Regarde ces ruines fumantes Ces lignes tordues sous le ciel Dévorées par les flammes mouvantes Sur ces bâtiments qui saignent Et ce chaos ensanglanté Par les reflets du feu qui hurle Suffocant sous la fumée Regarde le ciel qui brûle Tu vois ces traînées sanglantes ? Ces ombres coulant sous les cendres Dispersées parmi les nuages Sombres et rougis par l’orage Et au milieu le vent souffle Je ferme les yeux, oubliant Autour, ce monde qui s’essouffle Vois donc le ciel couleur de sang Dans le vacarme les mots se brisent La terre tremble, le ciel tourne Et les nuages se dégrisent Sous le vent le sol se retourne Dans l’infernal brasier qui s’étend Des flammes avides de ces cris Insensible au fracas du vent J’me saoule au rock sous la pluie
Keriss Il y a 13 ans

Regarde ces ruines fumantes
Ces lignes tordues sous le ciel
Dévorées par les flammes mouvantes
Sur ces bâtiments qui saignent

Et ce chaos ensanglanté
Par les reflets du feu qui hurle
Suffocant sous la fumée
Regarde le ciel qui brûle

Tu vois ces traînées sanglantes ?
Ces ombres coulant sous les cendres
Dispersées parmi les nuages
Sombres et rougis par l’orage

Et au milieu le vent souffle
Je ferme les yeux, oubliant
Autour, ce monde qui s’essouffle
Vois donc le ciel couleur de sang

Dans le vacarme les mots se brisent
La terre tremble, le ciel tourne
Et les nuages se dégrisent
Sous le vent le sol se retourne

Dans l’infernal brasier qui s’étend
Des flammes avides de ces cris
Insensible au fracas du vent
J’me saoule au rock sous la pluie

Je t'ai sans doute un peu aimée Sûrement un peu haïe aussi Moi qui rêvait que de voler Un morceau de ta poésie Mais toi t'étais une herbe folle, Une plume perdue, une plume en vol Éperdue de ta liberté Voler sans jamais te brûler Voler sans jamais t'arrêter Poursuivre la vie à jamais À la lumière de ta luciole Toi t'aimais un peu trop l'alcool Ya comme un goût de reviens-y Quand tu dis que t'es désolée Quand tu me dis que c'est fini Que ça n'a jamais commencé...
Paperboat Il y a 13 ans

Je t'ai sans doute un peu aimée
Sûrement un peu haïe aussi
Moi qui rêvait que de voler
Un morceau de ta poésie

Mais toi t'étais une herbe folle,
Une plume perdue, une plume en vol
Éperdue de ta liberté
Voler sans jamais te brûler

Voler sans jamais t'arrêter
Poursuivre la vie à jamais
À la lumière de ta luciole
Toi t'aimais un peu trop l'alcool

Ya comme un goût de reviens-y
Quand tu dis que t'es désolée
Quand tu me dis que c'est fini
Que ça n'a jamais commencé...

Il fut un temps les grondements. Dis, t’entends toi les vibrations ? Tu sens la rage au creux des reins, tu sens la peur d’rater la fin ? Les cloisons qui s’effritent à chaque coup dans la grosse caisse, mon cœur bondit encore, me voilà sans repères, longtemps tenu en laisse, l’égo prend la poussière. Et les entrailles en implosion, t’avales la mort à pleine bouche, bouffer ma chair en érection, bouffer la merde à pleine louche. Aller rallume les fumigènes, tu sens les râles dans les gradins, tu sens la vie dans les arènes, ma belle qui cogne sa tête contre mes poings. C’est trop d’amour dans les artères, des jeux sensibles à grande vitesse, la jolie place de la concorde, refuge des amants en détresse. Aller dis toi c’qui t’fais vibrer, aller dis moi c’qui t’fait flancher, mon corps ruiné, mon âme à plat, j’peux t’égorger quand t’es comme ça. J’suis pas solide face à tes mots, ouais ça m’ébranle tes grognements, j’suis l’apprenti qui crève de chaud quand tu danses nue sur mon divan. Et t’as les rêves à l’agonie, et tu t’éteins machinalement. Et puis je pense donc tu suis, t’as juste gardé l’reflexe de faire semblant. Tu manques surtout d’appétit, on dit qu’t’as la haine qui s’essouffle. Ta jolie comédie, t’empiles des mots qui t’étouffent. Tes fenêtres condamnées, ton parquet ébréché. J’t’ai baisé la dernière fois sans aucune conviction, on peut pas vivre comme ça, t’es morte sur le tapis du grand salon. Dis pas non, putain frappe moi, réagis, rase toi la crête. Dis pas non, putain jette moi, balance toi par la fenêtre. C’est le cadet de tes soucis, l’armada des bons sentiments, tu colle ta tête contre l’ampli, tu voudrais t’crever les tympans. Ouais les Stooges pour t’faire la peau, la seule issue que j’te propose, la seule façon pour qu’on s’trouve beau, l’idée d’mourir d’une overdose. Il est fini le temps des grondements, y’a plus qu’des ruines et des échos, y’a plus qu’mon foutre sur tes p’tits seins et la marque de tes griffes sur mon dos. Je pense donc tu suis, Janis qui m’assassine sans transition, ton air béat quand j’te souris, t’as trop voulu m’donner raison. Je pense donc tu suis, t’as des limites qui me dépassent, et ta putain d’cyclothymie, j’aurais pas cru qu’l’amour prendrait autant de place.
kalexx Il y a 13 ans

