(c'était plus joyeux au début )

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste
__Marine__ Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty
AnonymeIl y a 11 ans



Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connais le chemine entre mes reins
kurdtkobane Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connais le chemine entre mes reins

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin entre mes reins et mes seins Je ne sais pas si c'est plus joyeux mais on change de "terrain"!
AnonymeIl y a 11 ans



Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin entre mes reins et mes seins

Je ne sais pas si c'est plus joyeux mais on change de "terrain"!

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf.
musashi Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf.

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf. Au final on applaudit
kurdtkobane Il y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf. Au final on applaudit

[quote="musashi"]Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf.[/quote] Y'a un point à la fin, tu viens de clore ce cadavre exquis @musashi. Tu as donc le gage de relancer le bousin!
AnonymeIl y a 11 ans

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui et même la Debbie au milieu de la piste, l'ex de Betty connaît le chemin, entre mes reins et mes seins il a dessiné un parcours de mini golf.


Y'a un point à la fin, tu viens de clore ce cadavre exquis musashi. Tu as donc le gage de relancer le bousin!

Les cadavres exquis...
Alizée Il y a 11 ans

Les cadavres exquis...

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête
kurdtkobane Il y a 11 ans

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune
AnonymeIl y a 11 ans

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées
Alizée Il y a 11 ans

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair Jusque là on est purement logique!!
AnonymeIl y a 11 ans

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair

Jusque là on est purement logique!!