[color=navy]Edit Isa : Index des titres retranscrits ajouté en début de post (cliquer sur les titres pour accéder au post directement). N'hésitez pas à me signaler les nouveaux ajouts, que je tienne la liste à jour :) Et merci à celles et ceux qui passent du temps sur les retranscriptions :) [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249276]Lulu[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249281]Au cimetière des amours[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249281]P'tit bout d'paradis[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249283]Les amours mortes[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249420]Ma Gueule De Terroriste[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249485]Notre-Dame Mélancolie[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249716]Si[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249734]Ma putain du show-biz[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=2#249764]En bords de Seine[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#249830]Guantánamo [/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250047]Matins de neige[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250061]Ma gueule[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250082]Putain ma vie[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250082]Pleure pas bébé[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250087]Pierrot[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250095]Matins de pluie[/url] [url=https://www.saezlive.net/topics/view/4792/le-manifeste-paroles?page=3#250327]En Sangre[/url] Et aussi celles fournies sur CCC : [url=https://www.saezlive.net/discography/song?title=Bonnie]Bonnie[/url] [url=https://www.saezlive.net/discography/song?title=Mon+Europ%C3%A9enne]Mon Européenne[/url] [url=https://www.saezlive.net/discography/song?title=Rue+d%27la+soif]Rue d'la soif[/url] [url=https://www.saezlive.net/discography/song?title=Ch%C3%A2teau+de+brume]Chateau de Brume[/url] [/color] -------------------------------------------------- Bonjour à tous! Voici les paroles de Peuple Manifestant. N'hésitez pas à me corriger s'il y a des erreurs :) Bonne journée! J’ai lu ton tweet mon camarade, suppôt des multinationales Putain mon vieux t’es mal tombé, tu m’en veux pas j’vais pas tweeter C’est bien tenté, bien essayé, avec tes potes collaborants Oui d’essayer de faire passer, pour des fous les indépendants Je suis du peuple travailleur, j’suis pas du showbiz à quatre pattes Avec moi les fils du labeur, ceux qui font pousser des tomates Ceux qui en ont marre de s’faire baiser par les rois de l’intermédiaire Par tous ces gens-là qui ne créent sûr autour d’eux que la misère Merci bien mon monsieur, mais non merci toi mon bon maître Fais attention les miséreux un jour pourraient couper des têtes A force de faire pisser les yeux de mon populaire, ouais t’en veux ? Alors mon vieux j’vais t’en donner de quoi parler dans tes papiers T’as lu la presse puisqu’il parait on parle de moi dans les torchons Des foires à bobos pour camés qui vient paver son p’tit rebond Pour avoir son p’tit truc à dire, pour mentir aux populations Oui bien sûr avec les sourires du temps des collaborations A écouter les journalismes, et tous les avocats des notables, Les concessionnaires du fascisme, ça y’a du fric dessous la table Ah ouais c’est sûr y a du média pour aller défendre pognon Tu sais tous ces gens-là qui paient publicités dans les torchons Moi je resterai poing levé du peuple des indépendants Moi j’y peux rien si je suis né du peule des manifestants Faut boycotter collaborants, puis faut protéger nos cultures Puisqu’ils viennent violer nos champs, piétiner nos littératures Puisque mon cœur est compagnon de ces gens-là le poing levé Toujours en moi l’insoumission contre les maîtres des progrès Je resterai le paysan sur l’établi et sur le papier Contre les macros du pognon, contre les rois des enculés La société t’es pas contente quand on te traite de vieille salope Tu trouves vulgaire les mots d’en bas, attends va y j’m’allume une clope J’vais t’raconter un peu d’ici la gueule que t’as pour la misère Tous les quotidiens du cercueil à la fin du mois qui galère : Agriculteurs prêts au suicide, instituteurs en dépression Toujours pour nourrir les avides du grand culte consommation Educ’ spé les mains dans la suie pour t’éviter les rébellions Faudrait pas trop que les ordures remontent trop au nez du pognon Peuple de collèges, de lycées, laissés au porno et au joint Ouais mais t’as raison société, valait mieux enlever le latin Ouais puis surtout dans cette époque où chacun cherche une origine Vaut mieux réformer l’orthographe, oublier les gréco latines Ben ouais la Grèce, Société, tu sais le berceau des cultures Le pays d’où viennent tes musées puis d’où vient ta littérature Non toi tu préfères la saigner pour enrichir sur les bancaires Non toi tu paries sur des dettes pour mieux saigner les ouvrières Non sont mieux avec leurs Iphone pour les éduquer à la thune Les progénitures des misères de ceux qui n’feront jamais fortune Ca licencie des ouvriers, ça fait des peuples de chômeurs Qu’est-ce que t’en dis, toi paysan ? Qu’est-ce que t’en dis, toi travailleur ? Ca prend sa comm puis ça vous chie sur tous les champs de nos cultures Sûr y a du média pour vous dire qu’on n’est pas sous la dictature Démocratie enfantée ouais du fascisme consommant Puisqu’ici il n’est de sacré oui que la couleur de l’argent Puis tu crois qu’y’aurait politique pour protéger les populaires ? Non ils préfèrent faire des tweets pour divertir la ménagère Pour eux la culture c’est sucer les p’tites ricaines stars de ciné C’est pas pour le prix des tomates, c’est pas pour le cœur ouvrier Dessinateurs assassinés, des salles de concert en charnier Puis t’as qu’à voir un peu les feux d’artifices au 14 juillet Mais ça va t’envoyer des bombes ouais pour flinguer l’ami syrien Quand y a du pétrole faut qu’ça tombe sur des pays pauvres, des gamins Et continuent les attentats et continue la propagande Pour les soupes opéra du soir, puisque le peuple en redemande Entre les pestes, les choléras, sûr prolifère la pourriture De ces tristes pays perdus qui pissent eux même sur leur culture Qui violent eux-mêmes leur histoire puis qui vont t’parler d’identité Pour passer deux ans dans le rue pour ou contre le mariage gay Puis y’a Karim ouais qui galère, tu sais juste pour s’trouver un toit Tu sais pour les délits de faciès, nous on attend toujours tes lois Ouais je sais c’est dur à rentrer dans ton p’tit cerveau Société Mais faudra bien qu’tu te foutes dans le crâne qu’Ahmed est un prénom français Y’a pas à dire ma Société, t’as raison t’es pas une salope T’es une grande dame, puis t’as raison, il vaut mieux interdire la clope Continues comme ça mon pays Puis t’as qu’à voir de l’autre côté de la manche ou bien de l’Atlantique à quoi ils nous mènent tes progrès Du Brexit ou bien des ricains l’humanisme à l’Anglo-Saxonne Ceux qui bombardent des pays pour vous vendre des téléphones Ouais mais le peuple il est content, ouais d’avoir vendu ses enfants Contre un peu de calme au diner et puis les singes aiment bien cliquer. Peuple d’écolières d’écoliers, putain qu’on à laisser violer Oui par des peuples d’enculés, sûr de la Silicon Valley Ceux qui censurent les paires de seins pour mettre des guerres en direct Ben ouais mon vieux chez les mondains ça fait du blé quand tu t’connectes Mais toi t’es pas collaborant, oh non ouais toi t’es révolté Quand le printemps viendra mon frère, on sait pour qui t’ira voter Et puis les autres, les p’tits médias, raconter n’importe quoi Faudrait surtout pas remettre en cause c’est sur le p’tit confort bourgeois Qui pourrait ouais t’en inventer, une vie pour écrire à ta place Ah ouais mais non, ça c’est déjà plus difficile à mettre en place « Parait qu’il a pété les plombs, non mais ses chansons divulguées En mp3 les littéraires Ouais ben alors ! La belle affaire ! Ya pas de quoi en chier une pendule ! Et puis t’as vu il a dit salope ! Puis paraît même qu’en concert boit du whisky, fume des clopes » Mais fermes là, quand on sait pas de quoi on parle on ferme sa gueule T’as cru qu’on était un troupeau ou bien qu’on était pote ma gueule ? Toi la cynico-responsable je crois ma vieille d’où on en est Tu fous la honte à ton pays, tu l’as dis relis tes papiers Ces gens qui parlent sans savoir, qui préfèrent les concerts anglais Ah ouais c’est sûr la propagande préfère les chanteurs versaillais Puis d’un p’tit ton condescendant, mais t’as pas honte triste vendu D’aller défendre le pognon qui prend ta culture par le cul ? Ah non c’est vrai c’est pas la tienne Toi tu vends des publicités dans ton p’tit journal démago Puis les patrons faut les sucer Non mais t’as rêver ma salope, je crois qu’tu t’es gourée de trottoir J’suis pas de celles qui vont tapiner pour aller vendre un accessoire Rends toi utile à quelque chose, tiens renvoies moi un exemplaire Tu sais ça m’servira toujours pour me torcher les soirs de bière C’est sûr y’a ceux qui font des tweets, puis ceux qui font des littéraires Aller retournes sur Instagram pour mettre tes photos de soirées Voilà 20 ans putain que ça dure entre les radios les télés Au gré des affiches de métro, des artisanats censurés Société des consommations aime pas les filles dans les caddies Mais sûr aime la prostitution, mp3, les poésies Vas-y remballes la marchandise, ouais va te trouver d’autres putains Et si ma petite entreprise connaît la crise, elle serre le poing Et ouais j’aime pas baisser mon froc, je sais mon vieux c’est pas l’époque Mais qu’est-ce que tu veux j’y peux rien, j’suis difficile à mettre en cloque Non moi je fais pas dans l’pathétique des démocraties des MacBook Moi je me torche avec ton tweet puis ton communiqué Facebook Sur son Insta l’Humanité à la gueule des cuvettes de chiottes Société m’en veux pas tu sais j’aime pas trop baisser ma culotte Les états d’urgence pour asseoir, ah ouais c’est sur tous les pouvoirs Des drapeaux des peuples oppression toujours la sodomi-nation C’est l’évolution inversée l'humain retourne au chimpanzé Peuple télé-réalité, des prolos en photo de soirée Peuple c’est sûr pour sa retraite toujours prêt à manifester Pour aller sauver la planète, pour le climat, en jet privé Peuple clodo sur les avenues, peuple des comptes au Panama Peuple préfère rester cocu, peuple préfère tweeter je crois Peuple descend pas dans la rue pour les chômeurs, pour les clodos Le peuple aime bien donner son cul, ils ont ça dans l’sang les collabos Des millions par milliers, allez applaudir les DJ Des millions pour aller voter toujours pour les mêmes enculés Des millions pour gagner sa place, pourritures dans les charniers Des millions pour aller prêcher, des millions pour aller prier Des millions dans des stades, oui pour voir un ballon rouler Des millions d’chômeurs camarades, y a que les millions qui font rêver Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres Aller peuple manifestant, vas-y ramènes moi l’échafaud Des radios de merde à gogo surtout pour abreuver les ghettos Peuple de bloggeurs illettrés, peuple d’abrutis débinés du cerveau Peuple tatoué, putain mon vieux c’est pas gagné Peuple d’animateurs télé, y’a du people à l’Elysée Peuple bobo, peuple bourgeois, populaires retenez-moi Et puisque tout ça finira un jour sur l’échafaud je crois A la merde que fait la France, faudrait rétablir la potence Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres
poucelina_7 Il y a 7 ans

Edit Isa : Index des titres retranscrits ajouté en début de post (cliquer sur les titres pour accéder au post directement). N'hésitez pas à me signaler les nouveaux ajouts, que je tienne la liste à jour Et merci à celles et ceux qui passent du temps sur les retranscriptions

Lulu
Au cimetière des amours
P'tit bout d'paradis
Les amours mortes
Ma Gueule De Terroriste
Notre-Dame Mélancolie
Si
Ma putain du show-biz
En bords de Seine
Guantánamo
Matins de neige
Ma gueule
Putain ma vie
Pleure pas bébé
Pierrot
Matins de pluie
En Sangre

Et aussi celles fournies sur CCC :
Bonnie
Mon Européenne
Rue d'la soif
Chateau de Brume




--------------------------------------------------
Bonjour à tous!

Voici les paroles de Peuple Manifestant. N'hésitez pas à me corriger s'il y a des erreurs

Bonne journée!

J’ai lu ton tweet mon camarade, suppôt des multinationales
Putain mon vieux t’es mal tombé, tu m’en veux pas j’vais pas tweeter
C’est bien tenté, bien essayé, avec tes potes collaborants
Oui d’essayer de faire passer, pour des fous les indépendants
Je suis du peuple travailleur, j’suis pas du showbiz à quatre pattes
Avec moi les fils du labeur, ceux qui font pousser des tomates
Ceux qui en ont marre de s’faire baiser par les rois de l’intermédiaire
Par tous ces gens-là qui ne créent sûr autour d’eux que la misère
Merci bien mon monsieur, mais non merci toi mon bon maître
Fais attention les miséreux un jour pourraient couper des têtes
A force de faire pisser les yeux de mon populaire, ouais t’en veux ?
Alors mon vieux j’vais t’en donner de quoi parler dans tes papiers
T’as lu la presse puisqu’il parait on parle de moi dans les torchons
Des foires à bobos pour camés qui vient paver son p’tit rebond
Pour avoir son p’tit truc à dire, pour mentir aux populations
Oui bien sûr avec les sourires du temps des collaborations
A écouter les journalismes, et tous les avocats des notables,
Les concessionnaires du fascisme, ça y’a du fric dessous la table
Ah ouais c’est sûr y a du média pour aller défendre pognon
Tu sais tous ces gens-là qui paient publicités dans les torchons
Moi je resterai poing levé du peuple des indépendants
Moi j’y peux rien si je suis né du peule des manifestants
Faut boycotter collaborants, puis faut protéger nos cultures
Puisqu’ils viennent violer nos champs, piétiner nos littératures
Puisque mon cœur est compagnon de ces gens-là le poing levé
Toujours en moi l’insoumission contre les maîtres des progrès
Je resterai le paysan sur l’établi et sur le papier
Contre les macros du pognon, contre les rois des enculés

La société t’es pas contente quand on te traite de vieille salope
Tu trouves vulgaire les mots d’en bas, attends va y j’m’allume une clope
J’vais t’raconter un peu d’ici la gueule que t’as pour la misère
Tous les quotidiens du cercueil à la fin du mois qui galère :
Agriculteurs prêts au suicide, instituteurs en dépression
Toujours pour nourrir les avides du grand culte consommation
Educ’ spé les mains dans la suie pour t’éviter les rébellions
Faudrait pas trop que les ordures remontent trop au nez du pognon
Peuple de collèges, de lycées, laissés au porno et au joint
Ouais mais t’as raison société, valait mieux enlever le latin
Ouais puis surtout dans cette époque où chacun cherche une origine
Vaut mieux réformer l’orthographe, oublier les gréco latines
Ben ouais la Grèce, Société, tu sais le berceau des cultures
Le pays d’où viennent tes musées puis d’où vient ta littérature
Non toi tu préfères la saigner pour enrichir sur les bancaires
Non toi tu paries sur des dettes pour mieux saigner les ouvrières
Non sont mieux avec leurs Iphone pour les éduquer à la thune
Les progénitures des misères de ceux qui n’feront jamais fortune
Ca licencie des ouvriers, ça fait des peuples de chômeurs
Qu’est-ce que t’en dis, toi paysan ? Qu’est-ce que t’en dis, toi travailleur ?
Ca prend sa comm puis ça vous chie sur tous les champs de nos cultures
Sûr y a du média pour vous dire qu’on n’est pas sous la dictature
Démocratie enfantée ouais du fascisme consommant
Puisqu’ici il n’est de sacré oui que la couleur de l’argent
Puis tu crois qu’y’aurait politique pour protéger les populaires ?
Non ils préfèrent faire des tweets pour divertir la ménagère
Pour eux la culture c’est sucer les p’tites ricaines stars de ciné
C’est pas pour le prix des tomates, c’est pas pour le cœur ouvrier
Dessinateurs assassinés, des salles de concert en charnier
Puis t’as qu’à voir un peu les feux d’artifices au 14 juillet
Mais ça va t’envoyer des bombes ouais pour flinguer l’ami syrien
Quand y a du pétrole faut qu’ça tombe sur des pays pauvres, des gamins
Et continuent les attentats et continue la propagande
Pour les soupes opéra du soir, puisque le peuple en redemande

