L’homme aux bras d’Or L’homme que l’on aima haïr Portait un cœur ayant perdu Dieu Il a surpassé la force révélatrice De par ses parades audacieuses Revendiquant le droit humain à sa propre folie A son alliance avec tout ce qui est contraire à la réalité Aux visions fantastiques de ses jeux de génie A la stimulation de l’état mental dérangé Puisant ses forces dans l’isolement environnant Pour croire à l’épanouissement futur des états du rêve Aux apparitions contradictoires correspondantes Et à la réminiscence du paradis érogène Les scènes blasphématoires présentées avec fanatismes Pour atteindre la grandeur d’un sacrilège authentique Lui ont permis de voler vers les vertiges délirants de l’égocentrisme Et de le transporter au-delà de ses propres limites L’omniprésence du subconscient à la recherche de l’excellence Préserve la vision des forces hallucinatoires croissantes Dans un fleuve d’images frénétiques et multiples Aux couleurs d’un monde clinique imaginatif Il est entré dans le rêve brûlant, de l’autre côté Éminemment électrisé d’une imagination débridée Il a pénétré les portes de la perception Afin d’apaiser ses errantes prémonitions Le sens spectral de ses délires irrationnels A participé à la chevauchée du serpent Par une décomposition lumineuse mais si mortelle Qu’il n’a jamais fait semblant Au Lézard Roi
Illona Il y a 11 ans

L’homme aux bras d’Or

L’homme que l’on aima haïr
Portait un cœur ayant perdu Dieu
Il a surpassé la force révélatrice
De par ses parades audacieuses

Revendiquant le droit humain à sa propre folie
A son alliance avec tout ce qui est contraire à la réalité
Aux visions fantastiques de ses jeux de génie
A la stimulation de l’état mental dérangé

Puisant ses forces dans l’isolement environnant
Pour croire à l’épanouissement futur des états du rêve
Aux apparitions contradictoires correspondantes
Et à la réminiscence du paradis érogène

Les scènes blasphématoires présentées avec fanatismes
Pour atteindre la grandeur d’un sacrilège authentique
Lui ont permis de voler vers les vertiges délirants de l’égocentrisme
Et de le transporter au-delà de ses propres limites

L’omniprésence du subconscient à la recherche de l’excellence
Préserve la vision des forces hallucinatoires croissantes
Dans un fleuve d’images frénétiques et multiples
Aux couleurs d’un monde clinique imaginatif

Il est entré dans le rêve brûlant, de l’autre côté
Éminemment électrisé d’une imagination débridée
Il a pénétré les portes de la perception
Afin d’apaiser ses errantes prémonitions

Le sens spectral de ses délires irrationnels
A participé à la chevauchée du serpent
Par une décomposition lumineuse mais si mortelle
Qu’il n’a jamais fait semblant

Au Lézard Roi

Assis tranquillement Dans cet endroit livide Tu attends patiemment Dans l’ombre, que ton heure arrive Alors tu te détends Tu fais le vide dans tes pensées Tu fermes les yeux et tu attends Que le vent amène ta destinée Oh ! Mon pauvre héro Que fais-tu donc ici ? Toi le pauvre zéro Ne vois-tu pas que ton cœur a faiblit ? Ainsi, tu fais naufrage Sur ce sable blanc et stimulant Où tu puises toute la beauté de ce carnage Avec sagesse et impertinence Peu à peu tu descends en enfer Là où ça sent l’éther Mais que veux tu en faire De cette éternité ? Mais toi, tu craches tes veines Inlassablement, pleine de sang froid Et toutes les forces sont vaines Pour sauver le rêve qui prône au dessus de toi Et tes yeux clairs, voyant T’injecter cette mort fine, Dans le mâle chanceux impuissant A l’avenir tracé sur ses lignes subtiles Tu poursuis la source inspiratrice De ces cocktails visuels Où les désirs voluptueux jaillissent Dans ton état de mi-sommeil La pression du sang dans tes yeux Cherche à libérer ta conscience Et à monter ton âme aux cieux C’est le résultat de ta décadence Gisant sur le sol étroit Où tu meurs dans ton délire Le regard fixe et froid Désespéré de te voir partir Et cette scène insoutenable Où j’anime cette chose morte J’ai échoué au sauvetage Que le vent m’emporte Et ses images oppressantes, Où tu te laves le sang, Où tu te sèches les veines, Où tu te frictionnes le corps, Et tu mort ? Oh ! Je me languis de ton absence Et me rappelle ce souvenir pervers Où tu as pris conscience Qu’il n’y avait plus rien à faire Tu t’es hôte la vie Et mon cœur crie sa rage Jusqu’au bout de l’agonie Le vent me balaye le visage Au repos des esprits libres
Illona Il y a 11 ans

Assis tranquillement
Dans cet endroit livide
Tu attends patiemment
Dans l’ombre, que ton heure arrive

Alors tu te détends
Tu fais le vide dans tes pensées
Tu fermes les yeux et tu attends
Que le vent amène ta destinée

Oh ! Mon pauvre héro
Que fais-tu donc ici ?
Toi le pauvre zéro
Ne vois-tu pas que ton cœur a faiblit ?

Ainsi, tu fais naufrage
Sur ce sable blanc et stimulant
Où tu puises toute la beauté de ce carnage
Avec sagesse et impertinence

Peu à peu tu descends en enfer
Là où ça sent l’éther
Mais que veux tu en faire
De cette éternité ?

Mais toi, tu craches tes veines
Inlassablement, pleine de sang froid
Et toutes les forces sont vaines
Pour sauver le rêve qui prône au dessus de toi

Et tes yeux clairs, voyant
T’injecter cette mort fine,
Dans le mâle chanceux impuissant
A l’avenir tracé sur ses lignes subtiles

Tu poursuis la source inspiratrice
De ces cocktails visuels
Où les désirs voluptueux jaillissent
Dans ton état de mi-sommeil

La pression du sang dans tes yeux
Cherche à libérer ta conscience
Et à monter ton âme aux cieux
C’est le résultat de ta décadence

Gisant sur le sol étroit
Où tu meurs dans ton délire
Le regard fixe et froid
Désespéré de te voir partir

Et cette scène insoutenable
Où j’anime cette chose morte
J’ai échoué au sauvetage
Que le vent m’emporte

Et ses images oppressantes,
Où tu te laves le sang,
Où tu te sèches les veines,
Où tu te frictionnes le corps,
Et tu mort ?

Oh ! Je me languis de ton absence
Et me rappelle ce souvenir pervers
Où tu as pris conscience
Qu’il n’y avait plus rien à faire

Tu t’es hôte la vie
Et mon cœur crie sa rage
Jusqu’au bout de l’agonie
Le vent me balaye le visage

Au repos des esprits libres

Si ce soir, d'aventure Ce soir je suis une fille dangereuse Je viens flirter avec les limites Ce soir je suis forte et courageuse Prête à braver les interdits L’innocence s’en est allée Les mœurs circulent en contre sens Réfléchir sur les sentiers de la vérité Glisser dans le corps de l’insouciance Les images de la vie, au ralentit, N’ont de cesse de passer en moi Et si je me présente ainsi Le dévolu est jeté sur toi Ce soir je ne suis pas une fille bien Il n’y a pas de porte dans mon cœur Ce soir je disparais, je m’éteints Et je salue la venue des grands joueurs Faire entrer la fantaisie et le plaisir Laisser la place pour les moments Fais-moi une place, c’est imminent Ici c’est toi qui m’inspires Alors, Je me lâche, je ne pense plus Je m’entraîne et je me chauffe Je me déchire doucement Je m’abandonne à toi Je me laisse faire et je pars Je me consume et je me trouble Et si ce soir, tu prenais ma place Serais-je capable de t’entraîner et d’abuser De se confondre et d’avoir de l’audace Pourrais-je te surprendre et te déconcerter Et si ce soir, je n’étais pas une fille bien Et si ce soir, tu pouvais prendre ma place Et si ce soir, on s’associait Alors, personne ne saurait qui je suis, ce soir
Illona Il y a 11 ans

Si ce soir, d'aventure

Ce soir je suis une fille dangereuse
Je viens flirter avec les limites
Ce soir je suis forte et courageuse
Prête à braver les interdits

L’innocence s’en est allée
Les mœurs circulent en contre sens
Réfléchir sur les sentiers de la vérité
Glisser dans le corps de l’insouciance

Les images de la vie, au ralentit,
N’ont de cesse de passer en moi
Et si je me présente ainsi
Le dévolu est jeté sur toi

Ce soir je ne suis pas une fille bien
Il n’y a pas de porte dans mon cœur
Ce soir je disparais, je m’éteints
Et je salue la venue des grands joueurs

Faire entrer la fantaisie et le plaisir
Laisser la place pour les moments
Fais-moi une place, c’est imminent
Ici c’est toi qui m’inspires

Alors,
Je me lâche, je ne pense plus
Je m’entraîne et je me chauffe
Je me déchire doucement
Je m’abandonne à toi
Je me laisse faire et je pars
Je me consume et je me trouble

Et si ce soir, tu prenais ma place
Serais-je capable de t’entraîner et d’abuser
De se confondre et d’avoir de l’audace
Pourrais-je te surprendre et te déconcerter

Et si ce soir, je n’étais pas une fille bien
Et si ce soir, tu pouvais prendre ma place
Et si ce soir, on s’associait
Alors, personne ne saurait qui je suis, ce soir

Perpétuelles interrogations Pourquoi toutes ces années n’ont rien effacées Pourquoi je n’arrive pas à te sortir de ma vie Pourquoi la flamme ne s’est jamais éteinte Pourquoi je souffre encore aujourd’hui Pourquoi le choix est impossible Pourquoi la vie m’interdit de vivre avec l’homme que j’aime Pourquoi cela nous arrive à nous Pourquoi je t’ai aimé Pourquoi je t’aime encore Pourquoi je t’aimerai toujours Pourquoi tout ceci est notre histoire Et pourquoi notre histoire ne sera jamais notre vie
Illona Il y a 11 ans

Perpétuelles interrogations

Pourquoi toutes ces années n’ont rien effacées
Pourquoi je n’arrive pas à te sortir de ma vie
Pourquoi la flamme ne s’est jamais éteinte
Pourquoi je souffre encore aujourd’hui
Pourquoi le choix est impossible
Pourquoi la vie m’interdit de vivre avec l’homme que j’aime
Pourquoi cela nous arrive à nous
Pourquoi je t’ai aimé
Pourquoi je t’aime encore
Pourquoi je t’aimerai toujours

Pourquoi tout ceci est notre histoire
Et pourquoi notre histoire ne sera jamais notre vie

