Merci ! La dernière musique, pour le court métrage est vraiment sympa !!

Et, mine de rien, encore un de la "saez team" qui bosse dans la pub !!

Mouahahahahaha


... c'est pas drôle...

Aujourd'hui, j'avais prévu d'aller un Berlin rendre une visite surprise à ma copine. Billets achetés, 250€. Ce matin, j'apprends par mail qu'elle me quitte. VDM



Elle est de moi...

Merci !!

Je savais pas trop ou mettre ça :

http://www.lexpress.fr/culture/musique/la-playlist-du-patron-des-inrocks-et-du-monde_927480.html

La playlist de Matthieu Pigasse le patron des Inrock et du Monde, qui aime Saez !! Hé oui !!

Pourtant, les Inrock et Saez, c'est pas vraiment le grand amour si ?

Ca fait deux mois que je poireaute en province et alors que je trouve à me loger à Paris pour le 23, on me propose du taf ici à partir du 26. Mais je peux pas puisque je me suis engagé pour Paris. Et ma chérie me tanne pour que j'aille la voir à Berlin. Mais je peux pas puisque j'ai pas de sous puisque j'ai pas de taf... dilemme.

Oui et puis ça reste une étape décisive dans la maturité de l'écriture et de la musique de Saez quand même ! VLP et A lovers prayer dénote un vrai "artiste" derrière, ce qui est moins le cas avec Jours Etranges ou God Blesse.

Aujourd'hui j'ai appris que c'est pas parce qu'un site est down la moitié de la journée (et il y est encore) que c'est forcement qu'il y aura des nouveautés quand il rouvrira. haha.

Je suis tombé sur cette bio de Music Story que j'ai trouvé pas mal parce que ni trop fan, ni trop profane

Par contre, il y a un truc que je m'explique pas, c'est pourquoi toujours beaucoup de place accordé aux 2 premiers albums, et les derniers toujours traités à la va vite ?? (bon pour J'accuse, j'imagine que ça a était écrit juste avant la sortie)

Voici le texte :

C'est le premier août 1977 que Damien Saez voit le jour, à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Ses parents divorcent en 1981 et le garçonnet part s'installer dans le sud de la France. C'est avec sa mère, éducatrice pour adolescents en difficulté, et son beau-père, documentariste, qu'il grandit dans la région de Marseille. Très tôt attiré par la musique, il débute le piano et est admis à 8 ans au Conservatoire national de musique de Dijon, où la famille s'installe. Il en sort à l'âge de 17 ans, puis obtient son bac S en 1995.

Déjà, il fait partie de groupes au sein desquels il joue des reprises. Mais Damien Saez, qui s'est également familiarisé en autodidacte avec la guitare, souhaite jouer et chanter ses propres compositions et textes. En avril 1996, il « monte » à Paris, avec en tête l'idée de s'y faire repérer. Bientôt, William Sheller en personne le prend sous son aile. Remarqué, il est signé par le label Island (filiale d'Universal) et enregistre un premier album.

Le single « Jeune et con », très diffusé en radio et sur les chaînes musicales, attire immédiatement l'attention du public. L'album, dont le single est extrait, Jours Etranges, révèle un auteur-compositeur-interprète aux talents et à l'inventivité prometteurs. Si le single, classique dans son format et sa composition, était un bon morceau, l'album se révèle riche, entre rock saturé et ballades, le tout mâtiné d'arrangements électroniques maîtrisés. Pour l'enregistrement, qui s'est étalé sur sept mois, il s'est entouré de vrais pros, notamment Ron St. Germain au mixage, célèbre pour ses travaux aux côtés de Lou Reed, Soundgarden, U2, ou encore Sonic Youth.

L'album devient double disque d'or et Saez est nominé en tant que « Révélation de l'année » aux Victoires de la Musique en 2001. A la cérémonie, il donne d'ailleurs une performance dans laquelle les fans voient la marque d'un rebelle et les autres un moment pathétique de télévision : venu chanter « Jeune et con », le chanteur débute en chantant - mal - « Thank You » de Dido. Puis, le bonnet rabattu sur les yeux, il interprète son tube en forçant sur l'image du rebelle - jusqu'au ridicule -, comme pour réaliser un hold-up en direct...

De fait, les uns l'idolâtrent et les autres le trouvent agaçant : il faut dire que son chant maniéré, sa voix cassée et ses paroles souvent presque puériles ont quelque chose de caricaturalement (post-)adolescent. Mais Damien Saez revendique tout à fait ces paroles naïves, aiguillées par un lyrisme juvénile d'un romantisme au fond très classique, voguant entre révolte politique, désabusement mélancolique et échappatoires dans le rêve, les drogues ou l'amour. Qu'il plaise ou déplaise, le jeune artiste exprime des sentiments assez largement partagés par la « génération » (mot qu'il utilise beaucoup dans ses paroles) devenue adulte après l'effondrement du bloc soviétique, sur fond de « mort des idéologies » proclamées par les élites. De fait, le jeune artiste, évoluant dans un registre rock à guitares, revendique aussi - dans des textes encore fort maladroits - l'héritage de la chanson engagée de tradition française (Jean Ferrat, Léo Ferré, Georges Moustaki, etc.).

C'est d'ailleurs assez logiquement qu'il participe, au côté des tout meilleurs artistes de la scène française (Noir Désir, Arthur H, Tarmac, Miossec, etc) à l'album-hommage à Georges Brassens Les Oiseaux de Passage, qui sort en décembre 2001, reprenant « La Prière ». Ce même mois, paraît A ton nom, recueil de poèmes et de réflexions de Saez, dans la prestigieuse maison d'édition Actes Sud, misant davantage sur la notoriété du chanteur et son rapport commercial que sur la qualité poétique et littéraire de ses textes.

Après avoir pas mal tourné pour défendre son premier album, Saez enregistre God Blesse / Katagena, un double album musicalement ambitieux qui paraît en mars 2002. Et pour cela, Saez s'entoure de professionnels chevronnés : Theo Miller (Placebo) à la production, James Eller (Julian Cope, Nick Lowe, Mark Knopfler, No One Is Innocent) à la basse, Clive Deamer (Jeff Beck, Portishead) à la batterie, entre autres. Les arrangements de cordes sont dirigés par Eumir Deodato (qui a notamment travaillé sur la majorité des chansons de l'album Post de Björk) et Wayne Wilkins (Johnny Cash). De son côté, Damien Saez assure l'ensemble des parties de guitares et de claviers. L'album surprend par sa profusion, allant du rock saturé aux relents industriels de « J'veux du nucléaire » au techno « Sexe », en passant par de belles pièces d'inspiration romantique (piano et cordes) ou des morceaux de rock symphonique... On y trouve également l'hymne désabusé « Solution », dans lequel il chante : « Nous ne voulons plus de vos solutions / Il n'y a plus de rêve pour cette génération ».

De part en part, court une mélancolie tenace, qui tourne de la révolte à l'accablement. Semblant se poser en porte-voix d'une partie de la jeunesse, dans la continuité du précédent album, il n'a de cesse de parler de « génération » (« enfant d'une génération ratée... », « il n'y a plus de rêve pour cette génération », « elle est condamnée, notre génération »...). Saez semble en fait parcouru par les contradictions d'un post-adolescent, ce que traduit encore son chant maniéré et son rejet répété d'un monde adulte abhorré, ce en quoi il rappelle les thèmes de groupes grunge tels qu'Alice In Chains ou Nirvana... Si les paroles n'ont pas grandement évolué, musicalement c'est d'un bon en avant dont on peut parler.

