Je ne veux pas de la pitié mais du sexe, Je veux qu'on soit sans pitié,qu'on exerce, Du sombre et des éclairs ,on y renverse , Des tranchées à nos mémoires diverses. Que je brûle à ton parfum ,des averses, Ravivant mon âme au brasier qui bouleverse....
Pelican bleu Il y a 4 ans

Je ne veux pas de la pitié mais du sexe,
Je veux qu'on soit sans pitié,qu'on exerce,
Du sombre et des éclairs ,on y renverse ,
Des tranchées à nos mémoires diverses.
Que je brûle à ton parfum ,des averses,
Ravivant mon âme au brasier qui bouleverse....

[quote="Pelican bleu"]Je ne veux pas de la pitié mais du sexe, Je veux qu'on soit sans pitié,qu'on exerce, Du sombre et des éclairs ,on y renverse , Des tranchées à nos mémoires diverses. Que je brûle à ton parfum ,des averses, Ravivant mon âme au brasier qui bouleverse....[/quote] Oui ... et puis encore
AnonymeIl y a 4 ans

Je ne veux pas de la pitié mais du sexe,
Je veux qu'on soit sans pitié,qu'on exerce,
Du sombre et des éclairs ,on y renverse ,
Des tranchées à nos mémoires diverses.
Que je brûle à ton parfum ,des averses,
Ravivant mon âme au brasier qui bouleverse....

Oui ... et puis encore

À tes attractions qui attisent , Ma douleur ,mes hantises Et dévorent nos abstraits. Abstraction des portraits, Que l'on peint aux ivoires, Que l'on paye à la foire. Devantures de promesses, Il est l'heure de la messe, Celle qui prie des cimetières, À nos poches pécuniaires, Que des trous mortuaires, Aux écumes des artères...
Pelican bleu Il y a 4 ans

À tes attractions qui attisent ,
Ma douleur ,mes hantises
Et dévorent nos abstraits.
Abstraction des portraits,
Que l'on peint aux ivoires,
Que l'on paye à la foire.
Devantures de promesses,
Il est l'heure de la messe,
Celle qui prie des cimetières,
À nos poches pécuniaires,
Que des trous mortuaires,
Aux écumes des artères...

À la marge de la marge il y a des cris qui pleurent... Aux marées des sanglots ,le sel se meurt... Au profond toujours la blessure, Bat ,au métronome à la fissure, Des combats perlant à nos mémoires, Comtant des amours aux rimes noires.
Pelican bleu Il y a 4 ans

À la marge de la marge il y a des cris qui pleurent...
Aux marées des sanglots ,le sel se meurt...
Au profond toujours la blessure,
Bat ,au métronome à la fissure,
Des combats perlant à nos mémoires,
Comtant des amours aux rimes noires.

Danse ton cœur ,danse sur mes braises, Tu les allumes à ta bouche que je baise. Et tanguent nos corps ,des tangos qui meurent, Aux pas qui chavirent,balbutiant à nos flancs... Des fleurs de passions qui tamisent nos heures. Des fruits ,ma douleur,aux creux des courants. Des écumes dans la nuit font pâlir nos veines, Qui tracent comme des navires le doute et la peine. L'orgueil des pensées forme des vagues à l'âme, La houle s'est déversée aux pluies qui condamnent, Des perles à nos songes,des diamants fragmentés, Et pousse mon amour,ma fortune abîmée. Dans mon cœur,sur tes braises, Le rocher à ma falaise, La mèche plantée à la suie, D'une étincelle qui toujours luit, À mon repos dans ton Éden, À ma lumière qu 'on étrenne... Et chantera mes bateaux, Ma barque flotte à mes mots.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Danse ton cœur ,danse sur mes braises,
Tu les allumes à ta bouche que je baise.
Et tanguent nos corps ,des tangos qui meurent,
Aux pas qui chavirent,balbutiant à nos flancs...
Des fleurs de passions qui tamisent nos heures.
Des fruits ,ma douleur,aux creux des courants.
Des écumes dans la nuit font pâlir nos veines,
Qui tracent comme des navires le doute et la peine.
L'orgueil des pensées forme des vagues à l'âme,
La houle s'est déversée aux pluies qui condamnent,
Des perles à nos songes,des diamants fragmentés,
Et pousse mon amour,ma fortune abîmée.
Dans mon cœur,sur tes braises,
Le rocher à ma falaise,
La mèche plantée à la suie,
D'une étincelle qui toujours luit,
À mon repos dans ton Éden,
À ma lumière qu 'on étrenne...
Et chantera mes bateaux,
Ma barque flotte à mes mots.