Entre les pestes, les choléras, sûr prolifère la pourriture
De ces tristes pays perdus qui pissent eux même sur leur culture
Qui violent eux-mêmes leur histoire puis qui vont t’parler d’identité
Pour passer deux ans dans le rue pour ou contre le mariage gay
Puis y’a Karim ouais qui galère, tu sais juste pour s’trouver un toit
Tu sais pour les délits de faciès, nous on attend toujours tes lois
Ouais je sais c’est dur à rentrer dans ton p’tit cerveau Société
Mais faudra bien qu’tu te foutes dans le crâne qu’Ahmed est un prénom français
Y’a pas à dire ma Société, t’as raison t’es pas une salope
T’es une grande dame, puis t’as raison, il vaut mieux interdire la clope
Continues comme ça mon pays
Puis t’as qu’à voir de l’autre côté de la manche ou bien de l’Atlantique à quoi ils nous mènent tes progrès
Du Brexit ou bien des ricains l’humanisme à l’Anglo-Saxonne
Ceux qui bombardent des pays pour vous vendre des téléphones
Ouais mais le peuple il est content, ouais d’avoir vendu ses enfants
Contre un peu de calme au diner et puis les singes aiment bien cliquer.
Peuple d’écolières d’écoliers, putain qu’on à laisser violer
Oui par des peuples d’enculés, sûr de la Silicon Valley
Ceux qui censurent les paires de seins pour mettre des guerres en direct
Ben ouais mon vieux chez les mondains ça fait du blé quand tu t’connectes
Mais toi t’es pas collaborant, oh non ouais toi t’es révolté
Quand le printemps viendra mon frère, on sait pour qui t’ira voter

Et puis les autres, les p’tits médias, raconter n’importe quoi
Faudrait surtout pas remettre en cause c’est sur le p’tit confort bourgeois
Qui pourrait ouais t’en inventer, une vie pour écrire à ta place
Ah ouais mais non, ça c’est déjà plus difficile à mettre en place
« Parait qu’il a pété les plombs, non mais ses chansons divulguées
En mp3 les littéraires
Ouais ben alors ! La belle affaire !
Ya pas de quoi en chier une pendule !
Et puis t’as vu il a dit salope !
Puis paraît même qu’en concert boit du whisky, fume des clopes »
Mais fermes là, quand on sait pas de quoi on parle on ferme sa gueule
T’as cru qu’on était un troupeau ou bien qu’on était pote ma gueule ?
Toi la cynico-responsable je crois ma vieille d’où on en est
Tu fous la honte à ton pays, tu l’as dis relis tes papiers
Ces gens qui parlent sans savoir, qui préfèrent les concerts anglais
Ah ouais c’est sûr la propagande préfère les chanteurs versaillais
Puis d’un p’tit ton condescendant, mais t’as pas honte triste vendu
D’aller défendre le pognon qui prend ta culture par le cul ?
Ah non c’est vrai c’est pas la tienne
Toi tu vends des publicités dans ton p’tit journal démago
Puis les patrons faut les sucer
Non mais t’as rêver ma salope, je crois qu’tu t’es gourée de trottoir
J’suis pas de celles qui vont tapiner pour aller vendre un accessoire
Rends toi utile à quelque chose, tiens renvoies moi un exemplaire
Tu sais ça m’servira toujours pour me torcher les soirs de bière
C’est sûr y’a ceux qui font des tweets, puis ceux qui font des littéraires
Aller retournes sur Instagram pour mettre tes photos de soirées
Voilà 20 ans putain que ça dure entre les radios les télés
Au gré des affiches de métro, des artisanats censurés
Société des consommations aime pas les filles dans les caddies
Mais sûr aime la prostitution, mp3, les poésies
Vas-y remballes la marchandise, ouais va te trouver d’autres putains
Et si ma petite entreprise connaît la crise, elle serre le poing
Et ouais j’aime pas baisser mon froc, je sais mon vieux c’est pas l’époque
Mais qu’est-ce que tu veux j’y peux rien, j’suis difficile à mettre en cloque
Non moi je fais pas dans l’pathétique des démocraties des MacBook
Moi je me torche avec ton tweet puis ton communiqué Facebook
Sur son Insta l’Humanité à la gueule des cuvettes de chiottes
Société m’en veux pas tu sais j’aime pas trop baisser ma culotte
Les états d’urgence pour asseoir, ah ouais c’est sur tous les pouvoirs
Des drapeaux des peuples oppression toujours la sodomi-nation

C’est l’évolution inversée l'humain retourne au chimpanzé
Peuple télé-réalité, des prolos en photo de soirée
Peuple c’est sûr pour sa retraite toujours prêt à manifester
Pour aller sauver la planète, pour le climat, en jet privé
Peuple clodo sur les avenues, peuple des comptes au Panama
Peuple préfère rester cocu, peuple préfère tweeter je crois
Peuple descend pas dans la rue pour les chômeurs, pour les clodos
Le peuple aime bien donner son cul, ils ont ça dans l’sang les collabos
Des millions par milliers, allez applaudir les DJ
Des millions pour aller voter toujours pour les mêmes enculés
Des millions pour gagner sa place, pourritures dans les charniers
Des millions pour aller prêcher, des millions pour aller prier
Des millions dans des stades, oui pour voir un ballon rouler
Des millions d’chômeurs camarades, y a que les millions qui font rêver
Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres
Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres

Aller peuple manifestant, vas-y ramènes moi l’échafaud
Des radios de merde à gogo surtout pour abreuver les ghettos
Peuple de bloggeurs illettrés, peuple d’abrutis débinés du cerveau
Peuple tatoué, putain mon vieux c’est pas gagné
Peuple d’animateurs télé, y’a du people à l’Elysée
Peuple bobo, peuple bourgeois, populaires retenez-moi
Et puisque tout ça finira un jour sur l’échafaud je crois
A la merde que fait la France, faudrait rétablir la potence
Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres

Euh quelqu'un pourrait m'aider à combler les trous ..? Et éventuellement me corriger si j'ai fait des erreurs.. A la fin ya des choses que je n'arrive pas à entendre/comprendre... (Et oui, oui, j'ai que ça à faire... :) ) J'ai lu ton tweet mon camarade, suppôt des multinationales Putain mon vieux t'es mal tombé, tu m'en veux pas j'vais pas tweeter C'est bien tenté, bien essayé, avec tes potes collaborants Oui d'essayer de faire passer pour des fous les indépendants Je suis du peuple travailleur, j'suis pas du show-biz à quatre pattes Avec moi les fils du labeur, ceux qui font pousser des tomates Ceux qui en ont marre de se faire baiser par les rois de l'intermédiaire Tous ces gens-là qui ne créent sûr autour d'eux que la misère Merci bien mon monsieur, mais non merci toi mon bon maître Puis attention les miséreux un jour pourraient couper des têtes A force de faire pisser les yeux.. De mon populaire ouais t'en veux ? Alors mon vieux j'vais t'en donner de quoi parler dans tes papiers T'as lu la presse puisqu'il paraît on parle de moi dans les torchons Des foires à bobos pour camés qui vient paver son p'tit rebond Pour avoir son p'tit truc à dire, pour mentir aux populations Pis bien sûr avec les sourires du temps des collaborations A écouter les journalismes, tous les avocats des notables Les concessionnaires du fascisme, ça ya du fric dessous la table Ah ouais c'est sûr ya du média pour aller défendre pognon Tu sais tous ces gens-là qui paient, publicités dans les torchons Moi je resterai poing levé du peuple des indépendants Moi j'y peux rien si je suis né du peuple des Manifestants Faut boycotter collaborants, pis faut protéger nos cultures Puisqu'ils viennent violer nos champs, piétiner nos littératures Puisque mon cœur est compagnon de ces gens-là le poing levé Toujours en moi l'insoumission contre les maîtres des progrès Je resterai le paysan, sur l'établi, sur le papier Contre les macros du pognon, contre les rois des enculés La Société t'es pas contente quand on te traite de vieille salope Tu trouves vulgaires les mots d'en-bas, attends vas-y j'm'allume une clope J'vais t'raconter un peu d'ici la gueule que t'as pour la misère Tous les quotidiens des cercueils à la fin du mois qui galèrent Agriculteurs prêts au suicide, instituteurs en dépression Toujours pour nourrir les avides du grand culte Consommation Educs-spé, les mains dans la suie, pour t'éviter les rebellions Faudrait pas trop que les ordures remontent trop au nez du pognon Peuple de collège, de lycée, laissé aux pornos et aux joints Ouais mais t'as raison Société, valait mieux enlever le Latin Ouais pis surtout dans cette époque où chacun cherche une origine Pour mieux réformer l'orthographe, oublier les gréco-latines Bah ouais la Grèce ma Société, tu sais le berceau des cultures Le pays d'où viennent tes musées puis d'où vient ta littérature Non toi tu préfères la saigner pour enrichir sûr les banquières Non toi tu paries sur des dettes pour mieux saigner les ouvrières Non ils sont mieux avec leur I-Phone pour les éduquer à la thune Les progénitures des misères de ceux qui feront jamais fortune Ça licencie des ouvriers, ça fait des peuples de chômeurs Qu'est-ce que t'en dis toi paysan, qu'est-ce que t'en dis toi travailleur Ça prend ça-comme pis ça vous chie sur tous les champs de nos cultures Sûr ya du média pour vous dire qu'on est pas sur la dictature Démocratie enfantée ouais du fascisme consommant Puisqu'ici il n'est de sacré, ouais que la couleur de l'argent Pis tu crois que y'aurait politiques pour protéger les populaires Non ils préfèrent faire des tweets pour divertir la ménagère Pour eux la culture c'est sucer les p'tites riquaines, stars du ciné C'est pas pour le prix des tomates, c'est pas pour le cœur ouvrier Dessinateurs assassinés, des salles de concert en charnier Pis t'as qu'à voir un peu les feux d'artifices au 14 juillet Mais ça va t'envoyer des bombes, ouais pour flinguer l'ami syrien Quand ya du pétrole faut qu'ça tombe, sur des pays pauvres, des gamins Et continuent les attentats, et continue la propagande Pour les soupes-opéra du soir, puisque le peuple en redemande Entre les pestes, les choléras, sûr prolifère la pourriture De ces tristes pays perdus qui pissent eux-mêmes sur leur culture Qui violent eux-mêmes ouais leur Histoire, pis qui vont te parler d'identité Pour passer deux ans dans la rue, pour ou contre le mariage gay Pis ya Karim ouais qui galère tu sais juste pour se trouver un toit Tu sais pour les délits de faciès nous on attend toujours tes lois Ouais je sais c'est dur à rentrer dans ton p'tit cerveau Société Mais faudra bien que tu t'foutes dans le crâne qu'Ahmed est un prénom français Ya pas à dire ma Société, t'as raison t'es pas une salope T'es une grande dame, pis t'as raison oui vaut mieux interdire la clope Continue comme ça mon pays, puis t'as qu'à voir de l'autre côté D'la Manche ou bien de l'Atlantique, à quoi ils mènent tes progrès Du Brexit ou bien des Riquains, l'humanisme à anglo-saxonne Ceux qui bombardent des pays pour vous vendre des téléphones Ouais mais le peuple il est content, ouais d'avoir vendu ses enfants Contre un peu de calme au dîner, et puis les singes aiment bien cliquer Peuple d'écolières, d'écoliers, putain qu'on a laissé violer Par des peuples d'enculés, sûr de la Silicon-Valley Ceux qui censurent les paires de seins pour mettre des guerres en direct Bah ouais mon vieux chez les mondains ça fait du blé quand tu t'connectes Mais toi t'es pas collaborant, ah ouais non toi t'es révolté Quand le Printemps viendra mon frère, on sait pour qui t'iras voter Et puis les autres, les p'tits médias, à raconter n'importe quoi Faudrait sûrement pas remettre en cause c'est sûr le p'tit confort bourgeois Qui pourrait ouais t'en inventer une vie pour écrire à ta place Ah ouais mais non ça c'est déjà plus difficile à mettre en place "Paraît qu'il a pété les plombs", "Non mais ses chansons divulguées", "En mp3 les littéraires", "Ouais beh alors, la belle affaire", "Ya pas d'quoi en chier une pendule", "Pis t'as vu il a dit "salope ! "" "Puis paraît même qu'en concert, il boit du whisky, il fume des clopes" Mais ferme-la, quand on sait pas on ferme sa gueule T'as cru qu'on était un troupeau, ou bien qu'on étaient potes ma gueule Toi la cynico-responsable je crois ma vieille d'où on en est Tu fous la honte à ton pays, tu l'as dit relis tes papiers Ces gens qui parlent sans savoir, qui préfèrent les concerts anglais Ah ouais c'est sûr la propagande préfère les chanteurs versaillais Puis d'un p'tit ton condescendant "Mais t'as pas honte triste vendu, D'aller défendre le pognon qui prend ta culture par le cul" Ah non c'est vrai c'est pas la tienne, toi tu vends des publicités Dans ton p'tit journal démago, pis les patrons faut les sucer Non mais t'as rêvé ma salope, je crois qu'tu t'es gouré de trottoir J'suis pas d'celles qui vont tapiner pour aller vendre un accessoire Rends-toi utile à quelque chose, pis envoie-moi un exemplaire Tu sais ça m'servira toujours pour me torcher les soirs de bières C'est sûr ya ceux qui font des tweets, puis ceux qui font des littéraires Allez retourne sur Instagram pour mettre tes photos d'soirée Voilà 20 ans putain qu'ça dure, entre les radios et les télés Au gré des affiches de métro, des artisanats censurés Société des consommations aime pas les filles dans les caddies Mais sûr aime la prostitution, en mp3 les poésies Vas-y remballe la marchandise, ouais va t'trouver d'autres putains Et si ma petite entreprise connaît la crise, elle serre le poing Eh ouais j'aime pas baisser mon froc, je sais mon vieux c'est pas l'époque Mais qu'est-ce que tu veux j'y peux rien, j'suis difficile à mettre encloque Non moi j'fais pas dans l'pathétique des démocraties des MacBook Moi je me torche avec ton tweet, puis ton communiqué Facebook Sur son Insta l'humanité à la gueule des cuvettes de chiottes Société m'en veux pas tu sais, j'aime pas trop baisser ma culotte Les états d'urgence pour un soir, ah ouais c'est sûr tous les pouvoirs Des drapeaux des peuples, oppression, toujours la sodomination C'est l'évolution inversée, l'Humain retourne au chimpanzée Peuple de télé-réalité, des prolos en photos de soirée Peuple c'est sûr pour sa retraite, toujours prêt à manifester Pour aller sauver la planète, pour le climat en jet privé Peuple clodo sur les avenues, peuple des cons de Panama Peuple préfère rester cocu, peuple préfère quitter je crois Peuple des 100 pas dans la rue, pour les chômeurs, pour les clodos Le peuple aime bien donner son cul, ils ont ça dans le sang les collabos Des millions par millier, allez (..???) Des millions pour aller voter, toujours pour les mêmes enculés Des millions pour gagner sa place de pourriture dans les charniers Des millions pour aller prêcher, des millions pour aller prier Des millions dans des stades, oui pour voir un ballon rouler Des millions c'est mort camarade, ya qu'les millions qui font rêver Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres Allez peuple manifestants vas-y ramène-moi l'échafaud Des radios de merde à gogo, sûr pour abreuver les ghettos Peuple de blogueurs illettrés, peuple d'abrutis, d'épilés du cerveau Peuple tatoué, putain mon vieux c'est pas gagné Peuple d'animateurs télé, ya du people à l'Elysée Peuple bobo, peuple bourgeois, (mais populaires retenez-moi ??) (???) .. tout ça finira un jour sur l’échafaud je crois A la merde que fait la France, faudrait (retaper??) la potence Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres....
éva Il y a 7 ans

