Aïeuh
@"Alizée"

MDR!

Tu as ouvert les plans du V2?
@"didier"


ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii j'suis complètement fan du V2, mais c'est resté chez Bisounour, j'étais un peu encombrée et chancelante ce matin, je les aurais oublié dans le train

C'était pas un pouf mais un "sac de vinyle avec fermeture à glissière, rempli de billes de polystyrène expansé"!
@"Bisounour"


ouais bah hein, pouet !

J'aimais bien le pouf moi

tsssss

say toi qui m'as traînée à l'étage d'art contemporain

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable

Bisounour au centre Pompidou c'est très drôle :

"c'est moche",
"non mais c'est de l'art ça ??? Ils se foutent de nous",
"Ah bah oui un siège accroché au mur qui s'appelle fauteuil, ils se sont pas fait chier pour le nom"...

Isa : j'suis persécutée , Bisounour veut que je bosse un dimanche !!

HELP !!!!!!!!

Ah bah bravo gwen !! Say du propre !!!!

Avis aux Toulousains :

Je revends ma place pour le concert de Détroit le 20 mai au Bikini au prix initial (soit 29 euros). Pour les intéressés me contacter en MP.

non mais t'en fais pas, j'parle trop dans ce cas là

t'as vu ça Isa, on fait dans le vocabulaire hyper développé

C'est Bisounour qui a commencé !!!!

Say toi qui sous-entends !!! NONMEHO

J'ai pas dit qu'elle était pourrite avant

YOUPIIIIIIII
j'y arrive
enfin !

en plus on peut écrire en tout petit

ça égaye ma journée

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine

++++++++++++++++++++++++++++++++ c'est bientôt dimanche

Bon anniversaire avec plein de bisous Bisounour

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat