Bonjour et merci à tous ceux qui ont voulu passer les portes de ce topic. Ici, je pose et poserai mes modestes textes, et, attends et attendrai vos réactions/réflexions/commentaires/critiques (constructives, si possible) suite à la lecture de ceux-ci. À plus ! ;) ................................. Pour mon premier texte, j'ai eu l'idée de faire un pastiche de la chanson "Faut s'oublier" de notre ami l'Ours. À vous de juger ! Entre liberté et discipline ; Entre la richesse et la ruine ; Entre l'esclavage des noirs ; Entre le peuple et le pouvoir ; Entre écologie et OGM, Les déchets dans l'écosystème ; Entre les problèmes d'éducation ; Entre la banlieue et l'roi pognon ; Entre nos jeunes et nos aînés ; Entre exploités et délaissés ; Entre les polices et les armées ; Entre leurs violences et méfaits ; Entre argent et corruption ; Entre politiques et grands patrons ; Les gouvernements odieux ; Entre leurs lois faites pour eux ; Entre les viols et les sévices, Et toujours subsistent ces supplices ; Entre le racisme et l'antisémitisme, Sûr qu'on va droit au précipice... Entre leur haine et nos "Je t'aime" ; Entre leurs paroles tellement vaines ; Entre leurs cultes ; entre leurs tumultes ; Entre leur âme inculte ; entre la lutte ; Entre les vérités et les mensonges, Ce qui nous sert, ce qui nous ronge ; Entre les cœurs, les arnaqueurs ; Entre les crocs et les escrocs ; Entre les paradis fiscaux, Qui font augmenter nos malheurs ; Entre l'équité, l'inégalité ; Entre leur confort et notre insalubrité ; Faut s'révolter, S'émanciper, Se soulever, Avec le poids d'l'amour ; S'révolter, Se rebeller, Contester, Comme pour la fin du joug ; Et si c'est le règne dictateur, À nous dicter, à nous faire peur. Oui, mais si le peuple s'en fout, Puisque s'révolter n'a pas de coût. Dans la rue, aux mauvais leaders, Sur les avenues, régimes sans-cœurs, Les nations aiment bien s'faire entuber, Comme des punaises qui s'font féconder. Et si nous aimons nous faire mener, C'est parce que nous aimons être dominés... Faut s'révolter, Faut s'émanciper, Faut contester, Comme pour la fin du joug ; Faut s'révolter, Nous rebeller, Nous soulever, Avec le poids d'l'amour ; Entre les riches humains, C'est l'argent qui domine. S'ils n'manquent de rien, Sous leur luxueux standing. Ainsi, ils font semblant, Qu'ils sont comme tout le monde. Des arnaqueurs de gens, Puisqu'à chaque seconde : Ils nous baisent la gueule, Nous prennent pour des jambons. Il n'y a jamais de stations, À leur sodomie, ma gueule. Ils sont vieux, ils sont pleins, Leurs poches remplies de sous, Et, pourtant, ce serait bien, Qu'ils partagent avec nous... Et si toi, avec moi, tu veux, T'révolter contre eux, Leur faire voir qui on est, Avec moi, s'il te plaît, Reprendre nos droits, Montrer qui est le roi, À l'aube d'une ère nouvelle, D'une couleur bleu ciel. Faut s'révolter, Faut s'émanciper, Faut contester, Comme pour la fin du joug ; Faut s'révolter, Se rebeller, Se soulever, Avec le poids d'l'amour ; Faut s'révolter, Nous émanciper, Contester, Comme pour la fin du joug.
JoannLataste Il y a 6 ans

Bonjour et merci à tous ceux qui ont voulu passer les portes de ce topic. Ici, je pose et poserai mes modestes textes, et, attends et attendrai vos réactions/réflexions/commentaires/critiques (constructives, si possible) suite à la lecture de ceux-ci. À plus !

.................................

Pour mon premier texte, j'ai eu l'idée de faire un pastiche de la chanson "Faut s'oublier" de notre ami l'Ours. À vous de juger !

Entre liberté et discipline ;
Entre la richesse et la ruine ;
Entre l'esclavage des noirs ;
Entre le peuple et le pouvoir ;

Entre écologie et OGM,
Les déchets dans l'écosystème ;
Entre les problèmes d'éducation ;
Entre la banlieue et l'roi pognon ;

Entre nos jeunes et nos aînés ;
Entre exploités et délaissés ;
Entre les polices et les armées ;
Entre leurs violences et méfaits ;

Entre argent et corruption ;
Entre politiques et grands patrons ;
Les gouvernements odieux ;
Entre leurs lois faites pour eux ;

Entre les viols et les sévices,
Et toujours subsistent ces supplices ;
Entre le racisme et l'antisémitisme,
Sûr qu'on va droit au précipice...

Entre leur haine et nos "Je t'aime" ;
Entre leurs paroles tellement vaines ;
Entre leurs cultes ; entre leurs tumultes ;
Entre leur âme inculte ; entre la lutte ;

Entre les vérités et les mensonges,
Ce qui nous sert, ce qui nous ronge ;
Entre les cœurs, les arnaqueurs ;
Entre les crocs et les escrocs ;

Entre les paradis fiscaux,
Qui font augmenter nos malheurs ;
Entre l'équité, l'inégalité ;
Entre leur confort et notre insalubrité ;


Faut s'révolter,
S'émanciper,
Se soulever,
Avec le poids d'l'amour ;

S'révolter,
Se rebeller,
Contester,
Comme pour la fin du joug ;


Et si c'est le règne dictateur,
À nous dicter, à nous faire peur.
Oui, mais si le peuple s'en fout,
Puisque s'révolter n'a pas de coût.
Dans la rue, aux mauvais leaders,
Sur les avenues, régimes sans-cœurs,
Les nations aiment bien s'faire entuber,
Comme des punaises qui s'font féconder.
Et si nous aimons nous faire mener,
C'est parce que nous aimons être dominés...


Faut s'révolter,
Faut s'émanciper,
Faut contester,
Comme pour la fin du joug ;

Faut s'révolter,
Nous rebeller,
Nous soulever,
Avec le poids d'l'amour ;


Entre les riches humains,
C'est l'argent qui domine.
S'ils n'manquent de rien,
Sous leur luxueux standing.
Ainsi, ils font semblant,
Qu'ils sont comme tout le monde.
Des arnaqueurs de gens,
Puisqu'à chaque seconde :
Ils nous baisent la gueule,
Nous prennent pour des jambons.
Il n'y a jamais de stations,
À leur sodomie, ma gueule.
Ils sont vieux, ils sont pleins,
Leurs poches remplies de sous,
Et, pourtant, ce serait bien,
Qu'ils partagent avec nous...

Et si toi, avec moi, tu veux,
T'révolter contre eux,
Leur faire voir qui on est,
Avec moi, s'il te plaît,
Reprendre nos droits,
Montrer qui est le roi,
À l'aube d'une ère nouvelle,
D'une couleur bleu ciel.


Faut s'révolter,
Faut s'émanciper,
Faut contester,
Comme pour la fin du joug ;

Faut s'révolter,
Se rebeller,
Se soulever,
Avec le poids d'l'amour ;

Faut s'révolter,
Nous émanciper,
Contester,
Comme pour la fin du joug.