Il était une heure ,l'une de ces heures qu'on oublie jamais,qui scelle le printemps ou l'automne dans les cœurs des amants. Où la bruine aux joues ne provient pas d'un cumulus,mais d'une larme trop lourde et trop noire , percée d'un si grand désespoir,celui qui laisse toujours une trace à l'âme,une cicatrice forgée au feu d'un éclair,et qui brûle et qui luit un soir d'hiver... Un sentiment donnant du sacré à un quai d'au revoir,un lieu commun à des infinis,comme on communie pour un corps sacrifié sur une croix,la ferveur de nos amours. Un détail est alors la mélancolie personnifiée,d'un trésor surgissant aux aléas des effluves d'une étoffe ,passante si pressée aux rythmes des temps consommés, d'une mélodie teintant les battements sonores à celui qui sait écouter,et devenant tour à tour des ornements princiers et des déchéances tempetueuses... Il était une heure où on s'aimait...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Il était une heure ,l'une de ces heures qu'on oublie jamais,qui scelle le printemps ou l'automne dans les cœurs des amants.
Où la bruine aux joues ne provient pas d'un cumulus,mais d'une larme trop lourde et trop noire , percée d'un si grand désespoir,celui qui laisse toujours une trace à l'âme,une cicatrice forgée au feu d'un éclair,et qui brûle et qui luit un soir d'hiver...
Un sentiment donnant du sacré à un quai d'au revoir,un lieu commun à des infinis,comme on communie pour un corps sacrifié sur une croix,la ferveur de nos amours.
Un détail est alors la mélancolie personnifiée,d'un trésor surgissant aux aléas des effluves d'une étoffe ,passante si pressée aux rythmes des temps consommés, d'une mélodie teintant les battements sonores à celui qui sait écouter,et devenant tour à tour des ornements princiers et des déchéances tempetueuses...
Il était une heure où on s'aimait...

Des larmes brillent dans ses yeux,des éclairs aux sourires qui foudroient... Dans nos apocalypses les pupilles se fondent au soleil noir ,caprices des marées dégueulant ses tourments à ce sable aveuglé d'orages... Le sel craque la peau en des gouffres brûlant nos enfers , métaux trop précieux pour vos magasins, portes du paradis sur terre... Des tempêtes aux peupliers ,la croyance guette ,la folie du blé.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Des larmes brillent dans ses yeux,des éclairs aux sourires qui foudroient...
Dans nos apocalypses les pupilles se fondent au soleil noir ,caprices des marées dégueulant ses tourments à ce sable aveuglé d'orages...
Le sel craque la peau en des gouffres brûlant nos enfers , métaux trop précieux pour vos magasins, portes du paradis sur terre...
Des tempêtes aux peupliers ,la croyance guette ,la folie du blé.

Quand tu parles, Quand tu pleures, Quand tu ris, Quand ton éloquence, Quand tes sanglots, Quand tes éclats, Je me bats, Je me débats, Peut on s'ébattre ? Quand tu écho, Quand tu sourdine, Le grain remonte à ta peau, D'un frisson qui éclot. Vient la lumière, La puissance de la terre, Le goût de la chair...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Quand tu parles,
Quand tu pleures,
Quand tu ris,
Quand ton éloquence,
Quand tes sanglots,
Quand tes éclats,
Je me bats,
Je me débats,
Peut on s'ébattre ?
Quand tu écho,
Quand tu sourdine,
Le grain remonte à ta peau,
D'un frisson qui éclot.
Vient la lumière,
La puissance de la terre,
Le goût de la chair...

