Non, c'était une fille, petite et qui d'ailleurs, du fait de sa petite taille, est partie ailleurs pendant le concert pour pouvoir voir son idole, à mon grand soulagement. Mais c'était vraiment un cas, mais par gentillesse, j'ai supporté. Malgré tout elle nous a retrouvé à la fin, et il a été très difficile de lui expliquer pourquoi on ne voulait pas lui donner notre numéro... Elle criait Damien d'après ses dires, quelqu'un lui a dit de la fermer, elle n'a pas compris... elle qui était en communion avec l'artiste... bref, c'était triste... lol
Putain, elle est venue me faire chier à moi aussi. Je pense que c'est la même...
Sinon, j'ai rajouté 19 vidéos du concert dans la partie appropriée.
C'était un truc de malade , mais se qui ma tué :
damien : tu y crois toi ...
groupie : DAMIEEEEEEEEEEEENNNN !!!!!!!!
un mec : TA GUEUUUUULLLEEEEEEE !!!!!!
damien tout en continuant de joué de la gratte : Il me semble que la dernière fois que je suis venu au zenith c'est moi qui l'avais dit !
Le type était à côté de moi. Il a juste gueulé "wouuuuuuuu", et quelqu'un a répliqué "ta gueule". Saez a fait signe de la tête genre "ouais c'est clair" et après il a rajouté ce que t'as dit oui.
http://www.youtube.com/watch?v=K6VV91ea-s0
Ma petite couturière, elle est pas haute couture, mais faut voir quand elle cout des ourlés à mon cœur.
Ma petite couturière, elle connaît les mesures, de mon cœur éperdu, là dans la fourmilière.
Des trous dans les tricots, et les bas qui s’effilent, au fil du temps tu vois, passer sur la machine.
Fini les travailleuses, bonjour les plasticiennes, l’heure est aux dépensières, aux abeilles en guêpières.
Faut jeter les bobines, oui le film est fini, du temps des gabardines, faut laisser ton boulot.
Pour d’autres ouvrières, pour d’autres solidaires, dans d’autres fourmilières, à d’autres couturières.
Y a des œillets perdus, pendants aux boutonnières, quand les points de couture, tournent au point de suture.
En ligne les brodeuses, c’est le temps des chômeuses, c’est l’heure de rendre la blouse, de tremper les mouchoirs.
Habillez les jupons, sûr en fichu des pailles, puisque tous les patrons, nous laissent sur la paille.
Ma petite couturière, elle est pas haute couture, elle est prête à porter, le monde à bout de bras.
Ma petite couturière, elle connaît les mesures, de mon cœur éperdu, là dans la fourmilière.
Fini le temps des cerises, des écharpes pour deux, dire que même à l’usine, il faudra dire adieu.
Merci bien mon bon maitre, merci bien mon monsieur, de m’en donner toujours, de quoi pisser par les yeux.
Ils ne parlent pas pour nous, ils nous vendent l’âme et c’est tout, ils sont bons qu’à promettre, et nous qu’à nous faire mettre.
Ouais l’aiguille s’est plantée, dans le cœur des copines, jetez les dès à coudre, l’avenir s’est cassé.
Les lacets à nos cœurs, les chaînes à nos chevilles, fini les fleurs en bouton, planquées dans les bustiers.
Ma petite couturière, elle est pas haute couture, mais faut voir quand elle cout des ourlés à mon cœur.
Ma petite couturière, elle connaît les mesures, de mon cœur éperdu, là dans la fourmilière.
De mon cœur éperdu, là dans la fourmilière.
Ma petite couturière…
Ma petite couturière…
Ma petite couturière…
Ma petite couturière…
Ma petite, ma petite, ma petite couturière !
Oubliés l’ombre et le cœur de nos vies qu’on a laissées saigner dans le fond des gouttières,
Toujours sur les ?? et les révolutionnaires au dedans de la main des gens qui n'en pensent pas moins.
...
Elle retourne à la mine ma jolie figurine elle rassemble et ressert les boulons.
Elle est pas haute couture elle est prête à porter le monde à bout de bras.
Ma petite ouvrière là dans la fourmilière elle retourne à la lutte.
Puisque tout tourne ici : oui, oui, à la folie !
Puisque tout tourne ici : oui, oui, à la folie, oui, oui, oui, à la folie, à la folie, oui, oui, oui, à la folie, à la folie...
Dans le supo bourgeois, si c'est plutôt Versailles, qui fait la rebellion, rock'n'roll de grand mère.
Ouais si c'est pas l'époque, Ô rêves des camarades, Ô solidaire ami, si c'est pas la tendance.
Si l'époque est fashion, tous les soirs au charbon, quand ça sent la misère, moi c'est vrai que j'préfère
Toujours sur la machine, ma petite couturière, elle ressert les boulons
Dire qu'on en vient à r'gretter, le travail à la chaîne, pour des pays plus chauds, pour des pays moins chers, pour des pays plus beaux
Ouvrière s'est perdue, cherche reconversion, le patron a fermé, tous les champs de coton !
Le patron a fermé, tous les champs de coton !
Le patron, le patron, le patron ouais le patron.
Ouais eh eh eh eh...
édit Atala: comme dit sur le forum saezlive, faut lire les topics auxquels on participe ;p, la réponse t'a été donnée plus haut
Le début de "J'accuse" me fait penser à "Billie Jean" de Michael Jackson, "La cours des lycées" a une étrange ressemblance musicale avec une certaine chanson de Kyo et le début de "On a tous un Lula" me fait penser à "Daniela" d'Elmer Food Beat!
C'est un peu osé la comparaison avec Kyo. Faut rappeler qu'à la base, c'est Kyo qui ressemble à Saez (et son titre Jeune et con). Ce que tu dis là, c'est un peu le monde à l'envers, sachant qu'à la base c'est le contraire.