Oui et 2015 c'est aussi dans 365 jours

La Famille Bélier : génial. Et même que Bisounour a versé sa petite larme (bon il aurait presque pu vider le paquet de mouchoirs) mais c'est de la faute d'une poussière dans l'oeil paraît-il...
Si vous avez un moment, il vaut le coup

edit : et puis c'est avec Elmosnino !! (voui j'suis fan)

++++++ c'était bon !!
---- mais on n'a pas réussi à faire flamber les bananes
++++++ mais c'était bon quand même !!

Je trouve la transition entre VLP et le surf à Biarritz remarquable...

Ville de tarés, j'ai bien fait de partir !

Voui déjà que cette place est moche, vide et trop grande pour le vide, qu'ils ont tout interdit (y compris aux skateurs de circuler, au moins ça mettait un peu d'animation)....

------ MIGRAINEUH
+++ Paris
------------- faut travailler

Où ça des bêtises géographiques ?

Bah un coup ça l'est, un coup ça l'est pas. Et maintenant ça va être en Lorraine ! C'est pour dire !!! On s'y perd dans tout ça!!

(Bon et maintenant vous pouvez répliquer avec "La Charente c'est en Angleterre" )

Dans l'Alsace je mets tout l'Est (ce qui est étrange quoi )

Ca y est je peux spoiler sur les 24 premières pages !!!!!!
Bah tout ce que je peux dire pour l'instant, c'est que c'est pas avec ce livre que je vais me bousiller les yeux, c'est écrit trrrrrrrrrrrrrès gros (remarque constructive).

J'ai découvert le vin de paille à nowel, bah say sacrément bon !!! C'est peut-être bien l'Alsace finalement

Tout se perd

T'façon Saez say nul





Mais c'est qu'ils sont exigeants !! Ça donne encore moins envie de faire un effort tout ça

C'était déjà foutu avant ça, donc bon autant en profiter

elles pourraient si la solidarité saezienne voulait bien œuvrer en cette période économique trouble!
@"pseudo"

C'est pas par manque de solidarité, c'est par absence de bouquin dans la boîte aux lettres !!

edit : remarque il a peut-être attendu que je parte pour arriver

Les biographies n'arrivent pas jusqu'à la région toulousaine

Owiiiiii le Roi !!!!!!

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes de chien qu'Anubis

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes de cavaliers à deux têtes

Say quoi le rapport entre Guernica et un album supposé pour 2015 qui ne sortira pas en 2015 ?

Oui enfin, j'veux pas être là le jour où tout le monde pensera la même chose.

M'font marrer les petits fanboys qui sont restés à se toucher perpet' sur (l'excellent) Messina et qui sont incapables de constater ( et c'est assez révélateur) la cohésion incroyable de Miami, qui se déroule comme un film. C'est pas l'album le plus "musical" mais sur le fil et sur le fond, la trame, c'est un chef d'oeuvre.
Entendre les mecs dire "pour moi c'est un album recyclage", c'est assez comique. J'venais plus trop ici (entre les fanboys hautains et les petits analystes de jukebox de comptoir qui sortent des trucs plus fat qu'eux), j'me suis égaré, m'enfin.
@"Boo²"

Tu permets qu'il y ait des gens qui ne soient pas de ton avis ?

Le plus gros problème de Saez, c'est son public
@"Boo²"

T'en fais partie non ?


Bref, vous capterez d'ici dix ans (si vous avez du recul un jour) l'ampleur et le fond de Miami, qui est un album de ouf.
J'retourne à mon skwat. Bonne supputations, bons "débats" d'égout... Tu m'étonnes qu'il soit aigri le type.
@"Boo²"

Tu crois avoir plus de recul que les tout le monde peut-être ?
Ne serais-tu pas aigri toi aussi ?

--- J'ai pas été malade du trimestre, et comme toujours il faut que j'attende les vacances...
@"julchana3"

Pareil : rhume depuis hier soir

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre et vaincre des hordes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode de Caen où on mange des tripes de cochons vivants parqués dans un étang salé de Camargue là où les moustiques pullulent et puent du dard quand il vient de piquer Frédéric Mitterrand aux parties intimes de son anatomie virile telle une tour Eiffel en allumettes collées avec de la purée mousseline préparée dans un chaudron vert plein de pommes d'Adam qu'Eve lèche sans croquer car les vers la rongent depuis les pieds plats vers la tête ronde comme une pastèque aztèque qu'on astique avec des asticots forts en gymnastique aquatique et rythmique en acoustique dans un bathyscaphe en scaphandre conduit par Alberto Ascari, cet illustre coureur mort écrasé par un tramway nommé Harlem Désir à cause de deux énormes boobs rebondissant et doux tels le pelage d'un mammouth des Cévennes où la montage est belle et pleine de fougères qui caressent le torse imberbe et musclé de ce basketteur islandais qu'on appelle geyser à cause de la sueur qui jaillit des pores des porcs aux ports poreux supportables pour un porc-épique qui pique nique à Binic dont le nickel quelconque questionne une nonne naine et neuve neuvième nécrophile de la nécropole de Polybe en Namibie du Nord près de l'antique cité de Sète à sept lieues de Troyes et quatre de Huismes de Max Boublil le chevelu présentateur de Poui Poui TV pour les nuls en natation sur le côté gauche là où le cœur palpite pour Pol Pot mangeur de pompotes jaunes et vertes au bouchon en forme de cœur de poulpe gluant aux ventouses à partouses qui se glissent sous les culs en mouvement rapide sous l'effet de la levrette, dame du lièvre, cette chaude lapine d'Alaska qui se branle au rythme des saisons avec de la glace dure ou de la glace de chez Morice de Lille-sur-Truyère où hier les truies mangent les chandelles de cire et d'acier fabriqué en Chine de Mao dont le col en carton plastifié à la chaîne par les taulards Montagnards à la Santé accusés de violence sur des Bonapartistes soutenant Boulanger à Limoges où la CGT publie le manifeste du travailleur gréviste bloquant l'A6 en direction de Marseille où l'OM joue à la balle sans Kalachnikov pour convaincre