Be my princess, be my perfect world ! Autour de moi les fous sont tous condamnés, Ils pensent être menacés mais libres, ils sont usés Ils me prennent pour un jeune et con, Mais moi j’ai la solution, joli cœur, à ton nom ! Depuis que tu es montée là-haut je suis un étranger Et Saint Petersbourg, Miami, Varsovie et l’Alhambra Me rappelle que tout est noir et que je meurs de toi Comme une ombre, échoué, sur le quai Au crépuscule je veux m’en aller, vers mon soleil, 2000 Betty, Marie ou Kasia et même Marta Ne pourraient me suivre à Chatillon sur Seine Car même les infidèles on une Lula Ces derniers jours étranges je me sens céleste Un peu dans le gaz, comme sur une planche à roulettes Et je cherche encore, j’accuse et je suis perdu Mais dis moi à nos amours, que sont elles devenues ? Dans le bleu de l’absinthe j’hallucine Je suis perdu et je regarde les filles pleurer Dans des marées d’écumes et les cours de lycée Mais si tu sais, Marie ou Marilyn Alors viens ma ptite couturière, soyons rois demain Aux encres des amours, devenons clandestins Et vivons la fin des mondes, parcourons les bars du port Sur un tricycle jaune, au printemps, car voici la mort Ecrases ta cigarette et craches ta pillule je suis le christ Pour sauver cette étoile je serais ton petit prince C’est sur qu’il faut s’oublier mais soyons magnifiques Car les hommes, ceux qui sont en laisse se croient anéanti Mais laisse les s’en aller, sinon je suis perdu Que je puisse leur dire : putain vous m’aurez plus Quand on perd son amour que tout est noir On s’endort sur des braises, vers l’abattoir Et si toi tu dis que t’es bien sans moi Pour aller à Messine ou Rochechouart Que je ne sois ton légionnaire Tu deviendrais ma meurtrière Alors deviens ma funny Valentine, my Justine
lolosaezien Il y a 7 ans

Be my princess, be my perfect world !

Autour de moi les fous sont tous condamnés,
Ils pensent être menacés mais libres, ils sont usés
Ils me prennent pour un jeune et con,
Mais moi j’ai la solution, joli cœur, à ton nom !

Depuis que tu es montée là-haut je suis un étranger
Et Saint Petersbourg, Miami, Varsovie et l’Alhambra
Me rappelle que tout est noir et que je meurs de toi
Comme une ombre, échoué, sur le quai

Au crépuscule je veux m’en aller, vers mon soleil,
2000 Betty, Marie ou Kasia et même Marta
Ne pourraient me suivre à Chatillon sur Seine
Car même les infidèles on une Lula

Ces derniers jours étranges je me sens céleste
Un peu dans le gaz, comme sur une planche à roulettes
Et je cherche encore, j’accuse et je suis perdu
Mais dis moi à nos amours, que sont elles devenues ?

Dans le bleu de l’absinthe j’hallucine
Je suis perdu et je regarde les filles pleurer
Dans des marées d’écumes et les cours de lycée
Mais si tu sais, Marie ou Marilyn

Alors viens ma ptite couturière, soyons rois demain
Aux encres des amours, devenons clandestins
Et vivons la fin des mondes, parcourons les bars du port
Sur un tricycle jaune, au printemps, car voici la mort

Ecrases ta cigarette et craches ta pillule je suis le christ
Pour sauver cette étoile je serais ton petit prince
C’est sur qu’il faut s’oublier mais soyons magnifiques
Car les hommes, ceux qui sont en laisse se croient anéanti
Mais laisse les s’en aller, sinon je suis perdu
Que je puisse leur dire : putain vous m’aurez plus

Quand on perd son amour que tout est noir
On s’endort sur des braises, vers l’abattoir
Et si toi tu dis que t’es bien sans moi
Pour aller à Messine ou Rochechouart
Que je ne sois ton légionnaire
Tu deviendrais ma meurtrière
Alors deviens ma funny Valentine, my Justine

J’étais assis, posé sur les marches du devenir, me sentant utile mais futil Un peu homme perdu dans le monde, avec des actions insensées et inutiles Lorsqu’à l’apogée de la voie lactée, nos pensées devenues périgées Depuis toi, mon ange de beauté, mon étoile bleue et ma désirée On peut penser bizarre, étrange, comme ce rhinocéros qui passe Et que l’homme rend féroce, car c’est bien lui la menace On peut penser plus loin, à des voyages intergalactiques Toi dans mon âme, moi dans la tienne, connexion quantique Je voudrais t’écrire, te décrire, me construire autour de nous Puisque tout m’attire vers toi, puisque tu m’as rendu fou Mélange savoureux de désir, de rires, de compréhension Et qu’un jour, avant la fin du monde nous nous évaderons
lolosaezien Il y a 7 ans

J’étais assis, posé sur les marches du devenir, me sentant utile mais futil
Un peu homme perdu dans le monde, avec des actions insensées et inutiles
Lorsqu’à l’apogée de la voie lactée, nos pensées devenues périgées
Depuis toi, mon ange de beauté, mon étoile bleue et ma désirée

On peut penser bizarre, étrange, comme ce rhinocéros qui passe
Et que l’homme rend féroce, car c’est bien lui la menace
On peut penser plus loin, à des voyages intergalactiques
Toi dans mon âme, moi dans la tienne, connexion quantique

Je voudrais t’écrire, te décrire, me construire autour de nous
Puisque tout m’attire vers toi, puisque tu m’as rendu fou
Mélange savoureux de désir, de rires, de compréhension
Et qu’un jour, avant la fin du monde nous nous évaderons

4000 Muse Du bout de mes doigts mille fois je pense à toi Tu remplis mes pensées, fait mon esprit s’évader Vers le soleil, les étoiles, la voie lactée A tes lèvres je rêve, à ton sourire je crois Que tes beaux yeux vont m’illuminés cette route Eclairés de ta lumière mon âme en déroute Qui errait, désabusé et désorienté Pointe vers moi, pour avenir l’éternité Déesse, que ton corps m’inspire mille vers Et qu’importe la couleur, pourvu que tu sois Près de moi, à regarder notre belle terre A écouter ma folie, sentir mon émoi Princesse, tu as mis l’intérêt de mon être A te plaire, te courtiser et te défaire De tes chaînes te délier et des miennes Te lier, accrochés nous deux devant la scène A jouer notre pièce, surtout pas d’œillets Car moi ce sont des roses que je t’offrirais
lolosaezien Il y a 7 ans

4000 Muse

Du bout de mes doigts mille fois je pense à toi
Tu remplis mes pensées, fait mon esprit s’évader
Vers le soleil, les étoiles, la voie lactée
A tes lèvres je rêve, à ton sourire je crois

Que tes beaux yeux vont m’illuminés cette route
Eclairés de ta lumière mon âme en déroute
Qui errait, désabusé et désorienté
Pointe vers moi, pour avenir l’éternité

Déesse, que ton corps m’inspire mille vers
Et qu’importe la couleur, pourvu que tu sois
Près de moi, à regarder notre belle terre
A écouter ma folie, sentir mon émoi

Princesse, tu as mis l’intérêt de mon être
A te plaire, te courtiser et te défaire
De tes chaînes te délier et des miennes
Te lier, accrochés nous deux devant la scène
A jouer notre pièce, surtout pas d’œillets
Car moi ce sont des roses que je t’offrirais

^^ joli c'est pour la Saint-Valentin ?
bibounie Il y a 7 ans

joli
c'est pour la Saint-Valentin ?

Ce n'était pas spécialement pour la saint Valentin C'était mes pensées pour mon amazone, au quotidien Car lorsque ses yeux s'ouvrent et éclairent de sa lumière Ce monde en feu, je frissonne d'elle, elle est ma terre
lolosaezien Il y a 7 ans

Ce n'était pas spécialement pour la saint Valentin
C'était mes pensées pour mon amazone, au quotidien
Car lorsque ses yeux s'ouvrent et éclairent de sa lumière
Ce monde en feu, je frissonne d'elle, elle est ma terre

Le manque Ce matin il est venu comme une évidence Me rappelant mes sentiments, divine chance De le sentir en mon être, parfum d’errance Comme un membre fantôme, mais quelle arrogance De penser qu’il est doux de l’avoir en soi-même De sentir le feu à nos tempes, dans nos veines Et pourtant bien loin d’en finir glacial et blême Je le chéri ma chérie car il nous emmène Plein de hautes lueurs, de magnifiques espoirs Sur le rail d’un aller, d’une allée sans retour Sans lui nul besoin de s’entêter, de vouloir Y croire, en vers et contre tout, notre tour Commence par lui c’est ainsi, c’est un signe Un commencement, une mélodie enivrante Une explosion gigantesque qui me résigne A toi, à nous, à trois, c’est bon que tu me hantes Alors laissons le faire son œuvre, qu’il nous inonde Et qu’il finisse par nous rapprocher telles deux ondes Que nos crêtes s’additionnent comme deux corps Jusqu’à ses limites, infinies et remplies d’or
lolosaezien Il y a 7 ans

Le manque

Ce matin il est venu comme une évidence
Me rappelant mes sentiments, divine chance
De le sentir en mon être, parfum d’errance
Comme un membre fantôme, mais quelle arrogance
De penser qu’il est doux de l’avoir en soi-même
De sentir le feu à nos tempes, dans nos veines
Et pourtant bien loin d’en finir glacial et blême
Je le chéri ma chérie car il nous emmène
Plein de hautes lueurs, de magnifiques espoirs
Sur le rail d’un aller, d’une allée sans retour
Sans lui nul besoin de s’entêter, de vouloir
Y croire, en vers et contre tout, notre tour
Commence par lui c’est ainsi, c’est un signe
Un commencement, une mélodie enivrante
Une explosion gigantesque qui me résigne
A toi, à nous, à trois, c’est bon que tu me hantes
Alors laissons le faire son œuvre, qu’il nous inonde
Et qu’il finisse par nous rapprocher telles deux ondes
Que nos crêtes s’additionnent comme deux corps
Jusqu’à ses limites, infinies et remplies d’or

[quote="lolosaezien"]Be my princess, be my perfect world ! Autour de moi les fous sont tous condamnés, Ils pensent être menacés mais libres, ils sont usés Ils me prennent pour un jeune et con, Mais moi j’ai la solution, joli cœur, à ton nom ! Depuis que tu es montée là-haut je suis un étranger Et Saint Petersbourg, Miami, Varsovie et l’Alhambra Me rappelle que tout est noir et que je meurs de toi Comme une ombre, échoué, sur le quai Au crépuscule je veux m’en aller, vers mon soleil, 2000 Betty, Marie ou Kasia et même Marta Ne pourraient me suivre à Chatillon sur Seine Car même les infidèles on une Lula Ces derniers jours étranges je me sens céleste Un peu dans le gaz, comme sur une planche à roulettes Et je cherche encore, j’accuse et je suis perdu Mais dis moi à nos amours, que sont elles devenues ? Dans le bleu de l’absinthe j’hallucine Je suis perdu et je regarde les filles pleurer Dans des marées d’écumes et les cours de lycée Mais si tu sais, Marie ou Marilyn Alors viens ma ptite couturière, soyons rois demain Aux encres des amours, devenons clandestins Et vivons la fin des mondes, parcourons les bars du port Sur un tricycle jaune, au printemps, car voici la mort Ecrases ta cigarette et craches ta pillule je suis le christ Pour sauver cette étoile je serais ton petit prince C’est sur qu’il faut s’oublier mais soyons magnifiques Car les hommes, ceux qui sont en laisse se croient anéanti Mais laisse les s’en aller, sinon je suis perdu Que je puisse leur dire : putain vous m’aurez plus Quand on perd son amour que tout est noir On s’endort sur des braises, vers l’abattoir Et si toi tu dis que t’es bien sans moi Pour aller à Messine ou Rochechouart Que je ne sois ton légionnaire Tu deviendrais ma meurtrière Alors deviens ma funny Valentine, my Justine[/quote] Salut, je trouve ta mosaïque magnifique, Merci du partage. J'aime aussi beaucoup tes textes, ils sont profond.
AnonymeIl y a 7 ans





Be my princess, be my perfect world !

Autour de moi les fous sont tous condamnés,
Ils pensent être menacés mais libres, ils sont usés
Ils me prennent pour un jeune et con,
Mais moi j’ai la solution, joli cœur, à ton nom !

Depuis que tu es montée là-haut je suis un étranger
Et Saint Petersbourg, Miami, Varsovie et l’Alhambra
Me rappelle que tout est noir et que je meurs de toi
Comme une ombre, échoué, sur le quai

Au crépuscule je veux m’en aller, vers mon soleil,
2000 Betty, Marie ou Kasia et même Marta
Ne pourraient me suivre à Chatillon sur Seine
Car même les infidèles on une Lula

Ces derniers jours étranges je me sens céleste
Un peu dans le gaz, comme sur une planche à roulettes
Et je cherche encore, j’accuse et je suis perdu
Mais dis moi à nos amours, que sont elles devenues ?

Dans le bleu de l’absinthe j’hallucine
Je suis perdu et je regarde les filles pleurer
Dans des marées d’écumes et les cours de lycée
Mais si tu sais, Marie ou Marilyn

Alors viens ma ptite couturière, soyons rois demain
Aux encres des amours, devenons clandestins
Et vivons la fin des mondes, parcourons les bars du port
Sur un tricycle jaune, au printemps, car voici la mort

Ecrases ta cigarette et craches ta pillule je suis le christ
Pour sauver cette étoile je serais ton petit prince
C’est sur qu’il faut s’oublier mais soyons magnifiques
Car les hommes, ceux qui sont en laisse se croient anéanti
Mais laisse les s’en aller, sinon je suis perdu
Que je puisse leur dire : putain vous m’aurez plus

Quand on perd son amour que tout est noir
On s’endort sur des braises, vers l’abattoir
Et si toi tu dis que t’es bien sans moi
Pour aller à Messine ou Rochechouart
Que je ne sois ton légionnaire
Tu deviendrais ma meurtrière
Alors deviens ma funny Valentine, my Justine




Salut, je trouve ta mosaïque magnifique, Merci du partage.

J'aime aussi beaucoup tes textes, ils sont profond.

Merci à toi, c'est gentil :)
lolosaezien Il y a 7 ans

Merci à toi, c'est gentil

4000 Muse Du bout de mes doigts mille fois je pense à toi Tu remplis mes pensées, fait mon esprit s’évader Vers le soleil, les étoiles, la voie lactée A tes lèvres je rêve, à ton sourire je crois Que tes beaux yeux vont m’illuminés cette route Eclairé de ta lumière mon âme en déroute Qui errait, désabusé et désorienté Pointe vers moi, pour avenir l’éternité Déesse, que ton corps m’inspire mille vers Et qu’importe la couleur, pourvu que tu sois Près de moi, à regarder notre belle terre A écouter ma folie, sentir mon émoi Princesse, tu as mis l’intérêt de mon être A te plaire, te courtiser et te défaire De tes chaînes te délier et des miennes Te lier, accrochés nous deux devant la scène A jouer notre pièce, surtout pas d’œillets Car moi ce sont des roses que je t’offrirais
lolosaezien Il y a 7 ans

4000 Muse

Du bout de mes doigts mille fois je pense à toi
Tu remplis mes pensées, fait mon esprit s’évader
Vers le soleil, les étoiles, la voie lactée
A tes lèvres je rêve, à ton sourire je crois

Que tes beaux yeux vont m’illuminés cette route
Eclairé de ta lumière mon âme en déroute
Qui errait, désabusé et désorienté
Pointe vers moi, pour avenir l’éternité

Déesse, que ton corps m’inspire mille vers
Et qu’importe la couleur, pourvu que tu sois
Près de moi, à regarder notre belle terre
A écouter ma folie, sentir mon émoi

Princesse, tu as mis l’intérêt de mon être
A te plaire, te courtiser et te défaire
De tes chaînes te délier et des miennes
Te lier, accrochés nous deux devant la scène
A jouer notre pièce, surtout pas d’œillets
Car moi ce sont des roses que je t’offrirais

Rencontre Je l’ai rencontré il y a maintenant quelques semaines Au bout du monde, sous sa forme délicate et humaine Elle était là au milieu de la place, seule à m’imaginer Moi sur la route, faisant de même et à tant espérer Qu’on se plairait, comme dans nos écris et nos pensées Par connexion je l’ai trouvé, par envie de la découvrir Je suis tombé sur elle sans nul besoin d’être orienté Je suis tombé pour elle, elle a su de nouveau me faire pâlir Me faire vibrer, me sentir libre et lion, me faire rugir Point d’illusions quant à mes frissons, ils sont incontrôlables Et délicieusement vibratoires, comme les vagues à la surface Du globe oculaire, de ses yeux dont je ne me lasse De tout son corps divinement exquis, un vrai poème, une fable Elle m’inspire tant de folies, de désirs et d’avenirs partagés De voyages, de subtils instants de nos deux, à s’adorer A faire la vie plus belle, à écrire les lignes du quotidien De nos échanges, de grandes idées de ces petits riens De nos âmes emmêlées et de nos corps entrelacés Pour s’unir et s’aimer, s’attirer tels deux aimants opposés Tels deux amants parallèles, non plus clandestins mais fidèles A l’un de l’autre, à l’autre pour l’un, pour se sublimer Et combattre le temps et la distance comme obstacles A la fréquence de leurs émois, à l’orage de leur désunion Aux larmes du sacré, pour de nouveau défier l’oracle Et se retrouver chaque fois plus forts, remplis d’adoration De moi pour elle, de nos pensées partagées, de nos jours De devenir à venir, à parcourir notre mère la Terre Et sentir nos pieds la fouler, nos cœurs battre pour toujours Etre simplement de nous deux, faire cogner nos verres Faire rimer nos vies, être sans raison et sans freins Enfreindre les règles, se sentir libres et sans emprunts S’aimer de nous, s’aimer de tout, debout et à terre
lolosaezien Il y a 7 ans

Rencontre

Je l’ai rencontré il y a maintenant quelques semaines
Au bout du monde, sous sa forme délicate et humaine
Elle était là au milieu de la place, seule à m’imaginer
Moi sur la route, faisant de même et à tant espérer
Qu’on se plairait, comme dans nos écris et nos pensées
Par connexion je l’ai trouvé, par envie de la découvrir
Je suis tombé sur elle sans nul besoin d’être orienté
Je suis tombé pour elle, elle a su de nouveau me faire pâlir
Me faire vibrer, me sentir libre et lion, me faire rugir
Point d’illusions quant à mes frissons, ils sont incontrôlables
Et délicieusement vibratoires, comme les vagues à la surface
Du globe oculaire, de ses yeux dont je ne me lasse
De tout son corps divinement exquis, un vrai poème, une fable
Elle m’inspire tant de folies, de désirs et d’avenirs partagés
De voyages, de subtils instants de nos deux, à s’adorer
A faire la vie plus belle, à écrire les lignes du quotidien
De nos échanges, de grandes idées de ces petits riens
De nos âmes emmêlées et de nos corps entrelacés
Pour s’unir et s’aimer, s’attirer tels deux aimants opposés
Tels deux amants parallèles, non plus clandestins mais fidèles
A l’un de l’autre, à l’autre pour l’un, pour se sublimer
Et combattre le temps et la distance comme obstacles
A la fréquence de leurs émois, à l’orage de leur désunion
Aux larmes du sacré, pour de nouveau défier l’oracle
Et se retrouver chaque fois plus forts, remplis d’adoration
De moi pour elle, de nos pensées partagées, de nos jours
De devenir à venir, à parcourir notre mère la Terre
Et sentir nos pieds la fouler, nos cœurs battre pour toujours
Etre simplement de nous deux, faire cogner nos verres
Faire rimer nos vies, être sans raison et sans freins
Enfreindre les règles, se sentir libres et sans emprunts
S’aimer de nous, s’aimer de tout, debout et à terre

Espace Il s’étend à l’infini, au-delà du visible de nos pensées Il est indescriptible, omniscient, me fait divaguer Jusqu’à toi, quand je le traverse, collé au dessus de mon fauteuil Comme un chewing-gum au dessous, comme un œil Absurde je sais comme comparaison mais tu sais C’était juste pour la rime, pour la frime, ma dulcinée Mon espace c’est ton univers, c’est ton corps tremblant C’est ton cœur qui saigne, ce sont tes battements De cœur mon cœur, alors à tout à l’heure, qu’il se contracte Par la masse de mon envie pour toi, c’est l’entracte
lolosaezien Il y a 7 ans

Espace
Il s’étend à l’infini, au-delà du visible de nos pensées
Il est indescriptible, omniscient, me fait divaguer
Jusqu’à toi, quand je le traverse, collé au dessus de mon fauteuil
Comme un chewing-gum au dessous, comme un œil
Absurde je sais comme comparaison mais tu sais
C’était juste pour la rime, pour la frime, ma dulcinée
Mon espace c’est ton univers, c’est ton corps tremblant
C’est ton cœur qui saigne, ce sont tes battements
De cœur mon cœur, alors à tout à l’heure, qu’il se contracte
Par la masse de mon envie pour toi, c’est l’entracte