Texte proposé pour le concours de plume de @Méduse (https://www.saezlive.net/topics/view/5160/concours-de-plume ) dont le nom est "Ma belle Latina" Toi, ma belle Latina ; Toi, de force radicale ; De tes suffixes interminables ; De tes préfixes si louables ; De ta grammaire exceptionnelle ; De ton vocabulaire substantiel ; Toi, qui fit chavirer mon cœur ; Toi, qui me protégea de tous malheurs ; De tes dictées si bien orthographiées ; De ton courage face à la Faute de Français ; De cette manière que tu as pour t’exprimer ; De tes figures qui te font devenir agrémentée. Je t’aime, je t’aime et vivent les épizeuxes, Vivent les épizeuxes et les épanadiploses ! J’aime ton ancêtre, tu sais la Grecque ; J’aime tes grands auteurs, Molière, Hugo, Baudelaire ; J’aime t’écouter ; j’aime te lire ; J’aime te découvrir ; j’aime t'écrire ; Si je devais me marier, tu serais ma femme ; Si je devais amarrer, tu serais mon port ; Si je devais mourir, tu retiendrais, sur Terre, mon âme ; Si je devais ne plus t’aimer, tu ferais mon amour sans bords. Alors à toi, je déclare mon amour car, malheureusement, Aux autres, tu ne m’as aidé à l’exprimer facilement… Toi, ma belle Latina ; toi qui fais, un homme, de moi ; Toi, qui, nuit et jour, me fais penser à toi. C’est pour toi que j’écris, moi ; c’est à toi que j’écris, moi ! Ô ma belle Latina, cousine de l’espagnole et de la britannique, Ô ma belle Latina, tu me fais vivre une vie magnifique ! Sûr que quand la Mort me prendra, je penserai à toi ; Sûr que quand la Mort me prendra, je t'emmènerai avec moi.
JoannLataste Il y a 6 ans

Texte proposé pour le concours de plume de méduse (https://www.saezlive.net/topics/view/5160/concours-de-plume ) dont le nom est "Ma belle Latina"

Toi, ma belle Latina ;
Toi, de force radicale ;

De tes suffixes interminables ;
De tes préfixes si louables ;

De ta grammaire exceptionnelle ;
De ton vocabulaire substantiel ;

Toi, qui fit chavirer mon cœur ;
Toi, qui me protégea de tous malheurs ;

De tes dictées si bien orthographiées ;
De ton courage face à la Faute de Français ;

De cette manière que tu as pour t’exprimer ;
De tes figures qui te font devenir agrémentée.

Je t’aime, je t’aime et vivent les épizeuxes,
Vivent les épizeuxes et les épanadiploses !

J’aime ton ancêtre, tu sais la Grecque ;
J’aime tes grands auteurs, Molière, Hugo, Baudelaire ;

J’aime t’écouter ; j’aime te lire ;
J’aime te découvrir ; j’aime t'écrire ;

Si je devais me marier, tu serais ma femme ;
Si je devais amarrer, tu serais mon port ;

Si je devais mourir, tu retiendrais, sur Terre, mon âme ;
Si je devais ne plus t’aimer, tu ferais mon amour sans bords.

Alors à toi, je déclare mon amour car, malheureusement,
Aux autres, tu ne m’as aidé à l’exprimer facilement…

Toi, ma belle Latina ; toi qui fais, un homme, de moi ;
Toi, qui, nuit et jour, me fais penser à toi.
C’est pour toi que j’écris, moi ; c’est à toi que j’écris, moi !

Ô ma belle Latina, cousine de l’espagnole et de la britannique,
Ô ma belle Latina, tu me fais vivre une vie magnifique !

Sûr que quand la Mort me prendra, je penserai à toi ;
Sûr que quand la Mort me prendra, je t'emmènerai avec moi.

Ah ! Tchétchénie... Ah, Tchétchénie ! Ah, ce pauvre pays ! Financée par un type, dirigeant pathétique, Qui envoie ses opposants politiques, Son propre peuple, crever en Sibérie ! Ce type émergeant du KGB ! Ce type qui en a tant massacrés ! Ah, Tchétchénie ! Ah, Kadyrov ! Toi, qui dit nettoyer ton pays, En balançant tes Molotov, Sur des pauvres homosexuels, Sur des pauvres homosexuels. Toi, qui les violentes ; Toi, qui les tourmentes... Ah, toi, le pauvre inverti ! Oui, toi, qu'on menace ; Oui, toi, qu'on tabasse ! Toi, oui, qui n'a pas choisi, Pas choisi d'aimer un homme, Toi, qui n'a résisté à l'amour, Car on ne peut lui résister, déjouer ses tours, Car il est plus fort que n'importe quel homme. Ah, vous, les gouvernements ! Vous qui ne faites rien pour renverser ces tyrans ! Vous qui regardez tous ces gens exploités ; Vous qui devez agir, pour que, changement, il y ait. Car ce n'est pas humain, ce que ces personnes subissent ; Car les laisser au pouvoir, c'est être leurs complices. Alors, vous, qui êtes nos dirigeants, vous devez œuvrer, Œuvrer contre ces dictatures en place depuis trop d'années...
JoannLataste Il y a 6 ans

Ah ! Tchétchénie...

Ah, Tchétchénie ! Ah, ce pauvre pays !
Financée par un type, dirigeant pathétique,
Qui envoie ses opposants politiques,
Son propre peuple, crever en Sibérie !
Ce type émergeant du KGB !
Ce type qui en a tant massacrés !

Ah, Tchétchénie !
Ah, Kadyrov !
Toi, qui dit nettoyer ton pays,
En balançant tes Molotov,
Sur des pauvres homosexuels,
Sur des pauvres homosexuels.
Toi, qui les violentes ;
Toi, qui les tourmentes...

Ah, toi, le pauvre inverti !
Oui, toi, qu'on menace ;
Oui, toi, qu'on tabasse !
Toi, oui, qui n'a pas choisi,
Pas choisi d'aimer un homme,
Toi, qui n'a résisté à l'amour,
Car on ne peut lui résister, déjouer ses tours,
Car il est plus fort que n'importe quel homme.

Ah, vous, les gouvernements !
Vous qui ne faites rien pour renverser ces tyrans !
Vous qui regardez tous ces gens exploités ;
Vous qui devez agir, pour que, changement, il y ait.
Car ce n'est pas humain, ce que ces personnes subissent ;
Car les laisser au pouvoir, c'est être leurs complices.
Alors, vous, qui êtes nos dirigeants, vous devez œuvrer,
Œuvrer contre ces dictatures en place depuis trop d'années...

Ligne rouge Nous avons atteint la ligne rouge. Vous savez, cette ligne à ne jamais franchir. Cette ligne qui fait devenir notre monde, un bouge. Nous faisons tout pour y parvenir : Entre les déchets nucléaires rejetés dans la nature ; Entre le pétrole, disparaissant au fur et à mesure, Polluant notre planète, à n'en plus finir ; Entre les continents d'ordures, contaminant eau et poissons ; Entre la déforestation qui décime nos poumons ; Entre la culture d'huile de palme, en train de nous anéantir ; Entre le réchauffement climatique, faisant fondre les glaciers, Étant donné qu'il augmente inexorablement, qu'il va nous tuer ; Entre les virus et autres bactéries, de plus en plus incontrôlables ; Entre la disparition inquiétante d'énormément d'espèces animales ; Entre les OGM, mis dans notre assiette, autant se tirer une balle ; Entre les additifs alimentaires qu'on cache, vraiment insoutenables ; Entre les gigantesques mines, assassinant à petit feu, notre Mère ; Entre nos transports, produits "toujours pour mieux niquer la Terre" ; Entre nos technologies, fabriquées par des enfants exploités ; Entre la surpopulation de plus en plus grandissante, où va le progrès ? Entre nos sœurs, les abeilles, qu'on extermine, qu'on élimine ; Entre les guerres qu'on mène partout, au nom de la paix, j'hallucine ! Entre nos jeunes, qu'on délaisse, qu'on rend cons, dealers et violents ; Entre nos anciens, oubliés dans les maisons de retraite ; Entre nos riches, qu'on rend plus riches et à qui on donne tout l'argent ; Entre nos pauvres, miséreux, qui ne savent plus où donner de la tête ; Entre nos exploiteurs chéris et qu'on aime, qu'on place à la tête des pays ; Entre l'eau, synonyme de vie, qui nous manquera si on continue... Il y en a tellement d'autres, que j'en ai fâcheusement beaucoup omis. Puisqu'aujourd'hui, tout reste à faire, que la fin n'est qu'à son début, Battons-nous pour sauver notre monde, sortons-nous les doigts du cul, Car c'est en le laissant dans cet état, que nous allons être perdus.
JoannLataste Il y a 6 ans

