Le forum SaezLive est définitivement fermé, les archives restent accessibles en lecture seulement.
Ah ben j'hésitais entre une femme et la France... C'est un peu des deux du coup ^^
oh nan, ne la rêve pas rouge, rêve la blanche, ce n'est pas le rouge qui délivrera du bleu marine, c'est le blanc c'est le blanc c'est le blanc.
Et une rosée de printemps pour humecter les lèvres violettes des poètes d'antan.
Au rouge sang, c'est Cauchon que tu réveillerais, et les boeufs bourguignons de toutes les nations.
C'est que la bite a pris froid de servir à amarrer les navires de la marine, lèvres violettes, des bouquets aux printemps qui font déboutonner les vestes et la pudeur du vent.
Pas couillue, mais dégoulinante de blanc, pour la fertilité des boutons d'or de mes jeunesses.
Le rouge pour l'ivresse des poètes.
La nuit viendra d'elle même avaler les couchants, laissons les corbeaux jouer aux colombes, le jour sait montrer la vérité...
En blanc elle serait souillée. On va dire qu'il me la fallait rouge colère, très colère. ^^
@sofullofshit: je croyais qu'il y avait un autre sens à explorer par derrière Jeanne
Peb' , @musashi: vous etes obligés de nous faire profiter de vos masturbations mutuelles? ;)
Insomnie et poésie mon gars.
L'adresse y est.
En même temps Kaio, cette page mutualise les branlettes. :)
Mais, nos masturbations mutuelles? tu as mal compris "rosée de printemps"? :D
Ne plus y croire,
Feindre toujours, surtout pas geindre, ne pas écorcher leur façade, si jamais c'était contagieux
la pauvreté, et la laideur, et la douleur, la différence,
Gloire à la peur !
Arbeit macht frei, peut-être les capitaux mais pas les consciences
Le pardon ne fait pas défaut, il est au fond de chaque cœur et n'attend qu'un souffle pour étreindre sous son aile
Mais où se cache la rédemption quand plus rien ne compte, encore moins l'autre
C'est pas moi c'est lui,
Satisfaction de sa Majesté Moi au-dessus de tout et surtout de l'autre
Plus d'honneur, ne plus assumer ce qui fait d'eux des humains, leurs erreurs
Se ruer sur les cadavres encore chauds pour admirer les baballes
L'humain n'est pas équilibriste, il patauge dans son bac à sable et se croche-pied dans les racines d'ébène
Ordem, sem progresso
Heureusement mère nature a toujours su éliminer ses parasites
La grue se prend pour une autruche, laissant le champ libre au serpent
Tomber à trop regarder d'en haut
Renouer avec mes frères, se dépasser ensemble
Entrevoir la lumière, ne pas fermer la porte
Enlacer une main
Préparer ma valise et suivre le destin
E Ultreïa, e suseia
Elle virevolte, elle soleille, belle Iris en papier
Ne pas se ridiculiser en exhibant leur amour
Bleu comme une poignée de porte ou un coin de vaisselier
Pourquoi se laisser entrainer vers le fond par son teint ? Fard salvateur autorisant toutes les lâchetés
Il n'est de pire ami, qui ne veut pas voir
Les rats s'insurgeront à part eux derrière les portes blindées de leur maison, présumant ainsi sauver leurs consciences
Une allée étroite de sa librairie d'enfance
Un regard, un livre, une main,
Après-midi illuminés d'espoir
Mais la chaine est solide et le bourreau charmeur
Seul un son froid et mécanique témoigne « Elle est en vie ! »
Le contrat prendra fin par des torts partagés
Nul repos mais une paroi raide à gravir, avec pour unique prise l'oreille attentive d'employés rémunérés pour combler le gouffre laissé à l'abandon par ses amis
Mois de lutte contre les coups bas, les silences, soi
Près du lit un livre, un regard, une main
Qu'elle accepte enfin
Célébrer le retour à la vie avec ses amis
Téléphone silencieux, ordinateur muet, portes closes
Une terrasse, un hasard, les amis sont là
Regards gênés, la meute attend son chef
Elle les a assez mis dans l'embarras avec ce divorce, risquer leur perte en témoignant des coups, pour une folle en plus ! Pourquoi aurait-elle été internée sinon ?
Et lui au moins n'a pas ramené d'étranger dans le lit conjugal
Elle ne va pas oser s'asseoir quand même !
Des mois qu'ils rivalisent de courbettes et elle viendrait encore gâcher la fête avec ses jérémiades !?
Vraiment ça tombe bien mal, ils doivent partir, ils n'ont pas le temps, ils l'appelleront, promis
Allez va-t-en, vite
Disparais !
Un regard, une main, vers un nouveau chemin
Heureusement la vie sait être généreuse avec les honnêtes gens, il arrive en retard
Mais avec leurs invitations, ils vont enfin pouvoir rencontrer Brad Pitt !
