Oh oui Germaine, elle n'est pas Germaine Mais qu'est ce qu'elle est, mais qu'est ce qu'elle est, mais qu'est ce qu'elle est J'accouche de ta mère J'accouche du Christ, c'est Noël ! Elle est pas malineee Lamaliiinnee, Lamartiiinne Lalalalaaa Rêve ou cauchemar ? Ou celui de grandir ? Ou molécule modifiée ? Ou retrouver, ré-apprivoiser, ce que j'ai perdu, oublié C'est ça la folie suprême c'est de voir la vie telle qu'elle est et non telle qu'elle devrait être Dieu existe Don Quichotte Rien. J'attends la lune Bon, faut que j'adopte un autiste et une bisounours ... Et un Flo et un bébé fait de la nature Et des gens et une montagne Et son hamac Des moines, un costume blanc et une robe de toutes les couleurs Un piano, un violon envoûtant Celui de la mère-grand que j'ai fais réparer Avec des partitions Tziganes Des double-poneys Texanes Que se passe-t-il Je me sens encore tomber amoureuse Surtout quand j'écoute Mathilde et J'arrive de Jacques Hé y'en à marre de parler des gens par leur nom de famille Qu'il soit faut ou qu'il soit vrai Et les molécules qui me rendent pleurante et chocolat Et des flashs à en mourir du cerveau Que je t'aime, que tu manques comme des éclairs dans mon corps Combien de fois je suis tombée amoureuse de toi Ô combien de fois, tellement de fois Oui toi, seulement toi, encore et toujours toi Je te sens dans ma gorge serrée Dans mes larmes pressées et mes spasmes outrés Je te sens dans mes rêves Ô ses deux dernières semaines Ô combien de fois je t'ai écris que j'avais rêvé de toi Tous les matins je rêve de toi à mes réveils encore un récit de toi Et toutes les nuits je te souhaite la belle étoilée Combien de fois je t'aime depuis ces quatre ans Et même une fois avant mais je ne me souviens pas de la date Tu avais encore ta bouille de petit enfant Et même ces longs espaces les premiers sentiments innocent Des premières années, je suis toujours revenue vers toi Entre deux amours je reviens vers toi Douze mois après je replongeais dans ton toi Jusqu'à Elle Et grâce à elle J'ai enfin osé venir à toi Je suis venue à toi Et Dieu que je t'aime Merci Je plane sur le taxas Rodéo Texas City Texane Roxane Folklore Cheyenne Ô Captain, my captain 'Grabuuuuuge 'Ntm C'était viscéral... Ooooh Dieu soit grannnnnnnnnnnnnnnnnnd Très grand Autant que ce que je ressens Ooohh ^^ Bon alors demain une bonne baffe à tous le monde dans la gueule c'est ça ? On va révolutionner le monde, faire de nos vies la déstabilisation totale des autres Foutre le bordel dans les lieux publics, les rues, les formations, les concours, les gynécos, distribuer des capotes, des confettis de j'accuse de partout qui s'envoleraient dans toutes les rues, distribuer des baffes aux violeurs, faire l'amour à nos hommes nus dans les champs, dans les rues, dans les magasins, faire bouffer le pétrole aux économes, faire un lâcher de vache mondial et que chacun tête le lait des femmes, qu'on remplace le lait de vache par les femmes volontaires, et qu'on encule la peuplade de bisous, de bienvenue, et de bienveillance ? Méditons, méditons... La grippe nous sauvera Moi j'attends le procès, nan moi j'attends mon résultat de Chlamydia ou pas, nan moi j'attends qui lèvera le doigt pour crier dans la rue, merde aux mensonges, merde aux mensonges des médecins, liberté des esprits, et des crises d'angoisses contre les écritures scolaires. Mon seul dix-huit en français, je l'ai eu en monologue théâtral en écrit quand j'étais amoureuse. Alors soyez fous amoureux de passion Quelqu'un à des phéromones à me prêter pour demain ? Faut pas croire, je suis très forte en page blanche N'oublie pas que ça été un petit garçon, tout comme moi, petite enfant N'oublie pas que c'est un petit garçon, maintenant dans les étoiles N'oublie pas que nous étions comme des chats Qui jouant à cache-cache, sous le regard des grands Et dans les maisons enchantées des enfants Les cachettes des enfants, les désirs immenses de mystères Les mystères immenses de désirs Vivre, ramper, sauter, courir, dans le noir et la lumière Toujours les yeux illuminés Vivre Soudain, par quelques tango des mots, qui se languissent Nous nous remirent à jouer