Et on ne sera pas plus avancé tant qu'il ne sera pas sorti

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings hipsters à la mode

J'ai un cerveau c'est le tonneau des Danaïdes, je retiens riiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiien !!!!!!!!!!!!!

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort qui sert de mug aux vikings

Le roi <3 <3 <3

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue ni tête de mort

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi au piano sans queue

Bisounour lâche cette rumeur sur yellow tricycle, et vous le croyez tous...
[...]
Bref, on tourne en rond.
@"julchana3"


Je ne pensais pas dire ça un jour, mais j'suis d'accord avec @julchana3

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique avec Dessay et Vivaldi

Euh elle chante Cécile de France ?

On sait qui c'est maintenant

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe pour participer à l'Eurovision de la musique classique

J'vous pique (peut-être) Bisounour le 2 et le 4, faut pas déconner !

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent; en effet elle a voulu se faire pousser la barbe

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé Solange dont les joues piquent

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant tel le bidet de chez la mémé

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer d'Aral se vidant

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles poisseuses et salées comme un étang de bord de mer

Regarde les heures : y'a 1h de décalage entre les posts;)
Je suppose que @X a "zappé" le message de boby6 dans la foultitude des messages postés sur ce topic (et je la comprends, c'est dur de tout rattraper après un weekend d'absence ).
@"Isa"


En même temps, vu que y a 45 minutes entre les 2 messages, je pense juste qu'en fait @x l'a pas vu avant de poster mais qu'il était déjà là
@"Bisounour"


Effectivement ça marche très bien

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Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux palmés à écailles

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée comestible uniquement par des oiseaux

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips à la pomme de terre germée

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate et fine comme une chips

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques en forme de couille plate

Après tout il fait ce qu'il veut, il n'oblige personne à aller le voir.

Pour continuer dans les bruits de parking complètement con : le prochain album ce sera que des thèmes

Isibane : tu te répètes

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens avec leurs deux ailes symétriques

----- le voisin du dessous a mis la musique à fond, c'est comme si j'étais chez lui là
++++ ça va c'est Détroit

Elle s'invite dans la nuit blanche, éblouissante et portant les étoiles symbolisant l'espoir qui brûlait en elle tel un phare dans l'obscur clarté qui tombe pour enfin porter son regard chevrotant vers moi endormi et rêvant des astres où Micromégas réinvente Sirius le nuage chargé de flocons d'avoine pour les canassons qui tirent les canons en fonte des neiges rouges des guerres des boutons de mon tonton de la place Saint-Pierre au rhum qui trace sa route sur le chemin des vacances de nowel quand les nonnes s'en vont et imaginent une montagne de cols décollés des chemises froissées par les mistrals perdant leur éclat violacé dû à la lumière qui traverse le Beaujolais à la saison des feuilles des arbres déplumés éparpillées partout sur le sol carrelé en mosaïque de Macédoine constituée de légumes variés et avariés qui sentent le composte des tourbes profondes protégées par Isa qui a froid perdue dans ce vide immense jurassien où les ours dévorent tout l'espace encombré de racines mouvantes qui donnent la nausée quand elles se balancent en avant et en arrière sur une balançoire tenant par des filaments de toutes les couleurs des 36 chandelles de Médard qui est le Saint rouflaquettes le spécialiste de la moquette et des nénettes avec de gros yeux qui font peur aux moustiques géants baignant dans le pesto plein de pâtes molles telles des petits sexes aériens