La rivière a coulé sous le serpent, prétendant relier les humains alors que nul ne s'y aventure, à moins de tenter querelle auprès du clocher d'en face
Le temps les rattrapera, aussi loin qu'ils courent
Nul n'échappera à la poussière, quand la plume aura pesé
Les cœurs épars, donnés à Dieu mais surtout aux humains, tant habitués à traîner
Encerclés de cafards, au point de ne pas imaginer que leurs frères puissent ne pas en être
Mais avant ils se laisseront sagement emmurer, croyant stopper la roue en s'assurant de n'être pas vivants
Un regard, une main, pour ne jamais oublier qu'elle existe.
S'appuyer sur le chêne, fidèle et résistant aux plus violentes tornades
Laisser la brise balayer les feuilles, aussi solides qu'un mirage fuyant la moindre approche ou le fatidique murmure d'un non à la question qui n'attend pas de réponse.
***
Les grilles du jardin nocturne lui rendent son amant
Si lumineuse, flamboyante, faible ou laide soit-elle, ses yeux l'aiment bien mieux que les trompeuses proses
Se damner pour ses lèvres qui ont su réparer les ailes de son coeur
Par dessus tout la sérénité dans leurs mains enlacées
Serait-elle amoureuse ?
Elle l'attend au tournant.
Elle lui montrera c'que c'est qu'un sentiment qui fait pas semblant.
Une nuit, peut être deux.
Amoureuse, certainement, mais lui, le sait-il?
Peur et joie passent un deal!
50-50 pour le weekend!
Regret s'en mêlera peut être, il hésite, il se décidera après. C'est qu'il est prudent, lui!
Merci @Angie ;)
Cherche la clef de mon puzzle
Pas si simple d'être soi !
***
Rien ne peut égaler la jouissance de ce cri primitif qui monte en elle pour l'envoler au milieu des étoiles
Nul besoin de l'écran des paupières pour projeter ses fantasmes
Et quand les lumières s'éteignent et que chaque muscle, enfin libéré des heures à les martyriser, hurle sa douleur entre les draps de soie
Elle sait qu'elle est vivante
Oui les printemps sacrent des Dieux !
L'amour les yeux levés
Le poing mordu
Et sans ciller
Paupière qui tombe avec la Lune
Et ton baiser.
Si à pieds joints dans les étoiles
Si les lucioles dans tes cheveux
Si ta langue entre mes reins
Si les papillons en bataille
Si mes doigts entre tes cuisses
Si tapis volant entre les feuilles
Si le bonheur en cascade
Si tes dents sur ma langue
Si nos yeux feux d'artifice
Si mes ongles sur ton ventre
Si nos souffles l'unisson
Si on s'aimait
Si on s'aimait
http://kaio.desinvolt.fr/post/70378911648
(c'est pour que tu fasses des cliques petits saeziens, comme ca je te vois dans Ganalytics)
cliqué,
iloj... :)
puis .... j'ai aussi fermé les yeux, comme ça tu n'as pas du me voir
Petite impro matinale, c'est pas parfait :p
J'attends que tu arrives,
Voir ton visage sur l'autre rive,
Me dire que le bonheur est là,
Et que tu n'es plus qu'à moi,
Mais tu ne viendras plus,
Le serpent t'as mordu,
Il a craché son venin,
Je n'aurais jamais ta main,
Mais moi je m'en fous,
Et de toute façon ils étaient fous,
De penser qu'on s'aimerait,
Qu'au paradis notre amour survivrait,
Fou à lier
Je deviens
Ce fou aux deux mains liées
D'une déserteuse
Fusil à fleurs
Je ne tirerai pas des balles d'épines
Car blessée tu demeures
Face à la mienne
Tes pétales des pleurs
N'auront d'odeur que la veine
Rompue des caves sans fils
J'aurai pourtant cru aux acides regards
Qui sans le sourire aux commissures
Se glissent sous l'espoir.
Succinct est ton sentiment
Si stupide parfois, c'est évident
C'est sans doute cela
Qui t'anime.
Quel plus grand bonheur que ton cœur battant dans le mien ?
Quelle plus douce extase que mes yeux caressant ta nuque dans ton sommeil ?
Mon âme est au supplice de te savoir damné
Je voudrais t'étreindre pour l'éternité
Que les serpents de mes entrailles te bénissent
Ta main cherche mon visage
Tes yeux brillent de douceur
Je t'aime
Mais les étoiles s'éteignent en larmes d'or
Le ciel sait
Mais t'as cru quoi, connard ?
Que tu serais un jour le nombril de mon monde ?
Que ton sourire ferait naître des soleils dans mon cœur ?
Que ta simple existence laverait les stigmates ?
Mais t'es rien qu'un homme, c'est dire comme t'es moins que rien !
Y a cette sorcière dans le miroir, je crois bien que c'est moi
Et y a ta main
Qui vient le polir
Je serais presque belle
Jamais croire les miroirs
Tu comprends pas, je suis pas pour toi.
Mais lâche-moi ! Va-t-en ! Fuis-moi !