Euh quelqu'un pourrait m'aider à combler les trous ..? Et éventuellement me corriger si j'ai fait des erreurs.. A la fin ya des choses que je n'arrive pas à entendre/comprendre...
(Et oui, oui, j'ai que ça à faire... )


J'ai lu ton tweet mon camarade, suppôt des multinationales
Putain mon vieux t'es mal tombé, tu m'en veux pas j'vais pas tweeter
C'est bien tenté, bien essayé, avec tes potes collaborants
Oui d'essayer de faire passer pour des fous les indépendants
Je suis du peuple travailleur, j'suis pas du show-biz à quatre pattes
Avec moi les fils du labeur, ceux qui font pousser des tomates
Ceux qui en ont marre de se faire baiser par les rois de l'intermédiaire
Tous ces gens-là qui ne créent sûr autour d'eux que la misère
Merci bien mon monsieur, mais non merci toi mon bon maître
Puis attention les miséreux un jour pourraient couper des têtes
A force de faire pisser les yeux.. De mon populaire ouais t'en veux ?
Alors mon vieux j'vais t'en donner de quoi parler dans tes papiers

T'as lu la presse puisqu'il paraît on parle de moi dans les torchons
Des foires à bobos pour camés qui vient paver son p'tit rebond
Pour avoir son p'tit truc à dire, pour mentir aux populations
Pis bien sûr avec les sourires du temps des collaborations
A écouter les journalismes, tous les avocats des notables
Les concessionnaires du fascisme, ça ya du fric dessous la table
Ah ouais c'est sûr ya du média pour aller défendre pognon
Tu sais tous ces gens-là qui paient, publicités dans les torchons
Moi je resterai poing levé du peuple des indépendants
Moi j'y peux rien si je suis né du peuple des Manifestants
Faut boycotter collaborants, pis faut protéger nos cultures
Puisqu'ils viennent violer nos champs, piétiner nos littératures
Puisque mon cœur est compagnon de ces gens-là le poing levé
Toujours en moi l'insoumission contre les maîtres des progrès
Je resterai le paysan, sur l'établi, sur le papier
Contre les macros du pognon, contre les rois des enculés

La Société t'es pas contente quand on te traite de vieille salope
Tu trouves vulgaires les mots d'en-bas, attends vas-y j'm'allume une clope
J'vais t'raconter un peu d'ici la gueule que t'as pour la misère
Tous les quotidiens des cercueils à la fin du mois qui galèrent
Agriculteurs prêts au suicide, instituteurs en dépression
Toujours pour nourrir les avides du grand culte Consommation
Educs-spé, les mains dans la suie, pour t'éviter les rebellions
Faudrait pas trop que les ordures remontent trop au nez du pognon
Peuple de collège, de lycée, laissé aux pornos et aux joints
Ouais mais t'as raison Société, valait mieux enlever le Latin
Ouais pis surtout dans cette époque où chacun cherche une origine
Pour mieux réformer l'orthographe, oublier les gréco-latines
Bah ouais la Grèce ma Société, tu sais le berceau des cultures
Le pays d'où viennent tes musées puis d'où vient ta littérature
Non toi tu préfères la saigner pour enrichir sûr les banquières
Non toi tu paries sur des dettes pour mieux saigner les ouvrières
Non ils sont mieux avec leur I-Phone pour les éduquer à la thune
Les progénitures des misères de ceux qui feront jamais fortune

Ça licencie des ouvriers, ça fait des peuples de chômeurs
Qu'est-ce que t'en dis toi paysan, qu'est-ce que t'en dis toi travailleur
Ça prend ça-comme pis ça vous chie sur tous les champs de nos cultures
Sûr ya du média pour vous dire qu'on est pas sur la dictature
Démocratie enfantée ouais du fascisme consommant
Puisqu'ici il n'est de sacré, ouais que la couleur de l'argent
Pis tu crois que y'aurait politiques pour protéger les populaires
Non ils préfèrent faire des tweets pour divertir la ménagère
Pour eux la culture c'est sucer les p'tites riquaines, stars du ciné
C'est pas pour le prix des tomates, c'est pas pour le cœur ouvrier
Dessinateurs assassinés, des salles de concert en charnier
Pis t'as qu'à voir un peu les feux d'artifices au 14 juillet
Mais ça va t'envoyer des bombes, ouais pour flinguer l'ami syrien
Quand ya du pétrole faut qu'ça tombe, sur des pays pauvres, des gamins
Et continuent les attentats, et continue la propagande
Pour les soupes-opéra du soir, puisque le peuple en redemande
Entre les pestes, les choléras, sûr prolifère la pourriture
De ces tristes pays perdus qui pissent eux-mêmes sur leur culture
Qui violent eux-mêmes ouais leur Histoire, pis qui vont te parler d'identité
Pour passer deux ans dans la rue, pour ou contre le mariage gay
Pis ya Karim ouais qui galère tu sais juste pour se trouver un toit
Tu sais pour les délits de faciès nous on attend toujours tes lois
Ouais je sais c'est dur à rentrer dans ton p'tit cerveau Société
Mais faudra bien que tu t'foutes dans le crâne qu'Ahmed est un prénom français

Ya pas à dire ma Société, t'as raison t'es pas une salope
T'es une grande dame, pis t'as raison oui vaut mieux interdire la clope
Continue comme ça mon pays, puis t'as qu'à voir de l'autre côté
D'la Manche ou bien de l'Atlantique, à quoi ils mènent tes progrès
Du Brexit ou bien des Riquains, l'humanisme à anglo-saxonne
Ceux qui bombardent des pays pour vous vendre des téléphones
Ouais mais le peuple il est content, ouais d'avoir vendu ses enfants
Contre un peu de calme au dîner, et puis les singes aiment bien cliquer
Peuple d'écolières, d'écoliers, putain qu'on a laissé violer
Par des peuples d'enculés, sûr de la Silicon-Valley
Ceux qui censurent les paires de seins pour mettre des guerres en direct
Bah ouais mon vieux chez les mondains ça fait du blé quand tu t'connectes
Mais toi t'es pas collaborant, ah ouais non toi t'es révolté
Quand le Printemps viendra mon frère, on sait pour qui t'iras voter

Et puis les autres, les p'tits médias, à raconter n'importe quoi
Faudrait sûrement pas remettre en cause c'est sûr le p'tit confort bourgeois
Qui pourrait ouais t'en inventer une vie pour écrire à ta place
Ah ouais mais non ça c'est déjà plus difficile à mettre en place
"Paraît qu'il a pété les plombs", "Non mais ses chansons divulguées",
"En mp3 les littéraires", "Ouais beh alors, la belle affaire",
"Ya pas d'quoi en chier une pendule", "Pis t'as vu il a dit "salope ! ""
"Puis paraît même qu'en concert, il boit du whisky, il fume des clopes"
Mais ferme-la, quand on sait pas on ferme sa gueule
T'as cru qu'on était un troupeau, ou bien qu'on étaient potes ma gueule
Toi la cynico-responsable je crois ma vieille d'où on en est
Tu fous la honte à ton pays, tu l'as dit relis tes papiers
Ces gens qui parlent sans savoir, qui préfèrent les concerts anglais
Ah ouais c'est sûr la propagande préfère les chanteurs versaillais
Puis d'un p'tit ton condescendant "Mais t'as pas honte triste vendu,
D'aller défendre le pognon qui prend ta culture par le cul"
Ah non c'est vrai c'est pas la tienne, toi tu vends des publicités
Dans ton p'tit journal démago, pis les patrons faut les sucer
Non mais t'as rêvé ma salope, je crois qu'tu t'es gouré de trottoir
J'suis pas d'celles qui vont tapiner pour aller vendre un accessoire
Rends-toi utile à quelque chose, pis envoie-moi un exemplaire
Tu sais ça m'servira toujours pour me torcher les soirs de bières
C'est sûr ya ceux qui font des tweets, puis ceux qui font des littéraires
Allez retourne sur Instagram pour mettre tes photos d'soirée
Voilà 20 ans putain qu'ça dure, entre les radios et les télés
Au gré des affiches de métro, des artisanats censurés
Société des consommations aime pas les filles dans les caddies
Mais sûr aime la prostitution, en mp3 les poésies
Vas-y remballe la marchandise, ouais va t'trouver d'autres putains
Et si ma petite entreprise connaît la crise, elle serre le poing
Eh ouais j'aime pas baisser mon froc, je sais mon vieux c'est pas l'époque
Mais qu'est-ce que tu veux j'y peux rien, j'suis difficile à mettre encloque
Non moi j'fais pas dans l'pathétique des démocraties des MacBook
Moi je me torche avec ton tweet, puis ton communiqué Facebook

Sur son Insta l'humanité à la gueule des cuvettes de chiottes
Société m'en veux pas tu sais, j'aime pas trop baisser ma culotte
Les états d'urgence pour un soir, ah ouais c'est sûr tous les pouvoirs
Des drapeaux des peuples, oppression, toujours la sodomination

C'est l'évolution inversée, l'Humain retourne au chimpanzée
Peuple de télé-réalité, des prolos en photos de soirée
Peuple c'est sûr pour sa retraite, toujours prêt à manifester
Pour aller sauver la planète, pour le climat en jet privé
Peuple clodo sur les avenues, peuple des cons de Panama
Peuple préfère rester cocu, peuple préfère quitter je crois
Peuple des 100 pas dans la rue, pour les chômeurs, pour les clodos
Le peuple aime bien donner son cul, ils ont ça dans le sang les collabos
Des millions par millier, allez (..???)
Des millions pour aller voter, toujours pour les mêmes enculés
Des millions pour gagner sa place de pourriture dans les charniers
Des millions pour aller prêcher, des millions pour aller prier
Des millions dans des stades, oui pour voir un ballon rouler
Des millions c'est mort camarade, ya qu'les millions qui font rêver
Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres
Allez peuple manifestants vas-y ramène-moi l'échafaud
Des radios de merde à gogo, sûr pour abreuver les ghettos
Peuple de blogueurs illettrés, peuple d'abrutis, d'épilés du cerveau
Peuple tatoué, putain mon vieux c'est pas gagné
Peuple d'animateurs télé, ya du people à l'Elysée
Peuple bobo, peuple bourgeois, (mais populaires retenez-moi ??)
(???) .. tout ça finira un jour sur l’échafaud je crois
A la merde que fait la France, faudrait (retaper??) la potence
Des millions de pauvres, des millions de pauvres, des millions de pauvres....

pssst y a un texte qui pourrait t'aider page 3 de ce topic ;)
Eléa Il y a 7 ans

pssst y a un texte qui pourrait t'aider page 3 de ce topic

[quote="Eléa"]pssst y a un texte qui pourrait t'aider page 3 de ce topic ;)[/quote] Ah bah oui bah d'accord.. j'étais dans mon bidule et j'ai rien vu... Haha.. bande de tarés, me voilà rassurée. ....... En tout cas merci.. Je note la pertinence de "peuple de comptes au Panama" et non pas "cons" :) Je maintiens mon "peuple d'abrutis, d'ÉPILÉS.. du cerveau" :D Aussi "Peuple préfère rester cocu, peuple préfère QUITTER je crois" et non pas tweeter. . (?) Et, "au gré des affiches de métro, des ARTISANATS censurés" A plusieurs cerveaux on y arrive.. 😊
éva Il y a 7 ans

pssst y a un texte qui pourrait t'aider page 3 de ce topic

Ah bah oui bah d'accord.. j'étais dans mon bidule et j'ai rien vu...
Haha.. bande de tarés, me voilà rassurée. .......

En tout cas merci.. Je note la pertinence de "peuple de comptes au Panama" et non pas "cons"
Je maintiens mon "peuple d'abrutis, d'ÉPILÉS.. du cerveau"
Aussi "Peuple préfère rester cocu, peuple préfère QUITTER je crois" et non pas tweeter. . (?)
Et, "au gré des affiches de métro, des ARTISANATS censurés"

