Ce texte est donc à la fois ma seconde nouvelle et la prolongation des [url="https://www.saezlive.net/topics/view/5099/les-quais-de-metro"]Quais de métro[/url] (dispo aussi sur le forum) bien que ça soit plus une suite spirituelle qu'autre chose. J'attend vos avis avec impatience ! Insomnie Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul… Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout. Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi… Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ? Dis, tu la connais toi aussi la solitude ? * La chaleur monte dans la pièce. Le dos qui colle contre le matelas. L’oreiller qui fait mal à la nuque. Le sommeil qui s’en va. Une nuit comme les autres. Sans repos. * Moi, tu sais, je la connais bien, la solitude. Elle me tient souvent compagnie. Quand je suis chez moi. Quand je suis dans le métro. Quand je suis avec des gens. Souvent quand je suis avec des gens, d’ailleurs. C’est un peu paradoxal, tu trouves pas ? Se sentir seul quand on ne l’est pas. Ou alors, c’est ça sa vraie définition. La solitude, c’est quand tu te sens seul avec des gens. Quand d’un coup, assis à ta table dans le café, tu as l’impression que tout le monde t’a oublié. Que tu es juste un étranger, un inconnu. Un fantôme. Alors, tu rigoles, comme tout le monde, quand tu entends que ton pote à fait une blague. Même si elle n’est pas vraiment drôle, même si tu ne l’as pas vraiment comprise, même si tu n’as pas vraiment envie de rire. Surtout si tu n’as pas envie de rire. Tu rigoles. Mais t’es seul. En fait, je crois qu’une fois qu’elle est arrivée, la solitude, elle repart plus. Jamais. Et t’as beau t’entourer de tous les gens que tu connais, t’as beau sortir tous les soirs, t’as beau réussir tout ce que tu veux, elle reste là. Parce que la solitude, elle s’en fout de ce que tu fais. Tu peux être sur une plage à Miami ou au fond de ton lit, elle reste là. Tu vois de quoi je parle ? Bien sur que tu vois de quoi je parle. Tu la sens, toi aussi. Le soir, quand tu t’allonges pour dormir. L’après midi, quand tu rentres de ton travail. Ou le matin, quand tu es sous ta douche. Tu la sens. Non mais attends, te braque pas ! Je ne dis pas que tu es seul. Je sais que tu as ton petit honneur, c’est pas un truc que tu vas admettre. Et puis, au fond, tu as bien raison. C’est pas une bonne chose de dire ça. Personne ne devrait le dire. On devrait tous faire semblant d’aller bien tout le temps. Parce que dire qu’on est seul, c’est reconnaitre qu’il y a un truc qui va pas. Et te goure pas mon pote, le truc qui va pas, c’est pas les autres. C’est toi. Dire qu’on est seul, c’est dire qu’on a un truc en nous qui va pas. Une pièce cassé. Un engrenage rouillé. Un coeur vidé. Dis, tu en as peur, toi aussi, de la vérité ? * Les minutes qui passent. L’heure qui tourne. La chaleur qui monte. La nuit qui, petit à petit, nous engloutit. Et le sommeil. Loin. Toujours. * Quand j’étais gosse, j’étais jamais seul. Enfin, non, c’est pas vrai. J’ai du être seul quand j’étais gosse. Mais je m’en souviens pas. C’est ça la beauté de l’enfance. Tout est plus simple. La solitude, on l’oublie dès qu’on passe les grilles de l’école. Enfin, j’te dis ça.. Sois pas dupe, mon pote. C’est juste des souvenirs. Y a pas à dire, c’est beau la mémoire. C’est beau, parce qu’on peut lui faire dire ce qu’on veut. Elle efface la tristesse, les larmes et les colères. Les cauchemars et les connards, les goûters renversés et les coups de pied. Elle lisse la réalité. Et grâce à elle, on s’en crée une nouvelle. Une qui serait plus belle. Alors, on se dit qu’on était pas seul. Qu’on était avec nos amis. Qu’on était peut être même populaire, même si on en avait franchement pas l’air. On garde que le meilleur, on efface nos peurs. Et puis on se souvient. On se souvient du visage de cette fille, celle qu’on pensait aimer, mais à qui on a jamais parlé. On se souvient des plaques de verglas, les matins d’hiver et des glissades à en finir le cul par terre. Du foot à la récré, du ballon qu’on finissait toujours par paumer. Dans les rues ou sur les toits. C’est ça dont tu te souviens, toi ? Parce que moi, il me reste plus rien. Un trou noir. Le vide intégral. Peut être que j’ai tout effacé. Ou alors, peut être que j’en avais pas, moi, de bons moments. Peut être que j’ai un problème… Ouais, peut être… Je devrais écrire un journal. Mais j’aurais du le commencer gamin. Pour me souvenir. Garder une trace. Un prénom, un visage. Un ballon de foot ou un mur de briques rouge. N’importe quoi. Un truc. Un morceau du passé. Un morceau de moi. Une bouée de sauvetage…. Ça aurait pu m’aider dans les moments comme ça. Quand les minutes passent et que le sommeil ne vient pas. J’aurais pu ouvrir une page, n’importe laquelle et me plonger dans le passé. Et puis j’aurais fermé les yeux, j’aurais lancer la bobine et le film aurait redémarré. Mais là, j’aurais pas fait les mêmes conneries. Non, j’aurais su où aller. Les gens à qui parler et ceux à éviter. Ceux que j’aurais pu aimer, ceux que j’aurais du éviter. Oui. Y a pas à dire, ça aurais été bien d’avoir un journal… Mais c’est trop tard maintenant, non ? 