Au vent la plume s'échappe, Elle court, la pluie de hâte, L'étoffe brûle aux noeuds , Le cou serré par l'écharpe, Le cœur fuit à se battre, Contempler la chair et ses bleus. Le coton panse les plaies, D'une caresse et son lait, Laideur ou splendeur, Parfum où l'on meurt, Des bras où l'on renaît, Des draps que tu connais...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Au vent la plume s'échappe,
Elle court, la pluie de hâte,
L'étoffe brûle aux noeuds ,
Le cou serré par l'écharpe,
Le cœur fuit à se battre,
Contempler la chair et ses bleus.

Le coton panse les plaies,
D'une caresse et son lait,
Laideur ou splendeur,
Parfum où l'on meurt,
Des bras où l'on renaît,
Des draps que tu connais...

Des outres tombes sortent de ma fièvre, Les candeurs des brumes dévoilant Nos chairs par les persiennes illuminées. Des contres jours à ta peau se lèvent, Comme des éclipses de culs accrochant De frivoles censures aux dessous alléchés. Je te concentre mon amour à tout te donner. Des corps lourds qui se font des pensées, Aux algues,la lenteur qui balance les marées Au grain de ton ventre, à mes doigts parsemés, Comme un champ , d'une pluie serait fécondé. Ma mélancolie irriguera tes pores et te fera danser. La lune, exploratrice des eaux, Et cambre les rigueurs du temps à son dos. Craquelante,suave,tes liqueurs me chantent Des grâces sur nos routes déjà tracées qui hantent. Des frissons,comme un violon qui s' écorche À cette corde plus brûlante que ma torche....
Pelican bleu Il y a 4 ans

Des outres tombes sortent de ma fièvre,
Les candeurs des brumes dévoilant
Nos chairs par les persiennes illuminées.
Des contres jours à ta peau se lèvent,
Comme des éclipses de culs accrochant
De frivoles censures aux dessous alléchés.

Je te concentre mon amour à tout te donner.
Des corps lourds qui se font des pensées,
Aux algues,la lenteur qui balance les marées
Au grain de ton ventre, à mes doigts parsemés,
Comme un champ , d'une pluie serait fécondé.
Ma mélancolie irriguera tes pores et te fera danser.

La lune, exploratrice des eaux,
Et cambre les rigueurs du temps à son dos.
Craquelante,suave,tes liqueurs me chantent
Des grâces sur nos routes déjà tracées qui hantent.
Des frissons,comme un violon qui s' écorche
À cette corde plus brûlante que ma torche....

Partir à ta conquête, Conquérir même tes défaites, Se défaire de tes sourires Ferait de moi le pire. Quand ta peau contre moi, Explose mon cœur, Je gravite en éclat, À tes splendeurs. Contemplation des astres, En tes yeux des aurores boréales, Le soleil en rougit et passe Pour y apprivoiser mon idéal....
Pelican bleu Il y a 4 ans

Partir à ta conquête,
Conquérir même tes défaites,
Se défaire de tes sourires
Ferait de moi le pire.

Quand ta peau contre moi,
Explose mon cœur,
Je gravite en éclat,
À tes splendeurs.

Contemplation des astres,
En tes yeux des aurores boréales,
Le soleil en rougit et passe
Pour y apprivoiser mon idéal....

La fin de nos éclats, La fin ...tu comprendras. La fin en sa chaleur, Qui inhume mon cœur. La faim de nos amours, La faim ...et son velour. La faim en ses odeurs, Qui transpire ma lueur. La main à se tendre, La main à s'en fendre. La main tonne des voluptés, Du palpable à l'abstrait... Et demain viendra courir, Et demain pour s'y tenir. Quand demain à ton ruisseau, Ta lumière s'y reposer à mes flots...
Pelican bleu Il y a 4 ans

La fin de nos éclats,
La fin ...tu comprendras.
La fin en sa chaleur,
Qui inhume mon cœur.

