Certes, ce n'est qu'une fiction. Cela étant, des fans excessifs dans leur admiration, existent bel et bien, non? Qu'il s'agisse de Damien Saez ou d'autres "catalyseurs". J'en ai rencontré, pour ma part, qui étaient beaucoup plus fanatisés que Lulute. En ce qui concerne cette Lulute justement, comme je n'ai pas de plan préétabli, elle m'emmène un peu où elle veut au fur et à mesure que le récit avance. Je crois que si, en ce qui la concerne, elle s'est raccrochée avec autant de passion à Damien Saez, c'est que son couple battait de l'aile. Ce qu'elle a longtemps hésité à s'avouer. Dans Julien elle pense avoir trouvé un double saézien avec lequel elle peut vivre quelque chose de fort et de pur sans être obligée de passer par la case adultère et la culpabilité qui, dans son cas, ne manquerait pas d'aller avec. D'où, peut-être, son besoin d'en rajouter une couche. Et de se montrer excessive dans l'excès. Mais rien n'est figé. Toutes sortes de chemins peuvent se présenter. Toutes sortes de bouleversements et de revirements avoir lieu. Ce qui me plaît, dans cette histoire, c'est que je ne sais pas du tout à l'avance à quoi je dois m'attendre.
francois19 Il y a 7 ans

Certes, ce n'est qu'une fiction. Cela étant, des fans excessifs dans leur admiration, existent bel et bien, non? Qu'il s'agisse de Damien Saez ou d'autres "catalyseurs". J'en ai rencontré, pour ma part, qui étaient beaucoup plus fanatisés que Lulute.

En ce qui concerne cette Lulute justement, comme je n'ai pas de plan préétabli, elle m'emmène un peu où elle veut au fur et à mesure que le récit avance. Je crois que si, en ce qui la concerne, elle s'est raccrochée avec autant de passion à Damien Saez, c'est que son couple battait de l'aile. Ce qu'elle a longtemps hésité à s'avouer. Dans Julien elle pense avoir trouvé un double saézien avec lequel elle peut vivre quelque chose de fort et de pur sans être obligée de passer par la case adultère et la culpabilité qui, dans son cas, ne manquerait pas d'aller avec. D'où, peut-être, son besoin d'en rajouter une couche. Et de se montrer excessive dans l'excès.

Mais rien n'est figé. Toutes sortes de chemins peuvent se présenter. Toutes sortes de bouleversements et de revirements avoir lieu. Ce qui me plaît, dans cette histoire, c'est que je ne sais pas du tout à l'avance à quoi je dois m'attendre.

Vous pensez vraiment qu'il ne va rien se passer ?! En bon fan de Saez, il se doit de... vous voyez, quoi ! Saez l'aurait fait lui je pense. Mais bon chacun a sa propre personnalité et il est pas obligé de le faire, mais quand même ! Edit : j'avais pas vu ton message françois...
JoannLataste Il y a 7 ans

Vous pensez vraiment qu'il ne va rien se passer ?! En bon fan de Saez, il se doit de... vous voyez, quoi ! Saez l'aurait fait lui je pense. Mais bon chacun a sa propre personnalité et il est pas obligé de le faire, mais quand même !

Edit : j'avais pas vu ton message françois...

[quote]On veut la suite !![/quote] Vos désirs sont des ordres! La voici. ;)
francois19 Il y a 7 ans

On veut la suite !!


Vos désirs sont des ordres! La voici.

6- Elle s’est longuement attardée dans la salle de bains, en est ressortie en pyjama noir, s’est glissée dans le lit à mes côtés. – Et maintenant ? Qu’est-ce qu’on fait ? – Hein ? Comment ça qu’est-ce qu’on fait ? Je croyais que… – Non, mais ce que je veux dire… demain ? – Ah ! En ce qui me concerne, j’ai pas trop le choix. Le devoir m’appelle. – Moi aussi. Et pas que le devoir. Parce que si je rentre pas, l’autre, il va vraiment finir par se demander ce que je fabrique. Et puis, de toute façon, maintenant que, grâce à toi, la boucle va être bouclée, le passé soldé, c’est pas plus mal qu’on s’y attarde pas à Châtillon. Quitte à y revenir un jour. Plus tard. Dans d’autres circonstances. Qui seront juste à nous cette fois. Rien qu’à nous. Non, tu crois pas ? – Il y a pas que Châtillon dans la vie n’importe comment. On peut aussi aller ailleurs. – Oh, pour ça, oui. Et déjà, pour commencer, à Paris. Chiche qu’on le fait ! Chiche ! Dès qu’on pourra. T’imagines ? Arpenter les bords de Seine. En parlant. En l’écoutant. En le chantant. D’abord une rive, puis l’autre. Dans l’autre sens. S’arrêter sur les ponts. Ceux dont il parle. Le pont des arts. Le pont Neuf. Tout ça. Et finir en beauté. À Notre-Dame. Là, je vais chialer. C’est sûr que je vais chialer. Elle te fout trop tout à l’envers sa Notre-Dame Mélancolie. Mais tant pis. Et puis après ? Varsovie. L’Alhambra. Ça s’impose. Ça va avec Paris. Et puis après après, il y aura encore tout le reste si on veut. Saint-Petersbourg. Messine. Miami. – Pontarlier. – Pontarlier, non, merci. Ça, c’est tous les jours pour moi, Pontarlier. Bon, mais faut que je me calme, là, faut vraiment que je me calme. Parce que je sais ce qui va se passer sinon. Je me connais. Je vais voyager toute la nuit dans ma tête et demain je serai complètement au radar. Alors tu te tais, s’il te plaît. On parle plus. Elle m’a pris la main, a entrelacé ses doigts avec les miens, s’est tournée sur le côté. Vers moi. – Bonne nuit. – À toi aussi. Son souffle dans mon cou. Presque aussitôt. Tranquille. Apaisé. Ses cheveux en caresse douce contre ma joue. Sa jambe, toute chaude, contre ma cuisse. Elle s’est réveillée en sursaut. – C’est quoi tout ce raffût ? – Apparemment, c’en est deux qui baisent au-dessus. Et ils sont tout particulièrement motivés. Elle a poussé un profond soupir. – Faut que ça tombe aujourd’hui ! Ils pouvaient pas choisir un autre jour, non ? Elle s’est tournée. Retournée. A encore soupiré. – Tu l’as déjà fait, toi ? – Quoi ? Baiser ? – Mais non, idiot ! Dormir, comme ça, avec une femme. Sans qu’il se passe rien. – Une fois, oui. – Et c’était bien ? – C’était surtout il y a longtemps. – Je vois. T’étais tout jeune. Tu crevais d’envie de lui faire à la fille, mais t’osais pas. C’est ça, hein ? Et le lendemain tu t’en es voulu. Tu t’es traité d’imbécile. Et t’as tout recommencé dans ta tête. Sauf que cette fois, elle y passait. On est quand même compliqués, hein, nous, les humains. On veut des choses et, en même temps, on veut leur contraire. Alors forcément ça peut jamais aller. Elle s’est tue. Et rendormie d’un coup. Pas moi. J’ai longuement écouté son sommeil, une main passée par-dessus ses omoplates. Le jour s’est levé, s’est faufilé à travers les rideaux. Et je l’ai regardée dormir, toute fragile, tout attendrissante. Et je me suis, à mon tour, enfin endormi. Au réveil, elle n’était plus là. Partie. Il y avait un mot, bien en vue, sur la tablette du lavabo : « Faut que j’y aille. J’ai pas le choix. Je t’expliquerai. Lulute. » (à suivre, bien sûr!)
francois19 Il y a 7 ans

6-


Elle s’est longuement attardée dans la salle de bains, en est ressortie en pyjama noir, s’est glissée dans le lit à mes côtés.
– Et maintenant ? Qu’est-ce qu’on fait ?
– Hein ? Comment ça qu’est-ce qu’on fait ? Je croyais que…
– Non, mais ce que je veux dire… demain ?
– Ah ! En ce qui me concerne, j’ai pas trop le choix. Le devoir m’appelle.
– Moi aussi. Et pas que le devoir. Parce que si je rentre pas, l’autre, il va vraiment finir par se demander ce que je fabrique. Et puis, de toute façon, maintenant que, grâce à toi, la boucle va être bouclée, le passé soldé, c’est pas plus mal qu’on s’y attarde pas à Châtillon. Quitte à y revenir un jour. Plus tard. Dans d’autres circonstances. Qui seront juste à nous cette fois. Rien qu’à nous. Non, tu crois pas ?
– Il y a pas que Châtillon dans la vie n’importe comment. On peut aussi aller ailleurs.
– Oh, pour ça, oui. Et déjà, pour commencer, à Paris. Chiche qu’on le fait ! Chiche ! Dès qu’on pourra. T’imagines ? Arpenter les bords de Seine. En parlant. En l’écoutant. En le chantant. D’abord une rive, puis l’autre. Dans l’autre sens. S’arrêter sur les ponts. Ceux dont il parle. Le pont des arts. Le pont Neuf. Tout ça. Et finir en beauté. À Notre-Dame. Là, je vais chialer. C’est sûr que je vais chialer. Elle te fout trop tout à l’envers sa Notre-Dame Mélancolie. Mais tant pis. Et puis après ? Varsovie. L’Alhambra. Ça s’impose. Ça va avec Paris. Et puis après après, il y aura encore tout le reste si on veut. Saint-Petersbourg. Messine. Miami.
– Pontarlier.
– Pontarlier, non, merci. Ça, c’est tous les jours pour moi, Pontarlier. Bon, mais faut que je me calme, là, faut vraiment que je me calme. Parce que je sais ce qui va se passer sinon. Je me connais. Je vais voyager toute la nuit dans ma tête et demain je serai complètement au radar. Alors tu te tais, s’il te plaît. On parle plus.
Elle m’a pris la main, a entrelacé ses doigts avec les miens, s’est tournée sur le côté. Vers moi.
– Bonne nuit.
– À toi aussi.
Son souffle dans mon cou. Presque aussitôt. Tranquille. Apaisé. Ses cheveux en caresse douce contre ma joue. Sa jambe, toute chaude, contre ma cuisse.

Elle s’est réveillée en sursaut.
– C’est quoi tout ce raffût ?
– Apparemment, c’en est deux qui baisent au-dessus. Et ils sont tout particulièrement motivés.
Elle a poussé un profond soupir.
– Faut que ça tombe aujourd’hui ! Ils pouvaient pas choisir un autre jour, non ?
Elle s’est tournée. Retournée. A encore soupiré.
– Tu l’as déjà fait, toi ?
– Quoi ? Baiser ?
– Mais non, idiot ! Dormir, comme ça, avec une femme. Sans qu’il se passe rien.
– Une fois, oui.
– Et c’était bien ?
– C’était surtout il y a longtemps.
– Je vois. T’étais tout jeune. Tu crevais d’envie de lui faire à la fille, mais t’osais pas. C’est ça, hein ? Et le lendemain tu t’en es voulu. Tu t’es traité d’imbécile. Et t’as tout recommencé dans ta tête. Sauf que cette fois, elle y passait. On est quand même compliqués, hein, nous, les humains. On veut des choses et, en même temps, on veut leur contraire. Alors forcément ça peut jamais aller.
Elle s’est tue. Et rendormie d’un coup. Pas moi. J’ai longuement écouté son sommeil, une main passée par-dessus ses omoplates.
Le jour s’est levé, s’est faufilé à travers les rideaux. Et je l’ai regardée dormir, toute fragile, tout attendrissante.
Et je me suis, à mon tour, enfin endormi.

Au réveil, elle n’était plus là. Partie.
Il y avait un mot, bien en vue, sur la tablette du lavabo :
« Faut que j’y aille. J’ai pas le choix. Je t’expliquerai. Lulute. »

(à suivre, bien sûr!)

elle attend que ça, mais chope là nom de dieu ^^
clem15700 Il y a 6 ans

elle attend que ça, mais chope là nom de dieu

On attend encore avec grande hâte la suite, bien sur ! Continue comme ça !
JoannLataste Il y a 6 ans

On attend encore avec grande hâte la suite, bien sur ! Continue comme ça !

7- À dix heures, j’avais un long message : « Désolée pour ce matin, Julien. Tu vas finir par croire que c’est une manie chez moi de foutre le camp sans dire au revoir. Non. Ce qui s’est passé… Oh, évidemment, je pourrais te raconter des salades. Qu’il m’est tombé, par SMS, un imprévu dessus. Ma mère malade. Ma meilleure amie accidentée. Que sais-je encore ? Et que, du coup, je suis partie en catastrophe, sans vouloir te réveiller. Tu dormais si bien. Je veux pas jouer à ce petit jeu avec toi. Quand on commence à mettre les pieds dans le mensonge… La vérité, elle est toute bête. J’ai tout simplement failli te sauter dessus. Une envie folle de toi. Incontrôlable. Irrépressible. Qui risquait de tout foutre par terre. Ça allait venir de moi. Un comble, avoue ! Alors la solution… Battre en retraite. Le plus vite possible. M’enfuir sans demander mon reste. Ce que j’ai fait. En panique. Avec la hantise que tu te réveilles et que je sois incapable de me maîtriser. Dieu merci, ça n’a pas été le cas. J’ai réussi. On a réussi à aller jusqu’au bout. Et c’est l’essentiel. J’ai définitivement tiré un trait sur ce type et ce qui s’est passé avec. C’est fini. Terminé. Maintenant c’est quelque chose de complètement nouveau qui commence. On peut y mettre ce qu’on veut. Tout ce qu’on veut. Ce qu’on a envie. Comme on a envie. À nous de voir. Je t’embrasse. Lulute » À cinq heures, j’en avais un autre. « C’est encore moi ! Tout-à-l’heure, quand je t’ai écrit, j’étais sur une aire de repos. Et là, maintenant, je suis à Pontarlier. La routine me fond dessus. Les courses à faire. La lessive. Le ménage. Ça aura au moins le mérite de m’occuper l’esprit. De m’éviter de penser. Surtout qu’il y a du boulot. Tu pars deux jours et tu retrouves un de ces bordels quand tu rentres. Toute la vaisselle entassée dans l’évier. Des fringues éparpillées partout. Des capsules de bière abandonnées dans tous les coins. Ou il s’est enfilé cinq packs à lui tout seul ou il a profité de ce que j’étais absente pour inviter toute une ribambelle de copains. Et ils ont fait « Rue de la soif ». Quoi qu’il en soit, il est pas là. Où il passe son dimanche ? Mystère. J’en sais rien et je m’en fous. Non seulement je m’en fous, mais je suis ravie qu’il soit pas là. Tu vas pas me dire : la fille qui rentre chez elle et qu’est contente de pas y trouver son mec, ça a un sens, ça, quand même, non ? Et il va bien falloir qu’un jour je finisse par… Oh, mais j’en suis pas de parler de ça maintenant. Je t’appellerai dans la soirée. J’ai envie d’entendre ta voix. À tout-à-l’heure. Lulute. Ce qu’elle a fait. Sur le coup de dix heures du soir. – Allô, Julien ? C’est moi. Excuse-moi pour ce matin, hein ! – Tu es tout excusée. – N’empêche… Tu vas avoir une de ces opinions de moi maintenant. – Je vois vraiment pas pourquoi. Ni où est le problème. T’avais envie de moi ? Et alors ? Tu crois que j’avais pas envie de toi, moi ? – C’est vrai ? – Évidemment que c’est vrai. Comme si on pouvait rester de marbre auprès d’une femme aussi ravissante que toi. Surtout quand on a passé avec elle une journée absolument délicieuse. En plus ! – Ça se voyait pas. – Valait mieux, non ? Ça aurait complètement dégénéré. Et c’est ce que tu ne voulais à aucun prix. Je me trompe ? – Non. Non. Bien sûr que non. Bon, mais ça me rassure. – Parce que ? Tu me croyais impuissant ? – Pas ça, non. Mais que ça te disait rien avec moi. – Il y a longtemps que j’avais pas désiré quelqu’un comme je t’ai désirée cette nuit. – Et tu as pourtant… T’es un amour. T’es vraiment un amour. Je te revaudrai ça. Au centuple. Elle a brusquement baissé la voix. – Le v’là ! V’là Baptiste. Je te laisse. Je te rappellerai. Je t’embrasse.
francois19 Il y a 6 ans