 Dis, tu penses que c’est trop tard ? * Le soleil qui se lève. Les premiers rayons sur le plancher. Les yeux lourds qui enfin se ferment. Une nouvelle journée. * Dis, tu la connais, toi , la nostalgie ? Dis, tu la connais, toi, la solitude ? Dis, tu en as peur, toi, de la vérité ? Dis, tu penses que c’est trop tard ? Dis moi que c’est pas trop tard…
Léo Ch Il y a 6 ans

Ce texte est donc à la fois ma seconde nouvelle et la prolongation des Quais de métro (dispo aussi sur le forum) bien que ça soit plus une suite spirituelle qu'autre chose. J'attend vos avis avec impatience !



Insomnie

Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul…

Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout.

Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi…

Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ?

Dis, tu la connais toi aussi la solitude ?


*

La chaleur monte dans la pièce. Le dos qui colle contre le matelas. L’oreiller qui fait mal à la nuque. Le sommeil qui s’en va. Une nuit comme les autres. Sans repos.

*

Moi, tu sais, je la connais bien, la solitude. Elle me tient souvent compagnie. Quand je suis chez moi. Quand je suis dans le métro. Quand je suis avec des gens. Souvent quand je suis avec des gens, d’ailleurs. C’est un peu paradoxal, tu trouves pas ? Se sentir seul quand on ne l’est pas. Ou alors, c’est ça sa vraie définition. La solitude, c’est quand tu te sens seul avec des gens. Quand d’un coup, assis à ta table dans le café, tu as l’impression que tout le monde t’a oublié. Que tu es juste un étranger, un inconnu. Un fantôme. Alors, tu rigoles, comme tout le monde, quand tu entends que ton pote à fait une blague. Même si elle n’est pas vraiment drôle, même si tu ne l’as pas vraiment comprise, même si tu n’as pas vraiment envie de rire. Surtout si tu n’as pas envie de rire. Tu rigoles. Mais t’es seul.

En fait, je crois qu’une fois qu’elle est arrivée, la solitude, elle repart plus. Jamais. Et t’as beau t’entourer de tous les gens que tu connais, t’as beau sortir tous les soirs, t’as beau réussir tout ce que tu veux, elle reste là. Parce que la solitude, elle s’en fout de ce que tu fais. Tu peux être sur une plage à Miami ou au fond de ton lit, elle reste là. Tu vois de quoi je parle ? Bien sur que tu vois de quoi je parle. Tu la sens, toi aussi. Le soir, quand tu t’allonges pour dormir. L’après midi, quand tu rentres de ton travail. Ou le matin, quand tu es sous ta douche. Tu la sens. Non mais attends, te braque pas ! Je ne dis pas que tu es seul. Je sais que tu as ton petit honneur, c’est pas un truc que tu vas admettre. Et puis, au fond, tu as bien raison. C’est pas une bonne chose de dire ça. Personne ne devrait le dire. On devrait tous faire semblant d’aller bien tout le temps. Parce que dire qu’on est seul, c’est reconnaitre qu’il y a un truc qui va pas. Et te goure pas mon pote, le truc qui va pas, c’est pas les autres. C’est toi. Dire qu’on est seul, c’est dire qu’on a un truc en nous qui va pas. Une pièce cassé. Un engrenage rouillé. Un coeur vidé.