La faim de nos amours,
La faim ...et son velour.
La faim en ses odeurs,
Qui transpire ma lueur.

La main à se tendre,
La main à s'en fendre.
La main tonne des voluptés,
Du palpable à l'abstrait...

Et demain viendra courir,
Et demain pour s'y tenir.
Quand demain à ton ruisseau,
Ta lumière s'y reposer à mes flots...

[quote="Pelican bleu"]La fin de nos éclats, La fin ...tu comprendras. La fin en sa chaleur, Qui inhume mon cœur. La faim de nos amours, La faim ...et son velour. La faim en ses odeurs, Qui transpire ma lueur. La main à se tendre, La main à s'en fendre. La main tonne des voluptés, Du palpable à l'abstrait... Et demain viendra courir, Et demain pour s'y tenir. Quand demain à ton ruisseau, Ta lumière s'y reposer à mes flots...[/quote] <3
suffragettes AB Il y a 4 ans

La fin de nos éclats,
La fin ...tu comprendras.
La fin en sa chaleur,
Qui inhume mon cœur.

La faim de nos amours,
La faim ...et son velour.
La faim en ses odeurs,
Qui transpire ma lueur.

La main à se tendre,
La main à s'en fendre.
La main tonne des voluptés,
Du palpable à l'abstrait...

Et demain viendra courir,
Et demain pour s'y tenir.
Quand demain à ton ruisseau,
Ta lumière s'y reposer à mes flots...


<3

Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent... Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ... Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations . Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain. C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli. Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent...
Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ...
Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations .
Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain.
C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli.
Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.

[quote="Pelican bleu"]Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent... Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ... Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations . Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain. C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli. Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.[/quote] <3 ta prose, en cette nuit, fait écho à mon brouillard intérieur. Marrant comme les mots font acte de transcendance.
suffragettes AB Il y a 4 ans

Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent...
Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ...
Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations .
Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain.
C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli.
Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.


<3
ta prose, en cette nuit, fait écho à mon brouillard intérieur. Marrant comme les mots font acte de transcendance.

[quote="suffragettes AB"][quote="Pelican bleu"]Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent... Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ... Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations . Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain. C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli. Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.[/quote] <3 ta prose, en cette nuit, fait écho à mon brouillard intérieur. Marrant comme les mots font acte de transcendance.[/quote] Je suis ravi que cela te fasse écho...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Des ruisseaux à ma plaine,des cratères qui s'emmêlent...
Des pluies, qu'elles viennent me tarir de torrents fertiles ...
Je pousse mon amour,je pousse ,je réclame ta terre ,et fleurir des mots ,et des graines qui germent à tes respirations .
Dans la brume toujours des aurores comme des miroirs,la pénombre te sacre au reflet des ombres,la brume c'est l'aléatoire aux devants des demain.
C'est un trésor au fond d'un wagon de peine ,qui roulant, chasse l'horizon à grands coups d'oubli.
Puisque la plaine est un désert où l'on creuse nos mémoires,mais qui,par un orage ,vient éclabousser nos vies.


<3
ta prose, en cette nuit, fait écho à mon brouillard intérieur. Marrant comme les mots font acte de transcendance.

Je suis ravi que cela te fasse écho...

Le prix des choses ne valent rien car c'est le consommateur qui fixe le prix en achetant. Le consommateur n'a aucune réalité des choses qu'ils ne possèdent pas. Le consommateur est con et n'a aucune valeur, à part peut être celui de son putain pouvoir d'achat...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Le prix des choses ne valent rien car c'est le consommateur qui fixe le prix en achetant.
Le consommateur n'a aucune réalité des choses qu'ils ne possèdent pas.
Le consommateur est con et n'a aucune valeur, à part peut être celui de son putain pouvoir d'achat...

