Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien
caféine Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux
zaberlo Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux

silliconésMaitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés
CALIPADO Il y a 10 ans

silliconésMaitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc
AnonymeIl y a 10 ans



Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût
jej33 Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2
AnonymeIl y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial
slinteur Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air
Alizée Il y a 10 ans

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air