Dis, tu en as peur, toi aussi, de la vérité ?



*

Les minutes qui passent. L’heure qui tourne. La chaleur qui monte. La nuit qui, petit à petit, nous engloutit. Et le sommeil. Loin. Toujours.

*

Quand j’étais gosse, j’étais jamais seul. Enfin, non, c’est pas vrai. J’ai du être seul quand j’étais gosse. Mais je m’en souviens pas. C’est ça la beauté de l’enfance. Tout est plus simple. La solitude, on l’oublie dès qu’on passe les grilles de l’école. Enfin, j’te dis ça.. Sois pas dupe, mon pote. C’est juste des souvenirs.

Y a pas à dire, c’est beau la mémoire. C’est beau, parce qu’on peut lui faire dire ce qu’on veut. Elle efface la tristesse, les larmes et les colères. Les cauchemars et les connards, les goûters renversés et les coups de pied. Elle lisse la réalité. Et grâce à elle, on s’en crée une nouvelle. Une qui serait plus belle.

Alors, on se dit qu’on était pas seul. Qu’on était avec nos amis. Qu’on était peut être même populaire, même si on en avait franchement pas l’air. On garde que le meilleur, on efface nos peurs.

Et puis on se souvient. On se souvient du visage de cette fille, celle qu’on pensait aimer, mais à qui on a jamais parlé. On se souvient des plaques de verglas, les matins d’hiver et des glissades à en finir le cul par terre. Du foot à la récré, du ballon qu’on finissait toujours par paumer. Dans les rues ou sur les toits. C’est ça dont tu te souviens, toi ?

Parce que moi, il me reste plus rien. Un trou noir. Le vide intégral. Peut être que j’ai tout effacé. Ou alors, peut être que j’en avais pas, moi, de bons moments. Peut être que j’ai un problème… Ouais, peut être…

Je devrais écrire un journal. Mais j’aurais du le commencer gamin. Pour me souvenir. Garder une trace. Un prénom, un visage. Un ballon de foot ou un mur de briques rouge. N’importe quoi. Un truc. Un morceau du passé. Un morceau de moi. Une bouée de sauvetage…. Ça aurait pu m’aider dans les moments comme ça. Quand les minutes passent et que le sommeil ne vient pas. J’aurais pu ouvrir une page, n’importe laquelle et me plonger dans le passé. Et puis j’aurais fermé les yeux, j’aurais lancer la bobine et le film aurait redémarré. Mais là, j’aurais pas fait les mêmes conneries. Non, j’aurais su où aller. Les gens à qui parler et ceux à éviter. Ceux que j’aurais pu aimer, ceux que j’aurais du éviter.

Oui. Y a pas à dire, ça aurais été bien d’avoir un journal… Mais c’est trop tard maintenant, non ? 

 Dis, tu penses que c’est trop tard ?


*

Le soleil qui se lève. Les premiers rayons sur le plancher. Les yeux lourds qui enfin se ferment. Une nouvelle journée.

*


Dis, tu la connais, toi , la nostalgie ?
Dis, tu la connais, toi, la solitude ?
Dis, tu en as peur, toi, de la vérité ?
Dis, tu penses que c’est trop tard ?

Dis moi que c’est pas trop tard…






C'est marrant je viens juste de découvrir ton écriture sur la première nouvelle que tu as postée sur le forum
AnonymeIl y a 6 ans

C'est marrant je viens juste de découvrir ton écriture sur la première nouvelle que tu as postée sur le forum

Ahah comme quoi ! N'hésite pas à me dire ce que tu penses de celle-ci ! :) Bon, je préviens, je la trouve moins abouti que la précédente et je la retravaillerais donc très probablement plus.
Léo Ch Il y a 6 ans

Ahah comme quoi ! N'hésite pas à me dire ce que tu penses de celle-ci ! Bon, je préviens, je la trouve moins abouti que la précédente et je la retravaillerais donc très probablement plus.