A plusieurs cerveaux on y arrive.. 😊

J'ai lu ton tweet mon camarade Suppôt des multinationales Putain mon vieux t'es mal tombé Tu m'en veux pas j'vais pas tweeter C'est bien tenté bien essayé Avec tes potes collaborants Ouais d'essayer de faire passer Pour des fous les indépendants Je suis du peuple travailleur J'suis pas du show-biz à quat' pattes Avec moi les fils du labeur Ceux qui font pousser des tomates Ceux qui en ont marre de s'faire baiser Par les rois de l'intermédiaire Par tous ces gens-là qui ne créent Sûr autour d'eux que la misère Merci bien mon monsieur Mais non merci toi mon bon maître Fais attention les miséreux Un jour pourraient couper des têtes À force de faire pisser les yeux De mon populaire ouais t'en veux Alors mon vieux j'vais t'en donner De quoi parler dans tes papiers T'as lu la presse puisqu'il paraît On parle de moi dans les torchons Des foires à bobos pour camés Qui vient paver son p'tit rebond Pour avoir son p'tit truc à dire Pour mentir aux populations Mais bien sûr avec les sourires Du temps des collaborations À écouter les journalismes Tous les avocats des notables Les concessionnaires du fascisme Ça y a du fric dessous la table Ah ouais c'est sûr y a du média Pour aller défendre pognon Tu sais tous ces gens-là qui paient Publicités dans les torchons Moi je resterai poing levé Du peuple des indépendants Moi j'y peux rien si je suis né Du peuple des manifestants Faut boycotter collaborants Puis faut protéger nos cultures Puisqu'ils viennent violer nos champs Piétiner nos littératures Puisque mon cœur est compagnon De ces gens-là le poing levé Toujours en moi l'insoumission Contre les maîtres des progrès Je resterai le paysan Sur l'établi sur le papier Contre les maquereaux du pognon Contre les rois des enculés La société t'es pas contente Quand on te traite de vieille salope Tu trouves vulgaires les mots d'en bas Attends vas-y j'm'allume une clope J'vais t'raconter un peu d'ici La gueule que t'as pour la misère Tous les quotidiens de cercueils À la fin du mois qui galèrent Agriculteurs prêts au suicide Instituteurs en dépression Toujours pour nourrir les avides Du grand culte consommation Éducs-spé les mains dans la suie Pour t'éviter les rébellions Faudrait pas trop qu'les ordures Remontent trop au nez du pognon Peuple de collège de lycée Laissé aux pornos et aux joints Ouais mais t'as raison société Valait mieux enlever le latin Ouais pis surtout dans cette époque Où chacun cherche une origine Pour mieux réformer l'orthographe Oublier les gréco-latines Bah ouais la Grèce ma société Tu sais le berceau des cultures Le pays d'où viennent tes musées Puis d'où vient ta littérature Non toi tu préfères la saigner Pour enrichir sur les banquières Non toi tu paries sur des dettes Pour mieux saigner les ouvrières Non sont mieux avec leur iPhone Pour les éduquer à la thune Les progénitures des misères De ceux qui f'ront jamais fortune Ça licencie les ouvriers Ça fait des peuples de chômeurs Qu'est-ce que t'en dis toi paysan Qu'est-ce que t'en dis toi travailleur Ça prend sa com puis ça vous chie Sur tous les champs de nos cultures Sûr y a du média pour vous dire Qu'on est pas sur la dictature Démocratie enfantée Ouais du fascisme consommant Puisqu'ici il n'est de sacré Oui que la couleur de l'argent Pis tu crois qu'y aurait politique Pour protéger les populaires Non ils préfèrent faire des tweets Pour divertir la ménagère Pour eux la culture c'est sucer Les p'tites ricaines stars de ciné C'est pas pour le prix des tomates C'est pas pour le cœur ouvrier Dessinateurs assasinés Des salles de concerts en charniers Puis t'as qu'à voir un peu les feux D'artifices au 14 juillet Mais ça va t'envoyer des bombes Ouais pour flinguer l'ami syrien Quand y a du pétrole faut qu'ça tombe Sur des pays pauvres des gamins Et continuent les attentats Et continue la propagande pour les soupes opéra du soir Puisque le peuple en redemande Entre les pestes et choléras Sûr prolifère la pourriture De ces tristes pays perdus Qui pissent eux-même sur leur culture Qui violent eux-même ouais leur histoire Puis qui vont t'parler d'identité Pour passer deux ans dans la rue Pour ou contre le mariage gay Puis y a Karim ouais qui galère Tu sais juste pour s'trouver un toit Tu sais pour les délits de faciès Nous on attend toujours tes lois Ouais je sais c'est dur à rentrer Dans ton p'tit cerveau société Mais faudra bien qu'tu t'foutes dans l'crâne Qu'Ahmed est un prénom français Y a pas à dire ma société T'as raison t'es pas une salope T'es une grande dame puis t'as raison Il vaut mieux interdire la clope Continue comme ça mon pays Puis t'as qu'à voir de l'autre côté D'la Manche ou bien de l'Atlantique À quoi ils nous mènent tes progrès Du Brexit ou bien des ricains L'humanisme à l'anglo-saxonne Ceux qui bombardent des pays Pour vous vendre des téléphones Ouais mais le peuple il est content Ouais d'avoir vendu ses enfants Contre un peu de calme au diner Et puis les singes aiment bien cliquer Peuple d'écolières d'écoliers Putain qu'on a laissé violer Ouais par des peuples d'enculés Sûr de la Silicon Valley Ceux qui censurent les paires de seins Pour mettre des guerres en direct Ben ouais mon vieux chez les mondains Ça fait du blé quand tu t'connectes Mais toi t'es pas collaborant Oh non ouais toi t'es révolé Quand le printemps viendra mon frère On sait pour qui t'iras voter Et puis les autres les p'tits médias Racontez n'importe quoi Faudrait surtout pas remettre en cause C'est sûr le p'tit confort bourgeois Qui pourrait ouais t'en inventer Une vie pour écrire à ta place Ah ouais mais non ça c'est déjà Plus difficile à mettre en place Paraît qu'il a pété les plombs Non mais ses chansons divulguées En mp3 les littéraires Ouais ben alors la belle affaire Y a pas d'quoi en chier une pendule Puis t'as vu il a dit salope Puis paraît même qu'en concert Boit du whisky fume des clopes Mais ferme-la quand on sait pas De quoi en parle on ferme sa gueule T'as cru qu'on était un troupeau Ou bien qu'on était pote ma gueule Toi la cynico-responsable Je crois ma vieille d'où on en est Tu fous la honte à ton pays Tu l'as dit relis tes papiers Ces gens qui parlent sans savoir Qui préfèrent les concerts anglais Ah ouais c'est sûr la propagande Préfère les chanteurs versaillais Puis d'un p'tit ton condescendant Mais t'as pas honte triste vendu D'aller défendre le pognon Qui prend ta culture par le cul Ah non c'est vrai c'est pas la tienne Toi tu vends des publicités Dans ton p'tit journal démago Puis les patrons faut les sucer Non mais t'as rêvé ma salope Je crois qu'tu t'es gouré d'trottoir J'suis pas d'celles qui vont tapiner Pour aller vendre un accessoire Rends-toi utile à quelque chose Sûr envoie-moi un exemplaire Tu sais ça m'servira toujours Pour me torcher les soirs de bière C'est sûr y a ceux qui font des tweets Puis ceux qui font des littéraires Allez retourne sur Instagram Pour mettre tes photos d'soirée Voilà 20 ans putain qu'ça dure Entre les radios et les télés Au gré des affiches de metro Des artisanats censurés Société des consommations Aime pas les filles dans les caddies Mais sûr aime la prostitution En mp3 les poésies Vas-y remballe la marchandise Ouais va t'trouver d'autres putains Et si ma petite entreprise Connaît la crise elle serre le poing Et ouais j'aime pas pas baisser mon froc Je sais mon vieux c'est pas l'époque Mais qu'est-c'que tu veux j'y peux rien J'suis difficile à mettre en cloque Non moi j'fais pas dans l'pathétique Des démocraties des MacBooks Moi je me torche avec ton tweet Puis ton communiqué Facebook Sur son Insta l'humanité A la gueule des cuvettes de chiottes Société m'en veux pas tu sais J'aime pas trop baisser ma culotte Les états d'urgence pour asseoir Ah ouais c'est sûr tous les pouvoirs Des drapeaux des peuples opression Toujours la sodomination C'est l'évolution inversée L'humain retourne au chimpanzé Peuple télé-réalité Des prolos en photos d'soirée Peuple c'est sûr pour sa retraite Toujours prêt à manifester Pour aller sauver la planète Pour le climat en jet privé Peuple clodos sur les avenues Peuple des comptes au Panama Peuple préfère rester cocu Peuple préfère twitter je crois Peuple descend pas dans la rue Pour les chômeurs pour les clodos Le peuple aime bien donner son cul Ils ont ça dans l'sang les collabos Des millions par milliers Allez applaudir des DJ's Des millions pour aller voter Toujours pour les mêmes enculés Des millions pour gagner sa place De pourriture dans les charniers Des millions pour aller prêcher Des millions pour aller prier Des millions dans des stades Oui pour voir un ballon rouler Des millions c'est mort camarade Y a qu'les millions qui font rêver Des millions de pauvres Des millions de pauvres Des millions de pauvres Des millions de pauvres Des millions de pauvres Des millions de pauvres Allez peuple manifestant Vas-y ramène-moi l'échafaud Des radios de merde à gogo Sûr pour abreuver les ghettos Peuple de blogueurs illettrés (?) Putain mon vieux c'est pas gagné Peuple d'animateurs télé Y a du people à l'Élysée Peuple bobos peuple bourgeois Mes populaires retenez-moi Et puisque tout ça finira Un jour sur l'échafaud je crois À la merde qui fait la France Faudrait rétablir la potence Des millions de pauvres Des millions des pauvres Des millions de pauvres
Alain57 Il y a 7 ans

J'ai lu ton tweet mon camarade
Suppôt des multinationales
Putain mon vieux t'es mal tombé
Tu m'en veux pas j'vais pas tweeter
C'est bien tenté bien essayé
Avec tes potes collaborants
Ouais d'essayer de faire passer
Pour des fous les indépendants
Je suis du peuple travailleur
J'suis pas du show-biz à quat' pattes
Avec moi les fils du labeur
Ceux qui font pousser des tomates
Ceux qui en ont marre de s'faire baiser
Par les rois de l'intermédiaire
Par tous ces gens-là qui ne créent
Sûr autour d'eux que la misère

Merci bien mon monsieur
Mais non merci toi mon bon maître
Fais attention les miséreux
Un jour pourraient couper des têtes
À force de faire pisser les yeux
De mon populaire ouais t'en veux
Alors mon vieux j'vais t'en donner
De quoi parler dans tes papiers
T'as lu la presse puisqu'il paraît
On parle de moi dans les torchons
Des foires à bobos pour camés
Qui vient paver son p'tit rebond
Pour avoir son p'tit truc à dire
Pour mentir aux populations
Mais bien sûr avec les sourires
Du temps des collaborations
À écouter les journalismes
Tous les avocats des notables
Les concessionnaires du fascisme
Ça y a du fric dessous la table
Ah ouais c'est sûr y a du média
Pour aller défendre pognon
Tu sais tous ces gens-là qui paient
Publicités dans les torchons
Moi je resterai poing levé
Du peuple des indépendants
Moi j'y peux rien si je suis né
Du peuple des manifestants
Faut boycotter collaborants
Puis faut protéger nos cultures
Puisqu'ils viennent violer nos champs
Piétiner nos littératures
Puisque mon cœur est compagnon
De ces gens-là le poing levé
Toujours en moi l'insoumission
Contre les maîtres des progrès
Je resterai le paysan
Sur l'établi sur le papier
Contre les maquereaux du pognon
Contre les rois des enculés

La société t'es pas contente
Quand on te traite de vieille salope
Tu trouves vulgaires les mots d'en bas
Attends vas-y j'm'allume une clope
J'vais t'raconter un peu d'ici
La gueule que t'as pour la misère
Tous les quotidiens de cercueils
À la fin du mois qui galèrent
Agriculteurs prêts au suicide
Instituteurs en dépression
Toujours pour nourrir les avides
Du grand culte consommation
Éducs-spé les mains dans la suie
Pour t'éviter les rébellions
Faudrait pas trop qu'les ordures
Remontent trop au nez du pognon
Peuple de collège de lycée
Laissé aux pornos et aux joints
Ouais mais t'as raison société
Valait mieux enlever le latin
Ouais pis surtout dans cette époque
Où chacun cherche une origine
Pour mieux réformer l'orthographe
Oublier les gréco-latines
Bah ouais la Grèce ma société
Tu sais le berceau des cultures
Le pays d'où viennent tes musées
Puis d'où vient ta littérature
Non toi tu préfères la saigner
Pour enrichir sur les banquières
Non toi tu paries sur des dettes
Pour mieux saigner les ouvrières
Non sont mieux avec leur iPhone
Pour les éduquer à la thune
Les progénitures des misères
De ceux qui f'ront jamais fortune

Ça licencie les ouvriers
Ça fait des peuples de chômeurs
Qu'est-ce que t'en dis toi paysan
Qu'est-ce que t'en dis toi travailleur
Ça prend sa com puis ça vous chie
Sur tous les champs de nos cultures
Sûr y a du média pour vous dire
Qu'on est pas sur la dictature
Démocratie enfantée
Ouais du fascisme consommant
Puisqu'ici il n'est de sacré
Oui que la couleur de l'argent
Pis tu crois qu'y aurait politique
Pour protéger les populaires
Non ils préfèrent faire des tweets
Pour divertir la ménagère
Pour eux la culture c'est sucer
Les p'tites ricaines stars de ciné
C'est pas pour le prix des tomates
C'est pas pour le cœur ouvrier
Dessinateurs assasinés
Des salles de concerts en charniers
Puis t'as qu'à voir un peu les feux
D'artifices au 14 juillet
Mais ça va t'envoyer des bombes
Ouais pour flinguer l'ami syrien
Quand y a du pétrole faut qu'ça tombe
Sur des pays pauvres des gamins
Et continuent les attentats
Et continue la propagande
pour les soupes opéra du soir
Puisque le peuple en redemande
Entre les pestes et choléras
Sûr prolifère la pourriture
De ces tristes pays perdus
Qui pissent eux-même sur leur culture
Qui violent eux-même ouais leur histoire
Puis qui vont t'parler d'identité
Pour passer deux ans dans la rue
Pour ou contre le mariage gay
Puis y a Karim ouais qui galère
Tu sais juste pour s'trouver un toit
Tu sais pour les délits de faciès
Nous on attend toujours tes lois
Ouais je sais c'est dur à rentrer
Dans ton p'tit cerveau société
Mais faudra bien qu'tu t'foutes dans l'crâne
Qu'Ahmed est un prénom français

Y a pas à dire ma société
T'as raison t'es pas une salope
T'es une grande dame puis t'as raison
Il vaut mieux interdire la clope
Continue comme ça mon pays
Puis t'as qu'à voir de l'autre côté
D'la Manche ou bien de l'Atlantique
À quoi ils nous mènent tes progrès
Du Brexit ou bien des ricains
L'humanisme à l'anglo-saxonne
Ceux qui bombardent des pays
Pour vous vendre des téléphones
Ouais mais le peuple il est content
Ouais d'avoir vendu ses enfants
Contre un peu de calme au diner
Et puis les singes aiment bien cliquer
Peuple d'écolières d'écoliers
Putain qu'on a laissé violer
Ouais par des peuples d'enculés
Sûr de la Silicon Valley
Ceux qui censurent les paires de seins
Pour mettre des guerres en direct
Ben ouais mon vieux chez les mondains
Ça fait du blé quand tu t'connectes
Mais toi t'es pas collaborant
Oh non ouais toi t'es révolé
Quand le printemps viendra mon frère
On sait pour qui t'iras voter

Et puis les autres les p'tits médias
Racontez n'importe quoi
Faudrait surtout pas remettre en cause
C'est sûr le p'tit confort bourgeois
Qui pourrait ouais t'en inventer
Une vie pour écrire à ta place
Ah ouais mais non ça c'est déjà
Plus difficile à mettre en place
Paraît qu'il a pété les plombs
Non mais ses chansons divulguées
En mp3 les littéraires
Ouais ben alors la belle affaire
Y a pas d'quoi en chier une pendule
Puis t'as vu il a dit salope
Puis paraît même qu'en concert
Boit du whisky fume des clopes
Mais ferme-la quand on sait pas
De quoi en parle on ferme sa gueule
T'as cru qu'on était un troupeau
Ou bien qu'on était pote ma gueule
Toi la cynico-responsable
Je crois ma vieille d'où on en est
Tu fous la honte à ton pays
Tu l'as dit relis tes papiers
Ces gens qui parlent sans savoir
Qui préfèrent les concerts anglais
Ah ouais c'est sûr la propagande
Préfère les chanteurs versaillais
Puis d'un p'tit ton condescendant
Mais t'as pas honte triste vendu
D'aller défendre le pognon
Qui prend ta culture par le cul
Ah non c'est vrai c'est pas la tienne
Toi tu vends des publicités
Dans ton p'tit journal démago
Puis les patrons faut les sucer
Non mais t'as rêvé ma salope
Je crois qu'tu t'es gouré d'trottoir
J'suis pas d'celles qui vont tapiner
Pour aller vendre un accessoire
Rends-toi utile à quelque chose
Sûr envoie-moi un exemplaire
Tu sais ça m'servira toujours
Pour me torcher les soirs de bière

C'est sûr y a ceux qui font des tweets
Puis ceux qui font des littéraires
Allez retourne sur Instagram
Pour mettre tes photos d'soirée
Voilà 20 ans putain qu'ça dure
Entre les radios et les télés
Au gré des affiches de metro
Des artisanats censurés
Société des consommations
Aime pas les filles dans les caddies
Mais sûr aime la prostitution
En mp3 les poésies
Vas-y remballe la marchandise
Ouais va t'trouver d'autres putains
Et si ma petite entreprise
Connaît la crise elle serre le poing
Et ouais j'aime pas pas baisser mon froc
Je sais mon vieux c'est pas l'époque
Mais qu'est-c'que tu veux j'y peux rien
J'suis difficile à mettre en cloque
Non moi j'fais pas dans l'pathétique
Des démocraties des MacBooks
Moi je me torche avec ton tweet
Puis ton communiqué Facebook

