Toujours à droite ici c'est sûr, Toujours nourrir les pourritures, Dans mon pays, Toujours le soufre. Dans la misère toujours mes frères, Du populisme au populaire, Toujours la nuit, Qui s'y engouffre. Toujours le franc à l'horizon, Au premier mai, vends des chansons, Au vent du nord, Chantant l'espoir. Toujours la rue qui pue la mort, Toujours celui qui dort dehors, Un jour ici tu sais, Y aura la guerre. Toujours les plaies et la faucille, Toujours la Suisse qui brille, Toujours les fleurs, Et les pourritures. Toujours les parfums des blessures, Toujours nos poings contre les murs, Et puis bien sûr, Toujours la lutte. Contre le ciel plus bas que terre, Toujours l'envol de l'éphémère, Toujours le feu, Sous tes paupières. Contre ce drapeau crucifié, Moi j'ai toujours le poing levé, Moi j'ai toujours, Le coeur blessé. C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, Ouais c'est la lutte, Ouais c'est la lutte pour mon pays. Peuple violé a voté, Pour l'ordre sur les carrefours, Faut la piquer la chienne, Qui aboie comme un coq au lever du jour. Faut retourner aux pogos, Des berruriers dans le ghetto, Faut retrouver le doux parfum, Quand on parlait avec les poings. Déculpabilisé le discours, Puis c’est le peuple ou rien du tout, Au bleu marine sur les carrefours, Peuple violé en redemande. Au tout gratuit sur les réseaux, Moi je fais dans la contrebande, Au bilan de nos illettrismes, Toujours la voix de ce fascisme. C'est la gangrène, Dans mon pays, C'est la gangrène, C'est la gangrène, Dans mon pays, Moi j'ai la haine. Si l'internationale est morte, Puis si le national l'emporte, Mon coeur blessé, A quand la lutte ? Si le fascisme est à la porte, Et que le diable nous emporte, Au vent mauvais, A quand la lutte ? A la santé des univers, A la santé d'aimer son frère, A ta santé, A la santé des lettres. Pour l'étranger, pour notre terre, Pour tes yeux doux sous la lumière, Pour oublier, Ouais qu'ici c'est la lutte... C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, C'est la lutte, Ouais c'est la lutte dans mon pays.
Killian — Il y a 10 ans

Toujours à droite ici c'est sûr,
Toujours nourrir les pourritures,
Dans mon pays,
Toujours le soufre.

Dans la misère toujours mes frères,
Du populisme au populaire,
Toujours la nuit,
Qui s'y engouffre.

Toujours le franc à l'horizon,
Au premier mai, vends des chansons,
Au vent du nord,
Chantant l'espoir.

Toujours la rue qui pue la mort,
Toujours celui qui dort dehors,
Un jour ici tu sais,
Y aura la guerre.

Toujours les plaies et la faucille,
Toujours la Suisse qui brille,
Toujours les fleurs,
Et les pourritures.

Toujours les parfums des blessures,
Toujours nos poings contre les murs,
Et puis bien sûr,
Toujours la lutte.

Contre le ciel plus bas que terre,
Toujours l'envol de l'éphémère,
Toujours le feu,
Sous tes paupières.

Contre ce drapeau crucifié,
Moi j'ai toujours le poing levé,
Moi j'ai toujours,
Le coeur blessé.

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
Ouais c'est la lutte,
Ouais c'est la lutte pour mon pays.

Peuple violé a voté,
Pour l'ordre sur les carrefours,
Faut la piquer la chienne,
Qui aboie comme un coq au lever du jour.

Faut retourner aux pogos,
Des berruriers dans le ghetto,
Faut retrouver le doux parfum,
Quand on parlait avec les poings.

Déculpabilisé le discours,
Puis c’est le peuple ou rien du tout,
Au bleu marine sur les carrefours,
Peuple violé en redemande.

Au tout gratuit sur les réseaux,
Moi je fais dans la contrebande,
Au bilan de nos illettrismes,
Toujours la voix de ce fascisme.

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
C'est la gangrène,

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
Moi j'ai la haine.

Si l'internationale est morte,
Puis si le national l'emporte,
Mon coeur blessé,
A quand la lutte ?

Si le fascisme est à la porte,
Et que le diable nous emporte,
Au vent mauvais,
A quand la lutte ?

A la santé des univers,
A la santé d'aimer son frère,
A ta santé,
A la santé des lettres.

Pour l'étranger, pour notre terre,
Pour tes yeux doux sous la lumière,
Pour oublier,
Ouais qu'ici c'est la lutte...