Il fut un temps les grondements. Dis, t’entends toi les vibrations ? Tu sens la rage au creux des reins, tu sens la peur d’rater la fin ? Les cloisons qui s’effritent à chaque coup dans la grosse caisse, mon cœur bondit encore, me voilà sans repères, longtemps tenu en laisse, l’égo prend la poussière. Et les entrailles en implosion, t’avales la mort à pleine bouche, bouffer ma chair en érection, bouffer la merde à pleine louche. Aller rallume les fumigènes, tu sens les râles dans les gradins, tu sens la vie dans les arènes, ma belle qui cogne sa tête contre mes poings. C’est trop d’amour dans les artères, des jeux sensibles à grande vitesse, la jolie place de la concorde, refuge des amants en détresse. Aller dis toi c’qui t’fais vibrer, aller dis moi c’qui t’fait flancher, mon corps ruiné, mon âme à plat, j’peux t’égorger quand t’es comme ça. J’suis pas solide face à tes mots, ouais ça m’ébranle tes grognements, j’suis l’apprenti qui crève de chaud quand tu danses nue sur mon divan. Et t’as les rêves à l’agonie, et tu t’éteins machinalement. Et puis je pense donc tu suis, t’as juste gardé l’reflexe de faire semblant. Tu manques surtout d’appétit, on dit qu’t’as la haine qui s’essouffle. Ta jolie comédie, t’empiles des mots qui t’étouffent. Tes fenêtres condamnées, ton parquet ébréché. J’t’ai baisé la dernière fois sans aucune conviction, on peut pas vivre comme ça, t’es morte sur le tapis du grand salon. Dis pas non, putain frappe moi, réagis, rase toi la crête. Dis pas non, putain jette moi, balance toi par la fenêtre. C’est le cadet de tes soucis, l’armada des bons sentiments, tu colle ta tête contre l’ampli, tu voudrais t’crever les tympans. Ouais les Stooges pour t’faire la peau, la seule issue que j’te propose, la seule façon pour qu’on s’trouve beau, l’idée d’mourir d’une overdose. Il est fini le temps des grondements, y’a plus qu’des ruines et des échos, y’a plus qu’mon foutre sur tes p’tits seins et la marque de tes griffes sur mon dos. Je pense donc tu suis, Janis qui m’assassine sans transition, ton air béat quand j’te souris, t’as trop voulu m’donner raison. Je pense donc tu suis, t’as des limites qui me dépassent, et ta putain d’cyclothymie, j’aurais pas cru qu’l’amour prendrait autant de place.

Tram... Il faisait très chaud, le tram était bondé et je jubilais face à ces toutes petites marseillaises , nez collé aux aisselles de leurs voisins et voisines , alors que moi du haut de mes 1m73, mon nez restait collé au nez des autres passagers... ( les aisselles, c'est peut être mieux, parfois!) Il est entré station Alcazar, jeune homme ni noir, ni jaune, ni vert, ni métissé... Un jeune homme comme vous et moi, blanc et plutôt pas mal... Il n'était pas seul... Il était accompagné du parfum déstabilisant de ceux qui n'ont qu'un banc pour se reposer et l'eau d'une fontaine pour se frotter le bout du nez... Il m'a souri, j'ai souri aussi... Et les gens autour de nous, se sont encore plus serrés les uns contre les autres, comme des sardines dans une huile un peu glauque... Regards fuyants, regards cinglants, des regards terriblement bruyants qui semblaient dire: Vous l'avez vu? On devrait leur interdire de prendre le métro, le tram, le bus, les bancs même!!! Et le pouce et l'index serrant leur pauvre petit nez si sensible, deux femmes se moquaient. L'une d'elle en descendant du tram, a sorti un flacon de son sac et l'a pointé sous le nez du garçon, l'aspergeant d'un parfum bon marché en lui disant: Prends ça, ça te fera pas de mal! C'était un geste violent, une baffe sur la joue, une humiliation de plus, c'est le parfum des gens idiots, le parfum des gens cons, le parfum des gens sans coeur, celui des gens sans odeur... Il n'a rien dit, il m'a souri encore... J'en ai pleuré, j'en pleure encore...
AnonymeIl y a 13 ans


Tram...

Il faisait très chaud, le tram était bondé et je jubilais face à ces toutes petites marseillaises , nez collé aux aisselles de leurs voisins et voisines , alors que moi du haut de mes 1m73, mon nez restait collé au nez des autres passagers... ( les aisselles, c'est peut être mieux, parfois!)
Il est entré station Alcazar, jeune homme ni noir, ni jaune, ni vert, ni métissé... Un jeune homme comme vous et moi, blanc et plutôt pas mal...
Il n'était pas seul...
Il était accompagné du parfum déstabilisant de ceux qui n'ont qu'un banc pour se reposer et l'eau d'une fontaine pour se frotter le bout du nez... Il m'a souri, j'ai souri aussi...
Et les gens autour de nous, se sont encore plus serrés les uns contre les autres, comme des sardines dans une huile un peu glauque... Regards fuyants, regards cinglants, des regards terriblement bruyants qui semblaient dire: Vous l'avez vu? On devrait leur interdire de prendre le métro, le tram, le bus, les bancs même!!!
Et le pouce et l'index serrant leur pauvre petit nez si sensible, deux femmes se moquaient. L'une d'elle en descendant du tram, a sorti un flacon de son sac et l'a pointé sous le nez du garçon, l'aspergeant d'un parfum bon marché en lui disant: Prends ça, ça te fera pas de mal! C'était un geste violent, une baffe sur la joue, une humiliation de plus, c'est le parfum des gens idiots, le parfum des gens cons, le parfum des gens sans coeur, celui des gens sans odeur...
Il n'a rien dit, il m'a souri encore...
J'en ai pleuré, j'en pleure encore...