Sur son Insta l'humanité
A la gueule des cuvettes de chiottes
Société m'en veux pas tu sais
J'aime pas trop baisser ma culotte
Les états d'urgence pour asseoir
Ah ouais c'est sûr tous les pouvoirs
Des drapeaux des peuples opression
Toujours la sodomination

C'est l'évolution inversée
L'humain retourne au chimpanzé
Peuple télé-réalité
Des prolos en photos d'soirée
Peuple c'est sûr pour sa retraite
Toujours prêt à manifester
Pour aller sauver la planète
Pour le climat en jet privé
Peuple clodos sur les avenues
Peuple des comptes au Panama
Peuple préfère rester cocu
Peuple préfère twitter je crois
Peuple descend pas dans la rue
Pour les chômeurs pour les clodos
Le peuple aime bien donner son cul
Ils ont ça dans l'sang les collabos
Des millions par milliers
Allez applaudir des DJ's
Des millions pour aller voter
Toujours pour les mêmes enculés
Des millions pour gagner sa place
De pourriture dans les charniers
Des millions pour aller prêcher
Des millions pour aller prier
Des millions dans des stades
Oui pour voir un ballon rouler
Des millions c'est mort camarade
Y a qu'les millions qui font rêver
Des millions de pauvres
Des millions de pauvres
Des millions de pauvres
Des millions de pauvres
Des millions de pauvres
Des millions de pauvres

Allez peuple manifestant
Vas-y ramène-moi l'échafaud
Des radios de merde à gogo
Sûr pour abreuver les ghettos
Peuple de blogueurs illettrés
(?)
Putain mon vieux c'est pas gagné
Peuple d'animateurs télé
Y a du people à l'Élysée
Peuple bobos peuple bourgeois
Mes populaires retenez-moi
Et puisque tout ça finira
Un jour sur l'échafaud je crois
À la merde qui fait la France
Faudrait rétablir la potence
Des millions de pauvres
Des millions des pauvres
Des millions de pauvres

Mon pays je t'écris Mon pays je t'écris sous le ciel de Novembre Comme un sanglot prierait l’Eternel de lui rendre Les fleurs de ma Patrie piétinées sur l’autel Des enfants paradis repartis pour le ciel Mon pays si la guerre nous fait porter le deuil Et si en cet automne nous comptons les cercueils Si nous pleurons nos frères que nos larmes nourrissent De nos sanglots la terre que l’amour y fleurisse Au printemps mon pays sur le champ des douleurs Oui quel que soit l’hiver où pousseront les fleurs Oui le chant des oiseaux vaincra toujours les balles Restera mon drapeau celui d’un idéal Si toujours la tendresse souffre sous la violence Au son des tristes messes qu’est devenue ma France S’il n’y a pas de mot alors dis-moi que dire Qu’à celui qui vous pointe oui lui tendre un sourire Mon pays si je pleure C’est pour nourrir la terre C’est pour nourrir les fleurs En l’honneur de mes frères Mon pays devant moi Ces gens-là qu’on enterre Ces gens morts au combat D’avoir juste été frères Mon pays je t’écris comme une lettre morte Pour te dire le chagrin oui qui frappe à la porte Moi l’ouvrier des mots moi le peuple misère Pour te dire mes sanglots quand je vois notre Terre Mon pays c’est la guerre, c’est la guerre des cultures Qui vient nourrir la terre toujours de sang c’est sûr Mais c’est surtout la guerre de l’or noir du désert Des cerveaux oui je crois la guerre de la misère Ils sont morts les Vinci les Rimbaud les Voltaire Ils sont morts au profit des réseaux du vulgaire Mon pays c’est l’enfer la misère des cerveaux Toi mon pays ma terre la terre d’Arthur Rimbaud Ton peuple sait plus rien ton peuple sait plus lire Que les tristes chemins qui nous mènent au pire Qu’est-ce qu’on est devenu dis-moi ma triste France Du soldat inconnu devenu ignorance Au tumulte d’insultes au réseau du vulgaire Au culte de l’inculte assassinant mes frères Au non-droit du profit des pétro financières Que toujours prolifèrent les larmes pétrolières Morts mes frères de concerts Mes frangins des bistrots Sous les balles mercenaires Qui sont tombés trop tôt Ils sont morts fusillés oui d’avoir été libres D’avoir été de ceux qui n’ont pas lu qu’un livre Qui n’ont pas lu qu’un livre Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir Les frères de mon pays nous laissant désespoir Resteront leurs lumières comme un flambeau la nuit Qui brûlera toujours au ciel de mon pays Mes amis des concerts mes frères de liberté Sûr à mes Panthéons c’est vous qui resterez Alors s’il faut combattre je leur offre mon cœur Ils peuvent bien m’abattre je vous offre mes fleurs À l’innocent qu’on tue oui tombé sous les balles Au soldat inconnu sous l’horreur des mitrailles Si sont les lettres mortes les cantiques du chagrin Puisque frappent à la porte les plaines de Verdun Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir Les frères de mon pays nous laissant désespoir Mon pays ta culture est morte assassinée Mais tu sais ma culture non ne mourra jamais Toi mon pays Molière toi mon pays Vinci Toi mon pays Voltaire toi mon pays Valmy Toi mon pays la Terre toi mon pays Paris Toi mon pays par terre relève-toi mon pays Toi mon pays lumière toi mon pays la vie Mon pays littéraire mon pays triste vie Toi mon pays mes frères toi frère de mon pays Comme on chérit sa mère on chérit sa patrie
Poka Il y a 7 ans

Mon pays je t'écris
Mon pays je t'écris sous le ciel de Novembre
Comme un sanglot prierait l’Eternel de lui rendre
Les fleurs de ma Patrie piétinées sur l’autel
Des enfants paradis repartis pour le ciel
Mon pays si la guerre nous fait porter le deuil
Et si en cet automne nous comptons les cercueils
Si nous pleurons nos frères que nos larmes nourrissent
De nos sanglots la terre que l’amour y fleurisse
Au printemps mon pays sur le champ des douleurs
Oui quel que soit l’hiver où pousseront les fleurs
Oui le chant des oiseaux vaincra toujours les balles
Restera mon drapeau celui d’un idéal
Si toujours la tendresse souffre sous la violence
Au son des tristes messes qu’est devenue ma France
S’il n’y a pas de mot alors dis-moi que dire
Qu’à celui qui vous pointe oui lui tendre un sourire

Mon pays si je pleure
C’est pour nourrir la terre
C’est pour nourrir les fleurs
En l’honneur de mes frères
Mon pays devant moi
Ces gens-là qu’on enterre
Ces gens morts au combat
D’avoir juste été frères

Mon pays je t’écris comme une lettre morte
Pour te dire le chagrin oui qui frappe à la porte
Moi l’ouvrier des mots moi le peuple misère
Pour te dire mes sanglots quand je vois notre Terre
Mon pays c’est la guerre, c’est la guerre des cultures
Qui vient nourrir la terre toujours de sang c’est sûr
Mais c’est surtout la guerre de l’or noir du désert
Des cerveaux oui je crois la guerre de la misère
Ils sont morts les Vinci les Rimbaud les Voltaire
Ils sont morts au profit des réseaux du vulgaire
Mon pays c’est l’enfer la misère des cerveaux
Toi mon pays ma terre la terre d’Arthur Rimbaud
Ton peuple sait plus rien ton peuple sait plus lire
Que les tristes chemins qui nous mènent au pire
Qu’est-ce qu’on est devenu dis-moi ma triste France
Du soldat inconnu devenu ignorance
Au tumulte d’insultes au réseau du vulgaire
Au culte de l’inculte assassinant mes frères
Au non-droit du profit des pétro financières
Que toujours prolifèrent les larmes pétrolières

Morts mes frères de concerts
Mes frangins des bistrots
Sous les balles mercenaires
Qui sont tombés trop tôt
Ils sont morts fusillés oui d’avoir été libres
D’avoir été de ceux qui n’ont pas lu qu’un livre
Qui n’ont pas lu qu’un livre
Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir
Les frères de mon pays nous laissant désespoir
Resteront leurs lumières comme un flambeau la nuit
Qui brûlera toujours au ciel de mon pays
Mes amis des concerts mes frères de liberté
Sûr à mes Panthéons c’est vous qui resterez
Alors s’il faut combattre je leur offre mon cœur
Ils peuvent bien m’abattre je vous offre mes fleurs

À l’innocent qu’on tue oui tombé sous les balles
Au soldat inconnu sous l’horreur des mitrailles
Si sont les lettres mortes les cantiques du chagrin
Puisque frappent à la porte les plaines de Verdun
Si sont tombés ce soir en ce vendredi noir
Les frères de mon pays nous laissant désespoir
Mon pays ta culture est morte assassinée
Mais tu sais ma culture non ne mourra jamais
Toi mon pays Molière toi mon pays Vinci
Toi mon pays Voltaire toi mon pays Valmy
Toi mon pays la Terre toi mon pays Paris
Toi mon pays par terre relève-toi mon pays
Toi mon pays lumière toi mon pays la vie
Mon pays littéraire mon pays triste vie
Toi mon pays mes frères toi frère de mon pays
Comme on chérit sa mère on chérit sa patrie

L’humaniste Quelles que soient les larmes à nos yeux Quels que soient nos cœurs déchirés Quels que soient les sanglots de ceux Que le chagrin a emporté Quel que soit l’autre qui vous tue Quel que soit celui qui vous hait Quelles que soient les journées cimetières Qu’ils voudraient bien nous infliger Quels que soient les pleurs de la terre Quels que soient les chants du progrès Quels que soient les poings qui se lèvent Qui savent plus pour qui se lever Quels que soient les peuples imbéciles Quels que soient les collaborants Quelles que soient leurs guerres inutiles Quels que soient les gouvernements Puisqu’ils ne parlent pas pour nous Qu’ils ne parlent que pour l’argent Quel que soit le ventre arraché De la mère qui perd son enfant Quels que soient nos yeux fatigués Des pluies qui virent à l’ouragan Quels que soient les champs des possibles Qui virent aux chants des enterrements Quel que soit le monde qui crie Oui de tous bords tous horizons Quel que soit le chant des folies Des peuples perdants la raison Quelles que soient nos démocraties Qui virent à la prostitution Quels que soient les livres au bûcher Nous en écrirons par milliers Quelle que soit l’horreur incarnée Des progrès de l’humanité Quels que soient les gouvernements Qui font nos pays illettrés Je resterai cet humaniste Qui croit que nous sommes tous égaux Tous égaux devant l’injustice Tous égaux face à nos sanglots Je resterai de ceux qui luttent Toujours pour cet humain qui croit Qu’il vaut mieux tendre l’autre joue Qu’il vaut mieux s’offrir bras ouverts À celui qui vous met en joue Pour vous faire fermer vos paupières Qu’il vaut mieux donner son amour Oui je crois que faire des prières Qu’ils jettent leurs pierres vers les cieux Mais qu’ils se gardent de revenir Toujours pour abîmer les yeux De ces gens qui font des sourires Quelles que soient les guerres des bons dieux Oui quels que soient les chants du pire Quels que soient les murs qu’on construit Quels que soient les drapeaux des nations Quels que soient les peuples qui prient Pour des bons dieux ou du pognon Quels que soient de tous les pouvoirs Les fascismes de l’oppression Ami, n’aie pas peur de mourir Pour des idées pour le combat Celui qu’on fait par les sourires Qui disent à son frère ici-bas Qu’il n’ait rien de plus beau qu’aimer L’autre bien plus qu’on s’aime soi Qu’il n’ait rien de plus beau qu’aimer L’autre bien plus qu’on s’aime soi
Poka Il y a 7 ans

L’humaniste

Quelles que soient les larmes à nos yeux
Quels que soient nos cœurs déchirés
Quels que soient les sanglots de ceux
Que le chagrin a emporté
Quel que soit l’autre qui vous tue
Quel que soit celui qui vous hait

Quelles que soient les journées cimetières
Qu’ils voudraient bien nous infliger
Quels que soient les pleurs de la terre
Quels que soient les chants du progrès
Quels que soient les poings qui se lèvent
Qui savent plus pour qui se lever

Quels que soient les peuples imbéciles
Quels que soient les collaborants
Quelles que soient leurs guerres inutiles
Quels que soient les gouvernements
Puisqu’ils ne parlent pas pour nous
Qu’ils ne parlent que pour l’argent
Quel que soit le ventre arraché
De la mère qui perd son enfant
Quels que soient nos yeux fatigués
Des pluies qui virent à l’ouragan
Quels que soient les champs des possibles
Qui virent aux chants des enterrements

Quel que soit le monde qui crie
Oui de tous bords tous horizons
Quel que soit le chant des folies
Des peuples perdants la raison
Quelles que soient nos démocraties
Qui virent à la prostitution
Quels que soient les livres au bûcher
Nous en écrirons par milliers
Quelle que soit l’horreur incarnée
Des progrès de l’humanité
Quels que soient les gouvernements
Qui font nos pays illettrés

Je resterai cet humaniste
Qui croit que nous sommes tous égaux
Tous égaux devant l’injustice
Tous égaux face à nos sanglots
Je resterai de ceux qui luttent
Toujours pour cet humain qui croit
Qu’il vaut mieux tendre l’autre joue
Qu’il vaut mieux s’offrir bras ouverts
À celui qui vous met en joue
Pour vous faire fermer vos paupières
Qu’il vaut mieux donner son amour
Oui je crois que faire des prières
Qu’ils jettent leurs pierres vers les cieux
Mais qu’ils se gardent de revenir
Toujours pour abîmer les yeux
De ces gens qui font des sourires
Quelles que soient les guerres des bons dieux
Oui quels que soient les chants du pire
Quels que soient les murs qu’on construit
Quels que soient les drapeaux des nations
Quels que soient les peuples qui prient
Pour des bons dieux ou du pognon
Quels que soient de tous les pouvoirs
Les fascismes de l’oppression
Ami, n’aie pas peur de mourir
Pour des idées pour le combat
Celui qu’on fait par les sourires
Qui disent à son frère ici-bas
Qu’il n’ait rien de plus beau qu’aimer
L’autre bien plus qu’on s’aime soi
Qu’il n’ait rien de plus beau qu’aimer
L’autre bien plus qu’on s’aime soi

