Wahou. On a envie de répondre en fait. Ça donne un côté correspondance, j'aime bien :)
Alextine Il y a 6 ans

Wahou.
On a envie de répondre en fait. Ça donne un côté correspondance, j'aime bien

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"] Être un serpent qui mue J'ai des pensées phosphorescentes et un goût sanguin des philosophales La cuillère dans la bouche Je mâche une étoile boule de feu et avale ses rayons Aucune lance ne peut me tuer d'incendie ou de fer Mon cœur est un drôle de forgeage forage au fond du puits pour faire remonter la substance D'où se puise t-elle accrochée à l'infinité dissolue Je pressens des univers et gronder des astres minuscules Gondoles galactiques sur des océans d'airs Les vagues ne sont que des ondes Que des ondes et de l'eau Et l'écume des restes Toujours naissants A jamais partance Au quai de rien Je marche sur un fil je marche je me découd Coup de grisou pulmonaire j'ai pris la voie des locomotives Charbonneuses je prie que se soutiennent les braises au foyer consumé Car déjà soufflent ces vents ces secondes stellaires ces incarnations de nous-même laissées aux bûchers De nos vies J'ai croqué l'écaille j'ai fendu l’œuf j'ai miré son œil et n'ai vu dans son vert que le gris du temps Des nuages de la pluie des usines J'ai réveillé l'âme de mon corps je l'assomme à coups de maillet J'ai ruiné le corps de mon âme à l’ensevelir sous les gravats modernes Je me suis endormi dans l'ombre de mon âme et je m'endors de travers la nuit J'ai traversé le corps de mon âme de part en part Je me suis arrêté dans une gare si déserte que J'y ai contemplé mes infinités et le faste Le lest de l'accroche de mes existences Cet amour ce mot falsifié car seul dire Ou l'écrire n'est pas lui faire présence Il y a des trains qui desservent l'imprévu Des wagons invisibles Je pars sans horaire[/quote] [quote="Churinga"]L'horloge et ses coutures L'aiguille des rapiécés J'ai l'étoffe d'un voile de chair et je bulle sous les vents frais Fraisée est ma pupille fraisée vers l'objectif d'un appareil photo Sans ponctuation je te rends le libre court à insérer l'air ton rythme cardiaque tes souffles Suspendu laissons-les faire cavalerie des sens Déchirer les semelles pour aller pieds-nu Va et vient aller et revenir sur l'allée des désenchantés Une aile en allié battre la vie et la faire monter En neige en ascension fulgurante en monticules de graines moulues Ce qui ne germera pas l'ingérence des lunes les lumières qui rebondissent Qui oublient de percer l'invitation aux invisibles S'il est des folies elles sont communes Alors jettes ta couronne et regarde le royaume des uns et des autres As-tu bu au puits toi As-tu rejoins l'abîme creusé de tes créations Sauter d'une montagne à l'autre juste assuré par la corde des marins J'ai laissé l'océan et ses manèges faire le pèlerinage Décroissante est la Lune et la lumière du Soleil décline Je n'ai jamais eu de dieux que des vieilles amitiés J'ai enlevé la lingerie d'une femme j'ai contemplé le nu fragile D'os à briser ce vide toujours qui m'attire Gravité des corps la voie qui fait monter les eaux lactées D'une bouche à l'autre[/quote] <3 <3 <3
suffragettes AB Il y a 6 ans



Être un serpent qui mue
J'ai des pensées phosphorescentes et un goût sanguin des philosophales
La cuillère dans la bouche
Je mâche une étoile boule de feu et avale ses rayons

Aucune lance ne peut me tuer d'incendie ou de fer
Mon cœur est un drôle de forgeage
forage au fond du puits pour faire remonter la substance
D'où se puise t-elle accrochée à l'infinité dissolue

Je pressens des univers et gronder des astres minuscules
Gondoles galactiques sur des océans d'airs
Les vagues ne sont que des ondes
Que des ondes et de l'eau
Et l'écume des restes
Toujours naissants
A jamais partance
Au quai de rien