Le mois suivant la sortie de l'album, Saez se signale à nouveau, suite au premier tour de l'élection présidentielle 2002, qui porte - à la surprise générale - Jean-Marie Le Pen, leader de l'extrême droite française depuis les années 70, face au président sortant, le candidat de droite Jacques Chirac. Sous le coup de la colère, il enregistre dans la nuit « Fils de France », qu'il met en téléchargement gratuit dès le lendemain, le 22 avril. Les paroles n'évitent pas le cliché et le « cocorico » républicain (« Nous sommes, nous sommes / La Nation des Droits de l'Homme / (...) La Nation de la Tolérance / (...) La Nation des Lumières / (...) A l'heure de la Résistance »), mais rappellent l'engagement - fût-il naïf et sentimental - du chanteur. La chanson ne mérite pas vraiment la postérité et a quelque chose d'un éditorial musical, rappelant le projet de John Lennon qui envisageait d'enregistrer un album par jour comme on édite le journal. « Fils de France », dictée par l'urgence et la colère, ne pèse en fait pas grand-chose face à « La Sentinelle » de Luke, chanson sur le même sujet à la portée autrement plus poétique, qui paraît en 2004 sur l'album La Tête en arrière...

C'est également en avril que sort le film Femme Fatale de Brian de Palma, sur la bande originale duquel se retrouve le single « Sexe ». Cette chanson « techno/porno » et son clip donnent lieu à une « censure » de la part des radios et des télévisions, en raison des paroles « explicites » (« Mets ta langue ou tu sais / Non ne t'arrête pas / Continue de lécher », etc.), ce qui ne manque pas d'alimenter l'image de rockeur/poète maudit que les fans accolent à Saez.

A l'été 2004, paraît son troisième album, Debbie, un album plus court (11 titres et un peu plus d'une heure contre 29 titres et 2h 20 pour le prédécesseur) sous l'influence prépondérante de Noir Désir. Le morceau-titre qui ouvre l'album évoque un singulier mélange entre le Noir Désir énergique de Du Ciment Sous Les Plaines et les cuivres irrésistibles de La Mano Negra. De fait, le disque s'inscrit nettement dans le sillage de la bande à Bertrand Cantat, dont il explore largement le patrimoine. Le résultat est, une fois de plus, convaincant musicalement ; il surprend surtout par des paroles enfin débarrassées de l'afféterie grandiloquente des deux premiers albums. Par instants, Saez se montre capable de paroles réellement poétiques (à l'image, notamment, de « Comme une ombre »). Le public suit, une fois de plus.

Décidant d'entamer une carrière en indépendant, Saez quitte Universal, avant de se lancer en 2005 dans une tournée accompagné de trois guitares et un piano... Au printemps 2008 sort le quatrième album de Saez, le triple Varsovie / L'Alhambra / Paris, sur son nouveau label Cinq7 (distribué par Wagram). Cet opus gargantuesque en temps de crise du disque est suivi du plus léger Lovers Prayer (mars 2009), album de pop anglaise édité sous le patronyme de Yellow Tricycle.

Suite à cette parenthèse, Saez marque son retour par le fracassant J'Accuse. En guise d'amuse-bouche, l'inédit « Police » est largué en novembre 2009. Avant même sa sortie le 29 mars 2010, l'album bénéficie d'une publicité inattendue due à la RATP qui censure l'affiche représentant le visuel de la pochette, une femme nue dans un caddie de supermarché. Le chanteur s'indigne de cette décision portant atteinte à sa liberté d'expression et fait valoir sa dénonciation de la marchandisation du corps humain. La tournée qui démarre en avril s'annonce comme une croisade pour l'artiste en mal de reconnaissance.

Ca y est c'est on et rien de nouveau !

Il était déjà down hier soir, puis ré-ouvert sans changements, là ça fait depuis ce matin, c'est certainement de la maintenance du forum plutôt ! Sinon il y aurait déjà eu newsletter et tout le toutim !

Par contre, petit truc rigolo c'est que comme certaines images du myspace sont hébergées sur saez.mu, bah, ça bug aussi sur myspace.

edit : ceci dit sur fb ca buzz pas mal !! mais bon.. c'est fb...

Ooh Yeeeah ! Merciiiiii !

Donc quelqu'un sait quelle est cette chanson, ou il fait heinnnnn heihein heiiiin hein hein ? (parlant non ? )

Parce que je trouve qu'il la fait trop bien, on le voit jamais aussi détendu en live... snif !

C'est exactement ça !! Et j'étais d'ailleurs persuadé de l'avoir vu sur ton profil daily ??

Oui on parle bien de la même... elle a quand même pas disparu du net... Je l'avais enregistrée en flv, mais où... that is the question...