à cache cache Comme des chats Plus sauvages que jamais Au début la vie c'est des maths, de la logique. Mais par la suite il n'y a plus de réponses précises, il n'y a plus Maîtresse, il y a machin qui m'a fait ça ! Les gentils de l'enfance deviennent les méchants. Et on découvre même que y'a pas de gentils, méchants, ni amour ni justice... Y'a juste des êtres humains qui essaient de survivent Le cousin (l'insecte) et moi nous avons réfléchis ensemble, dans la cuisine, pendant que je faisais la vaisselle et lui regardais le mur ou la lumière; il était tellement gros que je n'osa l'arroser d'une goutte de lueur. Nous discutâmes jusqu'à ce que j'arrive enfin à dire son prénom. Et son nom de famille. Son amie moumouche (une mouche) est partie depuis longtemps, le chat, lui, préfère manger des tomates que de ses croquettes. Bref, je suis toute seule et j'ai plein d'amis à la maison. Pourquoi les femmes voient ça comme quelque chose de Normal ? Et pourquoi pas en Révolution ? Évolution ? Révélation ? Élévation ? ! Engendrer la réalité ! ^^ dis quand Athéna J'aimeraiiis... Une explosion de poèmes à sa venue Un confetti de mots qui s'assemblent et forment des élans, des farandoles, des manèges, des étoiles de choses fabuleuses, des sentiments, des sentiments... Edith Piaf qui chambre ma chambre Et j'ai beau tout retourner J'ai beau ne pas le retrouver ce hautain livre Enfin moi je trouve ça moche Surtout quand il devient hautain ce putain De livre Quand on met un objet en avant ou qu'on le planque Pour mieux le retrouver A tous les coups on finit par le perdre Orgasme-douleur-spasme Thoracique oh oui prend moi jusqu'au bout bordel de Je souffre aussi aléatoirement de mon corps qui spasme Quand j'ai cette sensation J'ai toujours l'impression que c'est dieu qui essaie de me faire l'amour Mais il est un peu nul au pied de mon cerveau ah ah Comme une cigarette qui t'enflamme Qui te fait prendre conscience de la grâce J'ai toujours égalé la cigarette avec la grâce L'ouverture, le partage, la communication Enfin surtout quand le paquet avait le prix de Bruxelles quoi Après c'est sûr pas pour tout le monde la gentillesse Bruxelles 2,85 le paquet tabac et à Lyon 6,50 de mes ouilles TUCKING TUCK TUCK C'est pas Dieu le vieux Cow boy Qui fumerait sa cigarette Auprès de son cheval Dans un désert tout vert A exciter les mouches Et les papillons Et les hirondelles Et qui va dire, Oh yeah tucking tucking i tuck you babe mamamamama motheeer I love youuuuuuuuu i looove yaaaaaaa i love dyou Mother i fuck yaaaaaaaa J'ai envie de me taire, j'ai envie de me taire Taisez moi, taisez moi ! Ô volcan de mon cerveau Epie moi, enfruite moi Calme moi, tendre moi Encore... un peu de bonheur... encore... un peu d'ardeur... encore... un peu de valeur... encore...sans pudeur.....encore....sans pleur......encore.....sans frayeur.....encore....un peu de douceur....encore....de l'ampleur De la paix de la paix de la paix et du calme et les heures qui passent comme chaque jour Je suis contente, ça m'échappe, je sais pas pourquoi, je crois que c'est important pour moi..de revenir à l'amour, de revenir au vrai, aux sensations, au coeur qui bat, à l'attention, à la source, De reprendre le cours de notre réalité, un sens à la vie, like a Virgin, comme quand on était enfant, le grand qui nous fait vivre une journée tout en écarquillant les yeux, les rêves comme des montagnes immense. Putain je hais les gosses pour la seule raison que cette sensation me manque, car c'était mon monde plus que d'autre, ma bulle, mes histoires, le grand. Le grand monde de la réflexion subtile, joueuse, passionnée. Les détails sont des montagnes. Les murs, l'air vibrent comme sur une scène de théâtre, le moment où tu ouvres la bouche, tout est important, et on devient passionné littéralement, intensément. Des suspens de l'improvisation sont une jouissance, car la vie est une surprise quand on a ces yeux d'enfants qui fait voir la vie en grand. [Mmmh bordel le théâtre de la vie me manque.... Mmmmh vive les bars quand j'étais théâtre et que le ciel me parlait. Mais c'est finit...Pour l'instant ?] "On se met dans une drôle de situation