C'est pas grave l'essentiel c'est d'activer les process N'hésite pas à travailler ton rythme d'écriture comme une musique j'ai remarqué que tu cadres tes textes avec, un peu comme les séquences de prises pour le cinéma. C'est bien. Tu peux t'aider en essayant de devenir l'émotion comme une transe mais faut faire attention faut que tu redescendes vite après sinon ça peut t'confronter à du vide complexe. En touchant plus l'authenticité d'un ressenti dans ce que tu envisages tu vas faire pleins de fautes des erreurs etc mais après tu peux revenir dessus en corrigeant et épurant ou pas, ça va te permettre de débroussailler pour plus de condescendance* et une fragilité intéressante plus risquée Mais travaille pas pendant trop longtemps d'affilé après faut aller reposer le truc en allant marcher ou faire du sport et tu verras ca va te prendre y aura l'essentiel qui va te sortir des doigts et du corps tu vas rien comprendre c'est énorme * j'ai fait un lapsus chelou, je voulais parler de congruence Après tout dépend de ce que tu veux avec les mots. Le support. Quel usage tu vas faire du mot et de ce qu'il y aura dedans. N'hésite pas à collecter des tas d'outils pour le travail d'un texte m'enfin tu dois savoir ça! Y a un potentiel risque à demander aux autres ce qu'ils pensent de ce que tu écris surtout quand tu es dans une phase qui frôle le thérapeutique qui n'a rien de mauvais mais si tes mots sont ton miroir et ça peut être perturbant ou armant d'avoir des réactions totalement à l'opposé de ton véritable. Enfin bref des conneries comme ça... Tu veux faire quoi comme job?
AnonymeIl y a 6 ans

C'est pas grave l'essentiel c'est d'activer les process
N'hésite pas à travailler ton rythme d'écriture comme une musique j'ai remarqué que tu cadres tes textes avec, un peu comme les séquences de prises pour le cinéma. C'est bien. Tu peux t'aider en essayant de devenir l'émotion comme une transe mais faut faire attention faut que tu redescendes vite après sinon ça peut t'confronter à du vide complexe. En touchant plus l'authenticité d'un ressenti dans ce que tu envisages tu vas faire pleins de fautes des erreurs etc mais après tu peux revenir dessus en corrigeant et épurant ou pas, ça va te permettre de débroussailler pour plus de condescendance* et une fragilité intéressante plus risquée
Mais travaille pas pendant trop longtemps d'affilé après faut aller reposer le truc en allant marcher ou faire du sport et tu verras ca va te prendre y aura l'essentiel qui va te sortir des doigts et du corps tu vas rien comprendre c'est énorme

* j'ai fait un lapsus chelou, je voulais parler de congruence

Après tout dépend de ce que tu veux avec les mots. Le support. Quel usage tu vas faire du mot et de ce qu'il y aura dedans. N'hésite pas à collecter des tas d'outils pour le travail d'un texte m'enfin tu dois savoir ça! Y a un potentiel risque à demander aux autres ce qu'ils pensent de ce que tu écris surtout quand tu es dans une phase qui frôle le thérapeutique qui n'a rien de mauvais mais si tes mots sont ton miroir et ça peut être perturbant ou armant d'avoir des réactions totalement à l'opposé de ton véritable. Enfin bref des conneries comme ça...

Tu veux faire quoi comme job?

Merci beaucoup pour tes conseils ! Ils sont très pertinents et vont clairement beaucoup m'aider ! Après, pour revenir seulement sur le dernier point, rassure toi, ce texte est un texte de fiction. Il parle de thème qui m'intéresse mais tout comme les Quais de métro ne reflète pas ma réalité. Ceci étant dit, je pense suivre ce que tu m'as dit pour continuer à le travailler ! Un énorme merci ! :D Quand à mon job, probablement dans l'enseignement du cinéma ou dans l'écriture de film ! :)
Léo Ch Il y a 6 ans

Merci beaucoup pour tes conseils ! Ils sont très pertinents et vont clairement beaucoup m'aider ! Après, pour revenir seulement sur le dernier point, rassure toi, ce texte est un texte de fiction. Il parle de thème qui m'intéresse mais tout comme les Quais de métro ne reflète pas ma réalité. Ceci étant dit, je pense suivre ce que tu m'as dit pour continuer à le travailler ! Un énorme merci !