Ligne rouge

Nous avons atteint la ligne rouge.
Vous savez, cette ligne à ne jamais franchir.
Cette ligne qui fait devenir notre monde, un bouge.
Nous faisons tout pour y parvenir :
Entre les déchets nucléaires rejetés dans la nature ;
Entre le pétrole, disparaissant au fur et à mesure,
Polluant notre planète, à n'en plus finir ;
Entre les continents d'ordures, contaminant eau et poissons ;
Entre la déforestation qui décime nos poumons ;
Entre la culture d'huile de palme, en train de nous anéantir ;
Entre le réchauffement climatique, faisant fondre les glaciers,
Étant donné qu'il augmente inexorablement, qu'il va nous tuer ;
Entre les virus et autres bactéries, de plus en plus incontrôlables ;
Entre la disparition inquiétante d'énormément d'espèces animales ;
Entre les OGM, mis dans notre assiette, autant se tirer une balle ;
Entre les additifs alimentaires qu'on cache, vraiment insoutenables ;
Entre les gigantesques mines, assassinant à petit feu, notre Mère ;
Entre nos transports, produits "toujours pour mieux niquer la Terre" ;
Entre nos technologies, fabriquées par des enfants exploités ;
Entre la surpopulation de plus en plus grandissante, où va le progrès ?
Entre nos sœurs, les abeilles, qu'on extermine, qu'on élimine ;
Entre les guerres qu'on mène partout, au nom de la paix, j'hallucine !
Entre nos jeunes, qu'on délaisse, qu'on rend cons, dealers et violents ;
Entre nos anciens, oubliés dans les maisons de retraite ;
Entre nos riches, qu'on rend plus riches et à qui on donne tout l'argent ;
Entre nos pauvres, miséreux, qui ne savent plus où donner de la tête ;
Entre nos exploiteurs chéris et qu'on aime, qu'on place à la tête des pays ;
Entre l'eau, synonyme de vie, qui nous manquera si on continue...
Il y en a tellement d'autres, que j'en ai fâcheusement beaucoup omis.
Puisqu'aujourd'hui, tout reste à faire, que la fin n'est qu'à son début,
Battons-nous pour sauver notre monde, sortons-nous les doigts du cul,
Car c'est en le laissant dans cet état, que nous allons être perdus.

Toi, Simone Je suis née à Nice, un treize juillet. En cet an 27, je naquis bien entourée. Dernière de la famille, j'eus une enfance plutôt normale. Ce fut en 33, que les choses ont commencé à tourner mal. Hitler nommé chancelier, l'Europe apeurée. En 39, début de la guerre ; en 40, la France occupée. Par chance, je fus en zone libre, ne me fis pas arrêter. Cependant, en 44, les Italiens ont fini par nous repérer. Ils n'aimaient pas les juifs, voulaient les exterminer. Alors, à Auschwitz, ma mère, ma sœur et moi, sommes envoyées. Les horreurs qu'on nous fit subir, sont d'une cruauté. Si bien que ma mère ne tint jusqu'au bout, jusqu'à l'arrivée. Toi, Simone, toi, victime de la Shoah, Dire que tu as survécu à tout cela... Toi, Simone, juive et fière de l'être, Tu as résisté à cette barbarie de toute la force de ton être. En 45, les Alliés vinrent, de ce calvaire, nous libérer. De retour en France, je décrochai mon Bac et poursuivis mes études. À l'IEP, je rencontrai Alain, l'homme de ma vie, que j'épouserai. Ma sœur mourut dans un accident de voiture, je fus abattue. Je sortis diplômes en poche et devins haute-magistrate à la Justice. J'aidais à l'époque de nombreux algériens innocents, Les transférant en France, pour leur éviter de subir des supplices. En 74, étant ministre de la Santé, je dépénalisai l'avortement. Cette loi me valut beaucoup de problèmes mais je tins bon, Me dit que c'est un droit que la femme doit avoir pour de bon. Enfin, je mis en place des aides pour les mère de nouveaux nés, Et je proposai une loi en aide aux handicapés. Toi, Simone, qui combattis pour les droit des femmes, Dire que, grâce à toi, elles purent alors connaître l'IVG. Toi, Simone, femme qui mit toute son âme, Pour que ses semblables choisissent d'avoir ou non un bébé. En 79, je fus élue Présidente du Parlement européen. Je militais pour que les ententes entre les pays aillent bien. En politique, je fus à droite, soutenant Giscard, Chirac. De l'UDF au RPR, je menais une politique libérale sans couacs. 93, sous Balladur, je fus à nouveau ministre mais peu longtemps, Et c'est au Conseil Constitutionnel que je siégeai dorénavant. À cette époque, sortant de mon droit de réserve, j'appelais à voter "oui" "Oui", à un traité pour une constitution européenne ; "Oui", pour des lois qui favoriseront une Europe sans haine. Académicienne depuis 2007, je défendais alors Borloo, Sarkozy. 2010, femme préférée des français, mais, 2013, prise en flagrant délit : Moi, qui militais pour la liberté, j'affichais alors mon homophobie. Toi, Simone, qui, pour l'unité et les libertés, a fait entendre ta voix. Dire qu'à la fin, tu te battais contre les homosexuels et leurs droits. Toi, Simone, qui a été une Grande dame, C'est pour toi que, beaucoup, à ta mort, ont lâché leurs larmes.
JoannLataste Il y a 6 ans

Toi, Simone

Je suis née à Nice, un treize juillet.
En cet an 27, je naquis bien entourée.
Dernière de la famille, j'eus une enfance plutôt normale.
Ce fut en 33, que les choses ont commencé à tourner mal.
Hitler nommé chancelier, l'Europe apeurée.
En 39, début de la guerre ; en 40, la France occupée.
Par chance, je fus en zone libre, ne me fis pas arrêter.
Cependant, en 44, les Italiens ont fini par nous repérer.
Ils n'aimaient pas les juifs, voulaient les exterminer.
Alors, à Auschwitz, ma mère, ma sœur et moi, sommes envoyées.
Les horreurs qu'on nous fit subir, sont d'une cruauté.
Si bien que ma mère ne tint jusqu'au bout, jusqu'à l'arrivée.

Toi, Simone, toi, victime de la Shoah,
Dire que tu as survécu à tout cela...
Toi, Simone, juive et fière de l'être,
Tu as résisté à cette barbarie de toute la force de ton être.

En 45, les Alliés vinrent, de ce calvaire, nous libérer.
De retour en France, je décrochai mon Bac et poursuivis mes études.
À l'IEP, je rencontrai Alain, l'homme de ma vie, que j'épouserai.
Ma sœur mourut dans un accident de voiture, je fus abattue.
Je sortis diplômes en poche et devins haute-magistrate à la Justice.
J'aidais à l'époque de nombreux algériens innocents,
Les transférant en France, pour leur éviter de subir des supplices.
En 74, étant ministre de la Santé, je dépénalisai l'avortement.
Cette loi me valut beaucoup de problèmes mais je tins bon,
Me dit que c'est un droit que la femme doit avoir pour de bon.
Enfin, je mis en place des aides pour les mère de nouveaux nés,
Et je proposai une loi en aide aux handicapés.

Toi, Simone, qui combattis pour les droit des femmes,
Dire que, grâce à toi, elles purent alors connaître l'IVG.
Toi, Simone, femme qui mit toute son âme,
Pour que ses semblables choisissent d'avoir ou non un bébé.

En 79, je fus élue Présidente du Parlement européen.
Je militais pour que les ententes entre les pays aillent bien.
En politique, je fus à droite, soutenant Giscard, Chirac.
De l'UDF au RPR, je menais une politique libérale sans couacs.
93, sous Balladur, je fus à nouveau ministre mais peu longtemps,
Et c'est au Conseil Constitutionnel que je siégeai dorénavant.
À cette époque, sortant de mon droit de réserve, j'appelais à voter "oui"
"Oui", à un traité pour une constitution européenne ;
"Oui", pour des lois qui favoriseront une Europe sans haine.
Académicienne depuis 2007, je défendais alors Borloo, Sarkozy.
2010, femme préférée des français, mais, 2013, prise en flagrant délit :
Moi, qui militais pour la liberté, j'affichais alors mon homophobie.

