C’est plus de l’ordre du conditionnement en réalité 
Parceque j'aime ce que dégagent les toiles de Bernard Buffet...
Mademoiselle Bécat aux Ambassadeurs (lithographie), Edgar Degas <3
Bernard Buffet j'ai adoré voir régulièrement celle-là pendant 2 ans ...
Un tableau qui m’intrigue et m’épate à chaque fois que je le revois :
La liseuse à la fenêtre de Johannes Vermeer
Lorenzo Mattotti que je connaissais pour ceci :
"Guirlanda"
Pis un jour j'ai entendu qu'on le surnommait "le maître de la couleur" ni plus ni moins 
Comme ce genre de titre m'intrigue toujours j'suis allé voir
J'aime bien c'est plein de rondeurs 
Un artiste à découvrir.
mathew cusick Genevieve's Wave, 2014
https://fr.lumas.com/artist/matthew_cusick/
http://m-grib.tumblr.com/image/164359572970
Debeurme sors de ce corps !
<3
Pour attaquer la semaine en toute désinvolture avec Jean-Louis Forain :
Portrait de Rimbaud
Femme avec loup et gants
Très sympa ces oeuvres idem, je ne connaissais pas Forain mais j'aime beaucoup.
Dans un autre style voici quelques portraits, dits "portraits du Fayoum". Le Fayoum est une région située près du Caire, en Égypte. Les portraits étaient placés sur les visages des défunts, et serrés dans les bandelettes des momies.
Ce sont les plus vieux portraits répertoriés, ils ont été réalisés il y a près de 2000 ans. Plus de 700 momies ornées de cette manière ont été retrouvées. Les peintures étaient réalisées sur bois ou sur lin et les pigments étaient mélangés à un encaustique composé de cire d'abeille. La méthode à permis aux couleurs de traverser les siècles mais ce qui est plus stupéfiant encore, c'est la modernité des traits des personnages et leur incroyable vitalité.
Ces narines d’os et de peau
par où commencent les ténèbres
de l’absolu, et la peinture de ces lèvres
que tu fermes comme un rideau
Et cet or que te glisse en rêve
la vie qui te dépouille d’os,
et les fleurs de ce regard faux
par où tu rejoins la lumière
Momie, et ces mains de fuseaux
pour te retourner les entrailles,
ces mains où l’ombre épouvantable
prend la figure d’un oiseau
Tout cela dont s’orne la mort
comme d’un rite aléatoire,
ce papotage d’ombres, et l’or
où nagent tes entrailles noires
C’est par là que je te rejoins,
par la route calcinée des veines,
et ton or est comme ma peine
le pire et le plus sûr témoin.
Antonin Artaud (1896-1948) – La Révolution Surréaliste, No. 7
Sublime poésie d'Artaud!
Et puisqu'on est dans le thème, j'en profite pour glisser cette oeuvre qui ne dépareillera pas dans notre galerie esthético-macabre:
Charles Allan Gilbert, All Is vanity
http://m-grib.tumblr.com/image/164359572970
Debeurme sors de ce corps !
Je connaissais pas ! merci pour la découverte c'est du bon
Margaret Keane et ses yeux.
gros (gros gros gros) coup de coeur pour les illustrations de Brecht Evens, auteur de bande dessinée belge
Du côté de Paul Klee dont l'épitaphe est éloquente...
"Ici repose le peintre
Paul Klee,
né le 18 décembre 1879,
mort le 29 juin 1940.
Ici-bas je ne suis guère saisissable
car j'habite aussi bien chez les morts
que chez ceux qui ne sont pas nés encore,
un peu plus proche
de la création que de coutume,
bien loin d'en être jamais assez proche"
Temple gardens (1920)
Masks on the meadow (1920)
Park near Lu (1938)
Strong dream (1929)
Underwater garden (1939)
strong dream aurait sa place chez moi
Mais oui ! Soyons millionnaires n'ayons peur de rien 
Enki Bilal autoportrait
gros (gros gros gros) coup de coeur pour les illustrations de Brecht Evens, auteur de bande dessinée belge
😍 trop trop trop beaux
Quelques dessins de Martin Lewis, un artiste australien :
Relics, speakeasy corner (1928)
Little Penthouse (1931)
The Arc Welders at Night
Down to the sea at night
Shadow dance (1930)
bon du coup style différent pour l'artiste contemporain Fabien Verschaere :
Asian fairy tales
Victor Hugo (2014)
Self dragon
Characters (2008)
Alice Brain
Happy birthday Joseph (2013)
Felix Valloton (qui a le don de me mettre mal à l'aise avec ses portraits)
Ah oui y’a comme un malaise avec les portraits je confirme !
Ah oui y’a comme un malaise avec les portraits je confirme !
Ah ! Merci, j'me sens moins seul !