Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris

Multi-pass :

- Quel âge as-tu ? 21 ans
- Es-tu une fille ou un garçon ? fille
- Quel est ton signe astrologique ? j'sais pas et j'ai pas envie de chercher à savoir
- D'où viens-tu ? d'Angoulême, mais sur Toulouse la plupart du temps
- Dans quel domaine es-tu (études, travail) ? M1 d'Histoire
- Pourquoi as-tu choisi ce pseudo ? parce que j'avais pas de pseudo (enfin si un, mais tellement pourri qu'il n'était pas envisageable de la faire apparaître )

Ton univers du moment (hors Saez) :

- Quel est ton dernier coup de coeur (musique, littérature, cinéma, ..) ? no one is innocent (oui j'fais dans le récent )
- Quelle chanson passe en boucle dans ton player en ce moment ? nomenklatura
- Le dernier film qui t'a marqué ? Cloud Atlas je pense (mais j'ai revu pour la n-ième fois Germinal et il m'a remarqué, ça compte ?)
- Et le dernier bouquin que tu as lu quasi d'une traite tant tu l'as aimé ? La mort n'a pas d'amis de Gilles Schlesser (un policier qui se passe dans les années 1920 au milieu des surréalistes )
- La dernière série sur laquelle tu as accroché et que tu regardes tard dans la nuit au lieu d'aller te coucher ? Hero corp
- C'était quoi ton meilleur concert ? très difficile ça, je dirais Renaud parce que c'est le premier (pour la tournée de Boucan d'Enfer) mais sinon Cali (la dernière tournée acoustique était fantastique )

Saez :

- Quand et comment as-tu découvert Saez ? Je suis tombée sur Jours étranges en fouillant dans les disques de mes parents, à l'époque de Debbie
- Quel est ton album préféré ? c'est variable mais en ce moment je dirais Katagena et Debbie
- Combien de fois as-tu vu sa trogne en concert ? 2 fois
- Une ou des anecdote(s) saezienne(s) ?
- Ton meilleur concert ? celui de la rochelle
- Tes meilleures anecdotes/délires lors d'un concert ou d'un meeting saezien ? je dirai ça quand j'en aurai un peu plus à mon actif

Saezlive :

- Quand et comment as-tu découvert SL ? juste après le concert de Toulouse en mars
- Quelle a été ta réaction en découvrant SL ? chouette
- Ca fait longtemps que tu nous lis en silence ? j'me suis inscrite très rapidement après avoir découvert le forum en fait
- Quel est ton topic préféré ? trollages
- Quel est le membre que tu rêves secrètement de rencontrer ? (ou que tu rêvais pour les vieux de la vieille ) y'en a plusieurs

Et si...

- Si tu devais mourir demain, que ferais-tu ? je magerais une fondue savoyarde et en dessert un kouing amann
- Si tu pouvais devenir n'importe qui, qui voudrais-tu être ? Arsène Lupin, parce qu'il a la classe quand même
- Si tu pouvais épouser n'importe qui, ce serait qui ? un navigateur pour qu'il m'emmène faire le tour du monde
- Si tu devais déménager, où voudrais-tu aller ? Je déménagerais Toulouse en bord de mer (la Bretagne de préférence)
- Si tu pouvais remonter le temps et changer ta vie, que ferais-tu ? je n'aurais jamais arrêté de régater
- Si tu devais choisir entre avoir à vie le hoquet à chaque fois que tu mens ou être suivi à vie par 100 canards ? Je refilerais le hoquet aux 100 canards que je transformerais en magrets/foie gras/ confits

En bonus...

- Mayo ou Ketchup ? euh aucun des deux
- Slip ou caleçon ?
- Burger ou pot-au-feu ? poule au pot
- Paris ou Miami ? Paris
- New York ou Varsovie ? Varsovie
- Saez ou Damien Saez ? les deux

Le plus petit baiser jamais recensé - Mathias Malzieu
Comme tous ses autres romans ça se lit très facilement et puis c'est prenant. Il écrit un roman avec le même style que si c'était une chanson, c'est vraiment chouette

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune

Bientôt l'automne et la fin des moustiques

---------- j'aime pas les fins de saison
++++++ samedi bye bye angoulême pour une semaine

Concert gratuit de Cali à Clamart le 8 septembre

http://www.clamart.fr/loisirs/culture/cali-a-clamart/
@"didier"


Nan je ne suis pas jalouse, je ne suis pas jalouse, je ne suis pas jalouse.... J'PEUX VENIR ??????

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes de terre encore vivantes et saignantes comme un cochon égorgé

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes de terre encore vivantes

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées sur une tarte aux pommes

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus des absinthes flambées

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés verts et bleus

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle qui fait l'automne avec la colique dans les prés

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration suintante de leur tee-shirt SaezLive flambants neufs, dix, onze comme le nombre de boudins pour faire un cochon albinos avec des patins à roulettes carrées et jaunes comme une hirondelle

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Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles de la planète où l'on ne revient qu'avec les couilles vertes et bien moisies sûr, que le sol n'est pas aride mais bien mouillé tel un bateau jetant l'ancre en baie des anges coiffés d'une auréole de transpiration

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice le ferrailleur des pôles

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse créole de chez Maurice

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur d'une Cadillac Noire à la casse

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Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée par la neige d'un extincteur

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques tombées d'une brouette rouillée

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe rampant jusqu'à l'océan noir d'orage de grêlons gros comme des pastèques

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue le long de la colonne vertébrale d'une girafe

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest de la muraille de Chine dont le tracé fluctue

Ah oui Sagamore Stévenin je valide entièrement . J'ajouterais aussi le petit frère, Robinson Stévenin



(à gauche)

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre de char russe expédié à l'Ouest

Sous la chaleur estivale coule la pluie dont l'odeur soufrée envahit cette lourde atmosphère dont l'ambiance électrique comme rampe de spots clignotants indiquent qu'il faut tourner pour trouver le chemin dans les méandres de la foule déchaînée et imbibée par l'eau de pluie de rhum arrangé et pris d'assaut par les moustiques uniailistes carnivores et silencieux à l'image de l'éléphant sur une toile d'araignée de mer qui ne sait pas nager dans la choucroute mais qui adore le cassoulet à la menthe et au sanglier bouilli dans une bouilloire qui marche au feu de bois et court avec des béquilles boiteuses qui vont à l'envers sur les routes de campagne sinueuses et non goudronnées à la menthe verte ayant viré à gauche après un arbre en bois médusé et désespéré par ses racines trop courtes pour qu'il puisse se déplacer rapidement en sautillant sur les herbes tendres des terrains de rugby qui se reposent l'été dans une glacière géante avec les poteaux en carambar au beurre salé de __Marine__ qui court la France de long en large et en travers des néons de la méga cité électrique, girafe, adossée à la colline dont le cou sert d'échelle aux requins unijambistes de la finance sans chiffre et aucune lettre ni hiéroglyphes romain écrits par des grecs inflammables avec des allumettes suédoises de l'hémisphère sud-ouest se situant à l'Est du Nord magnétique qui repousse l'aimant servant à fermer un coffre