J'ai couru sous la lune Sans prétention aucune A la recherche d'un poisson lune... J'étais mal lunée, sans espoir et sans thune Et au dessus de ma tête brune Voletait une luciole peu commune Qui clamait mon infortune De l'avoir perdu sur la dune... Je l'ai suivie, petite lumière, sucrée comme la prune Et sa traînée de poussière falune A engendré nos retrouvailles sur la lagune Il m'a enlacée, mon poisson lune A déposé un baiser sur mes joues, sur l'autre et puis sur l'une En chantant en français, chinois, latin, grec, alune Et depuis ce temps, je clame du haut de ma tribune Que pour chacun, existe une chacune!
AnonymeIl y a 13 ans



J'ai couru sous la lune
Sans prétention aucune
A la recherche d'un poisson lune...
J'étais mal lunée, sans espoir et sans thune
Et au dessus de ma tête brune
Voletait une luciole peu commune
Qui clamait mon infortune
De l'avoir perdu sur la dune...
Je l'ai suivie, petite lumière, sucrée comme la prune
Et sa traînée de poussière falune
A engendré nos retrouvailles sur la lagune
Il m'a enlacée, mon poisson lune
A déposé un baiser sur mes joues, sur l'autre et puis sur l'une
En chantant en français, chinois, latin, grec, alune
Et depuis ce temps, je clame du haut de ma tribune
Que pour chacun, existe une chacune!

Le soleil au zénith, pour un coup de soleil sur la chauvitude innocente du ministre des finances. Coup de chaud sur le crâne de tout les amalgames, pouvoirs publics, fortunes privées, la belle éthique à l’UMP, la république des friqués. Une Mafia à la Présidence, des médias en décadences, les procureurs sont dans la danse, tout le monde dans la connivence, vous y gouterez si vous savez garder silence et confidences.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

Le soleil au zénith, pour un coup de soleil sur la chauvitude innocente du ministre des finances. Coup de chaud sur le crâne de tout les amalgames, pouvoirs publics, fortunes privées, la belle éthique à l’UMP, la république des friqués. Une Mafia à la Présidence, des médias en décadences, les procureurs sont dans la danse, tout le monde dans la connivence, vous y gouterez si vous savez garder silence et confidences.

[i]A ma princesse...[/i] Dans l'éclat des limbes Notre amour limpide Accroché à tes mains Je ne crains plus le vide. Se pose la lumière, Sur ton corps dénudé Sur tes hanches, à la lisière, Naissent mes baisers. L'horizon linéaire Lors du couché du soleil Contient le mystère Du désir qui s'éveille. Les linéaments de ta bouche Quand ton sourire apparaît Donnent à ton visage De charmes, une infinité. Ta beauté cristalline Tes gestes profondément Longilignes Brisent l'espace temps. Nos mouvements se ralentissent Englués de tendresse Nos lèvres en éclipse La nuit devient promesse. Tes cheveux coulent Sur l'oreiller Comme de l'encre noire Renversée. Mon amour La jonction de nos corps Redessinent les contours De la vie et de la mort Du jamais et du toujours.
Link de Nova Il y a 13 ans

A ma princesse...

Dans l'éclat des limbes
Notre amour limpide
Accroché à tes mains
Je ne crains plus le vide.
Se pose la lumière,
Sur ton corps dénudé
Sur tes hanches, à la lisière,
Naissent mes baisers.
L'horizon linéaire
Lors du couché du soleil
Contient le mystère
Du désir qui s'éveille.
Les linéaments de ta bouche
Quand ton sourire apparaît
Donnent à ton visage
De charmes, une infinité.
Ta beauté cristalline
Tes gestes profondément
Longilignes
Brisent l'espace temps.
Nos mouvements se ralentissent
Englués de tendresse
Nos lèvres en éclipse
La nuit devient promesse.
Tes cheveux coulent
Sur l'oreiller
Comme de l'encre noire
Renversée.
Mon amour
La jonction de nos corps
Redessinent les contours
De la vie et de la mort
Du jamais et du toujours.

Incertitudes Tout va s'arranger, tu verras.. Tout va disparaître, tu me crois? Tout va s'éclaircir, on se le doit.. Tout va exploser, si on se noie.. Et merde ! facilitons- nous la tâche ! Quelle veine ! De voir comment on se voit ! J'ai des doutes sur la sincérité de l'être humain; j'ai des doutes sur moi. J'ai des doutes sur ces enfants qui ne sourient pas; j'ai des doutes sur moi. Je redoute les allers/retours sans détour; j'ai des doutes sur moi. Je redoute l'euphorie du moment; je doute de tout ça. Et merde ! facilitons- nous la tâche ! Quelle veine ! De voir comment on se voit ! Besoin de solitude, quand le cerveau réclame son droit. Besoin de la famille, quand la mélancolie émane en toi. Besoin d'éteindre la lumière, juste pour se retrouver soi. Besoin d'amour, enfin je crois ?!
jej33 Il y a 13 ans

Incertitudes


Tout va s'arranger, tu verras..

Tout va disparaître, tu me crois?

Tout va s'éclaircir, on se le doit..

Tout va exploser, si on se noie..

Et merde ! facilitons- nous la tâche !
Quelle veine ! De voir comment on se voit !

J'ai des doutes sur la sincérité de l'être humain; j'ai des doutes sur moi.

J'ai des doutes sur ces enfants qui ne sourient pas; j'ai des doutes sur moi.

Je redoute les allers/retours sans détour; j'ai des doutes sur moi.

Je redoute l'euphorie du moment; je doute de tout ça.

Et merde ! facilitons- nous la tâche !
Quelle veine ! De voir comment on se voit !

Besoin de solitude, quand le cerveau réclame son droit.

Besoin de la famille, quand la mélancolie émane en toi.

Besoin d'éteindre la lumière, juste pour se retrouver soi.

Besoin d'amour, enfin je crois ?!

Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse. Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis. Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres? (et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)
Maitre Kaio Il y a 13 ans

Des visages, des figures. Graves et concernés, mais souriants. Le sourire de l’espoir renaissant. Des figurants à effacer. Des gens, soudés. Le temps figé, à l’instant de lutter, fier, à leurs cotés. Et ce regard d’enfant, naïf, mais qui déjà comprend, les enjeux, les angoisses, son avenir à crédit pour un bonheur non garantie. Quelle poisse.

Conscient de notre chance? entre décadence et déchéance, le mépris entre dans la danse. Gamin, tu seras, non, tu travailleras. On te le trouvera, n’ait de crainte, celui là dans son Audi S3 qui s’enrichira de toi, de ton temps, de ta vie, et même de tes soucis.

Sommes nous libres de vivre pauvres, ou riches de vivre libres?


(et ué je recopie mon blog. vous croyez tout de meme pas que vous alliez avoir le droit a des exclus?)

Faut arrêter! Faut faire une pause, un arrêt! Je suis en souffrance, là... Arrêts, décrets, arrêt par défaut, arrêt sur requête, arrêt de mort, cran d'arrêt! Je joue dans la cour d'appel: eheoh! Bichounou je suis là... Dans la cour de cassation aussi: j'ai rien cassé, c'est Nadia! Je me perds dans cette cour, ô combien souveraine, la cour de récréation... Si tu veux faire mon bonheur, Marguerite, Marguerite... Si tu veux faire mon bonheur, Marguerite donne moi ton coeur! Je me fais du mal, faut que j'arrête! Arrêt du train, je descends, arrêt de maladie, je reste au lit! Je suis aux arrêts, je suis aux abois... Waouf! Waouf! Je marque un temps d'arrêt... Arrêt sur image... Retour en arrière! Bande de coupe jarret, attention, se cache dans la forêt... Ils sont affublés d'un béret et portent à leur ceinture un fleuret! Il faut les arrêter, il faut les juger s'écrie le chardonneret en brandissant un verre de chardonay clairet! ( Je sais que c'est du blanc, bon sang! Mais le chardonneret ne le sait pas, lui!) Un peu de calme messieurs les jurés! Nous ne sommes pas dans un cabaret, nous sommes dans une salle de tribunal! Nous voulons du concret, une tête doit tomber! Mais je prendrais bien, en attendant le jugement, un verre de ce chardonay clairet, monsieur le président! Putain! Mais y a Kerviel, là! Il va faire l'affaire, non? Non, ça ne va pas marcher? Alchimie peut être? Faire une saisie-arrêt,, ne pas oublier le tiret... On ne dit jamais assez l'importance du tiret! Je ne peux malheureusement pas en dire plus, je suis tenue au secret en attendant que tombe le couperet! Pauvret! Pauvre porcelet qui va être guillotiné! C'est moi qui hurle comme un goret? Je me réveille... Ra.... Ah! Ré! Face à tes rayons, j'ai enfin la révélation et je reviens enfin à la réalité! Ouf! Je suis sauvée... J'ouvre les yeux... Kiki est à l'arrêt devant le muret où je me suis effondrée... J'ai renversé sa gamelle! Il demande dommage et intérêt? Faut arrêter! Faut arrêter!!!
AnonymeIl y a 13 ans

Faut arrêter!
Faut faire une pause, un arrêt!
Je suis en souffrance, là...
Arrêts, décrets, arrêt par défaut, arrêt sur requête, arrêt de mort, cran d'arrêt!
Je joue dans la cour d'appel: eheoh! Bichounou je suis là... Dans la cour de cassation aussi: j'ai rien cassé, c'est Nadia!
Je me perds dans cette cour, ô combien souveraine, la cour de récréation...
Si tu veux faire mon bonheur, Marguerite, Marguerite... Si tu veux faire mon bonheur, Marguerite donne moi ton coeur!
Je me fais du mal, faut que j'arrête!
Arrêt du train, je descends, arrêt de maladie, je reste au lit!
Je suis aux arrêts, je suis aux abois... Waouf! Waouf!
Je marque un temps d'arrêt...
Arrêt sur image... Retour en arrière!
Bande de coupe jarret, attention, se cache dans la forêt... Ils sont affublés d'un béret et portent à leur ceinture un fleuret! Il faut les arrêter, il faut les juger s'écrie le chardonneret en brandissant un verre de chardonay clairet! ( Je sais que c'est du blanc, bon sang! Mais le chardonneret ne le sait pas, lui!)
Un peu de calme messieurs les jurés! Nous ne sommes pas dans un cabaret, nous sommes dans une salle de tribunal! Nous voulons du concret, une tête doit tomber! Mais je prendrais bien, en attendant le jugement, un verre de ce chardonay clairet, monsieur le président!
Putain! Mais y a Kerviel, là! Il va faire l'affaire, non?
Non, ça ne va pas marcher? Alchimie peut être?
Faire une saisie-arrêt,, ne pas oublier le tiret... On ne dit jamais assez l'importance du tiret! Je ne peux malheureusement pas en dire plus, je suis tenue au secret en attendant que tombe le couperet!
Pauvret! Pauvre porcelet qui va être guillotiné!
C'est moi qui hurle comme un goret?
Je me réveille...
Ra.... Ah! Ré! Face à tes rayons, j'ai enfin la révélation et je reviens enfin à la réalité!
Ouf! Je suis sauvée...
J'ouvre les yeux...
Kiki est à l'arrêt devant le muret où je me suis effondrée...
J'ai renversé sa gamelle!
Il demande dommage et intérêt?
Faut arrêter! Faut arrêter!!!