L’oiseau liberté Ce n’est pas un adieu c’est juste un au revoir Nos internationales patron toujours l’espoir Et si nos frères tombent nous chanterons leur mémoire Et si c’est sous les bombes que s’écrit notre histoire Nous resserrerons nos rangs nous planterons nos croix Nous combattrons les vents toi qui nous combattra Comme un oiseau blessé dans la nuit volera Mon oiseau liberté qui repart au combat S’il faut mourir d’amour mourir de liberté Partir comme un oiseau qui s’en est envolé Alors oui que je meurs comme un drapeau dressé Une rose tendue face aux fusils pointés Une rose en martyr pour nos humanités Juste un bouquet d’amour pour nos amis tombés Qui n’ont oui que leur fleur à offrir au bûcher Qu’une fleur à leur tendre à ces fusils pointés Que se lèvent tous ceux qui ont le même dieu sur terre Puisque le dieu des dieux oui c’est d’aimer son frère Quelle que soit la douleur des blessures de nos âmes De mon pays qui pleure quand on touche à la flamme Quels que soient les cimetières enfants de notre patrie La force des lumières tire plus loin qu’un fusil Mon pays des lumières il est l’heure de s’unir Ton drapeau triste France il est l’heure de brandir Que flotte pour toujours de ce vendredi noir Mon pays liberté le drapeau de l’espoir Un jour l’oiseau m’a dit comme un souffle printemps Qu’un jour prochain oui sur la terre de nos enfants Il n’y aura plus la guerre il n’y aura plus le sang Y’aura plus ces misères qui nous cernent à tous vents Mon oiseau liberté ne craint pas les fusils Il ne craint pas les balles de toutes tyrannies Et même s’il s’envole tué par l’infamie Renaîtra de ses cendres mon oiseau infini Il repart au combat sous le ciel de novembre La lumière renaîtra pour de meilleurs septembres Il repart au combat face à l’ombre des nues Il repart au combat contre la triste vie Il vole sur les plaines il s’en va triste plume Sous le chant de nos peines sous le chant de la lune Au vent soufflant les terres qu’on martèle à l’enclume Nous chantons nos prières pour que la nuit s’allume Chante avec moi frangin pour notre mère la terre Qu’ici-bas il n’est rien qui ne fasse lumière Nous sommes tous en chemin vers l’obscur ou le clair Et perdus dans l’écrin de notre mère la terre Envolés sur le dos de l’oiseau liberté Emportés par les crocs de la haine incarnée Si nous sommes cernés par tous les terrorismes Ceux du sang de la haine ou ceux de nos fascismes S’il faut plus qu’une armée pour protéger nos libres On ne combat jamais mieux qu’en ouvrant des livres Pour ceux-là fusillés qui pour l’éternité Resteront le symbole de notre liberté Nous chantons nos prières Nous chantons pour la terre Nous chantons la lumière contre l’obscurité Tous les peuples du monde pour lever liberté Quelles que soient les prières pour ne pas oublier Mains tendues à leurs frères contre fusils pointés Que nous sommes sur la terre tous frères d’humanité Nous sommes fils des Ardennes Nous sommes fils de Provence Puis jusqu’aux Aquitaines Nous sommes la France Nous sommes pays du libre pays des tolérances Face à l’assassin nous offrons l’innocence De l’oiseau liberté face aux horreurs mitrailles Nous ne quitterons jamais oui le champ de bataille Nous n’avons qu’un seul dieu c’est la vie sur Terre Nous n’avons qu’un seul dieu c’est d’aimer son frère Mon oiseau liberté ne craint pas les fusils Il ne craint pas les balles de toutes tyrannies Et même s’il s’envole tué par l’infamie Renaîtra de ses cendres mon oiseau l’infini Et même s’il s’envole tué par l’infamie Renaîtra de ses cendres mon oiseau l’infini
Poka Il y a 7 ans

L’oiseau liberté

Ce n’est pas un adieu c’est juste un au revoir
Nos internationales patron toujours l’espoir
Et si nos frères tombent nous chanterons leur mémoire
Et si c’est sous les bombes que s’écrit notre histoire
Nous resserrerons nos rangs nous planterons nos croix
Nous combattrons les vents toi qui nous combattra
Comme un oiseau blessé dans la nuit volera
Mon oiseau liberté qui repart au combat

S’il faut mourir d’amour mourir de liberté
Partir comme un oiseau qui s’en est envolé
Alors oui que je meurs comme un drapeau dressé
Une rose tendue face aux fusils pointés
Une rose en martyr pour nos humanités
Juste un bouquet d’amour pour nos amis tombés
Qui n’ont oui que leur fleur à offrir au bûcher
Qu’une fleur à leur tendre à ces fusils pointés

Que se lèvent tous ceux qui ont le même dieu sur terre
Puisque le dieu des dieux oui c’est d’aimer son frère
Quelle que soit la douleur des blessures de nos âmes
De mon pays qui pleure quand on touche à la flamme
Quels que soient les cimetières enfants de notre patrie
La force des lumières tire plus loin qu’un fusil
Mon pays des lumières il est l’heure de s’unir
Ton drapeau triste France il est l’heure de brandir
Que flotte pour toujours de ce vendredi noir
Mon pays liberté le drapeau de l’espoir

Un jour l’oiseau m’a dit comme un souffle printemps
Qu’un jour prochain oui sur la terre de nos enfants
Il n’y aura plus la guerre il n’y aura plus le sang
Y’aura plus ces misères qui nous cernent à tous vents
Mon oiseau liberté ne craint pas les fusils
Il ne craint pas les balles de toutes tyrannies
Et même s’il s’envole tué par l’infamie
Renaîtra de ses cendres mon oiseau infini

Il repart au combat sous le ciel de novembre
La lumière renaîtra pour de meilleurs septembres
Il repart au combat face à l’ombre des nues
Il repart au combat contre la triste vie
Il vole sur les plaines il s’en va triste plume
Sous le chant de nos peines sous le chant de la lune
Au vent soufflant les terres qu’on martèle à l’enclume
Nous chantons nos prières pour que la nuit s’allume

Chante avec moi frangin pour notre mère la terre
Qu’ici-bas il n’est rien qui ne fasse lumière
Nous sommes tous en chemin vers l’obscur ou le clair
Et perdus dans l’écrin de notre mère la terre
Envolés sur le dos de l’oiseau liberté
Emportés par les crocs de la haine incarnée
Si nous sommes cernés par tous les terrorismes
Ceux du sang de la haine ou ceux de nos fascismes
S’il faut plus qu’une armée pour protéger nos libres
On ne combat jamais mieux qu’en ouvrant des livres
Pour ceux-là fusillés qui pour l’éternité
Resteront le symbole de notre liberté
Nous chantons nos prières
Nous chantons pour la terre
Nous chantons la lumière contre l’obscurité
Tous les peuples du monde pour lever liberté
Quelles que soient les prières pour ne pas oublier
Mains tendues à leurs frères contre fusils pointés
Que nous sommes sur la terre tous frères d’humanité
Nous sommes fils des Ardennes
Nous sommes fils de Provence
Puis jusqu’aux Aquitaines
Nous sommes la France
Nous sommes pays du libre pays des tolérances
Face à l’assassin nous offrons l’innocence
De l’oiseau liberté face aux horreurs mitrailles
Nous ne quitterons jamais oui le champ de bataille
Nous n’avons qu’un seul dieu c’est la vie sur Terre
Nous n’avons qu’un seul dieu c’est d’aimer son frère
Mon oiseau liberté ne craint pas les fusils
Il ne craint pas les balles de toutes tyrannies
Et même s’il s’envole tué par l’infamie
Renaîtra de ses cendres mon oiseau l’infini

Et même s’il s’envole tué par l’infamie
Renaîtra de ses cendres mon oiseau l’infini

Les enfants lune Quand je jette à la mer, tristes sanglots je crois Oui mes roses en hiver pour barbarie et moi Alors je vais perdu Pierrot dans les marées De ces bouquets de fleurs qui finissent enterrés Et que la mort me prenne ou qu’elle prenne les miens Puisque tous les cimetières un jour font des jardins Quel que soit le chemin j’ai choisi mon destin Sera celui du cœur oui celui de l’humain Et si moi je suis là si je suis l’enfant lune Et si toi comme moi on t’a volé ta lune Avec ma gueule peinte en blanc au vent du désespoir Je tiens poing levé mon drapeau rouge et noir Qu’on veule nous violer les marchands de fortune Les actionnaires du monde les goudronneurs des dunes Les sourires nous offrons, à la rue au goudron Avec nos gueules peintes en blanc nos regards d’horizon Nous allons les chemins de pluie Mettre des fleurs à mon pays Pour toi puis pour l'humain je crois Toujours pour barbarie et moi Tu sais c’est la mélancolie À offrir aux oiseaux Tu sais c’est l’orgue barbarie Qui fait chanter Pierrot Pierrot recherche Colombine Pour lui offrir ses orphelines Toujours au vent du désespoir Poing levé drapeau rouge et noir Pour mettre des fleurs en bouquet À ce cimetière des cœurs blessés Et si nos gueules sont peintes en blanc Pour te dire un peu les printemps Et si nous sommes des enfants lune Toujours au combat de la plume Sûr à la guerre contre le roi Nous marchons toi et moi Tendons nos bouquets de pailles Poings levés contre la mitraille Nous sommes les enfants de la lutte Ouais qu’importe l’insulte Nous posons nos bouquets à ce pays de croix Nous cherchons un abri pour Colombine et moi Avec nos gueules peintes en blanc au vent du désespoir Toujours poing levé le drapeau rouge et noir Et si tombent les roses sur les champs de bataille Si marchent sur les fleurs les peuples de mitraille L’éternel et l’espoir à ton sourire gamin Pour mener le combat et l’amour en chemin NANANANA Nous sommes les enfants lune et la force d’émettre Ne changera jamais la beauté de nos êtres Si nous sommes tous Pierrot avec nos fleurs en bouquet De tristesse à offrir à nos désespérés Nous n’avons de richesse que nos bouquets de pailles Puis toujours poing levé qu’importe la bataille Tous enfants de la terre ont les fils de la lutte Tous gardiens de son frère oui qu’importe l’insulte Nous qui n’avons pour vie que le chemin de croix Toujours frangins de ceux qui combattent les rois C’est pour nos Colombine si c’est pour l’humain tu vois Sur les chemins de pluie pour mener le combat Nous sommes nés de novembre avec le cœur d’avril Nous pleurons nos printemps sous nos battements de cils Nos larmes gouttes d’or oui pour peindre la brume Nous reprenons la route à l’encre de nos plumes Nous sommes les enfants lune et la force d’émettre Ne changera jamais la beauté de nos êtres Nous nous tendons nos poings à leur argent misère Un sourire de gamin ça vaut la terre entière Nous posons des bouquets à ce pays de croix Nous cherchons un abri pour Colombine et moi Avec nos gueules peintes en blanc au vent du désespoir Toujours poing levé le drapeau rouge et noir Et si tombent les roses sur les champs de bataille Si marchent sur les fleurs les peuples de mitraille L’éternel et l’espoir à ton sourire gamin Pour mener le combat et l’amour en chemin NANANANA
Poka Il y a 7 ans

Les enfants lune

Quand je jette à la mer, tristes sanglots je crois
Oui mes roses en hiver pour barbarie et moi
Alors je vais perdu Pierrot dans les marées
De ces bouquets de fleurs qui finissent enterrés
Et que la mort me prenne ou qu’elle prenne les miens
Puisque tous les cimetières un jour font des jardins
Quel que soit le chemin j’ai choisi mon destin
Sera celui du cœur oui celui de l’humain

Et si moi je suis là si je suis l’enfant lune
Et si toi comme moi on t’a volé ta lune
Avec ma gueule peinte en blanc au vent du désespoir
Je tiens poing levé mon drapeau rouge et noir
Qu’on veule nous violer les marchands de fortune
Les actionnaires du monde les goudronneurs des dunes
Les sourires nous offrons, à la rue au goudron
Avec nos gueules peintes en blanc nos regards d’horizon

Nous allons les chemins de pluie
Mettre des fleurs à mon pays
Pour toi puis pour l'humain je crois
Toujours pour barbarie et moi
Tu sais c’est la mélancolie
À offrir aux oiseaux
Tu sais c’est l’orgue barbarie
Qui fait chanter Pierrot
Pierrot recherche Colombine
Pour lui offrir ses orphelines
Toujours au vent du désespoir
Poing levé drapeau rouge et noir
Pour mettre des fleurs en bouquet
À ce cimetière des cœurs blessés
Et si nos gueules sont peintes en blanc
Pour te dire un peu les printemps
Et si nous sommes des enfants lune
Toujours au combat de la plume
Sûr à la guerre contre le roi
Nous marchons toi et moi
Tendons nos bouquets de pailles
Poings levés contre la mitraille
Nous sommes les enfants de la lutte
Ouais qu’importe l’insulte

Nous posons nos bouquets à ce pays de croix
Nous cherchons un abri pour Colombine et moi
Avec nos gueules peintes en blanc au vent du désespoir
Toujours poing levé le drapeau rouge et noir
Et si tombent les roses sur les champs de bataille
Si marchent sur les fleurs les peuples de mitraille
L’éternel et l’espoir à ton sourire gamin
Pour mener le combat et l’amour en chemin

NANANANA

Nous sommes les enfants lune et la force d’émettre
Ne changera jamais la beauté de nos êtres
Si nous sommes tous Pierrot avec nos fleurs en bouquet
De tristesse à offrir à nos désespérés
Nous n’avons de richesse que nos bouquets de pailles
Puis toujours poing levé qu’importe la bataille
Tous enfants de la terre ont les fils de la lutte
Tous gardiens de son frère oui qu’importe l’insulte
Nous qui n’avons pour vie que le chemin de croix
Toujours frangins de ceux qui combattent les rois
C’est pour nos Colombine si c’est pour l’humain tu vois
Sur les chemins de pluie pour mener le combat
Nous sommes nés de novembre avec le cœur d’avril
Nous pleurons nos printemps sous nos battements de cils
Nos larmes gouttes d’or oui pour peindre la brume
Nous reprenons la route à l’encre de nos plumes

Nous sommes les enfants lune et la force d’émettre
Ne changera jamais la beauté de nos êtres
Nous nous tendons nos poings à leur argent misère
Un sourire de gamin ça vaut la terre entière

Nous posons des bouquets à ce pays de croix
Nous cherchons un abri pour Colombine et moi
Avec nos gueules peintes en blanc au vent du désespoir
Toujours poing levé le drapeau rouge et noir
Et si tombent les roses sur les champs de bataille
Si marchent sur les fleurs les peuples de mitraille
L’éternel et l’espoir à ton sourire gamin
Pour mener le combat et l’amour en chemin

NANANANA

Le dernier disque Si c’est le dernier disque ouais le dernier cantique De mes mots pour le monde oui le dernier supplique Si j’ai même plus l’envie de livrer mes musiques À mon pays vendu à des luttes pathétiques Si vont nos littéraires sûrs vers l’enterrement Si c’est noyé de sang la terre du Bataclan Si j’ai trop combattu trop de moulins à vent Si je crois les poètes ne sont plus de ce temps Si je suis le dernier alors dit à quoi bon Si sur la terre des hommes il n’est plus d’horizon Si même dans mes écrits je n’ai plus rien à dire S’il n’y a plus l’envie plus l’envie de t’écrire Juste au bord d’un ruisseau aller voir oui l’oiseau Voir cogner les piverts sur le bois des bouleaux Si c’est ça qui est offert aux regards de l’enfant Si c’est celle-là ma terre la terre du Bataclan Barbaries des bons dieux ou bien des pétrolières Toujours le miséreux des esprits qui galèrent S’il n’y a plus que dégoût de ces gens sur ma terre Si je suis dégoûté parfois d’être leur frère Si écrire pour mon peuple vire à l’humanitaire Qu’est-ce qu’on est devenu si putain c’est la guerre Oui si moi je suis né oui du peuple du ciel Si je suis un oiseau qui a trop battu des ailes Si j’ai trop combattu si je passe la main Sûr à la résistance que fera-t-on gamin ? Du dictat de l’Orient ou bien de l’Occident Ouais des soldats du sang ou de ceux de l’argent Puisqu’il est sans frontière moi je ne vois pourtant Que le sang sur la terre oui de mon Bataclan Triste monde je t’écris pour te dire mes Joconde Seront mieux avec moi emportées dans ma tombe À l’abri du vulgaire au chaud dans mes tiroirs Non pas pour cette terre resteront mes mémoires Si j’enlève mon art du grand communiquant Confiture aux cochons aux moutons dans les champs De blés je me retire de la fosse au purin Ouais crois-moi mon ami protège ton gamin Confiture aux cochons oui même c’est peu dire Le cochon ça se mange tout comme le mouton Là je crois ça devient du caviar au cafard Pour les peuples du rien les cerveaux au mitard Oui reprend tes esprits triste peuple perdu On fait pas des bouquins pour se torcher le cul Les livres c’est réservé à ceux qui savent lire Tout comme mes poèmes à ceux qui disent je t’aime Du caviar au cafard mes poèmes aux réseaux Alors s’il est trop tard ouais pour sauver ma peau Permet-moi de sauver ce que j’ai de Rimbaud Et même si je dois prendre oui le chemin d’Hugo Alors c’est décidé je rentre en résistance Si je dois te quitter pour te sauver ma France Écrire mes manifestes ouais depuis l’Alaska Éradiquer la peste pour guider le combat Peuple qui se connecte peuple déconnecté Toujours plus oui je crois de la réalité Je ne livrerai plus mes lettres qu’aux lettrés Ou alors à ceux-là qui aiment encore le papier Il faut tuer le libre quand il veut vous tuer Emprisonner les mots du vulgaire fou à lier Faut fermer les réseaux ouais des fautes de français Oui pour ressusciter notre oiseau liberté Et si moi je suis né oui du peuple du ciel Si je suis un oiseau qui a trop battu de l’aile Si j’ai trop combattu si je passe la main Sûr à la résistance que fera-t-on gamin ?
Poka Il y a 7 ans