Quand la neige tombe, Quand la neige tombe... Quand tes lettres mortes, Quand tes lettres mortes... Je tombe à ta porte, Je tombe au combat... La neige m'emporte Au fil de son glas. Puis ces mots qui m'ont perdu, Puis mes flots qui ont rompu Les estuaires et les ports, Mes barques pleurent encore. Elles font des salines Les mains si douces. Elles font des divines Les cœurs éclaboussent. Quand la neige tombe, Quand la neige tombe... Elle dévale mon corps, Elle coule sur moi. Mes larmes sans effort, Se souviennent de toi...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Quand la neige tombe,
Quand la neige tombe...
Quand tes lettres mortes,
Quand tes lettres mortes...
Je tombe à ta porte,
Je tombe au combat...
La neige m'emporte
Au fil de son glas.
Puis ces mots qui m'ont perdu,
Puis mes flots qui ont rompu
Les estuaires et les ports,
Mes barques pleurent encore.
Elles font des salines
Les mains si douces.
Elles font des divines
Les cœurs éclaboussent.
Quand la neige tombe,
Quand la neige tombe...
Elle dévale mon corps,
Elle coule sur moi.
Mes larmes sans effort,
Se souviennent de toi...

Je bois,je vole,je crève... Le flacon ivre à mes lèvres, La liqueur se délecte, De mon cœur en miettes. À ces battements d'ailes, Je dérive d'un sombre ciel, Traçant de son velour ma peine, Cisaillant l'ombre de mes veines. Je bois,je vole,je crève.... Le flacon ivre à mes lèvres.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Je bois,je vole,je crève...
Le flacon ivre à mes lèvres,
La liqueur se délecte,
De mon cœur en miettes.
À ces battements d'ailes,
Je dérive d'un sombre ciel,
Traçant de son velour ma peine,
Cisaillant l'ombre de mes veines.
Je bois,je vole,je crève....
Le flacon ivre à mes lèvres.


Dans les sinuosités Des veines, Toujours plus abandonnés À des sirènes, Sonnant des serpents, Des serments, Du sang à l'envers Des corps suspendus, Au fil des vers, Peines étendues. Ils planent aux océans, Mouettes et pélicans, Au fil des écritures Sacrent nos déchirures. Tes bateaux,tes ivresses, Se font l'écho de la tristesse. Dans mes veines coule ta peau , La mélancolie fuit à ses mots...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Dans les sinuosités
Des veines,
Toujours plus abandonnés
À des sirènes,
Sonnant des serpents,
Des serments,
Du sang à l'envers
Des corps suspendus,
Au fil des vers,
Peines étendues.
Ils planent aux océans,
Mouettes et pélicans,
Au fil des écritures
Sacrent nos déchirures.
Tes bateaux,tes ivresses,
Se font l'écho de la tristesse.
Dans mes veines coule ta peau ,
La mélancolie fuit à ses mots...

D'octobre froissé, À des pensées, Hérésie saisonnière, Que dis je, suicidaire... La guerre, ouais ,la guerre Et ses crimes incendiaires... Ton plastique et des nerfs. Cela te bouscule,cela tourne... En tes enzymes, coule la fièvre, En tes molécules enfournent, Des esprits,des qui font la sève... En un soleil planant, Plantant ses griffes au cœur, Une lueur féline à la douleur, un arbre plongeant À la lumière du tranchant, Qui ravive la plaie, Qui ravive la plaie...
Pelican bleu Il y a 4 ans

D'octobre froissé,
À des pensées,
Hérésie saisonnière,
Que dis je, suicidaire...
La guerre, ouais ,la guerre
Et ses crimes incendiaires...
Ton plastique et des nerfs.
Cela te bouscule,cela tourne...
En tes enzymes, coule la fièvre,
En tes molécules enfournent,
Des esprits,des qui font la sève...
En un soleil planant,
Plantant ses griffes au cœur,
Une lueur féline à la douleur,
un arbre plongeant
À la lumière du tranchant,
Qui ravive la plaie,
Qui ravive la plaie...