tout de même" Oui un drôle de pétrin, mais je l'aime ce pétrin .. C'est mon pétrin préféré Un pétrin qu'on se fait à deux Un pétrin dans la simplicité Ce qui se fait de plus naturel Le pétrin de mes rêves Une belle histoire, un beau pétrin Notre pétrin de lune de miel Dans l'écriture et les appels Dans la ville de Bruxelles Puis un baptême, tes parents et mes rires solitaire Après Lyon d'un jour, St Michel et tes étoiles J'aimerais écrire sur le théâtre, le théâtre de la vie Et j'aime bien chanter quand je fais la vaisselle Et j'aime bien t'aimer quand je parle à ma chambre Non mais j'ai pas envie de marcher j'ai envie de courir Un peu partout Comme un matin Qui se découvre enfant Comme un jour sur ce parking ridicule De souvenir fantomatique J'sais pas d'où ça vient Peut être des jours d'un jour Que j'me souvient pas Mais le parking était trop petit et le feu vert aussi Et ma destination était d'jà là Alors j'étais déçue, parce que c'était finit de courir, de sautiller Avec le soleil qu'était là Et puis j'me suis dis qu'un jour ça reviendra Qu'on avait pas le droit de m'interdire de courir Alors je l'attend le pré, ce fameux pré Toujours ce pré imaginaire, De je ne sais même plus qu'elle chanson Où je m'étais inventé Toujours d'y courir D'y jouir, d'y joie J'sais plus de quelle musique et de quel délire il sort Un coin où on peut s'y reposer Et je disais au passant Et je disais au gens, et à mes amis Il est où le pré y'avais un autre mot avec, mais je m'en souviens plus Il est où le pré Personne n'y comprenait rien Juste mon imaginaire s'en esclaffait C'était pas plus mal J'aime bien que les gens n'y comprennent rien juste afin Que je puisse me libérer Parce que se libérer c'est important Quand on sait pas comment l'exprimer Alors des morceaux De cerveaux Des brides De mots Simplement Ah, fameuse simplicité.... ^^ Et la fumée et le vent tanguaient Tandis que mes mots se guirlandaient Et personne n'y comprenait Des tables rondes Comme ma terre Ou mes confettis aléatoire C'était ma bulle, je parle comme je veux, quand je veux, Même dans l'incohérence Même au milieu des gens Même en coupant les gens Rien à fiche C'est ma pensée qui s'exprime Qui s'explore Pour une fois Qui s'agite C'est le bois, c'est la lumière C'est ces gens ambulant Je change de table comme de chaise Parce que c'est bon d'y naviguer Simplement, On s'en fiche y'a pas de règles, pour la foule, Pour la foire Pour la convivialité Des choses qui s'expirent Parce qu'elle est l'influence de Nico, Brigitte Fontaine et de Syd Barrett Parce qu'elle est l'ivresse de la folie humaine incarnée Parce que les rêves des années soixante s'écrasent lourdement comme le rien de rien de 2013, Comme si le tout s'envoûtait de plus rien J'entends cette voie perdue, je l'entend sa voix, je comprends avec un souffle inimaginable cette détresse, cet incorrigible malentendu, erreur d'une continuité de la terreur qui s'empourpre... d'une nouvelle époque assourdissante Je peux encore voir ses étoiles dans sa tête, même les premières quand j'ai fais sa connaissance il y a cinq ans Un désespoir euphorique de la joie de vivre, je dirais même la passion de t'enticher des êtres humains et de se transformer en confetti flottantes. De projets inachevés car l'obligation de ne plus pouvoir exercer ses passions. Une déchirure des maladies de la vie et des époques qui changent. Finalement aujourd'hui, une folie qu'on aimerait retrouver Elle (cette folie) s'est perdue et je la ressens comme un feu Dominant le passé Le chaman qui crie au fond de sa grotte... J'ai comme un vide qui se triste J'ai comme une larme qui le manque J'ai envie de pleurer comme dans le ventre de ma mère J'ai comme envie de pleurer comme mon premier amour de 15 Là où j'ai pleuré au même endroit dans ce train de Paris-Lyon Est ce que l'amour à un destin ? S'il vous plaît ne répondez pas à la question C'est une question qui se doit d'être sans réponse Non je ne suis pas triste, je suis heureuse de ressentir la tristesse Tellement cela m'avait manqué Alors c'est pt'être un texte qu'a l'air triste Mais c'est une éloge à la beauté de vivre
Maricles Il y a 4 ans