Persistance de la mémoire Emprunte d’une étrange mélancolie Je repense à ces lointains souvenirs vécus Dans cette atmosphère de confusion et d’hystérie Où j’oscillais entre le vice et la vertu Et le temps passe Mes larmes sèches Coulent encore sur mon visage Transpercé par des flèches Allongé auprès du feu A vomir ces lointains souvenirs Tandis que les flammes brûlent mes yeux Et sentir mes larmes jaillir Quoique je fasse, où que je sois Rien ne t’efface, je pense à toi Je nous revois sillonnant Les allées de nos jardins secrets Où nous rencontrions nos stimulants Refoulant notre vulnérabilité Et pour donner plus de corps à notre existence Nous nous excitions le cerveau Pour exorciser la souffrance Et glorifier cet encens tiré du pavot Nous descendions jusqu’à l’inconscient Dicté par notre code de moralité Trop fragile et transparent Détruisant le noyau dur de notre personnalité Nous traînions notre vie comme un aimant Animant ce phénomène souterrain Nous étions les noms savants De la déstructuration mentale des humains Ces règles que nous transgressions Nous faisaient connaître nos limites Et notre furie de désintégration Nous faisait connaître les chemins chaotiques Rappelles-toi, que quoique tu fasses, où que tu sois Rien ne m’efface, je suis à toi Les fils se sont enchevêtrés dans notre histoire La surdose fatale du goût du risque A provoqué ce tel dérapage ambulatoire Dans cette extase désinvolte et toxique Notre degré d’intimité était sous haute tension Notre fidélité fanatique était punissable Notre partage a fait explosé notre union Et a détruit nos êtres infranchissables Nous n’avions jamais arraché une mauvaise herbe l’un sans l’autre Sous peine de briser notre équilibre Et ce n’est pas de ma faute Si les anges blancs ont préféré ton corps fébrile Alors, souviens toi, que quoique tu fasses, où que tu sois Rien ne t’efface, tu es à moi Toi que je n’homme pas Entends ce cri de désarroi Qui ne me dit pas Pourquoi je reste et pas toi Une fois le voile levé sur mes émotions Je craque pour cette figure emblématique Qui m’a transmis la perception de la raison Et une confiance sans limite Au fin fond du royaume des visiteurs nocturnes Je garde la blessure de notre vécu Vivant entre le clair obscur Et ne sachant plus lequel de nous deux, ne vit plus
Illona Il y a 11 ans

Persistance de la mémoire

Emprunte d’une étrange mélancolie
Je repense à ces lointains souvenirs vécus
Dans cette atmosphère de confusion et d’hystérie
Où j’oscillais entre le vice et la vertu

Et le temps passe
Mes larmes sèches
Coulent encore sur mon visage
Transpercé par des flèches

Allongé auprès du feu
A vomir ces lointains souvenirs
Tandis que les flammes brûlent mes yeux
Et sentir mes larmes jaillir

Quoique je fasse, où que je sois
Rien ne t’efface, je pense à toi

Je nous revois sillonnant
Les allées de nos jardins secrets
Où nous rencontrions nos stimulants
Refoulant notre vulnérabilité

Et pour donner plus de corps à notre existence
Nous nous excitions le cerveau
Pour exorciser la souffrance
Et glorifier cet encens tiré du pavot

Nous descendions jusqu’à l’inconscient
Dicté par notre code de moralité
Trop fragile et transparent
Détruisant le noyau dur de notre personnalité

Nous traînions notre vie comme un aimant
Animant ce phénomène souterrain
Nous étions les noms savants
De la déstructuration mentale des humains

Ces règles que nous transgressions
Nous faisaient connaître nos limites
Et notre furie de désintégration
Nous faisait connaître les chemins chaotiques

Rappelles-toi, que quoique tu fasses, où que tu sois
Rien ne m’efface, je suis à toi

Les fils se sont enchevêtrés dans notre histoire
La surdose fatale du goût du risque
A provoqué ce tel dérapage ambulatoire
Dans cette extase désinvolte et toxique

Notre degré d’intimité était sous haute tension
Notre fidélité fanatique était punissable
Notre partage a fait explosé notre union
Et a détruit nos êtres infranchissables

Nous n’avions jamais arraché une mauvaise herbe l’un sans l’autre
Sous peine de briser notre équilibre
Et ce n’est pas de ma faute
Si les anges blancs ont préféré ton corps fébrile

Alors, souviens toi, que quoique tu fasses, où que tu sois
Rien ne t’efface, tu es à moi

Toi que je n’homme pas
Entends ce cri de désarroi
Qui ne me dit pas
Pourquoi je reste et pas toi

Une fois le voile levé sur mes émotions
Je craque pour cette figure emblématique
Qui m’a transmis la perception de la raison
Et une confiance sans limite

Au fin fond du royaume des visiteurs nocturnes
Je garde la blessure de notre vécu
Vivant entre le clair obscur
Et ne sachant plus lequel de nous deux, ne vit plus

C'est marrant de découvrir des pseudos qui ne postent qu'ici. On sent la recherche mais diable ça manque de fluidité.
Sym Il y a 11 ans

C'est marrant de découvrir des pseudos qui ne postent qu'ici.

On sent la recherche mais diable ça manque de fluidité.

La boite à malice Nous quand on s’endort On veut se frotter à la vie Alors on ouvre le rideau Et plus rien ne compte On se fait du bien et plus de mal Nous quand on rêve Le monde va plus vite On se déchire puis on se reprend La scène est notre roi Plus rien ne nous touche Nous nos vies sont nuit Il n’y a plus de limites Les étoiles sont nos amies Les filles et les garçons de joie Aussi, c’est beau la nuit Nous on se consume dans le bruit On se rallume à l’adrénaline On meurt dans un dernier soupir La lumière nous entraîne Jusqu’ici, ici bien bas Nous quand on vie On range tout ça Dans notre petite boite à baiser Nous quand on vie On se perd ici et là Mais pas là
Illona Il y a 10 ans

La boite à malice

Nous quand on s’endort
On veut se frotter à la vie
Alors on ouvre le rideau
Et plus rien ne compte
On se fait du bien et plus de mal

Nous quand on rêve
Le monde va plus vite
On se déchire puis on se reprend
La scène est notre roi
Plus rien ne nous touche

Nous nos vies sont nuit
Il n’y a plus de limites
Les étoiles sont nos amies
Les filles et les garçons de joie
Aussi, c’est beau la nuit

Nous on se consume dans le bruit
On se rallume à l’adrénaline
On meurt dans un dernier soupir
La lumière nous entraîne
Jusqu’ici, ici bien bas

Nous quand on vie
On range tout ça
Dans notre petite boite à baiser
Nous quand on vie
On se perd ici et là
Mais pas là

Mon ange Viens mon ange, prends mon âme et mon corps Tu feras le tri pour le paradis et l’enfer Je n’irai nulle part sans toi Viens mon ange, emmène-moi Dans le couloir, tout au fond Je pourrai m’y perdre Je croiserai la bouche d’une fille Et je continuerai Je me laisserai guider Je me laisserai toucher Tu pourras me regarder Et je m’éclipserai Appuis-toi sur mon dos, mon ange Moi je les domine Je leur donnerai tous les plaisirs Je ne goûterai pas leur bouche Viens mon ange, cherche moi Je suis peut-être en dessous de toi Je me suis perdu Je ne reconnais pas ton regard Ma langue est blanche mon ange Mon corps se démène et mes lèvres se dessèchent Encore quelques gouttes d’eau sur mon visage Et rejoignons-nous mon ange
Illona Il y a 10 ans

Mon ange

Viens mon ange, prends mon âme et mon corps
Tu feras le tri pour le paradis et l’enfer
Je n’irai nulle part sans toi

Viens mon ange, emmène-moi
Dans le couloir, tout au fond
Je pourrai m’y perdre
Je croiserai la bouche d’une fille
Et je continuerai

Je me laisserai guider
Je me laisserai toucher
Tu pourras me regarder
Et je m’éclipserai

Appuis-toi sur mon dos, mon ange
Moi je les domine
Je leur donnerai tous les plaisirs
Je ne goûterai pas leur bouche

Viens mon ange, cherche moi
Je suis peut-être en dessous de toi
Je me suis perdu
Je ne reconnais pas ton regard

Ma langue est blanche mon ange
Mon corps se démène et mes lèvres se dessèchent

Encore quelques gouttes d’eau sur mon visage
Et rejoignons-nous mon ange