tkt je le ferais pas souffrir 
- tu as collé du scotch sur tes plaques d'immat' pour mettre l'essence à l'oeil, passer les péages, faire 10 heures de route suivi de 9h d'attente devant le Zénith ...
t'es sur que c'est etre fan ca?
c'est pas juste faire n'imp?
Au début de la chanson, on découvre une Betty qui l'emporte dans de folles nuits.
Dans un deuxième temps on comprend que l'homme est devenu dépendant de cette relation avec Betty, que c'est elle qui l'allume, qui décide du moment et qui fait pareil avec d'autres hommes.
Et enfin on voit les éclairs de lucidité de l'homme qui réalise que Betty c'est comme un mirage et qu'elle ne remplacera jamais une vraie relation.
mais... tu parles d'alcool la non?
sinon, au niveau de la forme, j'adore son "allez ressèèrrrrr à bôâââââârrr" moitié accentué belge ou picard, ca sent la gnole frelatée quoi, ca s'entendrait dans un rade squatté par miossec et cali.
Qu'est ce que cette dimension écorchée est sous estimé dans l'oeuvre de saez dis donc, on retient le petit rebelle melancolico romantique mais ca fait des lustres qu'il nous berne et nous parle que d'ecorcherie.
allez ressèèrrrrr à bôâââââârrr
pas recu hier 
c'est qui le papa?
mais qu'est ce que je l'aime qd meme...
tkt isa, j'fais la mode moi je la subis pas, c'est qui le fashion papa ici alors?
Sûr ce n'est qu'un avis de simple couturière...
Sûr, oui... on voit de qui tu parles.