Toi, Simone, qui, pour l'unité et les libertés, a fait entendre ta voix.
Dire qu'à la fin, tu te battais contre les homosexuels et leurs droits.
Toi, Simone, qui a été une Grande dame,
C'est pour toi que, beaucoup, à ta mort, ont lâché leurs larmes.

293 vues 293 vues, mais aucune réponse. Pas une, même pas de trolls. Suis-je un monstre ? Si c'est le cas, c'est pas de bol.... Je ne demande pas grand chose, Un commentaire, une critique, Qu'elle soit constructive ou satirique, Mais une critique de mes proses. Même @Churinga, qui m'encourageait, Me disait de partager mes textes, Même lui, ne m'a dit ce qu'il en pensait. Était-ce alors un prétexte ?
JoannLataste Il y a 6 ans

293 vues

293 vues, mais aucune réponse.
Pas une, même pas de trolls.
Suis-je un monstre ?
Si c'est le cas, c'est pas de bol....

Je ne demande pas grand chose,
Un commentaire, une critique,
Qu'elle soit constructive ou satirique,
Mais une critique de mes proses.

Même @Churinga, qui m'encourageait,
Me disait de partager mes textes,
Même lui, ne m'a dit ce qu'il en pensait.
Était-ce alors un prétexte ?

ben oui c'est pas mal, on est plutôt dans la réalité, la réflexion mon petit coup de coeur va à " ma belle Latina", ouais c'est mon côté romantique par contre je ne saurai pas te donner de conseils quant à l'écriture, je ne suis pas assez spécialisée :)
bibounie Il y a 6 ans

ben oui c'est pas mal, on est plutôt dans la réalité, la réflexion
mon petit coup de coeur va à " ma belle Latina", ouais c'est mon côté romantique
par contre je ne saurai pas te donner de conseils quant à l'écriture, je ne suis pas assez spécialisée

[quote="bibounie"]ben oui c'est pas mal, on est plutôt dans la réalité, la réflexion mon petit coup de coeur va à " ma belle Latina", ouais c'est mon côté romantique par contre je ne saurai pas te donner de conseils quant à l'écriture, je ne suis pas assez spécialisée :)[/quote]D'accord, merci quand même pour le retour :)
JoannLataste Il y a 6 ans

ben oui c'est pas mal, on est plutôt dans la réalité, la réflexion
mon petit coup de coeur va à " ma belle Latina", ouais c'est mon côté romantique
par contre je ne saurai pas te donner de conseils quant à l'écriture, je ne suis pas assez spécialisée
D'accord, merci quand même pour le retour

Mardi, c'était ton anniversaire... Mardi, c’était ton anniversaire. Tu es devenu quadragénaire. Même si dans ta tête, Tu es resté, comme tu l’as relaté, Toujours à seize balais, Cet âge que tu fêtes, En mangeant, un gros gâteau, Ou bien en buvant un bon Bordeaux, Celui que tu veux. N'empêche, j’espère que tu étais heureux, Que ton chagrin t’ait quitté, un peu, De temps en temps, faut être joyeux ! Putain, dire que c’est terminé, Les Manifestes, les concerts, les soirées, En ta compagnie, Tu l’as dit, tu pars en Alaska, Un Dernier Disque et tu t’en vas. Qu’est-ce qu’on s’ra tristes ! Je voulais simplement te dire, Que nous, on a gardé ton sourire, En souvenir. Que tu sois ici ou sur Pluton, On s’en fout, nous, on t’aime pour de bon, Pour toute la vie.
JoannLataste Il y a 6 ans

Mardi, c'était ton anniversaire...

Mardi, c’était ton anniversaire.
Tu es devenu quadragénaire.
Même si dans ta tête,
Tu es resté, comme tu l’as relaté,
Toujours à seize balais,
Cet âge que tu fêtes,

En mangeant, un gros gâteau,
Ou bien en buvant un bon Bordeaux,
Celui que tu veux.
N'empêche, j’espère que tu étais heureux,
Que ton chagrin t’ait quitté, un peu,
De temps en temps, faut être joyeux !

Putain, dire que c’est terminé,
Les Manifestes, les concerts, les soirées,
En ta compagnie,
Tu l’as dit, tu pars en Alaska,
Un Dernier Disque et tu t’en vas.
Qu’est-ce qu’on s’ra tristes !

Je voulais simplement te dire,
Que nous, on a gardé ton sourire,
En souvenir.
Que tu sois ici ou sur Pluton,
On s’en fout, nous, on t’aime pour de bon,
Pour toute la vie.

Je n'écris pas forcément pour avoir des retours. Je t'encourage à extérioriser ce que tu as en toi, je ne t'encourage pas pour autant à attendre des autres quelques compliments. Si mes textes ne font que des allers simples dans la tête des autres, c'est pas plus mal :) C'est peut-être qu'ils y restent un peu... ? Je ne saurais te dire ce que je pense de tes textes ! Une impression positive, plutôt, si tu veux un qualitatif. T'es qu'au début, j'espère, d'une longue carrière personnelle ! Quand on cherche la précieuse ou la semi précieuse dans le sol, il faut prendre le temps de l'extraire. Et chaque pierre ne convient pas à tous, faut d'abord chercher dans la roche, puis prendre le soin de l'extraire sans la briser en trop de fragments. Tu sais, j'ai peu de personnes de mon entourage, même mes amis proches, qui lisent mes écrits... C'est pas faute de leur envoyer le lien à chaque fois pourtant : Ils se butent aux premiers textes et décampent dans d'autres occupations rapidement, excuses en bouche que " ce n'est pas le moment propice ". En attendant, le temps file vite. J'en ai marre de les relancer. Je n'ai pas de retours et bien tampis. Le retour je l'aurais en moi quand je relirai ce que j'ai écris, que ces quelques lignes serviront d'épitaphe de deuil à ceux que je manquerai une fois disparu.
AnonymeIl y a 6 ans

Je n'écris pas forcément pour avoir des retours. Je t'encourage à extérioriser ce que tu as en toi, je ne t'encourage pas pour autant à attendre des autres quelques compliments.

Si mes textes ne font que des allers simples dans la tête des autres, c'est pas plus mal
C'est peut-être qu'ils y restent un peu... ?

Je ne saurais te dire ce que je pense de tes textes ! Une impression positive, plutôt, si tu veux un qualitatif.

T'es qu'au début, j'espère, d'une longue carrière personnelle !
Quand on cherche la précieuse ou la semi précieuse dans le sol, il faut prendre le temps de l'extraire. Et chaque pierre ne convient pas à tous, faut d'abord chercher dans la roche, puis prendre le soin de l'extraire sans la briser en trop de fragments.

Tu sais, j'ai peu de personnes de mon entourage, même mes amis proches, qui lisent mes écrits...
C'est pas faute de leur envoyer le lien à chaque fois pourtant :
Ils se butent aux premiers textes et décampent dans d'autres occupations rapidement, excuses en bouche que " ce n'est pas le moment propice ".
En attendant, le temps file vite. J'en ai marre de les relancer. Je n'ai pas de retours et bien tampis.
Le retour je l'aurais en moi quand je relirai ce que j'ai écris, que ces quelques lignes serviront d'épitaphe de deuil à ceux que je manquerai une fois disparu.


