belle réponseVoue êtes hyper exigeants mais surtout pas du tout logiques avec le concept. Il a été demandé de payer une certaine somme pour l'inscription à un SITE INTERNET. On a payé à l'aveugle. À la limite il pourrait ne rien "nous servir" après tout car "Jeunesse, ne crois pas ce que disent les réseaux sociaux". C'est facile de réclamer un soir-disant dû alors qu'il ne nous a rien promis de tout. Et puis de toutes façons, "Il n'y a pas de promesse qui tienne." Même si certaines choses sont certainement déjà préparées, elles ne sont peut-être qu'à l'état d'ébauche, d'où le texte "la naissance" qui explique le cheminement du Manifeste, avec nous à ses côtés, pour le construire. Une nouveauté par jour, non mais vous imaginez un peu ce que vous demandez, réfléchissez un peu à ce que vous dites, soyez cohérents. Personnellement, je préfère avoir peu mais de qualité.
Vu la tournure que prend le débat, quand je lis ce genre de message, je suis rassurée. Je n'ai pas non plus le souvenir qu'une promesse n'ai été faite, et j'ai payé les yeux fermés.
Pour ma part, je vois ça comme un projet participatif. A l'annonce, j'ai compris " Saez veut sortir un truc, il propose qu'on aide financièrement, en l'occurence 60 euros." Je cotise donc au projet, parce que je pense que quelque chose de bon peut en sortir. Si je me trompe, tant pis pour ma pomme. Personne ne m'a obligé à payer et rien ne m'a été promis, j'ai payé sans savoir pour quoi je donnais, en pensant donner pour une idée, un concept, plus que pour un objet, et en ignorant qu'il y aurait un album de prévu (dont on ne sait toujours pas s'il sera physique ou pas d'ailleurs...)
Bref, je ne comprends vraiment pas pourquoi certains "donnateurs" râlent, ni à quoi ils s'attendaient, ni pourquoi ils sont si pressés... Un an c'est long, et le voyage a déja commencé en quelque sorte... !!!
Alors c'est ça le Nouvel Art ? Il naît le 31 juillet qu'il disait. bah putain payer 60 balles pour qu' au lendemain de la date fatidique on se retrouve avec un pauvre bout de texte sur fond noir j'aurai sû je serai aller me pieuter plutôt que de sortir la carte bleu. C'est honteux et aucune nouvelles, rien le néant pfffffff
Toi! tu dois être de la génération fast-food....
d'autant plus qu'on était prévenu que c'est sur 1 an. Ce qui m'épate le plus c'est que les gens aboient quand il faut payer 60€ pour un contenu culturel, mais que cela ne les gêne absolument pas de payer 500€ un smartphone fabriqué par des pauvres exploités à l'autre bout du monde.
Rappelons en plus que dans ce prix sont également inclus 2 albums en streaming.
En 16 ans j'ai du dépenser quelque chose comme 160€ pour 8 albums avec dans le tas 2 triples et un double. Le père Damien n'a vraiment pas l'habitude de se moquer de son public. En tout cas il a toute ma confiance.
En plus cela fait partie du plaisir que de ne pas savoir ce que l'on va avoir ni quand.
Pour aller un peu à contrecourant de la pluie d'éloges, il n'y a que moi que la forme du texte dérange ?
Autant j'ai, comme tout le monde j'ai l'impression, été touché par le fond du texte autant la forme me gêne un peu.
Entre l'absence de majuscules, l'usage complétement aléatoire des virgules, la syntaxe approximative, l'absence de certains "ne" dans les négations et les phrases qui ne veulent rien dire (si quelqu'un à compris ce que peut bien signifier la phrase "vous êtes là et je vous sais je crois, parfois." qu'il me fasse signe) je trouve que ça dessert un peu le propos.
(bon, ça reste mineur par rapport au fond, mais quand même..)
Même si la syntaxe peut être surprenante, je pense que l'on peut plus parler de licence poétique que de faute. On le retrouve souvent dans ses textes d'ailleurs, par exemple il utilise souvent l'omission de l'article ou de la négation, ce qui permet de donner ce caractère incisif qui est un peu sa marque de fabrique.
Et comme le dit ce bon vieux Du Bellay:
« Ne crains donc, poète futur, d’innover quelque terme en un long poème, principalement, avec modestie toutefois, analogie et jugement de l’oreille, et ne te soucie qui le trouve bon ou mauvais : espérant que la postérité l’approuvera. »