Le dernier disque

Si c’est le dernier disque ouais le dernier cantique
De mes mots pour le monde oui le dernier supplique
Si j’ai même plus l’envie de livrer mes musiques
À mon pays vendu à des luttes pathétiques

Si vont nos littéraires sûrs vers l’enterrement
Si c’est noyé de sang la terre du Bataclan
Si j’ai trop combattu trop de moulins à vent
Si je crois les poètes ne sont plus de ce temps
Si je suis le dernier alors dit à quoi bon
Si sur la terre des hommes il n’est plus d’horizon

Si même dans mes écrits je n’ai plus rien à dire
S’il n’y a plus l’envie plus l’envie de t’écrire
Juste au bord d’un ruisseau aller voir oui l’oiseau
Voir cogner les piverts sur le bois des bouleaux

Si c’est ça qui est offert aux regards de l’enfant
Si c’est celle-là ma terre la terre du Bataclan
Barbaries des bons dieux ou bien des pétrolières
Toujours le miséreux des esprits qui galèrent

S’il n’y a plus que dégoût de ces gens sur ma terre
Si je suis dégoûté parfois d’être leur frère
Si écrire pour mon peuple vire à l’humanitaire
Qu’est-ce qu’on est devenu si putain c’est la guerre

Oui si moi je suis né oui du peuple du ciel
Si je suis un oiseau qui a trop battu des ailes
Si j’ai trop combattu si je passe la main
Sûr à la résistance que fera-t-on gamin ?

Du dictat de l’Orient ou bien de l’Occident
Ouais des soldats du sang ou de ceux de l’argent
Puisqu’il est sans frontière moi je ne vois pourtant
Que le sang sur la terre oui de mon Bataclan

Triste monde je t’écris pour te dire mes Joconde
Seront mieux avec moi emportées dans ma tombe
À l’abri du vulgaire au chaud dans mes tiroirs
Non pas pour cette terre resteront mes mémoires

Si j’enlève mon art du grand communiquant
Confiture aux cochons aux moutons dans les champs
De blés je me retire de la fosse au purin
Ouais crois-moi mon ami protège ton gamin

Confiture aux cochons oui même c’est peu dire
Le cochon ça se mange tout comme le mouton
Là je crois ça devient du caviar au cafard
Pour les peuples du rien les cerveaux au mitard

Oui reprend tes esprits triste peuple perdu
On fait pas des bouquins pour se torcher le cul
Les livres c’est réservé à ceux qui savent lire
Tout comme mes poèmes à ceux qui disent je t’aime

Du caviar au cafard mes poèmes aux réseaux
Alors s’il est trop tard ouais pour sauver ma peau
Permet-moi de sauver ce que j’ai de Rimbaud
Et même si je dois prendre oui le chemin d’Hugo

Alors c’est décidé je rentre en résistance
Si je dois te quitter pour te sauver ma France
Écrire mes manifestes ouais depuis l’Alaska
Éradiquer la peste pour guider le combat

Peuple qui se connecte peuple déconnecté
Toujours plus oui je crois de la réalité
Je ne livrerai plus mes lettres qu’aux lettrés
Ou alors à ceux-là qui aiment encore le papier

Il faut tuer le libre quand il veut vous tuer
Emprisonner les mots du vulgaire fou à lier
Faut fermer les réseaux ouais des fautes de français
Oui pour ressusciter notre oiseau liberté

Et si moi je suis né oui du peuple du ciel
Si je suis un oiseau qui a trop battu de l’aile
Si j’ai trop combattu si je passe la main
Sûr à la résistance que fera-t-on gamin ?

Merci @Poka !
blat Il y a 7 ans

Merci Poka !

[quote="blat"]Merci @Poka ![/quote] Avec plaisir, par contre, il faut peut-être corriger. C'est pas toujours simple de comprendre ce qu'il dit, et mon orthographe a quelques failles...
Poka Il y a 7 ans

Merci Poka !


Avec plaisir, par contre, il faut peut-être corriger. C'est pas toujours simple de comprendre ce qu'il dit, et mon orthographe a quelques failles...

C’est la guerre Des bombes à l’Occident puis des bombes à l’Orient Puis le sang sur la terre oui de mon Bataclan Peuple enculés Facebook toujours collaborant Les enculés Twitter ouais qui violent nos enfants Populaire qui fatigue populaire fatigué Populaire illettré populaire condamné Vont les prédicateurs pour vendre à bon marché Aux amputés du cœur la salade du sacré Ouais toujours qui s’engraissent ceux-là du bon côté Toujours les mêmes messes sur leurs chaînes de télé Les fils du Bataclan oui sont morts fusillés Y’a des Kalachnikovs aux terrasses des cafés Pour toujours plus de sang pour toujours plus d’argent Il est mort le printemps il est mort le printemps Au vent des continents toujours les contingents Vont les sécuritaires et les bombardements Les civilisations puis des chocs des cultures Sur les réseaux du fric vont les gens qui s’injurent Entre le terrorisme et puis les terrorismes Toujours un point commun ouais le capitalisme De l’accessoire toujours ben oui monsieur faut vendre Pour les peuples factures qui n’ont plus qu’à se pendre Pour les peuples misères épilés du cerveau Allez, connecte-toi à ton réseau, blaireau C’est la guerre C’est la guerre oh oui du dieu l’argent Qu’ils jurent sur la Bible ou bien sur le Coran Au drapeau désespoir d’Orient ou d’Occident C’est la guerre de l’or noir C’est la guerre de l’or noir qui a tué nos enfants À la bourse ça monte à la bourse ça descend Quand un avion explose sûr ça fait de l’argent Aux actionnaires du monde sûr aux rois biens portants Et toi tu collabores enfant de ta patrie Aux fascismes en tous genres gangrénant mon pays Tu fais faire du pognon aux violeurs de printemps Tu fais faire du pognon à ces violeurs d’enfants C’est la mort des idées c’est la mort du français Dans tes salles de concert y a des gens fusillés Mais toi t’es pas complice non toi t’es révolté Pour ton propre suicide ouais toi t’es connecté C’est la guerre C’est la guerre oh oui du dieu l’argent Qu’ils jurent sur la Bible ou bien sur le Coran Au drapeau désespoir d’Orient ou d’Occident C’est la guerre de l’or noir qui a tué nos enfants C’est la guerre de l’argent Toi le peuple cochon toi le peuple mouton Ouais c’est toi qu’on égorge ouais pour faire du pognon Pour le prix du baril pour le cours de l’action Toujours vers l’abattoir triste peuple de cons Toujours vers l’abattoir triste peuple de cons Toujours vers l’abattoir toujours vers l’abattoir Toujours vers l’abattoir toujours vers l’abattoir À la bourse ça monte à la bourse ça descend Des bombes à l’Occident puis des bombes à l’Orient Et le sang sur la terre et le sang sur la terre Twitter pour nos enfants
Poka Il y a 7 ans

C’est la guerre

Des bombes à l’Occident puis des bombes à l’Orient
Puis le sang sur la terre oui de mon Bataclan
Peuple enculés Facebook toujours collaborant
Les enculés Twitter ouais qui violent nos enfants

Populaire qui fatigue populaire fatigué
Populaire illettré populaire condamné
Vont les prédicateurs pour vendre à bon marché
Aux amputés du cœur la salade du sacré

Ouais toujours qui s’engraissent ceux-là du bon côté
Toujours les mêmes messes sur leurs chaînes de télé
Les fils du Bataclan oui sont morts fusillés
Y’a des Kalachnikovs aux terrasses des cafés

Pour toujours plus de sang pour toujours plus d’argent
Il est mort le printemps il est mort le printemps
Au vent des continents toujours les contingents
Vont les sécuritaires et les bombardements

Les civilisations puis des chocs des cultures
Sur les réseaux du fric vont les gens qui s’injurent
Entre le terrorisme et puis les terrorismes
Toujours un point commun ouais le capitalisme

De l’accessoire toujours ben oui monsieur faut vendre
Pour les peuples factures qui n’ont plus qu’à se pendre
Pour les peuples misères épilés du cerveau
Allez, connecte-toi à ton réseau, blaireau

C’est la guerre
C’est la guerre oh oui du dieu l’argent
Qu’ils jurent sur la Bible ou bien sur le Coran
Au drapeau désespoir d’Orient ou d’Occident

C’est la guerre de l’or noir
C’est la guerre de l’or noir qui a tué nos enfants
À la bourse ça monte à la bourse ça descend
Quand un avion explose sûr ça fait de l’argent

Aux actionnaires du monde sûr aux rois biens portants
Et toi tu collabores enfant de ta patrie
Aux fascismes en tous genres gangrénant mon pays
Tu fais faire du pognon aux violeurs de printemps
Tu fais faire du pognon à ces violeurs d’enfants

C’est la mort des idées c’est la mort du français
Dans tes salles de concert y a des gens fusillés
Mais toi t’es pas complice non toi t’es révolté
Pour ton propre suicide ouais toi t’es connecté

C’est la guerre
C’est la guerre oh oui du dieu l’argent
Qu’ils jurent sur la Bible ou bien sur le Coran
Au drapeau désespoir d’Orient ou d’Occident
C’est la guerre de l’or noir qui a tué nos enfants
C’est la guerre de l’argent
Toi le peuple cochon toi le peuple mouton
Ouais c’est toi qu’on égorge ouais pour faire du pognon
Pour le prix du baril pour le cours de l’action
Toujours vers l’abattoir triste peuple de cons
Toujours vers l’abattoir triste peuple de cons
Toujours vers l’abattoir toujours vers l’abattoir
Toujours vers l’abattoir toujours vers l’abattoir

À la bourse ça monte à la bourse ça descend
Des bombes à l’Occident puis des bombes à l’Orient
Et le sang sur la terre et le sang sur la terre
Twitter pour nos enfants

[quote="Poka"] Avec plaisir, par contre, il faut peut-être corriger. C'est pas toujours simple de comprendre ce qu'il dit, et mon orthographe a quelques failles...[/quote] Petite faute dans L'humaniste : Nous en écriront par milliers --> Nous en écrir[b]ons[/b] par milliers Merci à toi, beau boulot :)
Patapizza Il y a 7 ans


Avec plaisir, par contre, il faut peut-être corriger. C'est pas toujours simple de comprendre ce qu'il dit, et mon orthographe a quelques failles...

Petite faute dans L'humaniste :
Nous en écriront par milliers --> Nous en écrirons par milliers

Merci à toi, beau boulot

merci&bravo pour le boulot ;) quelques modifs sur les enfants lune : Avec ma gueule peinte en blanc pour vent du désespoir => pourfend du désespoir ? [ mais je suis pas sûr surtout que dans les autres passages avec cette formule j'entends "au vent / pour vent "] Les sourires nous au fond à la rue au goudron => Les sourires nous offrons, à la rue au goudron Pour toi pitbull humain je crois => pour toi puis pour l'humain je crois Nous cherchons un abri pour Colombine et moi Avec nos gueules peintes en blanc pour vent du désespoir => au vent du désespoir Ne n’avons de richesse => Nous ( mais là je pinaille )
Lénitram Il y a 7 ans

merci&bravo pour le boulot quelques modifs sur les enfants lune :
Avec ma gueule peinte en blanc pour vent du désespoir => pourfend du désespoir ? [ mais je suis pas sûr surtout que dans les autres passages avec cette formule j'entends "au vent / pour vent "]
Les sourires nous au fond à la rue au goudron => Les sourires nous offrons, à la rue au goudron
Pour toi pitbull humain je crois => pour toi puis pour l'humain je crois
Nous cherchons un abri pour Colombine et moi
Avec nos gueules peintes en blanc pour vent du désespoir => au vent du désespoir
Ne n’avons de richesse => Nous ( mais là je pinaille )

J'ai corrigé, il y a des choses qui semblent plus logiques du coup... :-D Il faut pinailler, c'est mieux!
Poka Il y a 7 ans

J'ai corrigé, il y a des choses qui semblent plus logiques du coup...
Il faut pinailler, c'est mieux!

Mon terroriste Il est pas beur ou maghrébin Pas pakistanais ni indien Mon terroriste L’est pas sans-papier basané L’est pas non plus nord-irlandais Mon terroriste Il est pas sud-américain L’est pas de Barbès ou de Pantin Mon terroriste Il est plutôt vachement français Du genre courtier costume banquier Mon terroriste Non c’est pas l’ouvrier qui pend Son patron par les pieds pendants Mon terroriste Qu’y’en aura deux mille au chômage Leurs vingt ans d’usine en bagage Mon terroriste L'est pas né dans les HLM Dans l’insalubrité humaine Mon terroriste Y vient plutôt des parisiennes Des insalubrités mondaines Mon terroriste L’est pas gréviste manifestant L’est pas contre le dieu l’argent Mon terroriste L’est pas paysan du Larzac Brûle pas les macdos des bigmacs Mon terroriste J’crois pas qui paie souvent le loyer Y’a pas l’huissier qui vient frapper Chez mon terroriste Si c’est l’Elysée son quartier Puisque la France aime bien voter Pour des terroristes Il est pas solidaire cubain L’est pas anarchiste algérien Le terroriste L’est pas de la réserve des Indiens L’est pas fils du Che argentin Le terroriste Il est plutôt sur les plateaux À faire sa pute pour les blaireaux Mon terroriste J’crois pas qui paie beaucoup d’impôts Y crèche en Suisse ou Monaco Mon terroriste Il est pas du peuple gitan L’est pas roumain le président Des terroristes C’est pas les sans dents sans boulot Les sans-abris pas les clodos Le terroriste Il est pas bouddhiste au Népal Non y s’balade pas en sandales Mon terroriste Avec son sourire de cercueil Non crois-moi qu’il a pas la gueule D’un terroriste Non c’est pas mes bars de blédards C’est pas d’ceux-là dans les mitards Mon terroriste Oh non mon ami tu peux croire Oui qu’il a jamais vu d’parloir Le terroriste Y bosse plutôt dans les médias Roi de la propagandancia Le terroriste Y taille des pipes à la finance J’crois qu’il est plutôt roi de la France Le terroriste À chaque gamin qu’on fait sur terre Chaque respiration mon frère Leur terrorisme Moi j’le sens comme une cartouchière Chaque fin de mois dans mon salaire Le terrorisme C’est pas l’attentat dans l’métro C’est l’attentat dans ton cerveau Leur terrorisme Nos humanités mises à mort La pornocratie à tous bords Qui m’terrorise Alors à quand dis-moi mon frère Nous monterons pour tuer les pères Du terrorisme Pour leur apprendre des bonnes manières Puisqu’en argent sont les cuillères Du terrorisme Puisqu’après tout, on est tous frères Pour leur apprendre un peu la terre Des humanismes La guillotine au ministère Puisqu’il paraît faut faire la guerre Au terrorisme La guillotine au ministère Puisqu’il paraît faut faire la guerre Au terrorisme
Poka Il y a 7 ans