Ohhhhhhhhh
Bisounour Il y a 13 ans

Ohhhhhhhhh

. Phare sur un rocher Illuminant la nuit Prisonnier de son île Aux eaux froides Aux courants violents Il admire l'arc suspendu Comme un fruit défendu Comme une orange, un trésor Une porte en or! Une passerelle vers la liberté... Navigateurs, voyageurs Au détour d'un chemin Se font voyeurs Matent dans le ciel, cette lueur Et lui parlent sans détour Simplement, sans ambages... Au détour de la conversation Lui vantent ramage et plumage Et au détour d'un chemin Grand oiseau des mers Se pose à l'ombre d'un pin Son blanc plumage devient gris Il a perdu la tête et rêve de conquêtes Devenir Roi! Roi de la planête... Et quand s'ouvre son bec crochu Son chant s'est transformé en cri... Il ne sait plus planer, il boitille Sur ses pattes palmées Il ne sait plus chanter, il ne fait que piauler... Et lui qui traversait sans sourciller les plus terribles des tempêtes Poussé par le vent et les courants, Voltigeant et planant... Se retrouve cloué au sol Battant des ailes, les pliant Sur ses pattes courtes de géant... Fais moi rêver, Prends ton élan Envole toi Bel oiseau blanc! .
AnonymeIl y a 13 ans


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Phare sur un rocher
Illuminant la nuit
Prisonnier de son île
Aux eaux froides
Aux courants violents
Il admire l'arc suspendu
Comme un fruit défendu
Comme une orange, un trésor
Une porte en or!

Une passerelle vers la liberté...

Navigateurs, voyageurs
Au détour d'un chemin
Se font voyeurs
Matent dans le ciel, cette lueur
Et lui parlent sans détour
Simplement, sans ambages...
Au détour de la conversation
Lui vantent ramage et plumage
Et au détour d'un chemin
Grand oiseau des mers
Se pose à l'ombre d'un pin
Son blanc plumage devient gris
Il a perdu la tête et rêve de conquêtes
Devenir Roi! Roi de la planête...

Et quand s'ouvre son bec crochu
Son chant s'est transformé en cri...
Il ne sait plus planer, il boitille
Sur ses pattes palmées
Il ne sait plus chanter, il ne fait que piauler...
Et lui qui traversait sans sourciller
les plus terribles des tempêtes
Poussé par le vent et les courants,
Voltigeant et planant...
Se retrouve cloué au sol
Battant des ailes, les pliant
Sur ses pattes courtes de géant...

Fais moi rêver,
Prends ton élan
Envole toi
Bel oiseau blanc!




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. Je peins mes amours Au jour le jour En double boucle entrelacés, Lacets bleutés de nos amours nacrées Cordons gorgés de blanche sève Voilà deux lacs d'amour, entremêlés... Buvons à nos amours trop longues ou trop brèves! Vagues rouges voguent à mes lèvres Roulis de mes hanches, démarche chaloupée Mousse blanche de l'écume s'échouant sur le rocher Je bannis à jamais les amours mièvres... Je donne de la fièvre à mes amours De la passion à l'amour fou Je peins mes amours Au jour le jour... .
AnonymeIl y a 13 ans

.


Je peins mes amours
Au jour le jour

En double boucle entrelacés,
Lacets bleutés de nos amours nacrées
Cordons gorgés de blanche sève
Voilà deux lacs d'amour, entremêlés...


Buvons à nos amours trop longues ou trop brèves!
Vagues rouges voguent à mes lèvres
Roulis de mes hanches, démarche chaloupée
Mousse blanche de l'écume s'échouant sur le rocher
Je bannis à jamais les amours mièvres...

Je donne de la fièvre à mes amours
De la passion à l'amour fou
Je peins mes amours
Au jour le jour...



.

Les hanches larges d'un cul fécond Sous une mini jupe de fonction Les cuisses ouvertes à l'avarice Sur une culotte de coton blanc Déja souillée par l'injustice Dans une immonde tache de sang Qu'obstinément la police Tente de maquiller d'argent Masquant qu'elle jouit de ce calice Qu'elle fera manger à nos enfants
Maitre Kaio Il y a 13 ans

Les hanches larges d'un cul fécond
Sous une mini jupe de fonction
Les cuisses ouvertes à l'avarice
Sur une culotte de coton blanc
Déja souillée par l'injustice
Dans une immonde tache de sang
Qu'obstinément la police
Tente de maquiller d'argent
Masquant qu'elle jouit de ce calice
Qu'elle fera manger à nos enfants

ca faisait longtemps... pas assez sans doute.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

ca faisait longtemps... pas assez sans doute.

[quote="Maitre Kaio" date="2008-02-26 20:39:52"] je ne comprend pas les filles, ca je le savais. j'ai cru comprendre la fille, j'ai compris que j'me trompais. m'ouvrir pour une brindille, vulnérable plus jamais. Je la déteste. Presque autant que je l'aime. Il en est des leçons qui, apprises, vous étouffent, je n'serais plus l'garçon qui s'éprendra d'une pouffe, j'ai arrêté d'être con, j'y ai laissé mon souffle. Je te déteste. Presque autant que je t'aime.[/quote] J'ai toujours aimé ce kaio là, 3 ans après ... Tu avais les mots !!!
Simo Il y a 13 ans


je ne comprend pas les filles, ca je le savais.
j'ai cru comprendre la fille, j'ai compris que j'me trompais.
m'ouvrir pour une brindille, vulnérable plus jamais.
Je la déteste. Presque autant que je l'aime.
Il en est des leçons qui, apprises, vous étouffent,
je n'serais plus l'garçon qui s'éprendra d'une pouffe,
j'ai arrêté d'être con, j'y ai laissé mon souffle.
Je te déteste. Presque autant que je t'aime.



J'ai toujours aimé ce kaio là, 3 ans après ... Tu avais les mots !!!

février 2008... et ca me fait tout bizarre de relire ça.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

février 2008... et ca me fait tout bizarre de relire ça.