Quand à mon job, probablement dans l'enseignement du cinéma ou dans l'écriture de film !

D'accord et bien si tu veux je peux t'en donner d'autres? Mais j'ai peur de t'emmener peut-être un chouilla trop dans l'expérimental... Je t'ai demandé ce que tu voulais comme job parce que ça va déterminer tes rencontres... Écriture de film c'est la classe ;-) après faut pas hésiter à explorer sous différentes formes la créativité pour ouvrir les strates. le cinéma c'est de la balle, tu es déjà un peu dans le réseau ?
AnonymeIl y a 6 ans

D'accord et bien si tu veux je peux t'en donner d'autres? Mais j'ai peur de t'emmener peut-être un chouilla trop dans l'expérimental... Je t'ai demandé ce que tu voulais comme job parce que ça va déterminer tes rencontres... Écriture de film c'est la classe après faut pas hésiter à explorer sous différentes formes la créativité pour ouvrir les strates. le cinéma c'est de la balle, tu es déjà un peu dans le réseau ?

Avec plaisir ! J'ai modifié le texte (merci le train), il me convient déjà un peu plus sous cette forme ! Moins abstrait et un peu plus poussé ! N'hésite pas à me dire ce que tu en penses ! :) Quand au cinéma, oui, déjà un peu. J'ai écrit un film qui a gagné un concours de scénario, j'ai réalisé des documentaires, des web-séries et je suis licencié en cinéma :) Donc ça commence un peu ! Et je suis totalement d'abord pour l'exploration de la créativité ! C'est en partie pour ça que je me suis mis à l'écriture ! :)
Léo Ch Il y a 6 ans

Avec plaisir !

J'ai modifié le texte (merci le train), il me convient déjà un peu plus sous cette forme ! Moins abstrait et un peu plus poussé ! N'hésite pas à me dire ce que tu en penses !

Quand au cinéma, oui, déjà un peu. J'ai écrit un film qui a gagné un concours de scénario, j'ai réalisé des documentaires, des web-séries et je suis licencié en cinéma Donc ça commence un peu !

Et je suis totalement d'abord pour l'exploration de la créativité ! C'est en partie pour ça que je me suis mis à l'écriture !

Bon du coup je vais me pencher sérieusement sur ce que tu fais histoire de pas trop te raconter de la merde t'as tout sur ton blog vas y envoie CV et cie et je vais bosser sur ton profil là et je reviens dans quelques heures ;-) nan mais parfois je suis sérieuse Ta première partie: _____________________________ Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul… Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout. Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi… Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ? Dis, tu la connais toi aussi la solitude ? _____________________________ Donc là, en lisant j'ai remarqué qu'y avait un rythme ternaire à développer, qui percute trois protagonistes : le psy / l'écrivain / le lecteur: - Tu pourrais tirer vers plus de "troubles d'extériorisations du dedans/dehors " que tu inities en énonçant le verbe "évacuer", tu pourrais illustrer les questionnements avec un mouvement plus du tourbillonnement qui vire vers la frontière complexe de folie/normalité et qui se confronterait entre les désirs de ton psy et ton rapport à l'écriture et de comment l'envisager et la mettre en forme... _ L'interpellation du lecteur est bien parce qu'elle crée un rapport au réel qui calme cet espace sous terrain de brouillard des questionnements intérieurs, et dans cette valse tu pourrais réussir à créer des piques qui happe le lecteur au moment où tu l'interroges pour directement controverser ce rythme est passé à un plan plus horizontal presque binaire où tu parlerais au lecteur comme un direct. et tu rentres au coeur du sujet de ce que tu as à dire direct dans le coeur ! je continue où t'as rien capté? :-)
AnonymeIl y a 6 ans

Bon du coup je vais me pencher sérieusement sur ce que tu fais histoire de pas trop te raconter de la merde t'as tout sur ton blog vas y envoie CV et cie et je vais bosser sur ton profil là et je reviens dans quelques heures nan mais parfois je suis sérieuse

Ta première partie:
_____________________________

Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul…

Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout.

Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi…

Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ?