7-

À dix heures, j’avais un long message :
« Désolée pour ce matin, Julien. Tu vas finir par croire que c’est une manie chez moi de foutre le camp sans dire au revoir. Non. Ce qui s’est passé… Oh, évidemment, je pourrais te raconter des salades. Qu’il m’est tombé, par SMS, un imprévu dessus. Ma mère malade. Ma meilleure amie accidentée. Que sais-je encore ? Et que, du coup, je suis partie en catastrophe, sans vouloir te réveiller. Tu dormais si bien. Je veux pas jouer à ce petit jeu avec toi. Quand on commence à mettre les pieds dans le mensonge… La vérité, elle est toute bête. J’ai tout simplement failli te sauter dessus. Une envie folle de toi. Incontrôlable. Irrépressible. Qui risquait de tout foutre par terre. Ça allait venir de moi. Un comble, avoue ! Alors la solution… Battre en retraite. Le plus vite possible. M’enfuir sans demander mon reste. Ce que j’ai fait. En panique. Avec la hantise que tu te réveilles et que je sois incapable de me maîtriser. Dieu merci, ça n’a pas été le cas. J’ai réussi. On a réussi à aller jusqu’au bout. Et c’est l’essentiel. J’ai définitivement tiré un trait sur ce type et ce qui s’est passé avec. C’est fini. Terminé. Maintenant c’est quelque chose de complètement nouveau qui commence. On peut y mettre ce qu’on veut. Tout ce qu’on veut. Ce qu’on a envie. Comme on a envie. À nous de voir.
Je t’embrasse.
Lulute »

À cinq heures, j’en avais un autre.
« C’est encore moi ! Tout-à-l’heure, quand je t’ai écrit, j’étais sur une aire de repos. Et là, maintenant, je suis à Pontarlier. La routine me fond dessus. Les courses à faire. La lessive. Le ménage. Ça aura au moins le mérite de m’occuper l’esprit. De m’éviter de penser. Surtout qu’il y a du boulot. Tu pars deux jours et tu retrouves un de ces bordels quand tu rentres. Toute la vaisselle entassée dans l’évier. Des fringues éparpillées partout. Des capsules de bière abandonnées dans tous les coins. Ou il s’est enfilé cinq packs à lui tout seul ou il a profité de ce que j’étais absente pour inviter toute une ribambelle de copains. Et ils ont fait « Rue de la soif ». Quoi qu’il en soit, il est pas là. Où il passe son dimanche ? Mystère. J’en sais rien et je m’en fous. Non seulement je m’en fous, mais je suis ravie qu’il soit pas là. Tu vas pas me dire : la fille qui rentre chez elle et qu’est contente de pas y trouver son mec, ça a un sens, ça, quand même, non ? Et il va bien falloir qu’un jour je finisse par… Oh, mais j’en suis pas de parler de ça maintenant. Je t’appellerai dans la soirée. J’ai envie d’entendre ta voix.
À tout-à-l’heure.
Lulute.