:) petit écorché va
Simo Il y a 13 ans

petit écorché va

c'est juste que se morfondre, ca inspire, a defaut de faire avancer.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

c'est juste que se morfondre, ca inspire, a defaut de faire avancer.

Putain de cœur, que tu as Putain de cœur, qui n' sais même pas Qui est l' bonheur, qui est l'ennui ? Qui ? de bonheur emplit ta vie J'ai marché tant de chemins, Où, tant de flammes.. j'ai vu s'éteindre Mais ! la notre, même, face aux vents Ne laissera nul place au néant. Même si au feu elle n'est semblable, Dis moi qu' l'amour est implacable Et qu'aucun autre n'égale le mien Qui réside, toujours, en ton sein. Mais … Si mes paroles ne valent ma plume.. Si je n' te décroches pas la lune.. Et, si trop rares sont mes mots doux Ils ne sont qu' pour toi, malgré tout.. (Pardonnez si je ne maitrise pas très bien, je n'ai que 15 ans.)
Green-Punk Il y a 13 ans

Putain de cœur, que tu as
Putain de cœur, qui n' sais même pas
Qui est l' bonheur, qui est l'ennui ?
Qui ? de bonheur emplit ta vie

J'ai marché tant de chemins,
Où, tant de flammes.. j'ai vu s'éteindre
Mais ! la notre, même, face aux vents
Ne laissera nul place au néant.

Même si au feu elle n'est semblable,
Dis moi qu' l'amour est implacable
Et qu'aucun autre n'égale le mien
Qui réside, toujours, en ton sein.

Mais …

Si mes paroles ne valent ma plume..
Si je n' te décroches pas la lune..
Et, si trop rares sont mes mots doux
Ils ne sont qu' pour toi, malgré tout..

(Pardonnez si je ne maitrise pas très bien, je n'ai que 15 ans.)

Déserté de toutes convictions, constatons aujourd'hui la mort de toutes vies politiques, engagements, choix de société, orientation idéologique, intégrité intellectuelle et philosophique, nous ne pouvons que noter en ce sens l'absence d'enseignement de ces définitions caduques et dépassées, plus de place pour l'utopie dans nos éducations. Place à la mascarade électorale perpétuelle et permanente, à la supercherie théâtrale de la mise en scène de nos drames quotidiens, du consentement de principe, de la préoccupation d’intérêt, à l'opportunisme avare et ambitieux, au totalitarisme lobbyiste industriel, à la prostitution de toutes valeurs humaines. Pouvoir fictif aux pantins menteurs, au gré des humeurs des financiers sans coeur. Masses productrices vampirisées à rassasier les estomac d'ogres de l'aristocratie bancaire et monétaire, subtilement contentées par sa docilité, hochant la tête sur le beat formaté du dernier tube (de dentifrice) de Lady Gaga. Au Palais des idées le parquet est rayé, et les tapisseries tachées du sang de l'humanité, violée en ce lieux depuis des années.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

Déserté de toutes convictions, constatons aujourd'hui la mort de toutes vies politiques, engagements, choix de société, orientation idéologique, intégrité intellectuelle et philosophique, nous ne pouvons que noter en ce sens l'absence d'enseignement de ces définitions caduques et dépassées, plus de place pour l'utopie dans nos éducations.
Place à la mascarade électorale perpétuelle et permanente, à la supercherie théâtrale de la mise en scène de nos drames quotidiens, du consentement de principe, de la préoccupation d’intérêt, à l'opportunisme avare et ambitieux, au totalitarisme lobbyiste industriel, à la prostitution de toutes valeurs humaines. Pouvoir fictif aux pantins menteurs, au gré des humeurs des financiers sans coeur. Masses productrices vampirisées à rassasier les estomac d'ogres de l'aristocratie bancaire et monétaire, subtilement contentées par sa docilité, hochant la tête sur le beat formaté du dernier tube (de dentifrice) de Lady Gaga.
Au Palais des idées le parquet est rayé, et les tapisseries tachées du sang de l'humanité, violée en ce lieux depuis des années.

SaezLive tu es bô comme un tablô de picassôooo entre les reins au fusain des demoiselles d'avignon SaezLive t'es mignon comme un ange blond sur un téton boticcelli tout ca tout ca pas de culture sans charabia.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

SaezLive tu es bô
comme un tablô
de picassôooo
entre les reins
au fusain
des demoiselles
d'avignon
SaezLive t'es mignon
comme un ange blond
sur un téton
boticcelli
tout ca tout ca
pas de culture
sans charabia.