Oh oui Germaine, elle n'est pas Germaine
Mais qu'est ce qu'elle est, mais qu'est ce qu'elle est, mais qu'est ce qu'elle est

J'accouche de ta mère

J'accouche du Christ, c'est Noël !

Elle est pas malineee Lamaliiinnee, Lamartiiinne Lalalalaaa

Rêve ou cauchemar ?
Ou celui de grandir ?
Ou molécule modifiée ?
Ou retrouver, ré-apprivoiser, ce que j'ai perdu, oublié

C'est ça la folie suprême c'est de voir la vie telle qu'elle est et non telle qu'elle devrait être
Dieu existe Don Quichotte

Rien. J'attends la lune

Bon, faut que j'adopte un autiste et une bisounours ...
Et un Flo et un bébé fait de la nature
Et des gens et une montagne
Et son hamac
Des moines, un costume blanc et une robe de toutes les couleurs
Un piano, un violon envoûtant
Celui de la mère-grand que j'ai fais réparer
Avec des partitions Tziganes
Des double-poneys Texanes

Que se passe-t-il
Je me sens encore tomber amoureuse
Surtout quand j'écoute Mathilde et J'arrive de Jacques
Hé y'en à marre de parler des gens par leur nom de famille
Qu'il soit faut ou qu'il soit vrai
Et les molécules qui me rendent pleurante et chocolat
Et des flashs à en mourir du cerveau
Que je t'aime, que tu manques comme des éclairs dans mon corps
Combien de fois je suis tombée amoureuse de toi
Ô combien de fois, tellement de fois
Oui toi, seulement toi, encore et toujours toi
Je te sens dans ma gorge serrée
Dans mes larmes pressées et mes spasmes outrés
Je te sens dans mes rêves
Ô ses deux dernières semaines
Ô combien de fois je t'ai écris que j'avais rêvé de toi
Tous les matins je rêve de toi à mes réveils encore un récit de toi
Et toutes les nuits je te souhaite la belle étoilée
Combien de fois je t'aime depuis ces quatre ans
Et même une fois avant mais je ne me souviens pas de la date
Tu avais encore ta bouille de petit enfant
Et même ces longs espaces les premiers sentiments innocent
Des premières années, je suis toujours revenue vers toi
Entre deux amours je reviens vers toi
Douze mois après je replongeais dans ton toi
Jusqu'à Elle
Et grâce à elle
J'ai enfin osé venir à toi
Je suis venue à toi
Et Dieu que je t'aime
Merci

Je plane sur le taxas
Rodéo Texas City
Texane Roxane
Folklore

Cheyenne

Ô Captain, my captain 'Grabuuuuuge 'Ntm

C'était viscéral...
Ooooh Dieu soit grannnnnnnnnnnnnnnnnnd
Très grand
Autant que ce que je ressens

Ooohh
Bon alors demain une bonne baffe à tous le monde dans la gueule c'est ça ?
On va révolutionner le monde, faire de nos vies la déstabilisation totale des autres
Foutre le bordel dans les lieux publics, les rues, les formations, les concours, les gynécos, distribuer des capotes, des confettis de j'accuse de partout qui s'envoleraient dans toutes les rues, distribuer des baffes aux violeurs, faire l'amour à nos hommes nus dans les champs, dans les rues, dans les magasins, faire bouffer le pétrole aux économes, faire un lâcher de vache mondial et que chacun tête le lait des femmes, qu'on remplace le lait de vache par les femmes volontaires, et qu'on encule la peuplade de bisous, de bienvenue, et de bienveillance ?

Méditons, méditons...
La grippe nous sauvera
Moi j'attends le procès, nan moi j'attends mon résultat de Chlamydia ou pas, nan moi j'attends qui lèvera le doigt pour crier dans la rue, merde aux mensonges, merde aux mensonges des médecins, liberté des esprits, et des crises d'angoisses contre les écritures scolaires.
Mon seul dix-huit en français, je l'ai eu en monologue théâtral en écrit quand j'étais amoureuse.
Alors soyez fous amoureux de passion
Quelqu'un à des phéromones à me prêter pour demain ?

Faut pas croire, je suis très forte en page blanche

N'oublie pas que ça été un petit garçon, tout comme moi, petite enfant
N'oublie pas que c'est un petit garçon, maintenant dans les étoiles
N'oublie pas que nous étions comme des chats
Qui jouant à cache-cache, sous le regard des grands
Et dans les maisons enchantées des enfants
Les cachettes des enfants, les désirs immenses de mystères
Les mystères immenses de désirs
Vivre, ramper, sauter, courir, dans le noir et la lumière
Toujours les yeux illuminés
Vivre
Soudain, par quelques tango des mots, qui se languissent
Nous nous remirent à jouer à cache cache
Comme des chats
Plus sauvages que jamais

Au début la vie c'est des maths, de la logique.
Mais par la suite il n'y a plus de réponses précises, il n'y a plus Maîtresse, il y a machin qui m'a fait ça !
Les gentils de l'enfance deviennent les méchants.
Et on découvre même que y'a pas de gentils, méchants, ni amour ni justice...
Y'a juste des êtres humains qui essaient de survivent

Le cousin (l'insecte) et moi nous avons réfléchis ensemble, dans la cuisine, pendant que je faisais la vaisselle et lui regardais le mur ou la lumière; il était tellement gros que je n'osa l'arroser d'une goutte de lueur. Nous discutâmes jusqu'à ce que j'arrive enfin à dire son prénom. Et son nom de famille.
Son amie moumouche (une mouche) est partie depuis longtemps, le chat, lui, préfère manger des tomates que de ses croquettes.
Bref, je suis toute seule et j'ai plein d'amis à la maison.

Pourquoi les femmes voient ça comme quelque chose de Normal ? Et pourquoi pas en Révolution ? Évolution ? Révélation ? Élévation ? !
Engendrer la réalité !

dis quand Athéna
J'aimeraiiis... Une explosion de poèmes à sa venue
Un confetti de mots qui s'assemblent et forment des élans, des farandoles, des manèges, des étoiles de choses fabuleuses, des sentiments, des sentiments...