[quote="Churinga"]Je n'écris pas forcément pour avoir des retours. Je t'encourage à extérioriser ce que tu as en toi, je ne t'encourage pas pour autant à attendre des autres quelques compliments. Si mes textes ne font que des allers simples dans la tête des autres, c'est pas plus mal :) C'est peut-être qu'ils y restent un peu... ? Je ne saurais te dire ce que je pense de tes textes ! Une impression positive, plutôt, si tu veux un qualitatif. T'es qu'au début, j'espère, d'une longue carrière personnelle ! Quand on cherche la précieuse ou la semi précieuse dans le sol, il faut prendre le temps de l'extraire. Et chaque pierre ne convient pas à tous, faut d'abord chercher dans la roche, puis prendre le soin de l'extraire sans la briser en trop de fragments. Tu sais, j'ai peu de personnes de mon entourage, même mes amis proches, qui lisent mes écrits... C'est pas faute de leur envoyer le lien à chaque fois pourtant : Ils se butent aux premiers textes et décampent dans d'autres occupations rapidement, excuses en bouche que " ce n'est pas le moment propice ". En attendant, le temps file vite. J'en ai marre de les relancer. Je n'ai pas de retours et bien tampis. Le retour je l'aurais en moi quand je relirai ce que j'ai écris, que ces quelques lignes serviront d'épitaphe de deuil à ceux que je manquerai une fois disparu.[/quote] Je n'attends pas forcément des "compliments", si tu lis mon "poème", je ne parle pas de "compliments" mais des "critiques", des "commentaires", tu vois ? Moi, je fais lire mes écrits à mon entourage mais j'aimerais aussi un avis extérieur ;).
JoannLataste Il y a 6 ans

Je n'écris pas forcément pour avoir des retours. Je t'encourage à extérioriser ce que tu as en toi, je ne t'encourage pas pour autant à attendre des autres quelques compliments.

Si mes textes ne font que des allers simples dans la tête des autres, c'est pas plus mal
C'est peut-être qu'ils y restent un peu... ?

Je ne saurais te dire ce que je pense de tes textes ! Une impression positive, plutôt, si tu veux un qualitatif.

T'es qu'au début, j'espère, d'une longue carrière personnelle !
Quand on cherche la précieuse ou la semi précieuse dans le sol, il faut prendre le temps de l'extraire. Et chaque pierre ne convient pas à tous, faut d'abord chercher dans la roche, puis prendre le soin de l'extraire sans la briser en trop de fragments.

Tu sais, j'ai peu de personnes de mon entourage, même mes amis proches, qui lisent mes écrits...
C'est pas faute de leur envoyer le lien à chaque fois pourtant :
Ils se butent aux premiers textes et décampent dans d'autres occupations rapidement, excuses en bouche que " ce n'est pas le moment propice ".
En attendant, le temps file vite. J'en ai marre de les relancer. Je n'ai pas de retours et bien tampis.
Le retour je l'aurais en moi quand je relirai ce que j'ai écris, que ces quelques lignes serviront d'épitaphe de deuil à ceux que je manquerai une fois disparu.
@Churinga

Je n'attends pas forcément des "compliments", si tu lis mon "poème", je ne parle pas de "compliments" mais des "critiques", des "commentaires", tu vois ?
Moi, je fais lire mes écrits à mon entourage mais j'aimerais aussi un avis extérieur .

Nouveau-né Je suis un nouveau-né. Dans l’écriture, j’débute, j’le reconnais. Porté par les vents saeziens, Je vole de mes propres ailes. Il me permet de croire que la vie est belle, Croire que je fais pas ça pour rien. C’est dur. Dur, mais faut tenir bon : Y en a qui ont réussi, alors, Pourquoi, moi, je raterais ? Ça s’rait con. Je regarde à bâbord, à tribord, Rien. Je lève la tête et aperçois le port : Cette fois, les débris de ma pensée s’évaporent. J’atteins la rive, attache les amarres. Qu’y a-t-il de plus beau, dans ce monde, Que de marcher sur un quai, aux bras d’une blonde, L’aimer et plonger avec elle au détour d’une mare ? Qu’y a-t-il de plus triste, que de finir, Finir tout seul, sans avoir quelconque empire ? Au gré des vents, je vole et survole. Et des proses, moi, je raffole et rend fols, Les êtres aphones et sourdingues, Dingues de la folie, de la phonie. Bref, je m’égare, je deviens cinglé, Dans ce monde de télés, de téléphonies.
JoannLataste Il y a 6 ans

Nouveau-né

Je suis un nouveau-né.
Dans l’écriture, j’débute, j’le reconnais.
Porté par les vents saeziens,
Je vole de mes propres ailes.
Il me permet de croire que la vie est belle,
Croire que je fais pas ça pour rien.

C’est dur. Dur, mais faut tenir bon :
Y en a qui ont réussi, alors,
Pourquoi, moi, je raterais ? Ça s’rait con.
Je regarde à bâbord, à tribord,
Rien. Je lève la tête et aperçois le port :
Cette fois, les débris de ma pensée s’évaporent.

J’atteins la rive, attache les amarres.
Qu’y a-t-il de plus beau, dans ce monde,
Que de marcher sur un quai, aux bras d’une blonde,
L’aimer et plonger avec elle au détour d’une mare ?
Qu’y a-t-il de plus triste, que de finir,
Finir tout seul, sans avoir quelconque empire ?

Au gré des vents, je vole et survole.
Et des proses, moi, je raffole et rend fols,
Les êtres aphones et sourdingues,
Dingues de la folie, de la phonie.
Bref, je m’égare, je deviens cinglé,
Dans ce monde de télés, de téléphonies.

Dans l'ensemble c'est bien écrit. C'est joli. C'est lisse. Je trouve que tu maîtrises les mots, justement peut-être un peu trop encore ... comment dire ... mon sentiment à la lecture est que je ne retrouve pas toujours de la profondeur. Le vernis en surface apporte la beauté mais on n'arrive pas encore à mesurer, détailler la multitude des pigments en dessous. Je pense que tu sais écrire c'est indéniable mais que comme c'est aussi un début ce n'est pas encore assez abîmé, destructuré en direction de ton style à toi. je ne sais pas si ça t'aide mais en tout cas le potentiel est là c'est sur. On sent aussi que tu as des idées, de l'inspiration donc qu'en pratiquant ça va évoluer clairement. C'est bête à dire mais la phrase est tout à fait juste en fait : c'est en forgeant qu'on devient forgeron. ;)
Nulie Il y a 6 ans

Dans l'ensemble c'est bien écrit. C'est joli. C'est lisse. Je trouve que tu maîtrises les mots, justement peut-être un peu trop encore ... comment dire ... mon sentiment à la lecture est que je ne retrouve pas toujours de la profondeur. Le vernis en surface apporte la beauté mais on n'arrive pas encore à mesurer, détailler la multitude des pigments en dessous.
Je pense que tu sais écrire c'est indéniable mais que comme c'est aussi un début ce n'est pas encore assez abîmé, destructuré en direction de ton style à toi.
je ne sais pas si ça t'aide mais en tout cas le potentiel est là c'est sur. On sent aussi que tu as des idées, de l'inspiration donc qu'en pratiquant ça va évoluer clairement. C'est bête à dire mais la phrase est tout à fait juste en fait : c'est en forgeant qu'on devient forgeron.

