Des hommes sans femmes. Haruki Murakami ... juste à lire... ou pas. :)
AnonymeIl y a 5 ans

Des hommes sans femmes.
Haruki Murakami

... juste à lire... ou pas.

Présentation : Babu Khayyam, jeune homme, a le sentiment d’avoir égaré son âme dans les méandres d’une vie trop dispersée. Il rencontre alors celui qu’il sera devenu dans six ou sept décennies. Ce lui-même en devenir lui propose alors, en une quinzaine de courts chapitres, autant de voies, de pistes pour renouer un contact vibrant avec la partie la plus tendre de son être, la plus insoumise mais la plus vivante, nue, assoiffée, amoureuse. Notre époque nous enseigne la modération, la limite et la soumission. Mais notre âme, organe de la beauté, de l’émerveillement, demeure ce que nous possédons de plus joyeux. Notre âme est en rapport direct avec l’élan de vivre, l’ardeur, la ferveur, parfois l’exagération. Loin des religions qui soumettent, des diktats qui enferment, elle est le premier instrument de la liberté. Désirante, fougueuse, juvénile infiniment. Le volcan intérieur oublié ? http://www.editions-parole.net/produit/declaration-des-droits-de-lame-insoumise-et-joyeuse/ Quelques-uns des Droits de l’Âme suggérés : le droit à la fugue, le droit à la beauté et au vertige, le droit à l’anomalie, le droit à la solitude, le droit au simple, le droit à la Royauté, le droit à la rencontre amoureuse…
AnonymeIl y a 5 ans

Présentation :

Babu Khayyam, jeune homme, a le sentiment d’avoir égaré son âme dans les méandres d’une vie trop dispersée. Il rencontre alors celui qu’il sera devenu dans six ou sept décennies. Ce lui-même en devenir lui propose alors, en une quinzaine de courts chapitres, autant de voies, de pistes pour renouer un contact vibrant avec la partie la plus tendre de son être, la plus insoumise mais la plus vivante, nue, assoiffée, amoureuse.

Notre époque nous enseigne la modération, la limite et la soumission. Mais notre âme, organe de la beauté, de l’émerveillement, demeure ce que nous possédons de plus joyeux. Notre âme est en rapport direct avec l’élan de vivre, l’ardeur, la ferveur, parfois l’exagération. Loin des religions qui soumettent, des diktats qui enferment, elle est le premier instrument de la liberté. Désirante, fougueuse, juvénile infiniment. Le volcan intérieur oublié ?

http://www.editions-parole.net/produit/declaration-des-droits-de-lame-insoumise-et-joyeuse/

Quelques-uns des Droits de l’Âme suggérés : le droit à la fugue, le droit à la beauté et au vertige, le droit à l’anomalie, le droit à la solitude, le droit au simple, le droit à la Royauté, le droit à la rencontre amoureuse…

si vous ne l'avez jamais lu, voilà un résumé un peu libre https://www.youtube.com/watch?time_continue=176&v=sdETSsEk1-g je ne connaissais pas Les Boloss, je viens de découvrir je vous en conseille quand même la lecture
Eléa Il y a 5 ans

si vous ne l'avez jamais lu, voilà un résumé un peu libre

https://www.youtube.com/watch?time_continue=176&v=sdETSsEk1-g

je ne connaissais pas Les Boloss, je viens de découvrir

je vous en conseille quand même la lecture

Je ne sais pas trop où mettre cette vidéo un peu vieille, mais découverte il y a peu. Alors comme elle concerne tous les livres .... Attention : en espagnol, sous-titré anglais (plutôt facile dans les deux langues) : https://www.youtube.com/watch?v=YhcPX1wVp38
Ema Il y a 4 ans

Je ne sais pas trop où mettre cette vidéo un peu vieille, mais découverte il y a peu. Alors comme elle concerne tous les livres ....
Attention : en espagnol, sous-titré anglais (plutôt facile dans les deux langues) :