Dis, tu la connais toi aussi la solitude ?
_____________________________

Donc là, en lisant j'ai remarqué qu'y avait un rythme ternaire à développer, qui percute trois protagonistes : le psy / l'écrivain / le lecteur:

- Tu pourrais tirer vers plus de "troubles d'extériorisations du dedans/dehors " que tu inities en énonçant le verbe "évacuer", tu pourrais illustrer les questionnements avec un mouvement plus du tourbillonnement qui vire vers la frontière complexe de folie/normalité et qui se confronterait entre les désirs de ton psy et ton rapport à l'écriture et de comment l'envisager et la mettre en forme...

_ L'interpellation du lecteur est bien parce qu'elle crée un rapport au réel qui calme cet espace sous terrain de brouillard des questionnements intérieurs, et dans cette valse tu pourrais réussir à créer des piques qui happe le lecteur au moment où tu l'interroges pour directement controverser ce rythme est passé à un plan plus horizontal presque binaire où tu parlerais au lecteur comme un direct.
et tu rentres au coeur du sujet de ce que tu as à dire direct dans le coeur !

je continue où t'as rien capté?

Merci beaucoup ! C'est hyper intéressant tout ce que tu dis ! Je vais clairement me baser dessus pour continuer mon boulot !
Léo Ch Il y a 6 ans

Merci beaucoup ! C'est hyper intéressant tout ce que tu dis ! Je vais clairement me baser dessus pour continuer mon boulot !

[quote="Anne is back"]Bon du coup je vais me pencher sérieusement sur ce que tu fais histoire de pas trop te raconter de la merde t'as tout sur ton blog vas y envoie CV et cie et je vais bosser sur ton profil là et je reviens dans quelques heures ;-) nan mais parfois je suis sérieuse Ta première partie: _____________________________ Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul… Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout. Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi… Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ? Dis, tu la connais toi aussi la solitude ? _____________________________ Donc là, en lisant j'ai remarqué qu'y avait un rythme ternaire à développer, qui percute trois protagonistes : le psy / l'écrivain / le lecteur: - Tu pourrais tirer vers plus de "troubles d'extériorisations du dedans/dehors " que tu inities en énonçant le verbe "évacuer", tu pourrais illustrer les questionnements avec un mouvement plus du tourbillonnement qui vire vers la frontière complexe de folie/normalité et qui se confronterait entre les désirs de ton psy et ton rapport à l'écriture et de comment l'envisager et la mettre en forme... _ L'interpellation du lecteur est bien parce qu'elle crée un rapport au réel qui calme cet espace sous terrain de brouillard des questionnements intérieurs, et dans cette valse tu pourrais réussir à créer des piques qui happe le lecteur au moment où tu l'interroges pour directement controverser ce rythme [b]et passer[/b] à un plan plus horizontal presque binaire où tu parlerais au lecteur comme un direct. et tu rentres au coeur du sujet de ce que tu as à dire direct dans le coeur ! je continue où t'as rien capté? :-)[/quote] Oui je vais chier et alors ? :)
JoannLataste Il y a 6 ans

Bon du coup je vais me pencher sérieusement sur ce que tu fais histoire de pas trop te raconter de la merde t'as tout sur ton blog vas y envoie CV et cie et je vais bosser sur ton profil là et je reviens dans quelques heures nan mais parfois je suis sérieuse

Ta première partie:
_____________________________

Mon psy m’a dit de tenir un journal. Pour évacuer mes idées. Il pense que ça me fera du bien. Écrire quand ça va pas. Puis quand ça va un peu, aussi. Mettre à l’écrit ce qui me passe par la tête. Selon lui, ça m’aidera à aller mieux. À prendre du recul. Comme si j’en avais pas déjà assez du recul…

Peut être qu’il a raison. J’en sais rien. C’est lui l’expert après tout. Mais moi, j’hésite encore. Je sais pas trop pourquoi… Je me vois pas écrire un « journal ». C’est pas pour les enfants ça, écrire un journal ? Et puis j’y mettrais quoi dedans ? Mes rêves ou mes cauchemars ? Mes pensées ou mes actions ? C’est pas aussi simple qu’on le pense. Faut savoir par quoi commencer avant tout.

