Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir

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(il me semble qu'on peut dire amer de)

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de

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Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé

Moi je m'en fous qu'il foire la chanson, ce qui m'énerve c'est le manque de culture des programmeurs parce qu'il y a énormément de chanson de Saez qui sont 10k fois mieux que Jeune et con!!!!

Edit: on peut se réjouir que TF1 vient de payer une bouteille de Whisky à notre ours favoris!

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente perverti par la pensée unique

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur par un champignon hallucinogène, je ne peux m'empêcher de crier: REVOLUTION ET NATATION, en un mot PLONGEONS MES PIGEONS , RÂLONS et zou, dans le poêlon avec des champignons, des pignons dans le siphon et des chansons dans le polochon sentant le reblochon de Besançon transporté en camion jusqu'à Menton et mélangés à des melons pas vraiment bons arrosés de décoction dont les proportions sont seules connues de druides bretons, ça y est j'ai atteint

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur par un champignon hallucinogène, je ne peux m'empêcher de crier:

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux qui se les gèle, y a t il une fin à notre folie?

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince

Ce sont des gens qui oublient très vite les choses....Cette jeune fille a sans doute des très jolies dents blanches que les impôts ont permis de payer, sans parler de ses fameuses études qui étaient pas très chers par rapport à certains pays "développé", mais quand il s'agit de faire un sacrifice personnel il n'y a plus personne...Donc oui je suis écoeuré de tant d'individualisme, de manque de solidarité....Quand on paie des impôts on ne paie pas que la dette, mais aussi les opérations d'enfants malade, la maîtresse que cet enfant aura pour pouvoir lui aussi faire de longues études, le pompier qui sauvera la vie de son grand-père malade du coeur, le gendarme et le policier qui la protégeront....Bref encore une personne qui manque de sens critique sur ce qu'elle peut voir, lire et entendre.....

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments oubliés comme une vielle paire de chaussettes encore sales et odorantes, dont l'odeur fait remonter des souvenirs de cadavres embaumés dans des pyramides sans âge allant tutoyer les étoiles de l'impossible et de l'inespéré rêve de prédire l'avenir au fond d'un verre de bière et étaler leurs déboires aux oreilles de Marie qui s'en trouvait léthargique

La métaphysique change la perspective des Dieux mortels qui se voient dans les miroirs narcissiques de leurs âmes trop salées et amères tels des êtres de néant aux rêves d'absolues et de débauche transgénique dans des bars sombres aux maïs OGM croisés des marguerites et des vaches normandes complètement folles à chercher des trèfles à 4 feuilles dans un champs de coquelicots et de Marguerites qu'elles fument séchées à la chicha autour d'un feu de camps gitan des plus inappropriés à la luxure et à la débauche des sentiments

La métaphysique change la perspective des Dieux

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées mais tellement plus attirant qu'un flan fraise tagada, je me réveille ruisselant de pâte à crèpe, Betty dans la main gauche et Marguerite entre mes jambes qui prépare une salade de rondelles de couilles aux champignons hallucinogènes et aphrodisiaques: les femmes sont toutes castratrices.

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées mais tellement plus attirant qu'un flan fraise tagada, je me réveille ruisselant de pâte à crèpe, Betty dans la main gauche et Marguerite entre mes jambes

Il est triste de voir que certains croient encore en nos politiques, ils sont TOUS pourris pour la simple et bonne raison qu'ils feront tout pour être élu, même l'inverse de ce qu'ils ont dit il y a 6 mois....Quant à Mélanchon, il y a deux choses que je défendrai toute ma vie, c'est l'art et l'indépendance des journalistes et quand on voit la façon dont il traite des journalistes indépendant comme Le petit journal, il me semble clair qu'il n'est pas démocrate....

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées mais tellement plus attirant qu'un flan fraise tagada, je me réveille ruisselant