Je marche sur un fil je marche je me découd
Coup de grisou pulmonaire j'ai pris la voie des locomotives
Charbonneuses je prie que se soutiennent les braises au foyer consumé
Car déjà soufflent ces vents ces secondes stellaires ces incarnations de nous-même laissées aux bûchers
De nos vies

J'ai croqué l'écaille j'ai fendu l’œuf j'ai miré son œil et n'ai vu dans son vert que le gris du temps
Des nuages de la pluie des usines

J'ai réveillé l'âme de mon corps je l'assomme à coups de maillet
J'ai ruiné le corps de mon âme à l’ensevelir sous les gravats modernes
Je me suis endormi dans l'ombre de mon âme et je m'endors de travers la nuit
J'ai traversé le corps de mon âme de part en part
Je me suis arrêté dans une gare si déserte que

J'y ai contemplé mes infinités et le faste
Le lest de l'accroche de mes existences
Cet amour ce mot falsifié car seul dire
Ou l'écrire n'est pas lui faire présence

Il y a des trains qui desservent l'imprévu
Des wagons invisibles
Je pars sans horaire
@Churinga


L'horloge et ses coutures
L'aiguille des rapiécés
J'ai l'étoffe d'un voile de chair et je bulle sous les vents frais
Fraisée est ma pupille fraisée vers l'objectif d'un appareil photo
Sans ponctuation je te rends le libre court à insérer l'air ton rythme cardiaque tes souffles
Suspendu laissons-les faire cavalerie des sens
Déchirer les semelles pour aller pieds-nu
Va et vient aller et revenir sur l'allée des désenchantés
Une aile en allié battre la vie et la faire monter
En neige en ascension fulgurante en monticules de graines moulues
Ce qui ne germera pas l'ingérence des lunes les lumières qui rebondissent
Qui oublient de percer l'invitation aux invisibles

S'il est des folies elles sont communes
Alors jettes ta couronne et regarde le royaume des uns et des autres
As-tu bu au puits toi
As-tu rejoins l'abîme creusé de tes créations
Sauter d'une montagne à l'autre juste assuré par la corde des marins

J'ai laissé l'océan et ses manèges faire le pèlerinage
Décroissante est la Lune et la lumière du Soleil décline
Je n'ai jamais eu de dieux que des vieilles amitiés

J'ai enlevé la lingerie d'une femme j'ai contemplé le nu fragile
D'os à briser ce vide toujours qui m'attire
Gravité des corps la voie qui fait monter les eaux lactées
D'une bouche à l'autre
@Churinga


<3 <3 <3

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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C'est toujours aussi riche ;)
Alextine Il y a 6 ans

C'est toujours aussi riche

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AnonymeIl y a 6 ans

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Say toi la raclette ;)
Alextine Il y a 6 ans

Say toi la raclette

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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Je suis là, cher flingue planqué dans un panier de figues que le soleil rôtit et qui éclatent dans un rutilement de chairs et de rubis Je suis logé à l'enseigne de l'espérance de figues mûres et de neiges pures de souples sapins et de chênes paternels de colonnes fourmillantes et de sèves qui remontent dans un continuel élan vers les plus hautes branches Et c'est en tous ces lieux que nous nous retrouvons et nous retrouverons encore. De mon seuil à ton seuil, bonsoir, et bonne nuit.
musashi Il y a 6 ans

Je suis là, cher flingue
planqué dans un panier de figues
que le soleil rôtit et qui éclatent
dans un rutilement de chairs et de rubis
Je suis logé à l'enseigne de l'espérance
de figues mûres et de neiges pures
de souples sapins et de chênes paternels
de colonnes fourmillantes et de sèves qui remontent dans un continuel élan vers les plus hautes branches
Et c'est en tous ces lieux que nous nous retrouvons et nous retrouverons encore.
De mon seuil à ton seuil, bonsoir, et bonne nuit.