[quote="Nulie"]Dans l'ensemble c'est bien écrit. C'est joli. C'est lisse. Je trouve que tu maîtrises les mots, justement peut-être un peu trop encore ... comment dire ... mon sentiment à la lecture est que je ne retrouve pas toujours de la profondeur. Le vernis en surface apporte la beauté mais on n'arrive pas encore à mesurer, détailler la multitude des pigments en dessous. Je pense que tu sais écrire c'est indéniable mais que comme c'est aussi un début ce n'est pas encore assez abîmé, destructuré en direction de ton style à toi. je ne sais pas si ça t'aide mais en tout cas le potentiel est là c'est sur. On sent aussi que tu as des idées, de l'inspiration donc qu'en pratiquant ça va évoluer clairement. C'est bête à dire mais la phrase est tout à fait juste en fait : c'est en forgeant qu'on devient forgeron. ;)[/quote]Je prends note, merci à toi du retour :)
JoannLataste Il y a 6 ans

Dans l'ensemble c'est bien écrit. C'est joli. C'est lisse. Je trouve que tu maîtrises les mots, justement peut-être un peu trop encore ... comment dire ... mon sentiment à la lecture est que je ne retrouve pas toujours de la profondeur. Le vernis en surface apporte la beauté mais on n'arrive pas encore à mesurer, détailler la multitude des pigments en dessous.
Je pense que tu sais écrire c'est indéniable mais que comme c'est aussi un début ce n'est pas encore assez abîmé, destructuré en direction de ton style à toi.
je ne sais pas si ça t'aide mais en tout cas le potentiel est là c'est sur. On sent aussi que tu as des idées, de l'inspiration donc qu'en pratiquant ça va évoluer clairement. C'est bête à dire mais la phrase est tout à fait juste en fait : c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Je prends note, merci à toi du retour

[quote="Anne is back forever"]L'crapo ça d'vient toujours beau ! :)[/quote]Surtout quand ça se transforme en prince, grâce au baiser d'une princesse ;)
JoannLataste Il y a 6 ans

L'crapo ça d'vient toujours beau !
anne is back forever
Surtout quand ça se transforme en prince, grâce au baiser d'une princesse

Petit poème plus sentimental : [img]https://pix.blizzart.net/image/1502228514/original.jpg[/img]
JoannLataste Il y a 6 ans

Petit poème plus sentimental :






Pastiche nº2 : Comme ils disent d'Aznavour J'habite seul chez mes darons Dans une assez récente maison Rue Grand Cabanne J'ai pour me tenir compagnie Quatre chiens, un frère passant sa vie À faire l'âne Pour laisser maman reposer Très souvent, je vais débarrasser La grande table Je range, je lave, j'essuie À l'occasion, j’amène aussi Le café à table Le travail ne me fait plus peur Je suis habitué au labeur Mais j’ai coutume De dire que mon vrai métier, c'est l’écrit, Dans lequel, je m'exerce en apprenti Je suis homme de plume J'ai une prose très spéciale Qui finit de manière très anormale Avec quelques bêtises Mais, quand on me lit, je vois que Les gens n'en croient pas leurs yeux Alors que je suis un nouveau-né comme ils disent Vers les trois heures de l’aprèm, Je rejoins celle que j’aime, Une belle femme, Dans un quelconque endroit Et là, on s'en donne a cœur joie Et sans états d'âme On se raconte nos journées Tout ce que, sans l’autre, on a fait On se dit tout Sauf ce qui n’est pas joyeux On veut quand même rester heureux, Et s’aimer comme des fous On rencontre une multitude de gens Qui nous demandent gentiment Où est une rue On les aide alors comme on peut, Leur montre, l’incertitude dans nos yeux, Une certaine avenue Puis on pars vers la Place De la mairie, où il y a très peu de places Qui nous avisent On se met alors contre un chêne âgé, Par terre mais l’un à l’autre serrés, On est amoureux comme ils disent À l'heure où l’on doit se laisser, Je l’embrasse alors sans m’arrêter, Et je la quitte Je repense à tous ces beaux moments Comme un pauvre clown n’étant souriant. Cela m’attriste ! Je me couche mais ne dors pas Je songe à ma journée dans ses bras Qui était si brève ! À cette Aphrodite qui m’a charmé, Qui sans rien dire a enchanté Oui, tous mes rêves Ma bouche l’embrassant ou bien, Ma main tâtant ses seins, Sont gravés dans mon âme Car je n’ai pas à faire un dessin, Vous comprendrez quand même très bien, J’aime cette femme Nul n'a le droit en vérité De moi, se moquer, se ficher, Car je suis novice. Que c'est bien la nature qui Est seule responsable si Je suis amoureux comme ils disent
JoannLataste Il y a 6 ans

Pastiche nº2 : Comme ils disent d'Aznavour

J'habite seul chez mes darons
Dans une assez récente maison
Rue Grand Cabanne
J'ai pour me tenir compagnie
Quatre chiens, un frère passant sa vie
À faire l'âne

Pour laisser maman reposer
Très souvent, je vais débarrasser
La grande table
Je range, je lave, j'essuie
À l'occasion, j’amène aussi
Le café à table

Le travail ne me fait plus peur
Je suis habitué au labeur
Mais j’ai coutume
De dire que mon vrai métier, c'est l’écrit,
Dans lequel, je m'exerce en apprenti
Je suis homme de plume

J'ai une prose très spéciale
Qui finit de manière très anormale
Avec quelques bêtises
Mais, quand on me lit, je vois que
Les gens n'en croient pas leurs yeux
Alors que je suis un nouveau-né comme ils disent

Vers les trois heures de l’aprèm,
Je rejoins celle que j’aime,
Une belle femme,
Dans un quelconque endroit
Et là, on s'en donne a cœur joie
Et sans états d'âme

On se raconte nos journées
Tout ce que, sans l’autre, on a fait
On se dit tout
Sauf ce qui n’est pas joyeux
On veut quand même rester heureux,
Et s’aimer comme des fous

On rencontre une multitude de gens
Qui nous demandent gentiment
Où est une rue
On les aide alors comme on peut,
Leur montre, l’incertitude dans nos yeux,
Une certaine avenue

Puis on pars vers la Place
De la mairie, où il y a très peu de places
Qui nous avisent
On se met alors contre un chêne âgé,
Par terre mais l’un à l’autre serrés,
On est amoureux comme ils disent

À l'heure où l’on doit se laisser,
Je l’embrasse alors sans m’arrêter,
Et je la quitte
Je repense à tous ces beaux moments
Comme un pauvre clown n’étant souriant.
Cela m’attriste !

Je me couche mais ne dors pas
Je songe à ma journée dans ses bras
Qui était si brève !
À cette Aphrodite qui m’a charmé,
Qui sans rien dire a enchanté
Oui, tous mes rêves

Ma bouche l’embrassant ou bien,
Ma main tâtant ses seins,
Sont gravés dans mon âme
Car je n’ai pas à faire un dessin,
Vous comprendrez quand même très bien,
J’aime cette femme

Nul n'a le droit en vérité
De moi, se moquer, se ficher,
Car je suis novice.
Que c'est bien la nature qui
Est seule responsable si
Je suis amoureux comme ils disent

Pastiche nº3 : "Je suis le Christ" de l'Ours Mon ange, t’es venu me voir, me faire croire en mes rêves,
 Poser délicatement sur ma bouche, la beauté de tes lèvres. Tendrement contre mon cœur, tu m’as montré la voie,
 Tu m'as dit que, oui, tu m’aimais, que tu ne t’arrêterais pas. 
D'un mouvement de cil, tu m’as dit que tu dois partir. C’est quand on pense être très haut, que la chute se fait sentir.
 De jour en jour, chaque soir faut que, sans toi, je me couche. Toutes les plus belles choses au monde ne valent pas ta bouche. Je suis si triste car, toi, tu n’es pas là ! Et je vais mourir ! Quel drame !
 Je suis si triste, juste car t’es partie là-bas ! D'être trop seul, sans âme ! Je marche au milieu des foules qui m’observent, rouges de colère. « Triste fils, sans elle, tu déboules, alors, bienvenue en enfer ! »
 Et si l'Amour a lancé ses flèches dans mon cœur,
 C'est qu'on est fait pour s'aimer, qu’on peut le faire sans peur. Mon ange, voyant mes pensées macabres, tu m'as dit : « Ne pleure plus !  Mon cœur, ne pense plus à ça, mon amour, je suis revenue. » Alors, moi, je vais plein d’amour, pointer mes yeux sur toi,
 Reluquer, oui, cet être qui, pour toujours, sera dans mes bras. Je suis si triste car, toi, tu n’es pas là ! Et je vais mourir ! Et je vais mourir ! Quel drame !
 Je suis si triste, juste car t’es partie là-bas ! D'être trop seul, les yeux remplis de larmes ! Edit du 17/08 : j'ai remis les phrases correctement
JoannLataste Il y a 6 ans

Pastiche nº3 : "Je suis le Christ" de l'Ours

Mon ange, t’es venu me voir, me faire croire en mes rêves,

Poser délicatement sur ma bouche, la beauté de tes lèvres.
Tendrement contre mon cœur, tu m’as montré la voie,

Tu m'as dit que, oui, tu m’aimais, que tu ne t’arrêterais pas.