Ce qu’elle a fait. Sur le coup de dix heures du soir.
– Allô, Julien ? C’est moi. Excuse-moi pour ce matin, hein !
– Tu es tout excusée.
– N’empêche… Tu vas avoir une de ces opinions de moi maintenant.
– Je vois vraiment pas pourquoi. Ni où est le problème. T’avais envie de moi ? Et alors ? Tu crois que j’avais pas envie de toi, moi ?
– C’est vrai ?
– Évidemment que c’est vrai. Comme si on pouvait rester de marbre auprès d’une femme aussi ravissante que toi. Surtout quand on a passé avec elle une journée absolument délicieuse. En plus !
– Ça se voyait pas.
– Valait mieux, non ? Ça aurait complètement dégénéré. Et c’est ce que tu ne voulais à aucun prix. Je me trompe ?
– Non. Non. Bien sûr que non. Bon, mais ça me rassure.
– Parce que ? Tu me croyais impuissant ?
– Pas ça, non. Mais que ça te disait rien avec moi.
– Il y a longtemps que j’avais pas désiré quelqu’un comme je t’ai désirée cette nuit.
– Et tu as pourtant… T’es un amour. T’es vraiment un amour. Je te revaudrai ça. Au centuple.
Elle a brusquement baissé la voix.
– Le v’là ! V’là Baptiste. Je te laisse. Je te rappellerai. Je t’embrasse.

Ah ben voilà pas si sage lulute ... J'attends évidement la suite avec impatience. Faut vire l'autre ... Le baptiste, oust dehors.
Petit.jour Il y a 6 ans

Ah ben voilà pas si sage lulute ...
J'attends évidement la suite avec impatience. Faut vire l'autre ... Le baptiste, oust dehors.

Je trouve que tout ça prend une tournure de plus en plus mièvre mais ça n'en reste pas moins agréable à lire. Ça sonne un peu comme un roman de Musso, et ça a les qualités de ses défauts ! :)
NaNNaN Il y a 6 ans

Je trouve que tout ça prend une tournure de plus en plus mièvre mais ça n'en reste pas moins agréable à lire.
Ça sonne un peu comme un roman de Musso, et ça a les qualités de ses défauts !

Ça commence vraiment à être chaud c't histoire !
JoannLataste Il y a 6 ans

Ça commence vraiment à être chaud c't histoire !

ouais mais toujours ps turlute ça vas arriver quand ^^
clem15700 Il y a 6 ans

ouais mais toujours ps turlute ça vas arriver quand

va arriver (vas avec tu et non il) ^^
JoannLataste Il y a 6 ans

va arriver (vas avec tu et non il)

[quote]Lulute c'est une chaudasse en vrai xD[/quote] quelle passe à l'action bordel elle a envie que de ça ^^
clem15700 Il y a 6 ans

Lulute c'est une chaudasse en vrai xD


quelle passe à l'action bordel elle a envie que de ça

Merci à tous pour vos réactions auxquelles j'attache un grand prix. Quant à la suite, elle ne devrait pas trop tarder. J'ai été freiné par des aléas extérieurs. Bonne journée à tous.
francois19 Il y a 6 ans

Merci à tous pour vos réactions auxquelles j'attache un grand prix.

Quant à la suite, elle ne devrait pas trop tarder. J'ai été freiné par des aléas extérieurs.

Bonne journée à tous.

Toujours dans l'attente mais quel suspense ...😊
Petit.jour Il y a 6 ans

Toujours dans l'attente mais quel suspense ...😊

J'ai été voir ton profil @francois19 et j'ai été scotché : tu as 71 ans ! J'aurais dis que t'avais la vingtaine, la trentaine grand max mais pas soixante-dix balais !
JoannLataste Il y a 6 ans

J'ai été voir ton profil francois19 et j'ai été scotché : tu as 71 ans ! J'aurais dis que t'avais la vingtaine, la trentaine grand max mais pas soixante-dix balais !

Sois pas choqué. Si tes grands parents n'avaient pas fait des cochonneries en leur temps tu serais pas là ;)
Isa Il y a 6 ans

Sois pas choqué. Si tes grands parents n'avaient pas fait des cochonneries en leur temps tu serais pas là

L'âge qui compte, c'est celui qu'on a dans la tête et dans le coeur, beaucoup plus que celui de l'état-civil. Et j'espère pouvoir encore écrire très longtemps des histoires comme celle-là. ;)
francois19 Il y a 6 ans

L'âge qui compte, c'est celui qu'on a dans la tête et dans le coeur, beaucoup plus que celui de l'état-civil. Et j'espère pouvoir encore écrire très longtemps des histoires comme celle-là.