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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AnonymeIl y a 6 ans

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[quote="Churinga"]x[/quote] Z
Bisounour Il y a 6 ans

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@Churinga

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AnonymeIl y a 6 ans

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ce sont les derniers jours d'une vie ancienne devenue ancienne cette nouvelle d'hier qui s'achève sans un point elle est déjà loin ma vie, dans le regard du gamin que je ne suis plus et que je continue d'être, de l'âge qui m'attrape au col et me noue la gorge avec la corde du temps, qu'elle est loin ma vie et sa ligne de départ le temps est passé puis le temps passe, je repasse mes souvenirs à ma mémoire, c'est qu'elle est passée vite cette esquisse d'épopée, dis est-ce que c'est permis de tirer un trait d'horizon sur les embouchures de l'avenir, de recommencer, de savoir se repriser, le temps de mieux nouer le fil, de prendre le soin de coudre cette alliance à mon cœur et de défaire le temps d'un amour les danses qui font l'âme en fête, l'âme étincelle prête à allumer le sens de ces folies solitaires. je ne sais pas si c'est le temps qui passe ou si c'est moi qui passe mon temps à côté de l'horloge, elle tourne l'heure, il tourne le cadran et ça ne s'arrête pas, c'est l'infini qui s'exprime, c'est l'éternité qui nous cause jusqu'aux révolutions du soleil, de la lune et des étoiles qu'on peut apercevoir sur la grande toile inachevée des univers. gamin d'ici et d'ailleurs mais à être partout nous nous retrouvons nul part, gamin qui chevauche l'ondée et qui rêve de s'envoler, tous les gamins rêvent de pouvoir voler, ça doit être les restes des oiseaux que nous étions un jour, la magnétite dans l'esprit et l'espoir du libre, à devenir hirondelle, suivre les saisons avec nos corps de poids plumes, tous les gamins rêvent de savoir voler, c'est l'invitation au voyage de nos âmes encore en papier vierge, jeune repousse à n'être que le fruit des lunes invisibles, paraît qu'il y a une graine ou une histoire de cigogne, la vie aime croître aux migrations et se laisser porter par les bourrasques, les gamins courent dans les bourrasques dans les flaques, ces mers miniatures, le temps de quelques éclaboussures, de faire des vagues, d'être un peu pirate le temps d'un assaut ou d'être capitaine et de continuer le chemin ouvert sur l'aventure de leurs songes. tu sais gamin, je sais d'avance que tu ne pourras tout saisir, ce monde n'est plus fait pour les rêveries, les grands disent qu'on divague toi et moi, n'écoute pas les grandes personnes gamin, elles oublient parfois la force du rêve et que tout ceci n'est que farce attrapée de l'imaginaire puisqu'elle s'éteint un jour ta vie et ma lumière, écoutes ta flamme crépiter, ne la laisse pas sous un bocal elle manquerait d'oxygène et nourrit la toujours, même si nos mémoires tendent à devenir des peintures essoufflées, la finesse d'une sensation ou d'un sentiment est préférable à mille images précises et sans parfum pour le cœur.
AnonymeIl y a 6 ans

ce sont les derniers jours d'une vie ancienne
devenue ancienne cette nouvelle d'hier qui s'achève sans un point

elle est déjà loin ma vie, dans le regard du gamin que je ne suis plus et que je continue d'être, de l'âge qui m'attrape au col et me noue la gorge avec la corde du temps, qu'elle est loin ma vie et sa ligne de départ

le temps est passé puis le temps passe,
je repasse mes souvenirs à ma mémoire, c'est qu'elle est passée vite cette esquisse d'épopée,
dis est-ce que c'est permis de tirer un trait d'horizon sur les embouchures de l'avenir,
de recommencer, de savoir se repriser,
le temps de mieux nouer le fil,
de prendre le soin de coudre cette alliance à mon cœur et de défaire
le temps d'un amour les danses qui font l'âme en fête,
l'âme étincelle prête à allumer le sens de ces folies solitaires.