Edith Piaf qui chambre ma chambre
Et j'ai beau tout retourner
J'ai beau ne pas le retrouver ce hautain livre
Enfin moi je trouve ça moche
Surtout quand il devient hautain ce putain
De livre
Quand on met un objet en avant ou qu'on le planque
Pour mieux le retrouver
A tous les coups on finit par le perdre

Orgasme-douleur-spasme Thoracique oh oui prend moi jusqu'au bout bordel de
Je souffre aussi aléatoirement de mon corps qui spasme
Quand j'ai cette sensation
J'ai toujours l'impression que c'est dieu qui essaie de me faire l'amour
Mais il est un peu nul au pied de mon cerveau
ah ah
Comme une cigarette qui t'enflamme
Qui te fait prendre conscience de la grâce
J'ai toujours égalé la cigarette avec la grâce
L'ouverture, le partage, la communication
Enfin surtout quand le paquet avait le prix de Bruxelles quoi
Après c'est sûr pas pour tout le monde la gentillesse
Bruxelles 2,85 le paquet tabac et à Lyon 6,50 de mes ouilles
TUCKING TUCK TUCK
C'est pas Dieu le vieux Cow boy
Qui fumerait sa cigarette
Auprès de son cheval
Dans un désert tout vert
A exciter les mouches
Et les papillons
Et les hirondelles
Et qui va dire, Oh yeah tucking tucking i tuck you babe
mamamamama motheeer
I love youuuuuuuuu
i looove yaaaaaaa
i love dyou
Mother i fuck yaaaaaaaa



J'ai envie de me taire, j'ai envie de me taire
Taisez moi, taisez moi !
Ô volcan de mon cerveau
Epie moi, enfruite moi
Calme moi, tendre moi

Encore... un peu de bonheur... encore... un peu d'ardeur... encore... un peu de valeur... encore...sans pudeur.....encore....sans pleur......encore.....sans frayeur.....encore....un peu de douceur....encore....de l'ampleur
De la paix de la paix de la paix et du calme et les heures qui passent comme chaque jour

Je suis contente, ça m'échappe, je sais pas pourquoi, je crois que c'est important pour moi..de revenir à l'amour, de revenir au vrai, aux sensations, au coeur qui bat, à l'attention, à la source, De reprendre le cours de notre réalité, un sens à la vie, like a Virgin, comme quand on était enfant, le grand qui nous fait vivre une journée tout en écarquillant les yeux, les rêves comme des montagnes immense.
Putain je hais les gosses pour la seule raison que cette sensation me manque, car c'était mon monde plus que d'autre, ma bulle, mes histoires, le grand.
Le grand monde de la réflexion subtile, joueuse, passionnée.
Les détails sont des montagnes.
Les murs, l'air vibrent comme sur une scène de théâtre, le moment où tu ouvres la bouche, tout est important, et on devient passionné littéralement, intensément.
Des suspens de l'improvisation sont une jouissance, car la vie est une surprise quand on a ces yeux d'enfants qui fait voir la vie en grand.
[Mmmh bordel le théâtre de la vie me manque.... Mmmmh vive les bars quand j'étais théâtre et que le ciel me parlait. Mais c'est finit...Pour l'instant ?]

"On se met dans une drôle de situation tout de même"
Oui un drôle de pétrin, mais je l'aime ce pétrin ..
C'est mon pétrin préféré
Un pétrin qu'on se fait à deux
Un pétrin dans la simplicité
Ce qui se fait de plus naturel
Le pétrin de mes rêves
Une belle histoire, un beau pétrin
Notre pétrin de lune de miel
Dans l'écriture et les appels
Dans la ville de Bruxelles
Puis un baptême, tes parents et mes rires solitaire
Après Lyon d'un jour, St Michel et tes étoiles

J'aimerais écrire sur le théâtre, le théâtre de la vie
Et j'aime bien chanter quand je fais la vaisselle
Et j'aime bien t'aimer quand je parle à ma chambre