Mais je sais que c’est à la mode. Y a pas une journée qui passe sans que je vois une vidéo en parlant. J’ai l’impression que tout le monde en tient un, de journal. Ou alors c’est peut être que je passe trop de temps sur mon ordi. Je sais pas. Peut être que je deviens comme ces gens qui regarde tellement de porno qu’ils commencent à penser que leurs putains de vidéos sont la norme et que c’est le délire de tout le monde de se faire pisser dessus. Peut être que je suis comme eux au final. Mais avec les journaux, pas le porno. Si il faut, c’est vraiment un truc de gamins. Un jeu de cours d’école. Si il faut, personne n’en tient réellement et c’est juste un argument commercial. Un complot mondial de la confrérie des vendeurs de cahier. Ouais, non, là, je raconte n’importe quoi…

Et puis, y a un truc qui me dérange avec le journal. Écrire, encore, pourquoi pas. Ça fait longtemps que je ne l’ai plus fait mais ça peut être amusant. Peut être que c’est comme le vélo, qu’on oublie jamais totalement, qu’il suffit de prendre un stylo et que tout nous revient instantanément. Alors, écrire, oui, pourquoi pas. Mais… écrire, pour qui ? C’est ça, le vrai problème… Écrire pour qui ?

Dis, tu la connais toi aussi la solitude ?
_____________________________

Donc là, en lisant j'ai remarqué qu'y avait un rythme ternaire à développer, qui percute trois protagonistes : le psy / l'écrivain / le lecteur:

- Tu pourrais tirer vers plus de "troubles d'extériorisations du dedans/dehors " que tu inities en énonçant le verbe "évacuer", tu pourrais illustrer les questionnements avec un mouvement plus du tourbillonnement qui vire vers la frontière complexe de folie/normalité et qui se confronterait entre les désirs de ton psy et ton rapport à l'écriture et de comment l'envisager et la mettre en forme...

_ L'interpellation du lecteur est bien parce qu'elle crée un rapport au réel qui calme cet espace sous terrain de brouillard des questionnements intérieurs, et dans cette valse tu pourrais réussir à créer des piques qui happe le lecteur au moment où tu l'interroges pour directement controverser ce rythme et passer à un plan plus horizontal presque binaire où tu parlerais au lecteur comme un direct.
et tu rentres au coeur du sujet de ce que tu as à dire direct dans le coeur !

je continue où t'as rien capté?
Oui je vais chier et alors ?

[quote="Léo Ch"]Merci beaucoup ! C'est hyper intéressant tout ce que tu dis ! Je vais clairement me baser dessus pour continuer mon boulot ![/quote] J'ai pensé à te faire un schéma pour peut être te clarifier la chose? Ça te dit ?
AnonymeIl y a 6 ans

Merci beaucoup ! C'est hyper intéressant tout ce que tu dis ! Je vais clairement me baser dessus pour continuer mon boulot !


J'ai pensé à te faire un schéma pour peut être te clarifier la chose? Ça te dit ?

Carrément oui ! Merci beaucoup !
Léo Ch Il y a 6 ans

Carrément oui ! Merci beaucoup !

C'est jamais trop tard Faut se dire qu'il est toujours trop tôt pour commencer ;) Journal c'est la base.
AnonymeIl y a 6 ans

C'est jamais trop tard
Faut se dire qu'il est toujours trop tôt pour commencer

Journal c'est la base.

J'aime beaucoup une fois de plus
Marta012 Il y a 6 ans

J'aime beaucoup une fois de plus

Continuez à l'encourager je veux qu'il devienne une star !
AnonymeIl y a 6 ans

Continuez à l'encourager je veux qu'il devienne une star !

Merci beaucoup Marta ! Et oui Peb', je suis bien d'accord ! ;)
Léo Ch Il y a 6 ans

Merci beaucoup Marta !

Et oui Peb', je suis bien d'accord !

"Y a pas à dire, c’est beau la mémoire." Bien d'accord. Je te recommande la lecture des "Cerfs-volants", de Romain Gary. Devine à qui ce bouquin est dédicacé? "A la mémoire." A chaque fois que j'ouvre le livre à cette page, ça rate pas, j'ai la chair de poule.
musashi Il y a 6 ans

"Y a pas à dire, c’est beau la mémoire."

Bien d'accord. Je te recommande la lecture des "Cerfs-volants", de Romain Gary. Devine à qui ce bouquin est dédicacé?

"A la mémoire." A chaque fois que j'ouvre le livre à cette page, ça rate pas, j'ai la chair de poule.