Et t’en dirais quoi toi, de foutre le camp ? J’ai froid en dedans, je bous littéralement, tes mots toxiques qui me percent la peau, et l’évasion résonne comme une évidence. Bien longtemps que toi tu les as dompté, les évidences à peine audibles, quand t’anticipes mes défaillances, que je retombe entre tes mains, à chaque faux pas, tout juste parce que c’est toi. Toi tout entière, de l’enfer de tes gestes, à tes sarcasmes bruyants, oui ma tête fait des rebonds et tes yeux disent que tu mens. Et l’on brouillonne encore, les potes et moi, des esquisses maladroites, des à-peu-près de vies, la foire aux commencements, quand on découvre que même les grandes idées sont solubles dans le vin. La marche à suivre importe peu quand on préfère planer, rêver de toi jusqu’au matin, les corps à la dérive. Qu’on savait bien dès le début qu’il y aurait une fin. Et t’en dirais quoi toi, de faire halte chez moi ? J’ai pris le paradis d’assaut. Il fut un temps c’était New York, les rues blindées de béton noir, et les néons de ma salle de bain. Si t’avais bien voulu raser les murs de ma chambre, refaire trembler le monde de passions brise-pierres, juste plaquer ton cul sur l’email et le tissu, jouer sous mon poids à fermer les paupières. T’as vu qu’au lieu de ça, tu n’parles que de routes à se faire, oui d’horizons lointains, de décalages horaires. La science des actes manqués, c’est notre histoire d’amour, la pleine démesure des fossés qu’on creusait, en éventrant la terre avec nos propres ongles. J’ai laissé le paradis en lambeaux, c’était commode ainsi, à voir les anges pleurer, tes ailes dans l’incendie. Et t’en dirais quoi toi, de vouloir te venger ? Tu sais j’ai pris grand soin à laisser chaque trace, que le chemin soit marqué, j’ai effacé les regrets et mis des mots à la place. Tu sais j’ai pas perdu l’élan, que je prenne l’envol ou accélère la chute, c’est le manque qui me flingue, je me sens vivre à la lutte. C’est pour quand la revanche, celle des mots vides et des poings dans les cotes. Celle des baisers salés et des sourires en coin. C’est pour quand la tuerie du dimanche, celle des contes de couette et des numéros sur la main. Ce soir je dîne en terrasse, et toi, tu m’tues et puis tu t’casses.
kalexx Il y a 13 ans

Et t’en dirais quoi toi, de foutre le camp ?



J’ai froid en dedans, je bous littéralement, tes mots toxiques qui me percent la peau, et l’évasion résonne comme une évidence. Bien longtemps que toi tu les as dompté, les évidences à peine audibles, quand t’anticipes mes défaillances, que je retombe entre tes mains, à chaque faux pas, tout juste parce que c’est toi. Toi tout entière, de l’enfer de tes gestes, à tes sarcasmes bruyants, oui ma tête fait des rebonds et tes yeux disent que tu mens.



Et l’on brouillonne encore, les potes et moi, des esquisses maladroites, des à-peu-près de vies, la foire aux commencements, quand on découvre que même les grandes idées sont solubles dans le vin. La marche à suivre importe peu quand on préfère planer, rêver de toi jusqu’au matin, les corps à la dérive. Qu’on savait bien dès le début qu’il y aurait une fin.





Et t’en dirais quoi toi, de faire halte chez moi ?



J’ai pris le paradis d’assaut. Il fut un temps c’était New York, les rues blindées de béton noir, et les néons de ma salle de bain. Si t’avais bien voulu raser les murs de ma chambre, refaire trembler le monde de passions brise-pierres, juste plaquer ton cul sur l’email et le tissu, jouer sous mon poids à fermer les paupières.



T’as vu qu’au lieu de ça, tu n’parles que de routes à se faire, oui d’horizons lointains, de décalages horaires. La science des actes manqués, c’est notre histoire d’amour, la pleine démesure des fossés qu’on creusait, en éventrant la terre avec nos propres ongles. J’ai laissé le paradis en lambeaux, c’était commode ainsi, à voir les anges pleurer, tes ailes dans l’incendie.





Et t’en dirais quoi toi, de vouloir te venger ?



Tu sais j’ai pris grand soin à laisser chaque trace, que le chemin soit marqué, j’ai effacé les regrets et mis des mots à la place. Tu sais j’ai pas perdu l’élan, que je prenne l’envol ou accélère la chute, c’est le manque qui me flingue, je me sens vivre à la lutte.



C’est pour quand la revanche, celle des mots vides et des poings dans les cotes. Celle des baisers salés et des sourires en coin. C’est pour quand la tuerie du dimanche, celle des contes de couette et des numéros sur la main. Ce soir je dîne en terrasse, et toi, tu m’tues et puis tu t’casses.

parce que je chiale (presque heinpas tout a fait suis un bonhomme avec des coucougnettes) a cchque fois que je les relis. [url=http://www.desinvolt.fr/2010/04/19/369-le-petit-prince-qui-crachait-sur-la-couronne/]pourquoi je kiffe saez[/url] [url=http://www.desinvolt.fr/2010/01/11/269-mano-solo-rentre-au-port/]adieu Mano[/url]
Maitre Kaio Il y a 13 ans

parce que je chiale (presque heinpas tout a fait suis un bonhomme avec des coucougnettes) a cchque fois que je les relis.

pourquoi je kiffe saez
adieu Mano

c narcissique ca.
Maitre Kaio Il y a 13 ans

c narcissique ca.

[quote="Maitre Kaio" date="2011-04-28 16:31:51"]parce que je chiale (presque heinpas tout a fait suis un bonhomme avec des coucougnettes) a cchque fois que je les relis. [url=http://www.desinvolt.fr/2010/04/19/369-le-petit-prince-qui-crachait-sur-la-couronne/]pourquoi je kiffe saez[/url] [url=http://www.desinvolt.fr/2010/01/11/269-mano-solo-rentre-au-port/]adieu Mano[/url][/quote] Je souris bêtement moi :) comme une jeune pucelle devant son prince charmant au corps d'apollon :p enfin, je les aime bien ces articles sorti du plus profond de toi (et non de ton c..., je dois le préciser) et qui pue la nostalgie d'un temps où la musique nous faisait mouiller les yeux, et le peu qu'il reste nous mouille encore les yeux
Simo Il y a 13 ans

parce que je chiale (presque heinpas tout a fait suis un bonhomme avec des coucougnettes) a cchque fois que je les relis.

pourquoi je kiffe saez
adieu Mano


Je souris bêtement moi comme une jeune pucelle devant son prince charmant au corps d'apollon

enfin, je les aime bien ces articles sorti du plus profond de toi (et non de ton c..., je dois le préciser) et qui pue la nostalgie d'un temps où la musique nous faisait mouiller les yeux, et le peu qu'il reste nous mouille encore les yeux