Il finissait par une petite reprise d'une chanson anglaise à la guitare... On voyait un peu toute l'équipe en train d'enregistrer...

Concernant Saez c'est pas un mal hein, parce qu'il a quand même du mal à faire une phrase sujet-verbe-complément en moins de deux minutes... Ça à l'air d'aller plus vite à l'écrit !

Moi je dis que ce serait bien mais que tu rêves un peu... Mais ce serait bien... Mais...

Surtout pour les filles...

Dsl...

C'est pour ça que je le mettais en comparaison, parce que c'est sensiblement équivalent, alors que Raphael a eu une promo plus élevée. Pour Noir Désir, il faut voir que c'était pile avant la crise du disque aussi. (bien que ce soit quand même très élevé).

Tout ça pour dire que J'accuse est un succès pour Saez ! En fait, certainement qu'en fin de carrière, à niveau de marché égal, ce sera son plus gros succès depuis Jours Etranges (voir plus élevé) ! Il faut dire que c'est un des ses albums les plus "grands publiques".

Allez, comme il se passe toujours rien dans l'univers saezien (ou si peu...) petit bilan des ventes :

La re-sortie en prix vert a était payante puisque l'album bondit de la 67ème à la 37ème place du top albums !

Ca porte son total France à 81 000 ex. vendu. En comptant la Suisse et la Belgique, ça tourne autour de 92 500... quand même !

A titre de comparaison, Des Visages des Figues de Noir Désir : 900 000 albums ! Première semaine de Raphael pour Pacific 231 : 25 750 albums... (J'accuse avait fait 21 000 albums en première semaine).

Mouarf... Vite fais hein... Pi c'est tellement naze que c'est dur à dire !

Merci !!

C'est tout simplement la prise audio de l'itw qui était parue dans le Nouvel Obs à l'époque !!

... qui déboite !!

Je le trouve au moins aussi bon que le premier ! C'est une énorme confirmation que ce groupe a un talent fou !

http://www.deezer.com/fr/music/aaron/birds-in-the-storm-672211#music/aaron/birds-in-the-storm-672211

Non bien sûr je me suis mal exprimé, je suis le premier à me réjouir parce que ça annonce un retour de Noir Désir. Mais je trouve étonnant ce retour de Bertrand Cantat avant un retour de Noir Désir.

Vais-je oser dire qu'on fait quand même vachement de bruit pour un retour qui n'a rien de fracassant au final ?? J'aurais préféré un album avec des nouvelles chansons comme retour, plutôt que de venir sur scène comme ça, sans le groupe. Finalement ça fait un peu "j'suis Bertrand Cantat, vous m'attendez tous, je vais venir faire trois chansons et vous serez content comme des crétins". Je pense pas que ce soit l'idée première, mais c'est un peu ce qui en ressort. La musique est un peu oubliée là quand même, c'est vraiment juste le principe de "ce type est monté sur scène, je l'ai vu".

J'ai ré-écouté un peu l'album Pacific 231. C'est vrai qu'une chanson comme "Locomotive" c'est pas mal, il y a une belle mélodie, les instrus sont bien, Terminal 2B c'est pareil; mais je sais pas, ça me parle pas. Je me vois pas écouter ça en boucle comme du Saez en tous cas. Ca manque d'implication personnel je trouve. J'y crois pas...

Je ne serais pas étonné qu'il vienne au Zénith d'Eiffel également !!

Mais ça sent bon le vrai retour tout ça !

Heu... ok si tu veux...

Tu peux toujours envoyer ton scénario à l'association de production que j'ai fondé : à l'ouest production ( alouestproduction@orange.fr ).

Ensuite moi c'est pas Julien puisque je n'étais pas réalisateur (comme indiqué dans le message en fait) et qu'en plus, Julien est malheureusement décédé donc...

Non.

J'ai trouvé ça à chier et j'ai filé ré-écouter Ou c'est qu'j'ai mis mon flingue de Renaud !

De toute manière le rythme chez Saez c'est toujours plus ou moins anarchique. Et pas aussi simple que ça en à l'air d'ailleurs...