https://www.youtube.com/watch?v=YhcPX1wVp38

En attendant Bojangles * roman d'Olivier Bourdeaut [img]http://pix.toile-libre.org/upload/thumb/1569242033.jpg[/img] * BD de Ingrid Chabbert et Carole Maurel [img]http://pix.toile-libre.org/upload/thumb/1569242083.jpg[/img] Le hasard crée parfois des associations surprenantes. Quelques jours après avoir découvert l'adaptation BD du roman, une amie m'envoie le poche du roman. Elle savait qu'il ne pouvait que me plaire. Elle avait raison. L'histoire (en bref) : un petit garçon raconte sa famille fantasque avec le détachement propre à l'évocation de la normalité. Papa a été chasseur de mouches au harpon avant de devenir ouvreur de garages ; maman danse, boit des cocktails et transforme chaque jour en une féerie faite tant de de bouts de ficelles que de bulles de champagne. Le meilleur ami est un sénateur appelé L'Ordure, et un échassier fait office d'animal domestique. Mais surtout, il raconte l'amour fou que se portent le père et la mère, peut-être parce que, comme il l'apprendra, maman est « déménagée du ciboulot » et que papa aime cette folie douce. Mais petit à petit le réel vient grignoter l'insouciance familiale et la maladie emportera tout sur son passage. Dit comme ça, c'est déprimant. Mais le choix de la narration par l'enfant autorise une légèreté pas factice, car le narrateur évoque les plaisirs qu'un enfant peut tirer de la situation : absence d'école et plus largement, absence de contraintes, trampoline sur les lits, fiesta quotidienne, c'est encore plus fun qu'à Summerhill ! Il ne s'agit pourtant pas de laisser-aller mais d'un choix de vie, quasiment une éthique : faire de chaque jour un jour unique, comme si c'était le premier ou comme si c'était le dernier, fuir la banalité, s'élever en quelque sorte. Il y a une sorte de jusqu'au boutisme éminemment poétique dans la démarche des parents que retranscrit l'enfant à grands coups de calembours et de distorsions. Et c'est cette collision entre la banalité du vivant (tels ces pages rédigés par le père qui apparaissent au cours du récit), et la poésie qu'en fait cette famille qui construit cette fable entre légèreté et gravité. Ça se lit à toute vitesse et c'est bon signe. L'adaptation en BD est très fidèle au roman.....mais lui manque le point de vue narratif de l'enfant qui offre une distanciation qui ajoute au charme. Néanmoins, le dessin où crayonnés et encrages se superposent dans des couleurs délicates, judicieusement émaillé de trames multiples, dégage une grâce qui permet aux lectures de la BD et du roman de ne pas se heurter. Au contraire « ce qui est occulté ne manque pas, ce qui est ajouté ne jure pas, bien au contraire, cela correspond aux couleurs et aux reliefs de mon imagination »,dixit O Bourdeaut en préface de la BD [img]http://pix.toile-libre.org/upload/img/1569242169.jpg[/img] En résumé, deux lectures qui se complètent, même si je suis contente d'avoir commencé par la BD.
Ema Il y a 4 ans

En attendant Bojangles
* roman d'Olivier Bourdeaut

* BD de Ingrid Chabbert et Carole Maurel


Le hasard crée parfois des associations surprenantes. Quelques jours après avoir découvert l'adaptation BD du roman, une amie m'envoie le poche du roman. Elle savait qu'il ne pouvait que me plaire. Elle avait raison.

L'histoire (en bref) : un petit garçon raconte sa famille fantasque avec le détachement propre à l'évocation de la normalité. Papa a été chasseur de mouches au harpon avant de devenir ouvreur de garages ; maman danse, boit des cocktails et transforme chaque jour en une féerie faite tant de de bouts de ficelles que de bulles de champagne. Le meilleur ami est un sénateur appelé L'Ordure, et un échassier fait office d'animal domestique.
Mais surtout, il raconte l'amour fou que se portent le père et la mère, peut-être parce que, comme il l'apprendra, maman est « déménagée du ciboulot » et que papa aime cette folie douce. Mais petit à petit le réel vient grignoter l'insouciance familiale et la maladie emportera tout sur son passage.

Dit comme ça, c'est déprimant. Mais le choix de la narration par l'enfant autorise une légèreté pas factice, car le narrateur évoque les plaisirs qu'un enfant peut tirer de la situation : absence d'école et plus largement, absence de contraintes, trampoline sur les lits, fiesta quotidienne, c'est encore plus fun qu'à Summerhill ! Il ne s'agit pourtant pas de laisser-aller mais d'un choix de vie, quasiment une éthique : faire de chaque jour un jour unique, comme si c'était le premier ou comme si c'était le dernier, fuir la banalité, s'élever en quelque sorte.
Il y a une sorte de jusqu'au boutisme éminemment poétique dans la démarche des parents que retranscrit l'enfant à grands coups de calembours et de distorsions. Et c'est cette collision entre la banalité du vivant (tels ces pages rédigés par le père qui apparaissent au cours du récit), et la poésie qu'en fait cette famille qui construit cette fable entre légèreté et gravité.

Ça se lit à toute vitesse et c'est bon signe.

L'adaptation en BD est très fidèle au roman.....mais lui manque le point de vue narratif de l'enfant qui offre une distanciation qui ajoute au charme.
Néanmoins, le dessin où crayonnés et encrages se superposent dans des couleurs délicates, judicieusement émaillé de trames multiples, dégage une grâce qui permet aux lectures de la BD et du roman de ne pas se heurter. Au contraire « ce qui est occulté ne manque pas, ce qui est ajouté ne jure pas, bien au contraire, cela correspond aux couleurs et aux reliefs de mon imagination »,dixit O Bourdeaut en préface de la BD

En résumé, deux lectures qui se complètent, même si je suis contente d'avoir commencé par la BD.

Carlos Ruiz Zafón et c'est tout. Le reste, que du blabla.
John Loudon McAdam Il y a 4 ans

Carlos Ruiz Zafón et c'est tout.
Le reste, que du blabla.