@Musashi ? Tu pourras me prévenir de ta prochaine insomnie ? Ce serait cool qu'on s'y croise :)
Ewi Il y a 6 ans

musashi ?
Tu pourras me prévenir de ta prochaine insomnie ? Ce serait cool qu'on s'y croise

@Ewi avec plaisir, mais je ne suis pas à Paris ces mois-ci. J'y reviendrai bientôt cela dit, après l'été, et fort dépourvu ;)
musashi Il y a 6 ans

Ewi avec plaisir, mais je ne suis pas à Paris ces mois-ci. J'y reviendrai bientôt cela dit, après l'été, et fort dépourvu

[quote="musashi"]@Ewi avec plaisir, mais je ne suis pas à Paris ces mois-ci. J'y reviendrai bientôt cela dit, après l'été, et fort dépourvu ;)[/quote] Si t'es SDF j'ai une petite place dans le sud pour une semaine :D
AnonymeIl y a 6 ans

Ewi avec plaisir, mais je ne suis pas à Paris ces mois-ci. J'y reviendrai bientôt cela dit, après l'été, et fort dépourvu


Si t'es SDF j'ai une petite place dans le sud pour une semaine

Peut être regarde le travail de stephen chbosky il a réalisé son film à partir du livre qu'il a écrit sous la forme d'un journal ça pourrait t'intéresser..
AnonymeIl y a 6 ans

Peut être regarde le travail de stephen chbosky il a réalisé son film à partir du livre qu'il a écrit sous la forme d'un journal ça pourrait t'intéresser..

[quote="musashi"]"Y a pas à dire, c’est beau la mémoire." Bien d'accord. Je te recommande la lecture des "Cerfs-volants", de Romain Gary. Devine à qui ce bouquin est dédicacé? "A la mémoire." A chaque fois que j'ouvre le livre à cette page, ça rate pas, j'ai la chair de poule.[/quote] Je ne connaissais pas, je vais y jeter très vite un oeil ! [quote="Anne is back"]Peut être regarde le travail de stephen chbosky il a réalisé son film à partir du livre qu'il a écrit sous la forme d'un journal ça pourrait t'intéresser..[/quote] Là, par contre, je connais, en effet ! J'ai déjà lu The Perks of Being a Wallflower :D
Léo Ch Il y a 6 ans

"Y a pas à dire, c’est beau la mémoire."

Bien d'accord. Je te recommande la lecture des "Cerfs-volants", de Romain Gary. Devine à qui ce bouquin est dédicacé?

"A la mémoire." A chaque fois que j'ouvre le livre à cette page, ça rate pas, j'ai la chair de poule.


Je ne connaissais pas, je vais y jeter très vite un oeil !


Peut être regarde le travail de stephen chbosky il a réalisé son film à partir du livre qu'il a écrit sous la forme d'un journal ça pourrait t'intéresser..


Là, par contre, je connais, en effet ! J'ai déjà lu The Perks of Being a Wallflower

En anglais en plus? ;-) t'es un chef :-) y a le film aussi. J'ai pensé à toi en tombant sur le bouquin par rapport au format journal et à ton écrit qui questionne ce format pour déverser quelque chose selon ton psy... Voilà, je t'oublie pas, comme promis... J'y pense...
AnonymeIl y a 6 ans

En anglais en plus? t'es un chef y a le film aussi. J'ai pensé à toi en tombant sur le bouquin par rapport au format journal et à ton écrit qui questionne ce format pour déverser quelque chose selon ton psy... Voilà, je t'oublie pas, comme promis... J'y pense...

Oui en anglais ;) Le film, je ne l'ai pas encore vu mais j'en ai entendu pas mal de bien !
Léo Ch Il y a 6 ans

Oui en anglais Le film, je ne l'ai pas encore vu mais j'en ai entendu pas mal de bien !

oui il est pas mal et puis la réalisation n'a rien à voir avec le livre c'est pour ça que je te conseillais cet auteur qui est passé d'un écrit journal à un format film.
AnonymeIl y a 6 ans

oui il est pas mal et puis la réalisation n'a rien à voir avec le livre c'est pour ça que je te conseillais cet auteur qui est passé d'un écrit journal à un format film.

Yep, je comprend totalement !
Léo Ch Il y a 6 ans

Yep, je comprend totalement !