Rhooo oui t'arrête pas moi je suis fan 😉. Et t'as raison, moi mon âge il varie suivant les moments .... J'ai donc entre 15 et 37 ans 😁 voir parfois encore moins et j'adore ça ....
Petit.jour Il y a 6 ans

Rhooo oui t'arrête pas moi je suis fan 😉.
Et t'as raison, moi mon âge il varie suivant les moments .... J'ai donc entre 15 et 37 ans 😁 voir parfois encore moins et j'adore ça ....

[quote="francois19"]L'âge qui compte, c'est celui qu'on a dans la tête et dans le coeur, beaucoup plus que celui de l'état-civil. Et j'espère pouvoir encore écrire très longtemps des histoires comme celle-là. ;)[/quote] Bien dit ! Bon et la suite ? Parce que nous on l'attend un peu quoi ! ^^
JoannLataste Il y a 6 ans

L'âge qui compte, c'est celui qu'on a dans la tête et dans le coeur, beaucoup plus que celui de l'état-civil. Et j'espère pouvoir encore écrire très longtemps des histoires comme celle-là.


Bien dit ! Bon et la suite ? Parce que nous on l'attend un peu quoi !

La suite? Elle ne devrait pas trop tarder. Au cours de ce week-end peut-être. En début de semaine au plus tard. Le problème, quand on est à la retraite, c'est qu'on sait qu'on a du temps et que, du coup, on prend beaucoup plus d'engagements qu'il n'est raisonnable. ;)
francois19 Il y a 6 ans

La suite? Elle ne devrait pas trop tarder. Au cours de ce week-end peut-être. En début de semaine au plus tard. Le problème, quand on est à la retraite, c'est qu'on sait qu'on a du temps et que, du coup, on prend beaucoup plus d'engagements qu'il n'est raisonnable.

8- Le surlendemain, j’avais encore un message : « Faut que je te raconte. Avant que ça s’efface. Que ça foute le camp par pans entiers. Parce que je t’ai fait un de ces putains de rêve de ouf. Je me mariais, figure-toi ! Avec qui ? J’en sais rien, le plus beau. Je voyais pas sa tête au type. Il y avait pas moyen. Mais comment j’étais heureuse ! D’autant qu’il avait lieu à Châtillon le mariage et tu sais pas qui c’était le témoin ? Devine ! Damien ! Eh, oui ! J’étais aux anges. Enfin, du moins au début ! Parce qu’après quand j’ai compris qu’il voulait pas que j’épouse mon cavalier sans tête… Chaque fois, juste au moment où j’allais dire oui, il me poussait Baptiste dans les bras. « Tu te trompes ! C’est celui-là qu’il faut que tu maries. » T’imagines dans quelle situation j’étais ? Parce que je peux rien lui refuser à Damien, surtout là, qu’il avait accepté d’être mon témoin. En plus. Mais il avait pas le droit de me demander ça. Ah, non alors ! J’essayais de lui expliquer. Je protestais, j’argumentais, je suppliais. Rien à faire. Il voulait pas en démordre. Et je me suis réveillée toute tremblante, en sueur, le cœur à cent à l’heure. Heureusement, ce n’était qu’un rêve. Mais où est-ce que je suis allée chercher tout ça ? Non, non, tais-toi ! Dis rien ! J’ai pas envie de savoir. C’est trop évident n’importe comment. En douce qu’en attendant, Baptiste, le vrai, je sais pas trop ce qu’il manigance. En temps ordinaire, au retour, il m’aurait fait la gueule. Une bonne semaine. Et pas qu’un peu ! Mais là, rien. On dirait qu’il s’en fout. Il a la tête ailleurs, je vois bien. Où ? Une nana ? Ça m’arrangerait bien, tiens ! Je pourrais monter sur mes grands chevaux, lui jouer la grande scène du trois et m’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Mais faut pas que je rêve. Que je prenne mes désirs pour des réalités. À tous les coups, c’est encore une de leurs idées lumineuses, à lui et à ses copains. Ça va les occuper trois semaines et ça va finir par faire pschit… Comme à chaque fois. De toute façon, c’est de moi qu’il faut que ça vienne, je le sais bien. Et de personne d’autre. Sauf que ça n’en prend pas vraiment le chemin. Je continue imperturbablement à supporter l’insupportable. Parce qu’il y a Damien. Qui me porte à bout de bras. Si je tiens debout, si je déprime pas à mort, c’est parce que je l’ai, lui. Ses textes. Ses musiques. Parce que je l’écoute. Parce que je pense à lui. Il est avec moi. Du matin au soir. C’est avec lui que je vis en fait. Et c’est un très mauvais service qu’il me rend là, si on y réfléchit bien. Si on gratte un peu… Parce qu’il m’empêche de regarder les choses en face. De les prendre à bras le corps. Il ne me laisse pas être suffisamment malheureuse. Si je l’avais pas, il y a sûrement belle lurette que tout serait réglé. Que j’aurais fichu le camp. Même lui il y trouverait son compte finalement : je l’écouterais pour lui-même du coup. Pour la beauté de ce qu’il chante. Sans polluer tout ça avec mes exigences à moi. Sans lui imposer mes panoplies intérieures. De toute façon, quand on n’arrive pas à prendre les décisions qui s’imposent, on accumule connerie sur connerie. On se berce d’illusions. On les suscite. Je t’ai pas parlé de Gaëtan. J’avais trop honte. Gaëtan, c’est un type dont je suis tombée amoureuse l’année dernière. Dont je me suis crue amoureuse. Dont je me suis forcée à être amoureuse, plutôt. Ça m’arrangeait trop bien. Je pouvais sauter d’une relation dans une autre comme ça. Et éviter la case vide sidéral. Tu sais, quand tu te retrouves brusquement toute seule, que t’as tout un tas de copines en couple autour, qu’elles ont l’air heureuses, et que toi, tu te demandes si ça te réarrivera un jour. Que tu commences à te poser des tas de questions. Qu’est-ce qui va pas chez toi ? Pourquoi ça foire toujours ? Comment ça se fait que, pour coucher, tu trouves toujours, ça, il y a pas de problème, mais que les mecs, il y en a pas un qu’ait envie de quelque chose de suivi avec toi. Etc. Etc. Donc, Gaëtan. Ça aurait pu être n’importe qui. Ce fut Gaëtan. Qui passait par là. Qui demandait rien à personne. Sur qui je me suis précipitée comme la misère sur le monde. Il se laissait faire. Il disait rien. Alors moi, j’avançais mes pions. Je l’emmenais visiter des appartements. J’allais quitter Baptiste. On allait s’installer ensemble. C’était sûr. C’était fait. Sauf que Gaëtan, un beau matin, il s’est évanoui dans la nature. Et, avec le recul, je me dis que c’est ce qui pouvait arriver de mieux. Ç’aurait été Baptiste en pire, Gaëtan. Tu crois que je suis vaccinée pour autant ? Penses-tu ! Je suis capable de recommencer. Demain matin. De me jeter à la tête du premier venu pour échapper à ma vie avec Baptiste. Et de me retrouver dans une galère encore pire. Tu me laisseras pas faire, hein ? Tu m’empêcheras ? Lulute. (à suivre)
francois19 Il y a 6 ans