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
C'est la lutte,
Ouais c'est la lutte dans mon pays.

La lutte : "Toujours à droite ici c'est sûr Toujours nourrir les pourritures Dans mon pays, toujours le souffre Dans la misère Toujours mes frères Du populisme au populaire Toujours la nuit Ici (....) gouffre Toujours le front A l'horizon Au 1er Mai pour les chansons Au vent du Nord Chantant l'espoir Toujours la rue qui pue la mort Toujours celui qui dort dehors Un jour, ici, tu sais Y'aura la guerre Toujours les blés et la fossile Toujours la suie et ce qui brille Toujours les fleurs Et les pourritures Toujours les parfums, les blessures Toujours nos poings contre les murs Et puis bien sûr Toujours la lutte contre le ciel plus bas que terre Toujours l'envers de l'éphémère Toujours le feu, sous tes paupières Contre ce drapeau crucifié Moi j'ai toujours le poing levé Moi j'ai toujours le coeur blessé C'est la lutte L'hirondelle est dans l'incendie C'est la lutte (x2) Dans mon pays Peuple violé a voté pour l'ordre sur les carrefours Faut la piquer la chienne qui aboie comme un coq au levé du jour Faut retourner au Pogo des Béruriers dans les ghettos Faut retrouver le doux parfum, quand on parlait avec les poings Déculpabilise les discours puis cette époque où rien est doute Au (...) sur des carrefours, peuple violé en redemande Au tout gratuit sur les réseaux Moi je fais dans la contrebande Au bilan de nos illettrismes Toujours la voix de ce fascisme C'est la gangrène Dans mon pays C'est la gangrène Dans mon pays Moi j'ai la haine Si l'Internationale est morte Puis si le National l'emporte Nos coeurs blessés A quand la lutte ? Si le fascisme est à la porte Et que le diable nous emporte Au vent mauvais A quand la lutte ? A la santé des univers A la santé d'aimer son frère A ta santé A la santé des lettres Pour l'étranger, pour notre terre Pour tes yeux doux sous la lumière Pour oublier qu'ici c'est la lutte C'est la lutte L'hirondelle est dans l'incendie C'est la lutte Dans mon pays" Cadeau de remerciements! (avec encore des petits trous dedans)
Cerise — Il y a 10 ans

La lutte :

"Toujours à droite ici c'est sûr
Toujours nourrir les pourritures
Dans mon pays, toujours le souffre
Dans la misère
Toujours mes frères
Du populisme au populaire
Toujours la nuit
Ici (....) gouffre
Toujours le front
A l'horizon
Au 1er Mai pour les chansons
Au vent du Nord
Chantant l'espoir
Toujours la rue qui pue la mort
Toujours celui qui dort dehors
Un jour, ici, tu sais
Y'aura la guerre

Toujours les blés et la fossile
Toujours la suie et ce qui brille
Toujours les fleurs
Et les pourritures
Toujours les parfums, les blessures
Toujours nos poings contre les murs
Et puis bien sûr
Toujours la lutte contre le ciel plus bas que terre
Toujours l'envers de l'éphémère
Toujours le feu, sous tes paupières
Contre ce drapeau crucifié
Moi j'ai toujours le poing levé
Moi j'ai toujours le coeur blessé

C'est la lutte
L'hirondelle est dans l'incendie
C'est la lutte (x2)
Dans mon pays

Peuple violé a voté pour l'ordre sur les carrefours
Faut la piquer la chienne qui aboie comme un coq au levé du jour
Faut retourner au Pogo des Béruriers dans les ghettos
Faut retrouver le doux parfum, quand on parlait avec les poings
Déculpabilise les discours puis cette époque où rien est doute
Au (...) sur des carrefours, peuple violé en redemande

Au tout gratuit sur les réseaux
Moi je fais dans la contrebande
Au bilan de nos illettrismes
Toujours la voix de ce fascisme
C'est la gangrène
Dans mon pays
C'est la gangrène
Dans mon pays
Moi j'ai la haine

Si l'Internationale est morte
Puis si le National l'emporte
Nos coeurs blessés
A quand la lutte ?
Si le fascisme est à la porte
Et que le diable nous emporte
Au vent mauvais

A quand la lutte ?
A la santé des univers
A la santé d'aimer son frère
A ta santé
A la santé des lettres
Pour l'étranger, pour notre terre
Pour tes yeux doux sous la lumière
Pour oublier qu'ici c'est la lutte
C'est la lutte

L'hirondelle est dans l'incendie
C'est la lutte
Dans mon pays"

Cadeau de remerciements! (avec encore des petits trous dedans)

Merci @Killian. Mes propositions de correction : Dans mon pays, [b]Toujours le soufre.[/b] Toujours franc à l'horizon, [b]Au premier mai, vend des chansons,[/b] Au vent du nord, [b]Chantant l’espoir.[/b] Toujours les plaies et la faucille, [b]Toujours la Suisse qui brille,[/b] Toujours les fleurs, Pour l'ordre sur les carrefours, [b]Faut la piquer la chienne,[/b] (A voir comme un coq au lever du jour.) [b]Déculpabilisé le discours Puis c’est le peuple ou rien du tout Ou pleurer sur les carrefours[/b] Peuple violé en redemande. Au bilan de nos illettrismes, [b]Toujours la voix de ce fascisme.[/b] Puis si le national l'emporte, [b]Le coeur blessé,[/b] A quand la lutte ?
melie — Il y a 10 ans

Merci Killian. Mes propositions de correction :

Dans mon pays,
Toujours le soufre.

Toujours franc à l'horizon,
Au premier mai, vend des chansons,
Au vent du nord,
Chantant l’espoir.


Toujours les plaies et la faucille,
Toujours la Suisse qui brille,
Toujours les fleurs,

Pour l'ordre sur les carrefours,
Faut la piquer la chienne,
(A voir comme un coq au lever du jour.)

Déculpabilisé le discours
Puis c’est le peuple ou rien du tout
Ou pleurer sur les carrefours
Peuple violé en redemande.

Au bilan de nos illettrismes,
Toujours la voix de ce fascisme.

Puis si le national l'emporte,
Le coeur blessé,
A quand la lutte ?

j'entends: Toujours à droite ici c'est sûr, Toujours nourrir les pourritures, Dans mon pays, Toujours le souffre. Dans la misère toujours mes frères, Du populisme au populaire, Toujours la nuit, Qui s'y engouffre. Toujours LE FRONT à l'horizon, (Au premier mai, vends des chansons,) Au vent du nord, Chantant L'ESPOIR. Toujours la rue qui pue la mort, Toujours celui qui dort dehors, Un jour ici tu sais, Y aura la guerre. Toujours les plaies et la faucille, Toujours la suie et ce qui brille, Toujours les fleurs, Et les pourritures. Toujours les parfums des blessures, Toujours nos poings contre les murs, Et puis bien sûr, Toujours la lutte. Contre le ciel plus bas que terre, Toujours l'envol de l'éphémère, Toujours le feu, Sous tes paupières. Contre ce drapeau crucifié, Moi j'ai toujours le poing levé, Moi j'ai toujours, Le coeur blessé. C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, Ouais c'est la lutte, Ouais c'est la lutte dans mon pays. Peuple violé a voté, Pour l'ordre sur les carrefours, (Faut la piquer la chienne,) (A voir comme un CORPS au lever du jour.) Faut retourner aux pogos, Des berruriers dans le ghetto, Faut retrouver le doux parfum, Quand on parlait avec les poings. TES CULPABILITE DISCOURT ??????????(Puis c'est des pas pour rien du tout,) Au bleu marine sur les carrefours Peuple violé en redemande. Au tout gratuit sur les réseaux, Moi je fais dans la contrebande, Au bilan de nos illettrismes, Toujours la voix de ce fascisme C'est la gangrène, Dans mon pays, C'est la gangrène, C'est la gangrène, Dans mon pays, Moi j'ai la haine. Si l'internationale est morte, Puis si le national l'emporte, Mon coeur blessé, A quand la lutte ? Si le fascisme est à la porte, Et que le diable nous emporte, Au vent mauvais, A quand la lutte ? A la santé des univers, A la santé d'aimer son frère, A ta santé, A la santé des lettres. Pour l'étranger, pour notre terre, Pour tes yeux doux sous la lumière, Pour oublier, Ouais qu'ici c'est la lutte... C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, C'est la lutte, Ouais c'est la lutte dans mon pays.
kurdtkobane — Il y a 10 ans

j'entends:

Toujours à droite ici c'est sûr,
Toujours nourrir les pourritures,
Dans mon pays,
Toujours le souffre.

Dans la misère toujours mes frères,
Du populisme au populaire,
Toujours la nuit,
Qui s'y engouffre.

Toujours LE FRONT à l'horizon,
(Au premier mai, vends des chansons,)
Au vent du nord,
Chantant L'ESPOIR.

Toujours la rue qui pue la mort,
Toujours celui qui dort dehors,
Un jour ici tu sais,
Y aura la guerre.

Toujours les plaies et la faucille,
Toujours la suie et ce qui brille,
Toujours les fleurs,
Et les pourritures.

Toujours les parfums des blessures,
Toujours nos poings contre les murs,
Et puis bien sûr,
Toujours la lutte.

Contre le ciel plus bas que terre,
Toujours l'envol de l'éphémère,
Toujours le feu,
Sous tes paupières.

Contre ce drapeau crucifié,
Moi j'ai toujours le poing levé,
Moi j'ai toujours,
Le coeur blessé.

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
Ouais c'est la lutte,
Ouais c'est la lutte dans mon pays.

Peuple violé a voté,
Pour l'ordre sur les carrefours,
(Faut la piquer la chienne,)
(A voir comme un CORPS au lever du jour.)

Faut retourner aux pogos,
Des berruriers dans le ghetto,
Faut retrouver le doux parfum,
Quand on parlait avec les poings.

TES CULPABILITE DISCOURT
??????????(Puis c'est des pas pour rien du tout,)
Au bleu marine sur les carrefours
Peuple violé en redemande.

Au tout gratuit sur les réseaux,
Moi je fais dans la contrebande,
Au bilan de nos illettrismes,
Toujours la voix de ce fascisme

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
C'est la gangrène,

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
Moi j'ai la haine.

Si l'internationale est morte,
Puis si le national l'emporte,
Mon coeur blessé,
A quand la lutte ?

Si le fascisme est à la porte,
Et que le diable nous emporte,
Au vent mauvais,
A quand la lutte ?

A la santé des univers,
A la santé d'aimer son frère,
A ta santé,
A la santé des lettres.

Pour l'étranger, pour notre terre,
Pour tes yeux doux sous la lumière,
Pour oublier,
Ouais qu'ici c'est la lutte...

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
C'est la lutte,
Ouais c'est la lutte dans mon pays.

Merci @Killian ! Quelques corrections : Toujours à droite ici c'est sûr, Toujours nourrir les pourritures, Dans mon pays, Toujours le souffre. Dans la misère toujours mes frères, Du populisme au populaire, Toujours la nuit, Qui s'y engouffre. Toujours [b]le[/b] franc à l'horizon, Au premier mai, vends des chansons, Au vent du nord, Chantant [b]l'espoir[/b] Toujours la rue qui pue la mort, Toujours celui qui dort dehors, Un jour ici tu sais, Y aura la guerre. Toujours les plaies et la faucille, Toujours la suie et ce qui brille, Toujours les fleurs, Et les pourritures. Toujours les parfums des blessures, Toujours nos poings contre les murs, Et puis bien sûr, Toujours la lutte. Contre le ciel plus bas que terre, Toujours l'envol de l'éphémère, Toujours le feu, Sous tes paupières. Contre ce drapeau crucifié, Moi j'ai toujours le poing levé, Moi j'ai toujours, Le cœur blessé. C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, Ouais c'est la lutte, Ouais c'est la lutte [b]pour[/b] mon pays. Peuple violé a voté, Pour l'ordre sur les carrefours, Faut la piquer la chienne, [b]Qui aboie[/b] comme un coq au lever du jour. Faut retourner aux pogos, Des berruriers dans le ghetto, Faut retrouver le doux parfum, Quand on parlait avec les poings. Tes culpabilités disent court, [b]Puis cette époque où rien n'étonne[/b], Au bleu marine sur les carrefours, Peuple violé en redemande. Au tout gratuit sur les réseaux, Moi je fais dans la contrebande, Au bilan de nos illettrismes, Toujours la voix de ce fascisme. C'est la gangrène, Dans mon pays, C'est la gangrène, C'est la gangrène, Dans mon pays, Moi j'ai la haine. Si l'internationale est morte, Puis si le national [b]emporte[/b], [b]Nos[/b] cœurs blessés, A quand la lutte ? Si le fascisme est à la porte, Et que le diable nous emporte, Au vent mauvais, A quand la lutte ? A la santé des univers, A la santé d'aimer son frère, A ta santé, A la santé des lettres. Pour l'étranger, pour notre terre, Pour tes yeux doux sous la lumière, Pour oublier, Ouais qu'ici c'est la lutte... C'est la lutte, L'hirondelle est dans l'incendie, C'est la lutte, Ouais c'est la lutte dans mon pays.
blat — Il y a 10 ans

Merci Killian !

Quelques corrections :

Toujours à droite ici c'est sûr,
Toujours nourrir les pourritures,
Dans mon pays,
Toujours le souffre.

Dans la misère toujours mes frères,
Du populisme au populaire,
Toujours la nuit,
Qui s'y engouffre.

Toujours le franc à l'horizon,
Au premier mai, vends des chansons,
Au vent du nord,
Chantant l'espoir

Toujours la rue qui pue la mort,
Toujours celui qui dort dehors,
Un jour ici tu sais,
Y aura la guerre.

Toujours les plaies et la faucille,
Toujours la suie et ce qui brille,
Toujours les fleurs,
Et les pourritures.

Toujours les parfums des blessures,
Toujours nos poings contre les murs,
Et puis bien sûr,
Toujours la lutte.

Contre le ciel plus bas que terre,
Toujours l'envol de l'éphémère,
Toujours le feu,
Sous tes paupières.

Contre ce drapeau crucifié,
Moi j'ai toujours le poing levé,
Moi j'ai toujours,
Le cœur blessé.

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
Ouais c'est la lutte,
Ouais c'est la lutte pour mon pays.

Peuple violé a voté,
Pour l'ordre sur les carrefours,
Faut la piquer la chienne,
Qui aboie comme un coq au lever du jour.

Faut retourner aux pogos,
Des berruriers dans le ghetto,
Faut retrouver le doux parfum,
Quand on parlait avec les poings.

Tes culpabilités disent court,
Puis cette époque où rien n'étonne,
Au bleu marine sur les carrefours,
Peuple violé en redemande.

Au tout gratuit sur les réseaux,
Moi je fais dans la contrebande,
Au bilan de nos illettrismes,
Toujours la voix de ce fascisme.

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
C'est la gangrène,

C'est la gangrène,
Dans mon pays,
Moi j'ai la haine.

Si l'internationale est morte,
Puis si le national emporte,
Nos cœurs blessés,
A quand la lutte ?

Si le fascisme est à la porte,
Et que le diable nous emporte,
Au vent mauvais,
A quand la lutte ?

A la santé des univers,
A la santé d'aimer son frère,
A ta santé,
A la santé des lettres.

Pour l'étranger, pour notre terre,
Pour tes yeux doux sous la lumière,
Pour oublier,
Ouais qu'ici c'est la lutte...

C'est la lutte,
L'hirondelle est dans l'incendie,
C'est la lutte,
Ouais c'est la lutte dans mon pays.

Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? " En tout cas ça m'a frappé en réécoutant le morceau, qui au passage me donne encore des frissons. Voilà le Damien Saez que je respecte et que j'admire, c'est lorsqu'il te pond un truc comme ça.. Piouh, l'émotion était bien omniprésente hier soir... ( merci pour les paroles )
jej33 — Il y a 10 ans

Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? "

En tout cas ça m'a frappé en réécoutant le morceau, qui au passage me donne encore des frissons.

Voilà le Damien Saez que je respecte et que j'admire, c'est lorsqu'il te pond un truc comme ça..

Piouh, l'émotion était bien omniprésente hier soir...
( merci pour les paroles )

@blat, Si tu peux modifier mon premier post suivant les recommandations de chacun... j'ai plus trop la foi là!!!! :p
Killian — Il y a 10 ans

blat,

Si tu peux modifier mon premier post suivant les recommandations de chacun... j'ai plus trop la foi là!!!!

[quote="jej33"]Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? "[/quote] C'est pour ça que ça me disait quelque chose. ^^
melie — Il y a 10 ans

Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? "

C'est pour ça que ça me disait quelque chose.

Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...
__Marine__ — Il y a 10 ans

Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...

Pour ma part, voilà ce que j'entends : ''Toujours le Front à l’horizon Au premier mai vont les chansons'' ''Toujours la suie sur ce qui brille'' ''Déculpabiliser l’ discours'' ''Pis si le National l’emporte''
Slainte — Il y a 10 ans

Pour ma part, voilà ce que j'entends :

''Toujours le Front à l’horizon
Au premier mai vont les chansons''

''Toujours la suie sur ce qui brille''

''Déculpabiliser l’ discours''

''Pis si le National l’emporte''

[quote="melie"][quote="jej33"]Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? "[/quote] C'est pour ça que ça me disait quelque chose. ^^[/quote] Effectivement, moi aussi ça me disait quelque chose.
C86 — Il y a 10 ans

Personne a remarqué que c'était quasiment la même compo que " qui je suis d'où je viens ? "

C'est pour ça que ça me disait quelque chose.


Effectivement, moi aussi ça me disait quelque chose.

[quote="__Marine__"]Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...[/quote] A moins qu'il les retravaille musicalement parlant pour qu'elles soient plus affinées pour figurer sur un album.
C86 — Il y a 10 ans

Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...


A moins qu'il les retravaille musicalement parlant pour qu'elles soient plus affinées pour figurer sur un album.

[quote="C86"][quote="__Marine__"]Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...[/quote] A moins qu'il les retravaille musicalement parlant pour qu'elles soient plus affinées pour figurer sur un album.[/quote] Ca serait nul si ça figurait sur un album... Ca perdrait de son authenticité.
melie — Il y a 10 ans

Parait qu'il faut retourner au bureau demain, hum, on peut pas retourner en week end à La Rochelle ? Avec Damien et ses inédites de folie qu'on entendra plus jamais...


A moins qu'il les retravaille musicalement parlant pour qu'elles soient plus affinées pour figurer sur un album.

Ca serait nul si ça figurait sur un album... Ca perdrait de son authenticité.

Regarde, ma petite couturière a fini par figurer sur Messina.
C86 — Il y a 10 ans

Regarde, ma petite couturière a fini par figurer sur Messina.

C'est différent. Elle était déjà donnée en version studio en téléchargement et déjà prévue pour le prochain album avant qu'elle soit jouée en live.
melie — Il y a 10 ans

C'est différent. Elle était déjà donnée en version studio en téléchargement et déjà prévue pour le prochain album avant qu'elle soit jouée en live.

Pareil direct pensé à "Qui je suis d’Où je viens." Comme quoi même avec des simples accords tu peux filer de l’émotion :).
Drive_Me — Il y a 10 ans

Pareil direct pensé à "Qui je suis d’Où je viens."
Comme quoi même avec des simples accords tu peux filer de l’émotion .

OK @melie tu as raison, je m'incline.
C86 — Il y a 10 ans

OK melie tu as raison, je m'incline.

Tu pouvais prendre l'exemple de Marie.
Drive_Me — Il y a 10 ans

Tu pouvais prendre l'exemple de Marie.

@C86 : pas besoin de t'incliner, c'était pas un combat, hein ! ^^ @Drive_Me : ah si Marie avait pu qu'exister en live...
melie — Il y a 10 ans

C86 : pas besoin de t'incliner, c'était pas un combat, hein !

Drive_Me : ah si Marie avait pu qu'exister en live...

Voilà les paroles que j'ai pu retranscrire de l'inédite des francopholies: http://www.youtube.com/watch?v=4P6dTFSjIjE y'a surement pas mal de faute, j'éditerais au fur et à mesure de vos suggestions. Toujours à droite ici, c'est sûr Toujours nourrir les pourritures Dans mon pays Toujours le souffre pour la misère Toujours mes frères, du populisme au populaire Toujours la nuit (ici on gouffre?) Toujours le franc à l'horizon Au premier mur des chansons Au vent du nord, j’entends l'espoir Toujours la rue qui pue la mort Toujours celui qui dort dehors Un jour ici tu sais, y'aura la guerre Toujours les plaies et la (fausée?) Toujours la Suisse qui brille Toujours les fleurs et les pourritures Toujours les parfums des blessures Toujours nos poings contre les murs Et puis bien sûr, toujours la lutte contre le ciel, plus bas que terre toujours l'envol de l'éphémère toujours le feu, sous tes paupières Contre les cerveaux crucifiés Moi j'ai toujours le poing levé ; moi j'ai toujours le cœur blessé C'est la lutte L'hirondelle est dans l’incendie Oué c'est la lutte Oué c'est la lutte, dans mon pays Peuple violé a voté pour l'ordre sur les carrefours (faut la piquée ta chienne ?) qui aboie comme un coq au levé du jour faut retourner aux.... ? Des (serruriers?) dans les ghettos Faut retrouver le doux parfum De quand on parlait avec les poings des culpabilisés discours puis c'était pas pour rien du tout au (bleu marine?) sur les carrefours peuple violé en redemande (Au tout gratuit sur les réseaux?) Moi je fais dans la contrebande au bilan de nos illettrés de nos lavoir, de ce fascisme C'est la gangrène, dans mon pays c'est la gangrène c'est la gangrène dans mon pays Moi j'ai la haine Si (l'international?) est morte Puis si le national emporte Nos cœurs blesses A quand la lutte ? Si le fascisme est à la porte si le diable nous emportes... au vent mauvais A quand la lutte ? A la santé des univers A la santé d'aimer son frère A ta santé A la santé des lettres Pour l'étranger pour notre terre Pour tes yeux doux sous la lumière Pour oublier Oui qu'ici c'est la lutte Oui c'est la lutte.. L'hirondelle est dans l’incendie Oui c'est lutte Oué c'est la lutte, dans mon pays.
AxelSGD — Il y a 10 ans

Voilà les paroles que j'ai pu retranscrire de l'inédite des francopholies:


http://www.youtube.com/watch?v=4P6dTFSjIjE y'a surement pas mal de faute, j'éditerais au fur et à mesure de vos suggestions.



Toujours à droite ici, c'est sûr
Toujours nourrir les pourritures
Dans mon pays
Toujours le souffre pour la misère
Toujours mes frères,
du populisme au populaire
Toujours la nuit (ici on gouffre?)
Toujours le franc à l'horizon
Au premier mur des chansons
Au vent du nord, j’entends l'espoir
Toujours la rue qui pue la mort
Toujours celui qui dort dehors
Un jour ici tu sais, y'aura la guerre
Toujours les plaies et la (fausée?)
Toujours la Suisse qui brille
Toujours les fleurs et les pourritures
Toujours les parfums des blessures
Toujours nos poings contre les murs
Et puis bien sûr, toujours la lutte
contre le ciel, plus bas que terre
toujours l'envol de l'éphémère
toujours le feu, sous tes paupières
Contre les cerveaux crucifiés
Moi j'ai toujours le poing levé ;
moi j'ai toujours le cœur blessé
C'est la lutte
L'hirondelle est dans l’incendie
Oué c'est la lutte
Oué c'est la lutte, dans mon pays
Peuple violé a voté
pour l'ordre sur les carrefours
(faut la piquée ta chienne ?)
qui aboie comme un coq au levé du jour
faut retourner aux.... ?
Des (serruriers?) dans les ghettos
Faut retrouver le doux parfum
De quand on parlait avec les poings
des culpabilisés discours
puis c'était pas pour rien du tout
au (bleu marine?) sur les carrefours
peuple violé en redemande
(Au tout gratuit sur les réseaux?)
Moi je fais dans la contrebande
au bilan de nos illettrés
de nos lavoir, de ce fascisme
C'est la gangrène, dans mon pays
c'est la gangrène
c'est la gangrène dans mon pays
Moi j'ai la haine

Si (l'international?) est morte
Puis si le national emporte
Nos cœurs blesses
A quand la lutte ?
Si le fascisme est à la porte
si le diable nous emportes... au vent mauvais
A quand la lutte ?
A la santé des univers
A la santé d'aimer son frère
A ta santé
A la santé des lettres
Pour l'étranger pour notre terre
Pour tes yeux doux sous la lumière
Pour oublier
Oui qu'ici c'est la lutte
Oui c'est la lutte..
L'hirondelle est dans l’incendie
Oui c'est lutte
Oué c'est la lutte, dans mon pays.

C'était déjà fait, désolé!!
Killian — Il y a 10 ans

C'était déjà fait, désolé!!

C'est que je viens de voir, mais c'est pas grave, tant mieux au contraire :).
AxelSGD — Il y a 10 ans

C'est que je viens de voir, mais c'est pas grave, tant mieux au contraire .

Putain quelle claque, je m en passe plus .... merci pour ce partage.
kyl 24 — Il y a 10 ans

Putain quelle claque, je m en passe plus .... merci pour ce partage.

Dur sur cette chanson d'etre sur des paroles... Moi j'entends : Toujours les blé et la faucille, toujours la Suisse qui prie. C'est chelou mais bon. Toujours, le Front a l'horizon. Au premier mai, vends des chansons... Ca me fait penser a leur fete pourrie jeanne d'arc des lepenistes mais ca va pas trop avec la suite... Quand il dit : Faut la piquer la chienne qui aboie comme un coq au lever du jour. Il parle de Marine, vous pensez?
L'HemorragieDeNosMélancolies — Il y a 10 ans

Dur sur cette chanson d'etre sur des paroles...
Moi j'entends : Toujours les blé et la faucille, toujours la Suisse qui prie. C'est chelou mais bon.

Toujours, le Front a l'horizon. Au premier mai, vends des chansons... Ca me fait penser a leur fete pourrie jeanne d'arc des lepenistes mais ca va pas trop avec la suite...

Quand il dit : Faut la piquer la chienne qui aboie comme un coq au lever du jour. Il parle de Marine, vous pensez?

Après quelques écoutes supplémentaires : [quote="Killian"]Toujours les plaies et la faucille, Toujours [b]la suie et ce[/b] qui brille, Toujours les fleurs, Et les pourritures.[/quote]La Suisse qui brille ? Bof. La suie et ce qui brille ça me semble plus cohérent avec la construction du vers précédent.. [quote="Killian"]Faut retourner aux pogos, Des berruriers dans [b]les[/b] ghetto, Faut retrouver le doux parfum, Quand on parlait avec les poings.[/quote] [quote="Killian"]Déculpabilisé le discours, [b]Puis cette époque où rien n'étonne[/b] Au bleu marine sur les carrefours, Peuple violé en redemande.[/quote]Sérieux, vous entendez "Puis c’est le peuple" ?? [quote="Killian"]Si l'internationale est morte, Puis si le national [b]emporte,[/b] Mon coeur blessé, A quand la lutte ?[/quote]
blat — Il y a 10 ans

Après quelques écoutes supplémentaires :

Toujours les plaies et la faucille,
Toujours la suie et ce qui brille,
Toujours les fleurs,
Et les pourritures.
La Suisse qui brille ? Bof. La suie et ce qui brille ça me semble plus cohérent avec la construction du vers précédent..

Faut retourner aux pogos,
Des berruriers dans les ghetto,
Faut retrouver le doux parfum,
Quand on parlait avec les poings.

Déculpabilisé le discours,
Puis cette époque où rien n'étonne
Au bleu marine sur les carrefours,
Peuple violé en redemande.
Sérieux, vous entendez "Puis c’est le peuple" ??

Si l'internationale est morte,
Puis si le national emporte,
Mon coeur blessé,
A quand la lutte ?

Après une autre écoute j'entends bien "la Suisse" finalement et non "la suie et ce". Si tu mets "les", mets un "s" à "ghetto", mais il me semblait bien entendre "le. Pour le troisième paragraphe, perso j'entends rien!! Et enfin j'entends bien "l'emporte", sinon je comprends pas trop le sens..?
Killian — Il y a 10 ans

Après une autre écoute j'entends bien "la Suisse" finalement et non "la suie et ce".

Si tu mets "les", mets un "s" à "ghetto", mais il me semblait bien entendre "le.

Pour le troisième paragraphe, perso j'entends rien!!

Et enfin j'entends bien "l'emporte", sinon je comprends pas trop le sens..?

Si le national l'emporte en opposition a l'international, ca signifie schematiquement si le fascisme triomphe sur le communisme
L'HemorragieDeNosMélancolies — Il y a 10 ans

Si le national l'emporte en opposition a l'international, ca signifie schematiquement si le fascisme triomphe sur le communisme

Fascisme, communisme ... que se soit l un ou l autre c est pas terrible comme idéologie.
kyl 24 — Il y a 10 ans

Fascisme, communisme ... que se soit l un ou l autre c est pas terrible comme idéologie.

Si justement sans le "l'" ça a plus de sens, mais dans ce cas il faut enlever la virgule après emporte pour que le national emporte le coeur blessé :)
Alizée — Il y a 10 ans

Si justement sans le "l'" ça a plus de sens, mais dans ce cas il faut enlever la virgule après emporte pour que le national emporte le coeur blessé

Ben Saez n'a pas l'air de cet avis, le communisme a été principalement marqué par l'exprerience russe, mais c'est pas vraiment le bon exemple. De toute facon, la Russie etait un pays tres spécial. Regarde la, depuis 91, c'est censé etre une démocratie et c'est quasiment un régime pire que stalinien... Les castes au pouvoir la-bas s'accaparent toutes les richesses et les opposants sont envoyés dans des camps que ca soit sous l'egide d'une idéologie communiste ou capitaliste... L'idéologie communiste est beaucoup mieux que le fascisme et le nationalisme. Le meilleur exemple communiste serait un petit village en Espagne où le communisme est arrivé démocratiquement, jsais plus exactement le nom, tu dois pouvoir trouver ca sur le net
L'HemorragieDeNosMélancolies — Il y a 10 ans

Ben Saez n'a pas l'air de cet avis, le communisme a été principalement marqué par l'exprerience russe, mais c'est pas vraiment le bon exemple. De toute facon, la Russie etait un pays tres spécial. Regarde la, depuis 91, c'est censé etre une démocratie et c'est quasiment un régime pire que stalinien... Les castes au pouvoir la-bas s'accaparent toutes les richesses et les opposants sont envoyés dans des camps que ca soit sous l'egide d'une idéologie communiste ou capitaliste...

L'idéologie communiste est beaucoup mieux que le fascisme et le nationalisme. Le meilleur exemple communiste serait un petit village en Espagne où le communisme est arrivé démocratiquement, jsais plus exactement le nom, tu dois pouvoir trouver ca sur le net