Facebook..en théorie un superbe outil. Pratique. Sympa.
Mais en réalité, c'est un désastre je trouve. Tout le monde cherche à combler le vide, à mettre des petits arbustes pour cacher le ravin à l'horizon.
Entre les petits soleils pour dire qu'un contact est de bonne humeur. Les pensées du jour, les pokes, les jeux de la ferme. Une mise en scène "via facebook mobile". Facebook est partout. Certains mettent des photos très personnelles dessus, de leur mômes, de leur soirées alcoolisées, etc... sans se rendre compte qu'en un clic, ces clichés peuvent se retrouver n'importe où. Une impudeur totale.
Le pire ce sont les anniversaires. Beaucoup en souhaitent sans se souvenir pour autant de la date, mais simplement parce qu'ils l'ont vu sur la page d'accueil. L'apparence encore et toujours.
Devenir fan de tout et de rien. Appartenir à des groupes débiles ou totalement choquant du style "en hommage aux victimes d'haïti". A gerber. Des "j'aime", des "commentaires" pour se laver la conscience, pour combler ce foutu vide. Mettre en scène sa solitude. La vie est une série en plusieurs épisodes.
On en est même arrivé au point où beaucoup sont "amis" avec leur frère, leur soeur ou leur mère. Amis avec des membres de la famille. 
' D'autres sont amis avec des gens qu'ils n'ont jamais vu.
Juste pour faire péter le compteur, pour étendre le réseau, se sentir moins seul. Au bout d'un moment, il y a un tel malaise vis à vis de facebook, que certains (dans mes ex contacts) sont obligés de changer de nom, c'est à dire qu'ils retirent leur vrai nom, et mettent un pseudo. Simplement parce qu'ils se rendent compte qu'ils sont devenus prisonniers de leur propre image. Ils sont effrayés par ce qu'ils sont devenus. C'est réellement effrayant je trouve.
L'importance que ce truc a pris.
J'ai une amie qui a 323 amis et qui était enceinte mais séparée du papa. Le jour de son accouchement elle y a été en RER ! Pas un seul des 323 amis n'étaient là. Combien l'ont appelé ensuite ? Une heure après l'accouchement, elle mettait déjà à jour son profil pour dire que la petite était née "via facebook mobile". Quarante deux commentaires, et 64 "j'aime". Combien de visites ?
Voilà, voilà, c'est juste le constat que j'ai fais. J'ai arrêté facebook. Je me sens mieux depuis.
"J'arrivais, mais j'ai croisé un canard, alors je l'ai suivi..."
Merci à Facebook qui m'apprend des belles excuses 
Vous avez entendu la petite histoire d'un homme qui s'est fait prendre par les flics à cause de facebook? Il a cambriolé une maison et en a profité pour faire un tour sur facebook,sans quitter sa session avant de partir... ( je ne sais pas si quelqu'un l'a raconté auparavant,mais un peu la flemme de me faire les 13 pages.. )
J'avais pas encore lu cette histoire
Facebook..en théorie un superbe outil. Pratique. Sympa.
Mais en réalité, c'est un désastre je trouve. Tout le monde cherche à combler le vide, à mettre des petits arbustes pour cacher le ravin à l'horizon.
Entre les petits soleils pour dire qu'un contact est de bonne humeur. Les pensées du jour, les pokes, les jeux de la ferme. Une mise en scène "via facebook mobile". Facebook est partout. Certains mettent des photos très personnelles dessus, de leur mômes, de leur soirées alcoolisées, etc... sans se rendre compte qu'en un clic, ces clichés peuvent se retrouver n'importe où. Une impudeur totale.
Le pire ce sont les anniversaires. Beaucoup en souhaitent sans se souvenir pour autant de la date, mais simplement parce qu'ils l'ont vu sur la page d'accueil. L'apparence encore et toujours.
Devenir fan de tout et de rien. Appartenir à des groupes débiles ou totalement choquant du style "en hommage aux victimes d'haïti". A gerber. Des "j'aime", des "commentaires" pour se laver la conscience, pour combler ce foutu vide. Mettre en scène sa solitude. La vie est une série en plusieurs épisodes.
On en est même arrivé au point où beaucoup sont "amis" avec leur frère, leur soeur ou leur mère. Amis avec des membres de la famille.
Juste pour faire péter le compteur, pour étendre le réseau, se sentir moins seul. Au bout d'un moment, il y a un tel malaise vis à vis de facebook, que certains (dans mes ex contacts) sont obligés de changer de nom, c'est à dire qu'ils retirent leur vrai nom, et mettent un pseudo. Simplement parce qu'ils se rendent compte qu'ils sont devenus prisonniers de leur propre image. Ils sont effrayés par ce qu'ils sont devenus. C'est réellement effrayant je trouve.
L'importance que ce truc a pris.
J'ai une amie qui a 323 amis et qui était enceinte mais séparée du papa. Le jour de son accouchement elle y a été en RER
Voilà, voilà, c'est juste le constat que j'ai fais. J'ai arrêté facebook. Je me sens mieux depuis.
Je suis bien d'accord.
Néanmoins, ça à au moins le mérite de prouver un truc; le style de vie actuelle est quand même très pauvre, et la solitude des existences actuelles est vraiment fâcheuse. A voir à quel point les gens se raccrochent à ce genre de chose que tu as décrites, à quelle point ils peinent à être écoutés et à quelle point ils en auraient besoin, c'est déprimant.
A la limite, être inscrit sur facebook, c'est pas forcément ridicule (j'y suis pas perso) mais par contre, y'a des utilisations vraiment absurde et dangereuse.
Bien envie de réactiver mon compte juste pour ça. Niark.
"Découverte bizarre du jour : si vous tapez un mot dans facebook (dans un commentaire, statut etc) qui s'avère être le même que votre mot de passe et que vous cliquez sur "Partagez", Facebook remplacera automatiquement ce mot par des astérisques pour protéger votre compte. Laissez-moi vous montrer : mon mot de passe est ******** !"
Ensuite un "complice" commente la publication et fait croire que ça marche, puis tout les pigeons suivent ;o
[message inutile on] Wah, même sans parler un mot d'anglais (ou presque), j'ai réussi à comprendre le principe du truc. [message inutile off/]