8-

Le surlendemain, j’avais encore un message :
« Faut que je te raconte. Avant que ça s’efface. Que ça foute le camp par pans entiers. Parce que je t’ai fait un de ces putains de rêve de ouf. Je me mariais, figure-toi ! Avec qui ? J’en sais rien, le plus beau. Je voyais pas sa tête au type. Il y avait pas moyen. Mais comment j’étais heureuse ! D’autant qu’il avait lieu à Châtillon le mariage et tu sais pas qui c’était le témoin ? Devine ! Damien ! Eh, oui ! J’étais aux anges. Enfin, du moins au début ! Parce qu’après quand j’ai compris qu’il voulait pas que j’épouse mon cavalier sans tête… Chaque fois, juste au moment où j’allais dire oui, il me poussait Baptiste dans les bras. « Tu te trompes ! C’est celui-là qu’il faut que tu maries. » T’imagines dans quelle situation j’étais ? Parce que je peux rien lui refuser à Damien, surtout là, qu’il avait accepté d’être mon témoin. En plus. Mais il avait pas le droit de me demander ça. Ah, non alors ! J’essayais de lui expliquer. Je protestais, j’argumentais, je suppliais. Rien à faire. Il voulait pas en démordre. Et je me suis réveillée toute tremblante, en sueur, le cœur à cent à l’heure. Heureusement, ce n’était qu’un rêve. Mais où est-ce que je suis allée chercher tout ça ? Non, non, tais-toi ! Dis rien ! J’ai pas envie de savoir. C’est trop évident n’importe comment.

En douce qu’en attendant, Baptiste, le vrai, je sais pas trop ce qu’il manigance. En temps ordinaire, au retour, il m’aurait fait la gueule. Une bonne semaine. Et pas qu’un peu ! Mais là, rien. On dirait qu’il s’en fout. Il a la tête ailleurs, je vois bien. Où ? Une nana ? Ça m’arrangerait bien, tiens ! Je pourrais monter sur mes grands chevaux, lui jouer la grande scène du trois et m’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Mais faut pas que je rêve. Que je prenne mes désirs pour des réalités. À tous les coups, c’est encore une de leurs idées lumineuses, à lui et à ses copains. Ça va les occuper trois semaines et ça va finir par faire pschit… Comme à chaque fois.

