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AnonymeIl y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

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xeladu Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

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xeladu Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

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Alizée Il y a 10 ans

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adipi-le-malin-phoque Il y a 10 ans

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xeladu Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans



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Alizée Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

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adipi-le-malin-phoque Il y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés
Alizée Il y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, comme le fléau venant tout emporter, Edit : mince la boulette...dsl *Va se cacher au fond d'un puit*
Oror Il y a 10 ans

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, comme le fléau venant tout emporter,

Edit : mince la boulette...dsl *Va se cacher au fond d'un puit*

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts @oror on est à la page 41 du topic et pas à la page 1! Bon cadavre
AnonymeIl y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts

Oror on est à la page 41 du topic et pas à la page 1! Bon cadavre

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus
Alizée Il y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes
AnonymeIl y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées
Alizée Il y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte
AnonymeIl y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes
Alizée Il y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes

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AnonymeIl y a 10 ans

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Alizée Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes de terre encore vivantes et saignantes

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes de terre encore vivantes et saignantes comme un cochon égorgé
Alizée Il y a 10 ans

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AnonymeIl y a 10 ans

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes de terre encore vivantes et saignantes comme un cochon égorgé sous la chaleur estivale.

Bientôt l'automne
AnonymeIl y a 10 ans

Bientôt l'automne

Bientôt l'automne et la fin des moustiques
Alizée Il y a 10 ans

Bientôt l'automne et la fin des moustiques

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges
AnonymeIl y a 10 ans

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges