“Les canons membres génitaux, Engrossent l’amoureuse terre. Le temps est aux instincts brutaux. Pareille à l’amour est la guerre.” Guillaume Apollinaire
Maitre Kaio Il y a 10 ans

“Les canons membres génitaux,
Engrossent l’amoureuse terre.
Le temps est aux instincts brutaux.
Pareille à l’amour est la guerre.”

Guillaume Apollinaire

"Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !" Charles Beaudelaire
ofélie179 Il y a 10 ans

"Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !"

Charles Beaudelaire

Baudelaire* :)
musashi Il y a 10 ans

Baudelaire*

[quote="musashi"]Baudelaire* :)[/quote] CAR il n'était pas beau ...
AnonymeIl y a 10 ans

Baudelaire*


CAR il n'était pas beau ...

http://www.youtube.com/watch?v=fJxmjw4Pv_Y
Maitre Kaio Il y a 10 ans


http://www.youtube.com/watch?v=fJxmjw4Pv_Y

Vaines prières Les gencives qui saignent sur des dents trop serrés Et les yeux révulsés des futurs passés Déglutis tes rancœurs et tes renvois acides Garde au fond de ta gorge le goût de l’insipide La mâchoire tremblante sur tes crocs acérés Le regard apeuré de la bête blessée Crachant sur leur justice ta morve romantique Quand la romance moque tes morsures excentriques L’acte de rémission déjà revendiqué Sur ce bout de papier prompt à se déchirer Leurs dieux n’ont d’yeux que pour les tristes adieux Et scellent le sort de ceux qui ne vivent pas comme eux Mourir comme un insecte, là, sur la baie vitrée Séché par ce soleil qui t’auras attiré Et laisser aux prières le droit de croire encore Au salut de nos âmes et au repos des corps -> http://kaio.desinvolt.fr/post/82785669350
Maitre Kaio Il y a 10 ans

Vaines prières

Les gencives qui saignent sur des dents trop serrés
Et les yeux révulsés des futurs passés
Déglutis tes rancœurs et tes renvois acides
Garde au fond de ta gorge le goût de l’insipide

La mâchoire tremblante sur tes crocs acérés
Le regard apeuré de la bête blessée
Crachant sur leur justice ta morve romantique
Quand la romance moque tes morsures excentriques

L’acte de rémission déjà revendiqué
Sur ce bout de papier prompt à se déchirer
Leurs dieux n’ont d’yeux que pour les tristes adieux
Et scellent le sort de ceux qui ne vivent pas comme eux

Mourir comme un insecte, là, sur la baie vitrée
Séché par ce soleil qui t’auras attiré
Et laisser aux prières le droit de croire encore
Au salut de nos âmes et au repos des corps


-> http://kaio.desinvolt.fr/post/82785669350

:) merci m'sieur comme un espoir dans les deux dernières lignes ........... et puis on se souvient du titre
Eléa Il y a 10 ans

merci m'sieur
comme un espoir dans les deux dernières lignes ........... et puis on se souvient du titre

je suis d'accord avec @Eléa j'aime beaucoup, même si c'est relativement sombre jolie plume Maître ;)
AnonymeIl y a 10 ans


je suis d'accord avec Eléa
j'aime beaucoup, même si c'est relativement sombre
jolie plume Maître

http://francoisdesmier.fr http://lucmuller.fr sans dire que c'est de la pub :)
Eléa Il y a 10 ans

http://francoisdesmier.fr
http://lucmuller.fr

sans dire que c'est de la pub

@Eléa Bon en plus d'être décalée me voici perdue. C'est quoi cette image ? Et elle est où la joulie fleur bleue ? :-O
Décalée Il y a 10 ans

Eléa

Bon en plus d'être décalée me voici perdue.
C'est quoi cette image ? Et elle est où la joulie fleur bleue ?

C'est Blat! Rho vous suivez pas hein!
AnonymeIl y a 10 ans

C'est Blat! Rho vous suivez pas hein!

@Maitre Kaio Chapeau !
Décalée Il y a 10 ans

@Maitre Kaio


Chapeau !

elle s'est momentanément absentée, je clone @blat des fois que la bague au doigt nous le change :)
Eléa Il y a 10 ans

elle s'est momentanément absentée, je clone blat des fois que la bague au doigt nous le change

[quote="samsonkillneon"]C'est Blat! Rho vous suivez pas hein![/quote] Oui, je sais, c'est la journée Blat dans moins de 7 minutes, mais c'est pas tout de suite qu'il va se multiplier... :D
Décalée Il y a 10 ans

C'est Blat! Rho vous suivez pas hein!
@samsonkillneon



Oui, je sais, c'est la journée Blat dans moins de 7 minutes, mais c'est pas tout de suite qu'il va se multiplier...

[quote="ofélie179"]"Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !" Charles Beaudelaire[/quote] Et Tellement bien chantée par Saez...
Décalée Il y a 10 ans

"Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !"

Charles Beaudelaire


Et Tellement bien chantée par Saez...

Merci d'aller pisser dans vos pétunias
Maitre Kaio Il y a 10 ans

Merci d'aller pisser dans vos pétunias

Et piétiner les platanes du voisin.
AnonymeIl y a 10 ans

Et piétiner les platanes du voisin.

[i]HS ON[/i] ce week-end, en sortie avec mes enfants à une exposition Playmobils, j'ai eu la surprise et la joie de trouver ce bel oiseau aux mystérieuses bottes bleues ... [url=http://pix.toile-libre.org/?img=1399893430.jpg][img]http://pix.toile-libre.org/upload/img/1399893430.jpg[/img][/url] souvenir souvenir ... ;) [i]HS OFF[/i]
AnonymeIl y a 9 ans


HS ON


ce week-end, en sortie avec mes enfants à une exposition Playmobils, j'ai eu la surprise et la joie de trouver ce bel oiseau aux mystérieuses bottes bleues ...





souvenir souvenir ...


HS OFF

oh putain, NEED IT
Maitre Kaio Il y a 9 ans

oh putain, NEED IT

Je vous aime pour toujours. Et je le pense vraiment. Linark, Al si vous passez par là, vous aussi. Même Tioum, même Damien. J'aurais aimé en vers de douze pieds vous chanter la ballade de ceux qui volent plutôt que de marcher... Alexandrin, Alexandrine Mandrin ou mandarine... J'aurais aimé, oui! Voilà donc au pied levé la ballade des va-nu-pieds! C'était une bande de branquignolles, de casse-couilles, de casse-pieds mais ils avaient tous bon pied, bon œil, le coup de pied solide et agile. Et sévissaient de nuit, pied à pied et pas à pas, vêtus de noir de pied en cap! Il y avait Jo le trembleur, un pied dans la tombe déjà... il séchait carrément sur pied mais même six pieds sous terre, v'là qu'il nous casse encore les pieds! Et puis il y avait Marie. Marie la souillon! Et c'était vraiment le pied de la regarder avec son cou-de-pied de princesse! Une vraie beauté! Mais manquait à son bonheur un prince en queue de pie, un chausson en pied-de-coq. Il y avait aussi Albert Tarbouif qui ne voyait que le bout de son nez, bête comme ses pieds mais qui, comme un chat retombait toujours sur les siens! Quant à Émile le dingue il faisait des pieds et des mains pour une bouchée de pain et sous la table faisait du pied à Marie espérant assouvir le plus grand de ses fantasmes: la prendre entre deux pieds de chaises. D'ailleurs, Dédé de Montmartre le restaurateur acceptait les dessous de table et mettait toujours les pieds dans le plat. Il menait grande vie, grand pied pendant que Ginette la gentille, pieds en éventail, rêvait au bord de la piscine. Joséphine Braqueur, comme son nom l'indique faisait peur. Oeil vif et pied alerte, elle marchait dés qu'elle le pouvait sur ceux de son prochain. Aïe aïe aïe! Et pour finir, la plus jeune de la bande (mais pas la moindre...), Sophie branle tout qui se levait toujours du mauvais pied mais savait le manier avec tant de dextérité. C'était le gang des saez pieds! Fultrouille bilkach. Cassailouchine ejanouch Viudravopu. Fast foud mikolich glaboshi Alors, c'est vrai... Je reconnais que je voudrais être à cent pieds sous terre! J'ai honte! J'ai même des envies de me cacher d'avoir osé faire ainsi ce pied de nez. En plus je sens bien que vous êtes déçus, honteux pour moi et je suppose même que vous tirez un nez d'un pied de long? Mais après tout, ça vous fait les pieds! Je suis de sale humeur...une putain de sale humeur! (pour faire plus saezien!) C'est la faute à mon pied gauche qui trop tôt ce matin a sauté sur le tapis sans prévenir l'autre. Tomber de son piédestal, ça fait mal. (et ça rime en plus.) Et oui! J'ai le pied trop leste et le pied beau! Et si je suis pieds et mains liés par le secret professionnel, je ne risque pas l'entorse au doigt de pied vu que je ne me suis pas foulée... Un, deux, trois...neuf! Je retiens mon pied de bœuf! De toutes les façons, comme le dit si bien le dicton, je vous emmerde tous à pied, à cheval et en voiture. Allez sans rancune! Passez une putain de bonne journée, je vous fais mon pied de veau... Enfin, ma révérence, quoi!!!! Bisous, bisous, bisous. C'était une putain de chouette histoire!
AnonymeIl y a 9 ans

Je vous aime pour toujours. Et je le pense vraiment.
Linark, Al si vous passez par là, vous aussi. Même Tioum, même Damien.