De toute façon, c’est de moi qu’il faut que ça vienne, je le sais bien. Et de personne d’autre. Sauf que ça n’en prend pas vraiment le chemin. Je continue imperturbablement à supporter l’insupportable. Parce qu’il y a Damien. Qui me porte à bout de bras. Si je tiens debout, si je déprime pas à mort, c’est parce que je l’ai, lui. Ses textes. Ses musiques. Parce que je l’écoute. Parce que je pense à lui. Il est avec moi. Du matin au soir. C’est avec lui que je vis en fait. Et c’est un très mauvais service qu’il me rend là, si on y réfléchit bien. Si on gratte un peu… Parce qu’il m’empêche de regarder les choses en face. De les prendre à bras le corps. Il ne me laisse pas être suffisamment malheureuse. Si je l’avais pas, il y a sûrement belle lurette que tout serait réglé. Que j’aurais fichu le camp. Même lui il y trouverait son compte finalement : je l’écouterais pour lui-même du coup. Pour la beauté de ce qu’il chante. Sans polluer tout ça avec mes exigences à moi. Sans lui imposer mes panoplies intérieures.

De toute façon, quand on n’arrive pas à prendre les décisions qui s’imposent, on accumule connerie sur connerie. On se berce d’illusions. On les suscite. Je t’ai pas parlé de Gaëtan. J’avais trop honte. Gaëtan, c’est un type dont je suis tombée amoureuse l’année dernière. Dont je me suis crue amoureuse. Dont je me suis forcée à être amoureuse, plutôt. Ça m’arrangeait trop bien. Je pouvais sauter d’une relation dans une autre comme ça. Et éviter la case vide sidéral. Tu sais, quand tu te retrouves brusquement toute seule, que t’as tout un tas de copines en couple autour, qu’elles ont l’air heureuses, et que toi, tu te demandes si ça te réarrivera un jour. Que tu commences à te poser des tas de questions. Qu’est-ce qui va pas chez toi ? Pourquoi ça foire toujours ? Comment ça se fait que, pour coucher, tu trouves toujours, ça, il y a pas de problème, mais que les mecs, il y en a pas un qu’ait envie de quelque chose de suivi avec toi. Etc. Etc. Donc, Gaëtan. Ça aurait pu être n’importe qui. Ce fut Gaëtan. Qui passait par là. Qui demandait rien à personne. Sur qui je me suis précipitée comme la misère sur le monde. Il se laissait faire. Il disait rien. Alors moi, j’avançais mes pions. Je l’emmenais visiter des appartements. J’allais quitter Baptiste. On allait s’installer ensemble. C’était sûr. C’était fait. Sauf que Gaëtan, un beau matin, il s’est évanoui dans la nature. Et, avec le recul, je me dis que c’est ce qui pouvait arriver de mieux. Ç’aurait été Baptiste en pire, Gaëtan.
Tu crois que je suis vaccinée pour autant ? Penses-tu ! Je suis capable de recommencer. Demain matin. De me jeter à la tête du premier venu pour échapper à ma vie avec Baptiste. Et de me retrouver dans une galère encore pire. Tu me laisseras pas faire, hein ? Tu m’empêcheras ?

Lulute.

(à suivre)

La pauvre ! Faut vraiment qu'elle tombe sur un type bien, du genre Julien, elle a l'air vraiment malheureuse...
JoannLataste Il y a 6 ans

La pauvre ! Faut vraiment qu'elle tombe sur un type bien, du genre Julien, elle a l'air vraiment malheureuse...

Merci merci ... Et encore c'est tout ce que je peux dire 😉.
Petit.jour Il y a 6 ans

Merci merci ... Et encore c'est tout ce que je peux dire 😉.

Mais pourquoi elle ne lâche pas ce type !
Alextine Il y a 6 ans

Mais pourquoi elle ne lâche pas ce type !

@Joannlataste J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien. @Petit.jour Merci à toi de rester aussi attentivement penchée sur cette Lulute. @Alextine Je crois que c'est pas encore mûr, mais le jour où ça le sera.
francois19 Il y a 6 ans

JoannLataste

J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien.

@Petit.jour

Merci à toi de rester aussi attentivement penchée sur cette Lulute.

Alextine

Je crois que c'est pas encore mûr, mais le jour où ça le sera.

[quote="francois19"]@Joannlataste J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien. [/quote] :S hé bien il est temps que ça change
bibounie Il y a 6 ans

JoannLataste

J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien.

hé bien il est temps que ça change

[quote="francois19"]@Joannlataste J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien.[/quote] J'espère que tu vas essayer de trouver une chouette fin en tout cas, triste ou heureuse ^^
JoannLataste Il y a 6 ans

JoannLataste

J'ignore encore comment les choses vont tourner, mais, dans l'univers saézien, les histoires d'amour finissent rarement bien.


J'espère que tu vas essayer de trouver une chouette fin en tout cas, triste ou heureuse

j'espère aussi… Mais la fin n'est pas pour tout de suite. Je crois qu'il va y avoir encore pas mal de rebondissements. ;)
francois19 Il y a 6 ans

j'espère aussi… Mais la fin n'est pas pour tout de suite. Je crois qu'il va y avoir encore pas mal de rebondissements.