D'une rive à l'autre il y a le doute,l'effroi d'un frisson,c'est bien le froid... D'une rive à l'autre,le souvenir qui nous sépare,on y voit,on y goute le cépage d'une vie,d'un autre temps,glissant aux yeux d'un fleuve ton savoir,enfin ce que tu crois savoir. Puis au loin,au milieu de la berge,au milieu d'une cruauté sans nom qui porte le tien,qui porte ton sang à coup de seaux remplis, où la brume peine à cacher ce que tu es...ton humanité dit on. Si seulement c'était de l'eau ou même des larmes,mais elles abreuvent les ruisseaux d'une peine grandissante et fécondante,pour charmer d'autres ruisseaux et en faire des crues ,des torrents ravageant nos êtres... Tes seaux sont bien remplis de sang,d'une abjecte souffrance,c'est ta croix... Ta perdition est là, à chaque souffle, à chaque expiration,la moindre pensée échappée te conduira à la terre ,et tu t'y soumetteras comme tu l'avais soumise. Elle reprendra ce que tu lui as volé,au temps révolu où tu écrasais, où tu régnais ...puisqu'en ces temps modernes on appelle démocratie nos sociétés qui votent,pour mieux se faire mettre ,ce n'est pas de la sueur qui coule à nos fronts mon ami,c'est le sang de nos viols,et cela coagule,coagule pour faire des appâts...et au bout de la ligne cela mord. D'une rive à l'autre ....c'est la mort.
Pelican bleu Il y a 4 ans

D'une rive à l'autre il y a le doute,l'effroi d'un frisson,c'est bien le froid...
D'une rive à l'autre,le souvenir qui nous sépare,on y voit,on y goute le cépage d'une vie,d'un autre temps,glissant aux yeux d'un fleuve ton savoir,enfin ce que tu crois savoir.
Puis au loin,au milieu de la berge,au milieu d'une cruauté sans nom qui porte le tien,qui porte ton sang à coup de seaux remplis, où la brume peine à cacher ce que tu es...ton humanité dit on.
Si seulement c'était de l'eau ou même des larmes,mais elles abreuvent les ruisseaux d'une peine grandissante et fécondante,pour charmer d'autres ruisseaux et en faire des crues ,des torrents ravageant nos êtres...
Tes seaux sont bien remplis de sang,d'une abjecte souffrance,c'est ta croix...
Ta perdition est là, à chaque souffle, à chaque expiration,la moindre pensée échappée te conduira à la terre ,et tu t'y soumetteras comme tu l'avais soumise.
Elle reprendra ce que tu lui as volé,au temps révolu où tu écrasais, où tu régnais ...puisqu'en ces temps modernes on appelle démocratie nos sociétés qui votent,pour mieux se faire mettre ,ce n'est pas de la sueur qui coule à nos fronts mon ami,c'est le sang de nos viols,et cela coagule,coagule pour faire des appâts...et au bout de la ligne cela mord.
D'une rive à l'autre ....c'est la mort.

Ta griffe se perd et se suspend à tes sillons, Ta griffe perd son mordant au chant des grillons. Tu seras lacérée de ma salive saline, Tu seras domptée de ma soumission , l'épine. Et la fureur de vivre t'incrusterai des ivresses, Que l'on boit quand on chavire à des souplesses... Qui comble les trous d'étoiles en deuil Pour finir son implosion de gravité à ton seuil. Sa trajectoire en ses fragments se feront toujours plus éclatante. Et à l'ombre d'une fournaise,de ton volcan,l'arme transcendante, D'un flot continu qui hurle d'une poudrière immaculée, Une jouissance frénétique aux oraisons des perles bleues, D'une île ,qui dit on ,transpire la beauté aux miroirs de tes yeux. J'irai en tes monts et tes vallées,de ma plume assoiffée...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Ta griffe se perd et se suspend à tes sillons,
Ta griffe perd son mordant au chant des grillons.
Tu seras lacérée de ma salive saline,
Tu seras domptée de ma soumission , l'épine.
Et la fureur de vivre t'incrusterai des ivresses,
Que l'on boit quand on chavire à des souplesses...
Qui comble les trous d'étoiles en deuil
Pour finir son implosion de gravité à ton seuil.
Sa trajectoire en ses fragments se feront toujours plus éclatante.
Et à l'ombre d'une fournaise,de ton volcan,l'arme transcendante,
D'un flot continu qui hurle d'une poudrière immaculée,
Une jouissance frénétique aux oraisons des perles bleues,
D'une île ,qui dit on ,transpire la beauté aux miroirs de tes yeux.
J'irai en tes monts et tes vallées,de ma plume assoiffée...