J'aurais aimé en vers de douze pieds vous chanter la ballade de ceux qui volent plutôt que de marcher...
Alexandrin, Alexandrine
Mandrin ou mandarine...
J'aurais aimé, oui!
Voilà donc au pied levé la ballade des va-nu-pieds!

C'était une bande de branquignolles, de casse-couilles, de casse-pieds mais ils avaient tous bon pied, bon œil, le coup de pied solide et agile.
Et sévissaient de nuit, pied à pied et pas à pas, vêtus de noir de pied en cap!

Il y avait Jo le trembleur, un pied dans la tombe déjà... il séchait carrément sur pied mais même six pieds sous terre, v'là qu'il nous casse encore les pieds!
Et puis il y avait Marie.
Marie la souillon! Et c'était vraiment le pied de la regarder avec son cou-de-pied de princesse! Une vraie beauté! Mais manquait à son bonheur un prince en queue de pie, un chausson en pied-de-coq.
Il y avait aussi Albert Tarbouif qui ne voyait que le bout de son nez, bête comme ses pieds mais qui, comme un chat retombait toujours sur les siens!
Quant à Émile le dingue il faisait des pieds et des mains pour une bouchée de pain et sous la table faisait du pied à Marie espérant assouvir le plus grand de ses fantasmes: la prendre entre deux pieds de chaises.
D'ailleurs, Dédé de Montmartre le restaurateur acceptait les dessous de table et mettait toujours les pieds dans le plat. Il menait grande vie, grand pied pendant que Ginette la gentille, pieds en éventail, rêvait au bord de la piscine.
Joséphine Braqueur, comme son nom l'indique faisait peur. Oeil vif et pied alerte, elle marchait dés qu'elle le pouvait sur ceux de son prochain. Aïe aïe aïe!
Et pour finir, la plus jeune de la bande (mais pas la moindre...), Sophie branle tout qui se levait toujours du mauvais pied mais savait le manier avec tant de dextérité.

C'était le gang des saez pieds!

Fultrouille bilkach. Cassailouchine ejanouch
Viudravopu. Fast foud mikolich glaboshi

Alors, c'est vrai...
Je reconnais que je voudrais être à cent pieds sous terre! J'ai honte!
J'ai même des envies de me cacher d'avoir osé faire ainsi ce pied de nez.
En plus je sens bien que vous êtes déçus, honteux pour moi et je suppose même que vous tirez un nez d'un pied de long?

Mais après tout, ça vous fait les pieds!
Je suis de sale humeur...une putain de sale humeur! (pour faire plus saezien!)
C'est la faute à mon pied gauche qui trop tôt ce matin a sauté sur le tapis sans prévenir l'autre. Tomber de son piédestal, ça fait mal. (et ça rime en plus.)
Et oui!
J'ai le pied trop leste et le pied beau!
Et si je suis pieds et mains liés par le secret professionnel, je ne risque pas l'entorse au doigt de pied vu que je ne me suis pas foulée...

Un, deux, trois...neuf!
Je retiens mon pied de bœuf!

De toutes les façons, comme le dit si bien le dicton, je vous emmerde tous à pied, à cheval et en voiture.
Allez sans rancune! Passez une putain de bonne journée, je vous fais mon pied de veau...

Enfin, ma révérence, quoi!!!!



Bisous, bisous, bisous. C'était une putain de chouette histoire!



[quote="Nicolas Bdeos"]Cette nuit, sous nos draps sibériens, la rancune a beau ronfler comme une truie, elle ne réussit point à réveiller le désir. Je la regarde qui pionce dans son petit coin, à peine bercée par mon orgueil.[/quote]
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Cette nuit, sous nos draps sibériens, la rancune a beau ronfler comme une truie, elle ne réussit point à réveiller le désir. Je la regarde qui pionce dans son petit coin, à peine bercée par mon orgueil.