je ne sais pas si c'est le temps qui passe ou si c'est moi qui passe mon temps à côté de l'horloge,
elle tourne l'heure, il tourne le cadran et ça ne s'arrête pas, c'est l'infini qui s'exprime, c'est l'éternité qui nous cause jusqu'aux révolutions du soleil, de la lune et des étoiles qu'on peut apercevoir sur la grande toile inachevée des univers.

gamin d'ici et d'ailleurs mais à être partout nous nous retrouvons nul part,
gamin qui chevauche l'ondée et qui rêve de s'envoler,
tous les gamins rêvent de pouvoir voler, ça doit être les restes des oiseaux que nous étions un jour,
la magnétite dans l'esprit et l'espoir du libre,
à devenir hirondelle, suivre les saisons avec nos corps de poids plumes,
tous les gamins rêvent de savoir voler,
c'est l'invitation au voyage de nos âmes encore en papier vierge,
jeune repousse à n'être que le fruit des lunes invisibles,
paraît qu'il y a une graine ou une histoire de cigogne,
la vie aime croître aux migrations et se laisser porter par les bourrasques,
les gamins courent dans les bourrasques dans les flaques, ces mers miniatures,
le temps de quelques éclaboussures, de faire des vagues, d'être un peu pirate le temps d'un assaut ou d'être capitaine et de continuer le chemin ouvert sur l'aventure de leurs songes.

tu sais gamin, je sais d'avance que tu ne pourras tout saisir,
ce monde n'est plus fait pour les rêveries, les grands disent qu'on divague toi et moi,
n'écoute pas les grandes personnes gamin, elles oublient parfois la force du rêve et que tout ceci n'est que farce attrapée de l'imaginaire puisqu'elle s'éteint un jour ta vie et ma lumière,
écoutes ta flamme crépiter, ne la laisse pas sous un bocal elle manquerait d'oxygène et nourrit la toujours,
même si nos mémoires tendent à devenir des peintures essoufflées, la finesse d'une sensation ou d'un sentiment est préférable à mille images précises et sans parfum pour le cœur.

<3 "ce sont les derniers jours d'une vie ancienne devenue ancienne cette nouvelle d'hier qui s'achève sans un point" (...) "je ne sais pas si c'est le temps qui passe ou si c'est moi qui passe mon temps à côté de l'horloge, elle tourne l'heure, il tourne le cadran et ça ne s'arrête pas, c'est l'infini qui s'exprime, c'est l'éternité qui nous cause jusqu'aux révolutions du soleil, de la lune et des étoiles qu'on peut apercevoir sur la grande toile inachevée des univers." synchronicité; pareil pour moi, je commence à transporter mes livres à la rue de l'horloge, et ce n'est pas un jeu de mot :). Machine à laver, frigo, bibliothèque, table, couchage salon, ça c'est fait! Caf c'est fait à moitié, prime d'activité lancé, pour les apl va falloir attendre un chouya. On échelonne les opérations et le transports des choses. Je commence par les livres, vont-ils tous rentrer dans ma nouvelle bibliothèque :), le suspense est à son comble. Tu as fini ton baluchon churinga? Bon déménagement à toi
suffragettes AB Il y a 6 ans

<3
"ce sont les derniers jours d'une vie ancienne
devenue ancienne cette nouvelle d'hier qui s'achève sans un point" (...)
"je ne sais pas si c'est le temps qui passe ou si c'est moi qui passe mon temps à côté de l'horloge, elle tourne l'heure, il tourne le cadran et ça ne s'arrête pas, c'est l'infini qui s'exprime, c'est l'éternité qui nous cause jusqu'aux révolutions du soleil, de la lune et des étoiles qu'on peut apercevoir sur la grande toile inachevée des univers."