D'un mouvement de cil, tu m’as dit que tu dois partir.
C’est quand on pense être très haut, que la chute se fait sentir.

De jour en jour, chaque soir faut que, sans toi, je me couche.
Toutes les plus belles choses au monde ne valent pas ta bouche.

Je suis si triste car, toi, tu n’es pas là !
Et je vais mourir ! Quel drame !

Je suis si triste, juste car t’es partie là-bas !
D'être trop seul, sans âme !

Je marche au milieu des foules qui m’observent, rouges de colère.
« Triste fils, sans elle, tu déboules, alors, bienvenue en enfer ! »

Et si l'Amour a lancé ses flèches dans mon cœur,

C'est qu'on est fait pour s'aimer, qu’on peut le faire sans peur.

Mon ange, voyant mes pensées macabres, tu m'as dit : « Ne pleure plus ! 
Mon cœur, ne pense plus à ça, mon amour, je suis revenue. »
Alors, moi, je vais plein d’amour, pointer mes yeux sur toi,

Reluquer, oui, cet être qui, pour toujours, sera dans mes bras.

Je suis si triste car, toi, tu n’es pas là !
Et je vais mourir ! Et je vais mourir ! Quel drame !

Je suis si triste, juste car t’es partie là-bas !
D'être trop seul, les yeux remplis de larmes !

Edit du 17/08 : j'ai remis les phrases correctement

[quote="Je t'aimerai"]Pour le moment, je lis une série d'exercices de style, qui révèle un crapeau qui n'a pas encore mérité les baisers des princesses. À mon goût tu restes un peu à la surface des profondeurs, mais je ressens un être rêveur dans l'écriture alors je te souhaite de trouver le plaisir et ton souhait dans la dynamique de l'écriture à exposer à autrui.[/quote]Merci à toi ! J'aime beaucoup la première phrase ! [quote="Je t'aimerai"] Un détail, j'ai remarqué que tu as un comportement étrange à demander à ce qu'on te lise ou à aller corriger un peu partout les écrits des autres anonymes du forum. C'est particulier comme comportement.[/quote] Premièrement, je n'ai pas demandé qu'on me lise, j'ai été étonné de certains, qui me disaient de poster mes textes sur le forum, n'avaient pas réagi à ceux-ci. Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.
JoannLataste Il y a 6 ans

Pour le moment, je lis une série d'exercices de style, qui révèle un crapeau qui n'a pas encore mérité les baisers des princesses. À mon goût tu restes un peu à la surface des profondeurs, mais je ressens un être rêveur dans l'écriture alors je te souhaite de trouver le plaisir et ton souhait dans la dynamique de l'écriture à exposer à autrui.
@Je t'aimerai
Merci à toi ! J'aime beaucoup la première phrase !



Un détail, j'ai remarqué que tu as un comportement étrange à demander à ce qu'on te lise ou à aller corriger un peu partout les écrits des autres anonymes du forum. C'est particulier comme comportement.
@Je t'aimerai

Premièrement, je n'ai pas demandé qu'on me lise, j'ai été étonné de certains, qui me disaient de poster mes textes sur le forum, n'avaient pas réagi à ceux-ci.
Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.

[quote="JoannLataste"]Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.[/quote]C'est bien petit padawan :)
Isa Il y a 6 ans

Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.
C'est bien petit padawan

[quote="Isa"][quote="JoannLataste"]Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.[/quote]C'est bien petit padawan :)[/quote]:)
JoannLataste Il y a 6 ans

Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.
C'est bien petit padawan

[quote="Je t'aimerai"][quote="JoannLataste"][quote="Isa"][quote="JoannLataste"]Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.[/quote]C'est bien petit padawan :)[/quote]:)[/quote] Ok je me suis emballée, je le reconnais :-)[/quote]PS : en plus, j'ai l'ambition/l'envie de faire le métier de professeur de français, donc...
JoannLataste Il y a 6 ans

Deuxièmement, je corrige (mais après, je comprends que ça peut être gonflant) seulement les fautes d'orthographe.
C'est bien petit padawan


Ok je me suis emballée, je le reconnais
@Je t'aimerai
PS : en plus, j'ai l'ambition/l'envie de faire le métier de professeur de français, donc...

P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?
AnonymeIl y a 6 ans

P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?

[quote="didier"]P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?[/quote]Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...
JoannLataste Il y a 6 ans

P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?
@didier
Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...

[quote="JoannLataste"][quote="didier"]P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?[/quote]Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...[/quote] File Pena Alegria face au spendid et tu dis que tu viens de ma part. Les fêtes de Dax ont été et redeviennent je t'assure. Bordel, bouge petit
AnonymeIl y a 6 ans

P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?
@didier
Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...


File Pena Alegria face au spendid et tu dis que tu viens de ma part. Les fêtes de Dax ont été et redeviennent je t'assure. Bordel, bouge petit

[quote="didier"][quote="JoannLataste"][quote="didier"]P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?[/quote]Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...[/quote] File Pena Alegria face au spendid et tu dis que tu viens de ma part. Les fêtes de Dax ont été et redeviennent je t'assure. Bordel, bouge petit[/quote]Roh mais je fais ce que j'veux moi ! En plus, c'est pas mon truc, les fêtes.
JoannLataste Il y a 6 ans

P*tain mais t'es pas aux fêtes de Dax?
@didier
Non, cette année j'y vais pas. De toute façon, pour ce qu'elles sont devenues...


File Pena Alegria face au spendid et tu dis que tu viens de ma part. Les fêtes de Dax ont été et redeviennent je t'assure. Bordel, bouge petit
@didier
Roh mais je fais ce que j'veux moi ! En plus, c'est pas mon truc, les fêtes.

Pastiche nº4 : On a pas la thune reconvertie en On a pas l'altruisme J'aime bien l'exercice et les chansons de l'Ours s'y prêtent bien, je trouve. ************** Dans la nuit des temps, nous dirigeons, tous les peuples à l’abattoir
 Droits devant leur avenir d'enfer, droits dans les déboires
 Dessous les impôts et les taxes, augmentés sans arrêtoirs 
 Nous, nous on se prend, on se prend pour des dieux, ils nous permettent d'y croire On a pas l’altruisme mais l’pouvoir, pas le courage mais l'emprise L'important, ami, c'est de mener, jusqu'au bout, sans paternalisme Bien sûr, que l’on est au pouvoir ! Combien d’temps ça durera ? Puisqu’on est sur le trône d’ivoire, alors qu’on enferment le peuple dans l’noir Dans l’asservissement, nous pilotons, nous, les maîtres de cette foire,
 Droits dans la peur et la terreur, on y arrive sans gloire Passées les vies de culs terreux, passées sans pouvoir croire À une fin de soumission, mettant de la joie avant l’corbillard. On a pas l’altruisme mais l’pouvoir, pas le courage mais l'emprise L'important, ami, c'est de mener, jusqu'au bout, sans paternalisme Toujours, on reste au pouvoir ! Combien d’temps ça durera ? Puisqu’on nous laisse le trône d’ivoire, alors qu’on laisse le peuple dans l’noir.
JoannLataste Il y a 6 ans

Pastiche nº4 : On a pas la thune reconvertie en On a pas l'altruisme

J'aime bien l'exercice et les chansons de l'Ours s'y prêtent bien, je trouve.

**************

Dans la nuit des temps, nous dirigeons, tous les peuples à l’abattoir

Droits devant leur avenir d'enfer, droits dans les déboires

Dessous les impôts et les taxes, augmentés sans arrêtoirs 

Nous, nous on se prend, on se prend pour des dieux, ils nous permettent d'y croire

On a pas l’altruisme mais l’pouvoir, pas le courage mais l'emprise
L'important, ami, c'est de mener, jusqu'au bout, sans paternalisme
Bien sûr, que l’on est au pouvoir ! Combien d’temps ça durera ?
Puisqu’on est sur le trône d’ivoire, alors qu’on enferment le peuple dans l’noir

Dans l’asservissement, nous pilotons, nous, les maîtres de cette foire,

Droits dans la peur et la terreur, on y arrive sans gloire
Passées les vies de culs terreux, passées sans pouvoir croire
À une fin de soumission, mettant de la joie avant l’corbillard.

On a pas l’altruisme mais l’pouvoir, pas le courage mais l'emprise
L'important, ami, c'est de mener, jusqu'au bout, sans paternalisme
Toujours, on reste au pouvoir ! Combien d’temps ça durera ?
Puisqu’on nous laisse le trône d’ivoire, alors qu’on laisse le peuple dans l’noir.

Premier texte en anglais ! Alors, là, j'appelle surtout à des commentaires sur mon usage de la langue de Shakespeare, merci à vous par avance. ****************************** Red, it’s red, this cool petal’s rose, and it dazzle me. So, you are observing theirs, and are fascinate like me. Hope, I hope, this light’s not too shining than you forget me. Cause, to find me again, this desertion is too large for me. I’m afraid that you come not back, cause you're all for me. I can't think, can't understand this, this rejection for me. Please, get back, I cannot live. You've stopped my life in leaving me. Please, revive, the burn what's in me. You'll also dazzle by me. So, come, come back, Cause this plight, Is too hard to stomach, For my mind. Roam, without, my kindred spirit, without you, darling. If you tuck, I promise to you, I'd do, of what you want, everything. For you baby, I would pick flowers, coming from countries where it's not blooming. For you baby, I would go round the world, just to look you, smiling. So, I would simply say to you that, me, I’ve engrave your departure, Cause, this mistake that I've done, will not repeat in the future. I wish that you forgive me, that you have, once again, with me a pleasure. I don't know how do I say it to you, but, I love you my creature So, come, come back, Cause this plight, Is too hard to stomach, For my mind.
JoannLataste Il y a 6 ans

Premier texte en anglais ! Alors, là, j'appelle surtout à des commentaires sur mon usage de la langue de Shakespeare, merci à vous par avance.

******************************


Red, it’s red, this cool petal’s rose, and it dazzle me.
So, you are observing theirs, and are fascinate like me.
Hope, I hope, this light’s not too shining than you forget me.
Cause, to find me again, this desertion is too large for me.

I’m afraid that you come not back, cause you're all for me.
I can't think, can't understand this, this rejection for me.
Please, get back, I cannot live. You've stopped my life in leaving me.
Please, revive, the burn what's in me. You'll also dazzle by me.


So, come, come back,
Cause this plight,
Is too hard to stomach,
For my mind.


Roam, without, my kindred spirit, without you, darling.
If you tuck, I promise to you, I'd do, of what you want, everything.
For you baby, I would pick flowers, coming from countries where it's not blooming.
For you baby, I would go round the world, just to look you, smiling.

So, I would simply say to you that, me, I’ve engrave your departure,
Cause, this mistake that I've done, will not repeat in the future.
I wish that you forgive me, that you have, once again, with me a pleasure.
I don't know how do I say it to you, but, I love you my creature

So, come, come back,
Cause this plight,
Is too hard to stomach,
For my mind.

Propagande Aujourd'hui, j’ai allumé ma télévision, Et de suite, j’ai eu envie de la quitter pour de bon. Au 13 h, on nous bassine avec le beau temps, la pluie, Et on parle pas de ce qui ce passe dans les autres pays : Que ce soit des atteintes aux droits de l'homme, Ou bien de la pollution générée par ce que l’on consomme. Parce que c’est tellement important que la population, N’ait pas d'inquiétudes, ne se pose pas de questions. Parce qu’aujourd’hui, on est content de vivre en démocratie, Mais, qu’on ne se demande pas vraiment ce que ça définit, On se dit qu'il y a pire ailleurs, qu’on a pas à se plaindre, Qu’on est libres par rapport à d’autres et que ce n’est pas des moindres. J’ai juste envie de dire, que si l’on est si bien, Pourquoi y a-t-il encore autant de choses, à remettre dans le droit chemin. Toi, mon amie, la propagande, Alors qu’aujourd'hui encore tu scandes, Tes propos propagés, Par tes dirigeants préférés. Qu’y a-t-il de normal, quand ton surfe sur le net, De tomber sur des sites douteux comme voltaire.net ? D’aller regarder les actualités et puis d’ouvrir la page, Du site de SputnikNews, dont les intox font des ravages ? Comment cela est-il possible qu’il y ait encore des gens qui croient, Que même sans capote, on ne peut attraper le Sida ? On envoie nos enfants dans des écoles, apprendre les leçons de la vie, Ils en ressortent pour la plupart, n’ayant retenu que des inepties. Qu’y a-t-il de normal, quand regarde les publicités, De ne voir que des femmes à poil ou des merdes pour notre santé ? De pouvoir vendre un produit, qui soit disant doit déboucher, En 5 minutes, vos canalisations, alors qu'il vient nous entuber ? J’ai envie de dire, que s'il le fait aussi rapidement, Combien de temps faudra-t-il avant qu’il détruise l’environnement ? Toi, mon amie, la propagande, Alors qu’aujourd'hui encore tu scandes, Tes propos propagés, Par tes dirigeants préférés.
JoannLataste Il y a 6 ans

Propagande

Aujourd'hui, j’ai allumé ma télévision,
Et de suite, j’ai eu envie de la quitter pour de bon.
Au 13 h, on nous bassine avec le beau temps, la pluie,
Et on parle pas de ce qui ce passe dans les autres pays :
Que ce soit des atteintes aux droits de l'homme,
Ou bien de la pollution générée par ce que l’on consomme.
Parce que c’est tellement important que la population,
N’ait pas d'inquiétudes, ne se pose pas de questions.
Parce qu’aujourd’hui, on est content de vivre en démocratie,
Mais, qu’on ne se demande pas vraiment ce que ça définit,
On se dit qu'il y a pire ailleurs, qu’on a pas à se plaindre,
Qu’on est libres par rapport à d’autres et que ce n’est pas des moindres.
J’ai juste envie de dire, que si l’on est si bien,
Pourquoi y a-t-il encore autant de choses, à remettre dans le droit chemin.


Toi, mon amie, la propagande,
Alors qu’aujourd'hui encore tu scandes,
Tes propos propagés,
Par tes dirigeants préférés.


Qu’y a-t-il de normal, quand ton surfe sur le net,
De tomber sur des sites douteux comme voltaire.net ?
D’aller regarder les actualités et puis d’ouvrir la page,
Du site de SputnikNews, dont les intox font des ravages ?
Comment cela est-il possible qu’il y ait encore des gens qui croient,
Que même sans capote, on ne peut attraper le Sida ?
On envoie nos enfants dans des écoles, apprendre les leçons de la vie,
Ils en ressortent pour la plupart, n’ayant retenu que des inepties.
Qu’y a-t-il de normal, quand regarde les publicités,
De ne voir que des femmes à poil ou des merdes pour notre santé ?
De pouvoir vendre un produit, qui soit disant doit déboucher,
En 5 minutes, vos canalisations, alors qu'il vient nous entuber ?
J’ai envie de dire, que s'il le fait aussi rapidement,
Combien de temps faudra-t-il avant qu’il détruise l’environnement ?


Toi, mon amie, la propagande,
Alors qu’aujourd'hui encore tu scandes,
Tes propos propagés,
Par tes dirigeants préférés.

Si la France doit être aux Français, Je déclare alors Français, Les gens du monde entier.
JoannLataste Il y a 6 ans

Si la France doit être aux Français,
Je déclare alors Français,
Les gens du monde entier.