[quote]Ils prennent le dernier whisky Ils prennent le dernier bon mot Ils reprennent le dernier whisky Ils prennent le dernier tango...[/quote] Sur l'azur la pluie a posé son véto Sur l'air pur leurs gaz ont eu le dernier mot Dans de troubles eaux s'est noyé mon égo Et de tristes augures siègent au pied des drapeaux
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Ils prennent le dernier whisky
Ils prennent le dernier bon mot
Ils reprennent le dernier whisky
Ils prennent le dernier tango...



Sur l'azur la pluie a posé son véto
Sur l'air pur leurs gaz ont eu le dernier mot
Dans de troubles eaux s'est noyé mon égo
Et de tristes augures siègent au pied des drapeaux

[quote]Et de tristes augures siègent au pied des drapeaux[/quote] auto-quote mais ca se sentait venir hein...
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Et de tristes augures siègent au pied des drapeaux

auto-quote mais ca se sentait venir hein...

Oui, il y a des concours de circonstances où les mots se heurtent à quelque chose d'encore plus éminent. Et que va-t-il survivre au tremblement? Des spasmes de colère ou déraison? A chacun ses battements d'aile pour un effet papillon...
alizee-deziles Il y a 9 ans

Oui, il y a des concours de circonstances où les mots se heurtent à quelque chose d'encore plus éminent.
Et que va-t-il survivre au tremblement?
Des spasmes de colère ou déraison?

A chacun ses battements d'aile pour un effet papillon...

Promets moi Promets moi, inconscient Le retour des beaux jours Jure moi sur l’instant De ne plus jouer de tours Au naïf croyant Aux vertus de l’Amour Promets moi que le temps Gommera les contours Du sordide printemps Qu’une griffe de vautour Sur le cœur des amants A gravé pour toujours Promets moi que ces gens Tous parés des atours D'or et de faux semblants L’autre pour dernier recours De leur tour d’argent Chuteront dans la cours Où les égos errants Cherchent refuge en l’Amour.
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Promets moi

Promets moi, inconscient
Le retour des beaux jours
Jure moi sur l’instant
De ne plus jouer de tours
Au naïf croyant
Aux vertus de l’Amour
Promets moi que le temps
Gommera les contours
Du sordide printemps
Qu’une griffe de vautour
Sur le cœur des amants
A gravé pour toujours
Promets moi que ces gens
Tous parés des atours
D'or et de faux semblants
L’autre pour dernier recours
De leur tour d’argent
Chuteront dans la cours
Où les égos errants
Cherchent refuge en l’Amour.

:) merci m'sieur
Eléa Il y a 9 ans

merci m'sieur

Nul nécessité ici de quelconques remerciements... ;) Mais c'est gentil quand même :)
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Nul nécessité ici de quelconques remerciements...

Mais c'est gentil quand même

aïe mon pauvre petit cœur :s [i]edit : je parle bien de mon coeur à moi, qui bat dans ma poitrine, je craignais un quelconque malentendu[/i] magnifique kaio, sincèrement ... autant dans le choix des mots, des rimes et du rythme uep, tout comme @Eléa , un merci simple et efficace sort instinctivement de ma bouche ^^
AnonymeIl y a 9 ans


aïe mon pauvre petit cœur
edit : je parle bien de mon coeur à moi, qui bat dans ma poitrine, je craignais un quelconque malentendu

magnifique kaio, sincèrement ...
autant dans le choix des mots, des rimes et du rythme

uep, tout comme Eléa , un merci simple et efficace sort instinctivement de ma bouche

C'est la régression.
AnonymeIl y a 9 ans

C'est la régression.

L'es tu toi? L’es tu toi lucide Issue hypothétique Sur l’oreiller humide De tes sueurs froides Tes tourments pathétiques Ces distorsions fades Corps moite et lymphatique Irrémédiablement soumis Aux hormones tyranniques Recroquevillé là Chien sauvage et errant Sur tes angoisses d’enfant Qui de la plénitude Trouveras le sens De vivre en toute quiétude Aux milieux d’un tas d’cons Qui n’se soucient de toi Que pour asseoir fièrement leur domination, leurs lois L’avarice de leur temps.
Maitre Kaio Il y a 9 ans

L'es tu toi?

L’es tu toi lucide
Issue hypothétique
Sur l’oreiller humide
De tes sueurs froides
Tes tourments pathétiques
Ces distorsions fades
Corps moite et lymphatique
Irrémédiablement soumis
Aux hormones tyranniques
Recroquevillé là
Chien sauvage et errant
Sur tes angoisses d’enfant
Qui de la plénitude
Trouveras le sens
De vivre en toute quiétude
Aux milieux d’un tas d’cons
Qui n’se soucient de toi
Que pour asseoir fièrement
leur domination, leurs lois
L’avarice de leur temps.