Quand cesseras tu de rêver ?... Quand mes songes ne pourront plus se perdre dans tes yeux pour contempler notre amour et son éclat. Une étoile perdue aux univers,une poussière,une poussière emplissant mon être.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Quand cesseras tu de rêver ?...
Quand mes songes ne pourront plus se perdre dans tes yeux pour contempler notre amour et son éclat.
Une étoile perdue aux univers,une poussière,une poussière emplissant mon être.

[quote="Pelican bleu"]Une étoile perdue aux univers,une poussière,une poussière emplissant mon être.[/quote] <3
Ema Il y a 4 ans

Une étoile perdue aux univers,une poussière,une poussière emplissant mon être.

<3

L'abîme d'un feu s'endort à tes lèvres, Les yeux clos caressent tes rêves. Un dédale de soupirs et des débris, Feront pâlir le corps de tes envies. Des heures blanches en cette nuit, Et planent tes hanches qui font l'oubli...
Pelican bleu Il y a 4 ans

L'abîme d'un feu s'endort à tes lèvres,
Les yeux clos caressent tes rêves.
Un dédale de soupirs et des débris,
Feront pâlir le corps de tes envies.
Des heures blanches en cette nuit,
Et planent tes hanches qui font l'oubli...

Quand le goût de ta peau souffle à mon coeur, Des festins qui brûlent ma chair en sueur. Dansent les corolles parfumées hantant mon âme, D'un tango qui se fait diable et consume mes larmes... Tu brises la nuit en tes gestes vaporeux, Tu brises l'ennui des jours laborieux...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Quand le goût de ta peau souffle à mon coeur,
Des festins qui brûlent ma chair en sueur.
Dansent les corolles parfumées hantant mon âme,
D'un tango qui se fait diable et consume mes larmes...
Tu brises la nuit en tes gestes vaporeux,
Tu brises l'ennui des jours laborieux...

Mes cathédrales seront des forêts, J'hurlerai comme un loup, Mon désespoir et mes vers, Des incantations pour s'abreuver Aux tumultes du coeur fou, Au fond de la clairière...
Pelican bleu Il y a 4 ans

Mes cathédrales seront des forêts,
J'hurlerai comme un loup,
Mon désespoir et mes vers,
Des incantations pour s'abreuver
Aux tumultes du coeur fou,
Au fond de la clairière...

[quote="Pelican bleu"]Mes cathédrales seront des forêts, J'hurlerai comme un loup, Mon désespoir et mes vers, Des incantations pour s'abreuver Aux tumultes du coeur fou, Au fond de la clairière...[/quote] J'espère me trouver un jour dans une de ces forêts pour t'entendre <3
caféine Il y a 4 ans

Mes cathédrales seront des forêts,
J'hurlerai comme un loup,
Mon désespoir et mes vers,
Des incantations pour s'abreuver
Aux tumultes du coeur fou,
Au fond de la clairière...

J'espère me trouver un jour dans une de ces forêts pour t'entendre <3

Dans une période où j'ai l'impression d'être une sorte de poisson rouge qui perd tous ses mots, c'est vraiment super agréable de lire quelqu'un qui sait si bien les trouver ! Continue à nous enchanter @Pelican_bleu :)
idem Il y a 4 ans

Dans une période où j'ai l'impression d'être une sorte de poisson rouge qui perd tous ses mots, c'est vraiment super agréable de lire quelqu'un qui sait si bien les trouver ! Continue à nous enchanter Pelican bleu