synchronicité; pareil pour moi, je commence à transporter mes livres à la rue de l'horloge, et ce n'est pas un jeu de mot . Machine à laver, frigo, bibliothèque, table, couchage salon, ça c'est fait! Caf c'est fait à moitié, prime d'activité lancé, pour les apl va falloir attendre un chouya. On échelonne les opérations et le transports des choses. Je commence par les livres, vont-ils tous rentrer dans ma nouvelle bibliothèque , le suspense est à son comble. Tu as fini ton baluchon churinga? Bon déménagement à toi

Baluchon presque fini et caveau nettoyé, lundi top départ. ;) Dès que j'ai des murs je dois m'occuper de ma bibliothèque aussi. Le problème c'est que j'ai des livres partout... Dans le sud, en Creuse, à Caen ( plutôt pratique ça ) puis en patchwork à droite à gauche..
AnonymeIl y a 6 ans

Baluchon presque fini et caveau nettoyé, lundi top départ.

Dès que j'ai des murs je dois m'occuper de ma bibliothèque aussi. Le problème c'est que j'ai des livres partout... Dans le sud, en Creuse, à Caen ( plutôt pratique ça ) puis en patchwork à droite à gauche..

Coucou saezlive À plus tard saezlive Prenez soin de vous saezlive Je vous aime saezlive
AnonymeIl y a 6 ans

Coucou saezlive
À plus tard saezlive
Prenez soin de vous saezlive
Je vous aime saezlive

Hâte d'avoir de tes nouvelles vagabond !
Alextine Il y a 6 ans

Hâte d'avoir de tes nouvelles vagabond !

La liberté c'est de la bombe
AnonymeIl y a 6 ans

La liberté c'est de la bombe

[URL=http://www.casimages.com/i/180202115553944829.jpg.html][IMG]http://nsa39.casimages.com/img/2018/02/02/180202115553944829.jpg[/IMG][/URL] Changement de carnet pour l'apparence d'une vie nouvelle. Devoir apprendre de nouveaux noms de rues, de places. Alternance du paysage, des décors. Comme à Toulouse entendre de nouveau les mouettes, ces oiseaux du large. Plus rares sont les goélands. C'est une ville portant un port de plaisance, un visage aux mille clochers. Des nouvelles rides vont bientôt apparaître, des expressions neuves, la langue et son utilisation renouvellée. Faudrait que je me fasse une promesse, ne jamais oublier de sourire et ça, qu'importe les circonstances. Ici-bas le malheur qui nous atteint et l'accablement qu'il engendre n'est qu'une forme d'abdication avec soi même, la mauvaise part de soi-même. Quel fou par manque de courage ou par lâcheté de ne pas vouloir affronter la douleur se laisserait une lame plantée dans la tête ? C'est la peur souvent qui nous paralyse et nous empêche de nous émanciper des maux qui coexistent avec notre âme. Ne faudrait-il pas réussir à s'alléger en sortant de ce confort qui nous paralyse tant en nous-mêmes ? N'est-ce pas que demeurer avec honneur de soi que de rester actif contre ces lourdeurs qui assiègent l'esprit ? Il me semble que pour savoir rester soi il est nécessaire selon les circonstances de déraciner nos habitudes : nous ne sommes pas composés que d'une seule facette ; À nous, à chacune alors et à chacun de vouloir peser lesquelles d'habitudes sont bénéfiques ou non à nos épanouissements. Écoutes donc tes spontanéités, elles révèlent souvent nos natures : Desquelles sont à adopter ou à abandonner ? Pouvons-nous seulement nous en défaire ou nous en enrichir ? Il ne faut avoir crainte de personne d'autre que de toi-même, de ces étrangers que tu pourrais te devenir à ne plus entendre les vibrations que ton âme continuera d'émettre. Je remercie les matinées d'être le point de départ de mes trajectoires lancées, de mes possibilités de réalisations. Tu ne dois pas écarter tes rêves si ils sont l'animation vraie en toi, saches écourter les chemins qui peuvent t'y mener et te permettre de trouver raccourcis aux joies par les passagers interstices qui peuvent t'y conduire. Quoi te dire d'autre nouvelle que de prendre chaque instant comme un cadeau, un présent offert qui peut t'être repris d'un moment à l'autre, sans prévention et s'enfuir aussi vite que son arrivée. N'ignore aucune magie de la vie qu'il t'es donné en possibilité à observer, ouvres tes sens pour percevoir les souffles des renaissances.
AnonymeIl y a 6 ans