Je ne vois pas pourquoi elle vous dérange ? Enviez vous sa différence ? ses vêtements ? sa franchise ? ses idées ? Ou bien .. Enviez vous sa souffrance ? A vous entendre parler elle n'est qu'une pauvre fille n'ayant compris le chemin à suivre. Mais quel chemin ? Celui que nous suivons tous ? Sans doute me parlerez vous de celui où la superficialité règne en maitre pour nous amener à nous ressembler tous, tel des clones, mais je doute que vous n'assumiez le fait de le suivre. Je comprends alors ce que vous ressentez. Vous enviez seulement l'originalité qu'elle est contrainte d'assumer quand vous ne vous souciez que du regard de l'autre. Moi, j'aime cette fille. Il m'arrive de lui parlé. Je peux alors vous certifiez que lorsque ses yeux sont cernés de noirs, ça n'est pas pour distinguer son regard, c'est essentiellement pour masquer les traits de l'insomnie qui demeurent sur son visage depuis déjà trop d'années. C'est triste, il y a tant de choses que vous ne comprenez pas en elle. Dois-je aussi vous expliquez que les cicatrices sur son poignet reflètent la souffrance qu'elle a pu ressentir en la perdant ? Qu'elles sont présentes uniquement dans l'espoir d'une aide apportée par cette personne qu'elle voudrait voir redescendre ? Et ses chaussures, vous me direz, énormes, noires, lourdes .. Si elles sont constamment agrippés à ses pieds, c'est qu'ils sont, tout comme son cœur, meurtris. Rares sont les pieds d'enfants ayant connu la dureté des routes raides, parsemés de pierres, et ouvertes sur une seule issue .. la mort. J'aimerais tellement que, désormais, cette fille ne sois plus regardé de travers, que l'on comprenne enfin que tout ce qu'elle dégage n'est que reflet de ses pensées. Aujourd'hui, seule des personnes comme elles peuvent être conscientes de la véritable valeur de la vie. Vous savez, votre argent, vos vertus, votre bon sens et vos traditions n'ont plus aucun sens pour elle.
Green-Punk Il y a 12 ans

Je ne vois pas pourquoi elle vous dérange ?
Enviez vous sa différence ? ses vêtements ? sa franchise ? ses idées ?
Ou bien .. Enviez vous sa souffrance ?
A vous entendre parler elle n'est qu'une pauvre fille n'ayant compris le chemin à suivre.
Mais quel chemin ? Celui que nous suivons tous ?
Sans doute me parlerez vous de celui où la superficialité règne en maitre pour nous amener à nous ressembler tous, tel des clones, mais je doute que vous n'assumiez le fait de le suivre. Je comprends alors ce que vous ressentez. Vous enviez seulement l'originalité qu'elle est contrainte d'assumer quand vous ne vous souciez que du regard de l'autre.
Moi, j'aime cette fille. Il m'arrive de lui parlé.
Je peux alors vous certifiez que lorsque ses yeux sont cernés de noirs, ça n'est pas pour distinguer son regard, c'est essentiellement pour masquer les traits de l'insomnie qui demeurent sur son visage depuis déjà trop d'années.
C'est triste, il y a tant de choses que vous ne comprenez pas en elle.
Dois-je aussi vous expliquez que les cicatrices sur son poignet reflètent la souffrance qu'elle a pu ressentir en la perdant ? Qu'elles sont présentes uniquement dans l'espoir d'une aide apportée par cette personne qu'elle voudrait voir redescendre ?
Et ses chaussures, vous me direz, énormes, noires, lourdes .. Si elles sont constamment agrippés à ses pieds, c'est qu'ils sont, tout comme son cœur, meurtris.
Rares sont les pieds d'enfants ayant connu la dureté des routes raides, parsemés de pierres, et ouvertes sur une seule issue .. la mort.
J'aimerais tellement que, désormais, cette fille ne sois plus regardé de travers, que l'on comprenne enfin que tout ce qu'elle dégage n'est que reflet de ses pensées.
Aujourd'hui, seule des personnes comme elles peuvent être conscientes de la véritable valeur de la vie.
Vous savez, votre argent, vos vertus, votre bon sens et vos traditions n'ont plus aucun sens pour elle.


il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.
Maitre Kaio Il y a 12 ans

il n'y a plus beau ciel bleu qu'après la tempête.

Pensée originale Peu banale Toute de velours et de soie Ma petite pensée sauvage Décore ton chez toi Contemporaine Elle pose en reine Sur ta table de chevet! Tu lis en elle, quelques pages Tu lies entre elles, quelques pétales Tu perds le fil de ma pensée... Pour refaire le monde Une pensée profonde De feu, de sang et d'or! Elle tourne, vole, jolie caracole Et j'enroule le fil qui la ramène A toi pour que tu t'y perdes encore... Une pensée si sage Malgré son chatoyant plumage Une pensée si douce Une pensée de soie et de velours Comme tes yeux, mon amour...
AnonymeIl y a 12 ans






Pensée originale
Peu banale
Toute de velours et de soie
Ma petite pensée sauvage
Décore ton chez toi

Contemporaine
Elle pose en reine
Sur ta table de chevet!
Tu lis en elle, quelques pages
Tu lies entre elles, quelques pétales
Tu perds le fil de ma pensée...

Pour refaire le monde
Une pensée profonde
De feu, de sang et d'or!
Elle tourne, vole, jolie caracole
Et j'enroule le fil qui la ramène
A toi pour que tu t'y perdes encore...

Une pensée si sage
Malgré son chatoyant plumage

Une pensée si douce

Une pensée de soie et de velours
Comme tes yeux, mon amour...






tiens c'est le printemps ici, ca refleurit.
Maitre Kaio Il y a 12 ans

tiens c'est le printemps ici, ca refleurit.