Je voudrais être gorgone, te transformer d'un baiser
Qu'enfin ton âme rejoigne mon cœur
Que l'eau pure des fleuves te cajole
Et me pardonne t'avoir si mal aimé
Que nul ne puisse démêler les grains de nos sables
Que de ces profondeurs jaillisse enfin
Notre triomphant lotus
Toi, mon amour,
au regard bleuté,
comme le ciel d'été,
au sourire éblouissant,
comme le soleil au levé du jour.
Oui, c'est à toi que je pense,
femme poisson née à la tombée de la nuit,
qui nage dans mes rêves,
mais qui m'échappe dans le réel,
pris dans le filet d'un ami pécheur.
Hélas, je n'ai pas saisi l'opportunité,
quand tu étais libre,
de te proposer un voyage en bateau.
Moi, l'indécis éternel,
je t'ai laissé t'envoler.
Et je me suis perdu dans les paradoxes des sentiments,
entre me dévoiler et me cacher,
entre oublier et me rappeler,
entre ça et surmoi,
entre fantasmes et réalité.
Je voulais une relation amoureuse.
Maintenant, elle est amicale.
Pourtant, lorsque je te croise,
mon cœur s’emballe,
et j'aimerai te dire ces mots:
Toi, blanche hirondelle,
au prénom Isabelle,
quand je te regarde,
dans la vie réelle et virtuelle,
c'est fou comme tu es belle.
c'est fou comme je t'aime.
La poésie se meurt et c'est ainsi
Vois, je lui souffle mon haleine putride
Pour qu'elle se réveille
Et ça marche pas tant
Doit vraiment être crevée la morte.
J'ai rencontré Lily Hier soir,
dans le désordre des comptoirs,
au travers de mon verre ,
de jack Daniel,
Je voyais tout le monde au pluriel,
Putain moi qui avais peur du noir,
j'ai sauté sur elle les yeux fermés,
et elle m'a offert un coin de son aile!
Pour un petit bout d'humanité....
Arsenal complet, grisante sagacité
Seuil à franchir, rien n’est toléré
Visions perdues au fond d’un verre
Couronnement du vieux serpentaire
Qui tolère le reptile serpentant
Des routes menant droit au néant
Il faut s’y attendre, il faut médire
Mais l’entièreté n’est pas à redire
Juste le claquement des dents
De ton corps éreinté dans l’étang
Prosternation, envie perturbatrice
Qui s’animent et s’emploient à la l’armistice
Mais d’ici jamais on ne repart complètement
Les nuits sont propices au morcellement
A t’en arracher la cervelle, des rayures sur la peau
Belle ingénue ta froideur sur le réseau
N’est autre que ton épiderme nu
Qui se faufile au hasard des rues
Sous la coupe du petit ange
Finement scindé
Simplement vautré
Justement planté
Et tout pousse, comme la mer se gèle
Et tout ne revient pas entièrement
Les angles, le pavé, l’écran
Les corps entremêlé se pèlent
Cerveau juvénile et arrogant
Berceau d’un spleen trop acerbe
Qui dans l’encrage flottant
Admire sa superbe
Penche-toi face à Narcisse
Contemple le miroir, ton fils
Cloué dans la paume
Le vice est son génome
Pendentif pendant au col vif
Vit du protocole au splif
Du reflet au spleen
Ou l’inverse, c’est étrange
Allez, tous en ligne
Déboitement des phalanges
Remboitement de l’arc ange
Nous savons tous son nom
Nous savons tous son malin
Et ses mains moites de vin
Vindicatif, les fous en réunion
Carcérale, infernale, infernalement vain
Oh ma prunelle, ne pars pas encore las bas
Ne délaisse pas ce qu’on sait déjà
On l'aura notre bout d'horizon
On écorchera le ciel qui ne se dégage pas
On hurlera sous les nappes
Mais la bas on est rien
Las bas, on en revient pas
Des déserts fleuris aux herbes désenchantées
Quand le pneu crève dans sa blancheur étendue
Seul et pieu au seuil de dieux incalculables
Marche et noie les êtres et leur fond chaotique
Et du vide en veux-tu en voilà tout au long
Cent lieux sans borne
Tout à récupérer
Quand les oiseaux noirs planant au dessus des nids
voient leurs plumes atrophiées voiler l'exhibition
La pointe desséchée d'une idée en fusion
Se morcelle sur les surfaces allongées
Sans lieu cents bornes
Tout à récupérer
Tout est blanchi, rien n’est d’encre
La main qui tremble, l’œil qui lorgne
Il en faudra des bornes, des cris dévalisés
Pour pouvoir boire l’inconscience
À nouveau ou encore
L’arme est âme
Dans les solstices hivernaux et transcendants
Les mains s’effritent, les mains sont des armes mordantes
Comme le regard du corbeau juché sur la tour
Qui ne peint plus rien de réel depuis trop longtemps
Sans lieu cents bornes
Tout à récupérer