Changement de carnet pour l'apparence d'une vie nouvelle.
Devoir apprendre de nouveaux noms de rues, de places.
Alternance du paysage, des décors.
Comme à Toulouse entendre de nouveau les mouettes, ces oiseaux du large. Plus rares sont les goélands.

C'est une ville portant un port de plaisance, un visage aux mille clochers. Des nouvelles rides vont bientôt apparaître, des expressions neuves, la langue et son utilisation renouvellée.

Faudrait que je me fasse une promesse, ne jamais oublier de sourire et ça, qu'importe les circonstances.
Ici-bas le malheur qui nous atteint et l'accablement qu'il engendre n'est qu'une forme d'abdication avec soi même, la mauvaise part de soi-même.

Quel fou par manque de courage ou par lâcheté de ne pas vouloir affronter la douleur se laisserait une lame plantée dans la tête ?
C'est la peur souvent qui nous paralyse et nous empêche de nous émanciper des maux qui coexistent avec notre âme.
Ne faudrait-il pas réussir à s'alléger en sortant de ce confort qui nous paralyse tant en nous-mêmes ?

N'est-ce pas que demeurer avec honneur de soi que de rester actif contre ces lourdeurs qui assiègent l'esprit ?
Il me semble que pour savoir rester soi il est nécessaire selon les circonstances de déraciner nos habitudes : nous ne sommes pas composés que d'une seule facette ; À nous, à chacune alors et à chacun de vouloir peser lesquelles d'habitudes sont bénéfiques ou non à nos épanouissements.

Écoutes donc tes spontanéités, elles révèlent souvent nos natures :
Desquelles sont à adopter ou à abandonner ? Pouvons-nous seulement nous en défaire ou nous en enrichir ?

Il ne faut avoir crainte de personne d'autre que de toi-même, de ces étrangers que tu pourrais te devenir à ne plus entendre les vibrations que ton âme continuera d'émettre.

Je remercie les matinées d'être le point de départ de mes trajectoires lancées, de mes possibilités de réalisations.

Tu ne dois pas écarter tes rêves si ils sont l'animation vraie en toi, saches écourter les chemins qui peuvent t'y mener et te permettre de trouver raccourcis aux joies par les passagers interstices qui peuvent t'y conduire.

Quoi te dire d'autre nouvelle que de prendre chaque instant comme un cadeau, un présent offert qui peut t'être repris d'un moment à l'autre, sans prévention et s'enfuir aussi vite que son arrivée.
N'ignore aucune magie de la vie qu'il t'es donné en possibilité à observer, ouvres tes sens pour percevoir les souffles des renaissances.

nouvelle façon d'écrire je trouve, ça me parle beaucoup plus, et ça me fait surtout réfléchir sur pas mal de choses, y a de la synchronisation, c'est perturbant ^^
clem15700 Il y a 6 ans

nouvelle façon d'écrire je trouve, ça me parle beaucoup plus, et ça me fait surtout réfléchir sur pas mal de choses, y a de la synchronisation, c'est perturbant

[URL=http://www.casimages.com/i/180203123959390055.jpg.html][IMG]http://nsa39.casimages.com/img/2018/02/03/mini_180203123959390055.jpg[/IMG][/url] [URL=http://www.casimages.com/i/180203123959878304.jpg.html][IMG]http://nsa39.casimages.com/img/2018/02/03/mini_180203123959878304.jpg[/IMG][/url] [URL=http://www.casimages.com/i/180203011151815602.jpg.html][IMG]http://nsa39.casimages.com/img/2018/02/03/mini_180203011151815602.jpg[/IMG][/url] Et bienvenue dans mon Antre. Le chien fume l'herbe des loups. Il est effrayant comme ça avec son poil sale mais il ne mord pas .
AnonymeIl y a 6 ans

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Et bienvenue dans mon Antre. Le chien fume l'herbe des loups. Il est effrayant comme ça avec son poil sale mais il ne mord pas .