Non mais j'ai pas envie de marcher j'ai envie de courir
Un peu partout
Comme un matin
Qui se découvre enfant
Comme un jour sur ce parking ridicule
De souvenir fantomatique
J'sais pas d'où ça vient
Peut être des jours d'un jour
Que j'me souvient pas
Mais le parking était trop petit et le feu vert aussi
Et ma destination était d'jà là
Alors j'étais déçue, parce que c'était finit de courir, de sautiller
Avec le soleil qu'était là
Et puis j'me suis dis qu'un jour ça reviendra
Qu'on avait pas le droit de m'interdire de courir
Alors je l'attend le pré, ce fameux pré
Toujours ce pré imaginaire,
De je ne sais même plus qu'elle chanson
Où je m'étais inventé
Toujours d'y courir
D'y jouir, d'y joie
J'sais plus de quelle musique et de quel délire il sort
Un coin où on peut s'y reposer
Et je disais au passant
Et je disais au gens, et à mes amis
Il est où le pré
y'avais un autre mot avec, mais je m'en souviens plus
Il est où le pré
Personne n'y comprenait rien
Juste mon imaginaire s'en esclaffait
C'était pas plus mal
J'aime bien que les gens n'y comprennent rien juste afin
Que je puisse me libérer
Parce que se libérer c'est important
Quand on sait pas comment l'exprimer
Alors des morceaux
De cerveaux
Des brides
De mots
Simplement
Ah, fameuse simplicité....

Et la fumée et le vent tanguaient
Tandis que mes mots se guirlandaient
Et personne n'y comprenait
Des tables rondes
Comme ma terre
Ou mes confettis aléatoire
C'était ma bulle, je parle comme je veux, quand je veux,
Même dans l'incohérence
Même au milieu des gens
Même en coupant les gens
Rien à fiche
C'est ma pensée qui s'exprime
Qui s'explore
Pour une fois
Qui s'agite
C'est le bois, c'est la lumière
C'est ces gens ambulant
Je change de table comme de chaise
Parce que c'est bon d'y naviguer
Simplement,
On s'en fiche y'a pas de règles, pour la foule,
Pour la foire
Pour la convivialité
Des choses qui s'expirent

Parce qu'elle est l'influence de Nico, Brigitte Fontaine et de Syd Barrett
Parce qu'elle est l'ivresse de la folie humaine incarnée
Parce que les rêves des années soixante s'écrasent lourdement comme le rien de rien de 2013,
Comme si le tout s'envoûtait de plus rien
J'entends cette voie perdue, je l'entend sa voix, je comprends avec un souffle inimaginable cette détresse, cet incorrigible malentendu, erreur d'une continuité de la terreur qui s'empourpre... d'une nouvelle époque assourdissante
Je peux encore voir ses étoiles dans sa tête, même les premières quand j'ai fais sa connaissance il y a cinq ans
Un désespoir euphorique de la joie de vivre, je dirais même la passion de t'enticher des êtres humains et de se transformer en confetti flottantes.
De projets inachevés car l'obligation de ne plus pouvoir exercer ses passions. Une déchirure des maladies de la vie et des époques qui changent.
Finalement aujourd'hui, une folie qu'on aimerait retrouver
Elle (cette folie) s'est perdue et je la ressens comme un feu
Dominant le passé
Le chaman qui crie au fond de sa grotte...

J'ai comme un vide qui se triste
J'ai comme une larme qui le manque
J'ai envie de pleurer comme dans le ventre de ma mère
J'ai comme envie de pleurer comme mon premier amour de 15
Là où j'ai pleuré au même endroit dans ce train de Paris-Lyon
Est ce que l'amour à un destin ?
S'il vous plaît ne répondez pas à la question
C'est une question qui se doit d'être sans réponse
Non je ne suis pas triste, je suis heureuse de ressentir la tristesse
Tellement cela m'avait manqué
Alors c'est pt'être un texte qu'a l'air triste
Mais c'est une éloge à la beauté de vivre