"chaque instant est une forme d'apprentissage". En attendant que cela soit dactylographié, on y entre avec une loupe dans ton antre :), l'herbe des loups et les mots à la loupe :). Y a trop d'herbe, c'est la jungle là dedans, faut débroussailler :) !
suffragettes AB Il y a 6 ans

"chaque instant est une forme d'apprentissage". En attendant que cela soit dactylographié, on y entre avec une loupe dans ton antre , l'herbe des loups et les mots à la loupe . Y a trop d'herbe, c'est la jungle là dedans, faut débroussailler !

Voyez-vous dans l'ombre du verre l'enfant-lune ? Pieds nus, sous la capuche. Les voilà les détails invisibles. La jauge de nos vies dans le reflet d'un stylo, encore combien d'encre dis-moi Mika ? J'ai trouvé une pièce polonaise à la gare l'autre jour, penses-tu que je dois y aller ? Pardonne moi de faire de cette écriture une ouija mais plus j'affiche cette photo imprimée sur du papier d'imprimante plus je l'abîme et plus le temps la rogne. Je m'efface peu à peu, que mon âme me revienne, elle s'est laissée capturer trop de fois. Capturée par d'autres, des photographes partis amateurs et devenus hommes à tout faire, capturée au détour de fêtes, de retrouvailles. L'aspect de la famille. Tu sais que j'en parle pas ou très peu, c'est ma pudeur. Une des premières choses que tu ne connais pas de moi, c'est ma famille. Alors je tord ce terme comme on tord du métal pour en faire une pièce, une grande pièce avec différents tiroirs, différents compartiments, pour ma famille plus grande que celle du sang. J'crois qu'on se sélectionne tu sais. Une forme de frère d'élection, on était d'accord pour abattre l'arbre des mots ensembles. Enfin, t'aurais certainement préféré qu'on y grimpe plutôt qu'on le coupe, t'as toujours ta chaise dans le platane il me semble...
AnonymeIl y a 6 ans

Voyez-vous dans l'ombre du verre l'enfant-lune ? Pieds nus, sous la capuche.
Les voilà les détails invisibles.
La jauge de nos vies dans le reflet d'un stylo, encore combien d'encre dis-moi Mika ?

J'ai trouvé une pièce polonaise à la gare l'autre jour, penses-tu que je dois y aller ?

Pardonne moi de faire de cette écriture une ouija mais plus j'affiche cette photo imprimée sur du papier d'imprimante plus je l'abîme et plus le temps la rogne.
Je m'efface peu à peu, que mon âme me revienne, elle s'est laissée capturer trop de fois.
Capturée par d'autres, des photographes partis amateurs et devenus hommes à tout faire, capturée au détour de fêtes, de retrouvailles. L'aspect de la famille. Tu sais que j'en parle pas ou très peu, c'est ma pudeur. Une des premières choses que tu ne connais pas de moi, c'est ma famille.
Alors je tord ce terme comme on tord du métal pour en faire une pièce, une grande pièce avec différents tiroirs, différents compartiments, pour ma famille plus grande que celle du sang. J'crois qu'on se sélectionne tu sais. Une forme de frère d'élection, on était d'accord pour abattre l'arbre des mots ensembles. Enfin, t'aurais certainement préféré qu'on y grimpe plutôt qu'on le coupe, t'as toujours ta chaise dans le platane il me semble...