Mon terroriste

Il est pas beur ou maghrébin
Pas pakistanais ni indien
Mon terroriste

L’est pas sans-papier basané
L’est pas non plus nord-irlandais
Mon terroriste

Il est pas sud-américain
L’est pas de Barbès ou de Pantin
Mon terroriste

Il est plutôt vachement français
Du genre courtier costume banquier
Mon terroriste

Non c’est pas l’ouvrier qui pend
Son patron par les pieds pendants
Mon terroriste

Qu’y’en aura deux mille au chômage
Leurs vingt ans d’usine en bagage
Mon terroriste

L'est pas né dans les HLM
Dans l’insalubrité humaine
Mon terroriste

Y vient plutôt des parisiennes
Des insalubrités mondaines
Mon terroriste

L’est pas gréviste manifestant
L’est pas contre le dieu l’argent
Mon terroriste

L’est pas paysan du Larzac
Brûle pas les macdos des bigmacs
Mon terroriste

J’crois pas qui paie souvent le loyer
Y’a pas l’huissier qui vient frapper
Chez mon terroriste

Si c’est l’Elysée son quartier
Puisque la France aime bien voter
Pour des terroristes

Il est pas solidaire cubain
L’est pas anarchiste algérien
Le terroriste

L’est pas de la réserve des Indiens
L’est pas fils du Che argentin
Le terroriste

Il est plutôt sur les plateaux
À faire sa pute pour les blaireaux
Mon terroriste

J’crois pas qui paie beaucoup d’impôts
Y crèche en Suisse ou Monaco
Mon terroriste

Il est pas du peuple gitan
L’est pas roumain le président
Des terroristes

C’est pas les sans dents sans boulot
Les sans-abris pas les clodos
Le terroriste

Il est pas bouddhiste au Népal
Non y s’balade pas en sandales
Mon terroriste

Avec son sourire de cercueil
Non crois-moi qu’il a pas la gueule
D’un terroriste

Non c’est pas mes bars de blédards
C’est pas d’ceux-là dans les mitards
Mon terroriste

Oh non mon ami tu peux croire
Oui qu’il a jamais vu d’parloir
Le terroriste

Y bosse plutôt dans les médias
Roi de la propagandancia
Le terroriste

Y taille des pipes à la finance
J’crois qu’il est plutôt roi de la France
Le terroriste

À chaque gamin qu’on fait sur terre
Chaque respiration mon frère
Leur terrorisme

Moi j’le sens comme une cartouchière
Chaque fin de mois dans mon salaire
Le terrorisme

C’est pas l’attentat dans l’métro
C’est l’attentat dans ton cerveau
Leur terrorisme

Nos humanités mises à mort
La pornocratie à tous bords
Qui m’terrorise

Alors à quand dis-moi mon frère
Nous monterons pour tuer les pères
Du terrorisme

Pour leur apprendre des bonnes manières
Puisqu’en argent sont les cuillères
Du terrorisme

Puisqu’après tout, on est tous frères
Pour leur apprendre un peu la terre
Des humanismes

La guillotine au ministère
Puisqu’il paraît faut faire la guerre
Au terrorisme

La guillotine au ministère
Puisqu’il paraît faut faire la guerre
Au terrorisme

Je suis Je suis Paris, je suis Lucien Je suis Charlie, je suis chagrin Je suis pogo, je suis pour rien Je suis métro, je suis Pantin Je suis vin rouge, je suis Jamel J'ai le cœur rouge, je suis l’hirondelle Je suis Pigalle, je suis bar-tabac Je porte pas de voile, je porte pas de croix Je suis Paris, je suis parfum Je suis titi parisien Je suis perdu, je suis la rue Je suis Karim, tu m’as pas vu Je suis quartier, je suis populaire Je parle français, je bois de la bière Je suis pas catho-musulman Je suis pas juif, je suis pas croyant Je suis bistrot, je suis résistant Je suis drapeau quand il est blanc Dans un verre avec un croissant Moi je suis torché un peu tout le temps Je suis Hakim, je suis pas voyou Je suis Salim, ou je suis Loulou Je suis Jimmy, je suis Jeanjean Je suis Gaby, toujours partant Moi je suivrais Manou n’importe où Jusqu’à Saint-Denis, jusqu’à Saint-Cloud Jusqu’en hiver, jusqu’au printemps Je suis la fleur, mon testament Je suis la terre, je suis mes frères J’ai pas d’abri quand vient l’hiver Je suis sans pognon, je suis populaire En hiver (?) y’a pas de frontière J’ai pas de réseau communautaire Je parle français, je bois de la bière À la santé de tous mes frères La nuit debout, le cul par terre Je suis beurré, je suis beurette Quand je suis bourré, je fais des claquettes Quand je suis charbon, pour le carton Je suis pompette, je suis pompon Je suis Mimi, je suis Pinson Je suis pas proprio à la con Je fais mon Charlot à l’horizon Crois-moi, non, je me fais pas de pognon Je suis écolier, je suis écolière Je suis ouvrier, je suis ouvrière Je suis lycéen, mais pour quoi faire Pour aller pointer au cimetière Je suis étudiant pour le chomdu Pour les soirées quand j’ai trop bu Mais tu sais moi je suis solidaire Surtout pour partager la bière Avec Manou avec ta sœur Tu sais moi à n’importe quelle heure Je suis partisan, je suis travailleur Même si j’ai le cœur toujours chômeur Je suis la jeunesse de mon pays Moi je suis pote qu’avec mon whisky Non moi j’aime pas les foules en liesse XXXXXX moi je vais pas à la messe Je suis pas Facebook connard Non moi je suis pas boursi-tocard Non moi j’ai pas Twitter Moi j’ai pas de follower Moi je suis métro, boulot, prolo Je suis pas radio-télé fachos Non moi j’ai pas touché le magot Moi j’ai juste payé mes impôts Je suis pas Marine, je suis pas Marion Pas Jean-Marie pour la nation Non moi j’ai pas de religion Que celle des enfants du charbon Je suis pas dieu, pas l’assassin J’ai rien à vendre aux fils de rien Moi j’ai juste l’air un peu chagrin Toujours réfugié clandestin Je suis la dictature ici Du roi pognon dans mon pays Je suis l’inculture à profits Je suis le code-barre dans le caddie Je suis l’invasion des ignorants Les fautes de français tu comprends Je suis nénufar avec un « F » Je suis la population dans le zef On m’appelle la démocratie Je suis les tentes pour sans-abris Je suis média, je suis politique Je suis la honte, l’ordre public Je suis les blogs sans cerveau Je suis la parole aux fachos Je suis mouton mais j’aime bien ça Marcher vers l’abattoir je crois Je suis la télé-réalité Je suis le porno pour les CP Je suis les joints à la récré Les ministères, fautes de français Je suis l’enfant des pornocraties Je peux pas mettre de jupe à Paris Je suis l’enculerie pour les taxis Mais j’envoie des bombes en Syrie Je suis vendu, je suis cocu Je suis ma culture disparue Je suis des millions de parvenus Qui savent pas qui sont les poilus Je suis commerçant pour trous du cul Je suis le paysan, mais c’est perdu Je suis l’euro, la mort du franc Puis du français de temps en temps Je suis trait d’union sans trait d’union Pour le règne des désunions Je suis le peuple soumission Je suis la collaboration J’ai le cerveau sous perfusion Mais j’ai résolu la question Pour me faire prendre par le fion Tu sais moi j’ai l’application Peuple désuni désunions Pour que ça divise mieux la nation Merci beaucoup le roi média Tant que ça fait vendre dans les choux gras Les enfants du pétrolifère Toujours pour mieux niquer la terre Des actionnaires pour la guerre Dis-moi qui es-tu mon frère Je suis écolier, je suis écolière Je suis l’ouvrier, je suis l’ouvrière Je suis lycéen, mais pour quoi faire Pour aller pointer au cimetière Je suis étudiant pour le chomdu Pour les soirées quand j’ai trop bu Mais tu sais moi je suis solidaire Surtout pour partager la bière Avec Manou avec ta sœur Tu sais moi à n’importe quelle heure Je suis partisan, je suis travailleur Même si j’ai le cœur toujours chômeur Je suis la jeunesse de mon pays Moi je suis pote qu’avec mon whisky J’ai pas d’abri quand vient l’hiver Je suis la terre, je suis mes frères Je suis la terre, je suis mes frères Je suis la terre Je suis la terre
Poka Il y a 7 ans

Je suis

Je suis Paris, je suis Lucien
Je suis Charlie, je suis chagrin
Je suis pogo, je suis pour rien
Je suis métro, je suis Pantin
Je suis vin rouge, je suis Jamel
J'ai le cœur rouge, je suis l’hirondelle
Je suis Pigalle, je suis bar-tabac
Je porte pas de voile, je porte pas de croix
Je suis Paris, je suis parfum
Je suis titi parisien
Je suis perdu, je suis la rue
Je suis Karim, tu m’as pas vu
Je suis quartier, je suis populaire
Je parle français, je bois de la bière
Je suis pas catho-musulman
Je suis pas juif, je suis pas croyant
Je suis bistrot, je suis résistant
Je suis drapeau quand il est blanc
Dans un verre avec un croissant
Moi je suis torché un peu tout le temps
Je suis Hakim, je suis pas voyou
Je suis Salim, ou je suis Loulou
Je suis Jimmy, je suis Jeanjean
Je suis Gaby, toujours partant
Moi je suivrais Manou n’importe où
Jusqu’à Saint-Denis, jusqu’à Saint-Cloud
Jusqu’en hiver, jusqu’au printemps
Je suis la fleur, mon testament
Je suis la terre, je suis mes frères
J’ai pas d’abri quand vient l’hiver
Je suis sans pognon, je suis populaire
En hiver (?) y’a pas de frontière
J’ai pas de réseau communautaire
Je parle français, je bois de la bière
À la santé de tous mes frères
La nuit debout, le cul par terre
Je suis beurré, je suis beurette
Quand je suis bourré, je fais des claquettes
Quand je suis charbon, pour le carton
Je suis pompette, je suis pompon
Je suis Mimi, je suis Pinson
Je suis pas proprio à la con
Je fais mon Charlot à l’horizon
Crois-moi, non, je me fais pas de pognon
Je suis écolier, je suis écolière
Je suis ouvrier, je suis ouvrière
Je suis lycéen, mais pour quoi faire
Pour aller pointer au cimetière
Je suis étudiant pour le chomdu
Pour les soirées quand j’ai trop bu
Mais tu sais moi je suis solidaire
Surtout pour partager la bière
Avec Manou avec ta sœur
Tu sais moi à n’importe quelle heure
Je suis partisan, je suis travailleur
Même si j’ai le cœur toujours chômeur
Je suis la jeunesse de mon pays
Moi je suis pote qu’avec mon whisky
Non moi j’aime pas les foules en liesse
XXXXXX moi je vais pas à la messe
Je suis pas Facebook connard
Non moi je suis pas boursi-tocard
Non moi j’ai pas Twitter
Moi j’ai pas de follower
Moi je suis métro, boulot, prolo
Je suis pas radio-télé fachos
Non moi j’ai pas touché le magot
Moi j’ai juste payé mes impôts
Je suis pas Marine, je suis pas Marion
Pas Jean-Marie pour la nation
Non moi j’ai pas de religion
Que celle des enfants du charbon
Je suis pas dieu, pas l’assassin
J’ai rien à vendre aux fils de rien
Moi j’ai juste l’air un peu chagrin
Toujours réfugié clandestin
Je suis la dictature ici
Du roi pognon dans mon pays
Je suis l’inculture à profits
Je suis le code-barre dans le caddie
Je suis l’invasion des ignorants
Les fautes de français tu comprends
Je suis nénufar avec un « F »
Je suis la population dans le zef
On m’appelle la démocratie
Je suis les tentes pour sans-abris
Je suis média, je suis politique
Je suis la honte, l’ordre public
Je suis les blogs sans cerveau
Je suis la parole aux fachos
Je suis mouton mais j’aime bien ça
Marcher vers l’abattoir je crois
Je suis la télé-réalité
Je suis le porno pour les CP
Je suis les joints à la récré
Les ministères, fautes de français
Je suis l’enfant des pornocraties
Je peux pas mettre de jupe à Paris
Je suis l’enculerie pour les taxis
Mais j’envoie des bombes en Syrie
Je suis vendu, je suis cocu
Je suis ma culture disparue
Je suis des millions de parvenus
Qui savent pas qui sont les poilus
Je suis commerçant pour trous du cul
Je suis le paysan, mais c’est perdu
Je suis l’euro, la mort du franc
Puis du français de temps en temps
Je suis trait d’union sans trait d’union
Pour le règne des désunions
Je suis le peuple soumission
Je suis la collaboration
J’ai le cerveau sous perfusion
Mais j’ai résolu la question
Pour me faire prendre par le fion
Tu sais moi j’ai l’application
Peuple désuni désunions
Pour que ça divise mieux la nation
Merci beaucoup le roi média
Tant que ça fait vendre dans les choux gras
Les enfants du pétrolifère
Toujours pour mieux niquer la terre
Des actionnaires pour la guerre
Dis-moi qui es-tu mon frère
Je suis écolier, je suis écolière
Je suis l’ouvrier, je suis l’ouvrière
Je suis lycéen, mais pour quoi faire
Pour aller pointer au cimetière
Je suis étudiant pour le chomdu
Pour les soirées quand j’ai trop bu
Mais tu sais moi je suis solidaire
Surtout pour partager la bière
Avec Manou avec ta sœur
Tu sais moi à n’importe quelle heure
Je suis partisan, je suis travailleur
Même si j’ai le cœur toujours chômeur
Je suis la jeunesse de mon pays
Moi je suis pote qu’avec mon whisky
J’ai pas d’abri quand vient l’hiver
Je suis la terre, je suis mes frères
Je suis la terre, je suis mes frères
Je suis la terre
Je suis la terre

dans mon terroriste : L’est pas paysan tue leurs « XXXXXXXX » => l'est pas paysan du Larzac dans je suis : Je suis XXXXX, je suis pour rien => je suis pogo XXXXXXX, je suis l’hirondelle => j'ai le coeur rouge XXXXXX moi je vais pas à la messe => Non moi je suis pour six tocards => je suis pas boursi-tocard Je suis la population dans le XXXXXXX => dans le zef
Lénitram Il y a 7 ans

dans mon terroriste :
L’est pas paysan tue leurs « XXXXXXXX »
=> l'est pas paysan du Larzac

dans je suis :

Je suis XXXXX, je suis pour rien
=> je suis pogo

XXXXXXX, je suis l’hirondelle
=> j'ai le coeur rouge

XXXXXX moi je vais pas à la messe
=>

Non moi je suis pour six tocards
=> je suis pas boursi-tocard

Je suis la population dans le XXXXXXX
=> dans le zef

[quote="Lénitram"]dans mon terroriste : L’est pas paysan tue leurs « XXXXXXXX » => l'est pas paysan du Larzac dans je suis : Je suis XXXXX, je suis pour rien => je suis pogo XXXXXXX, je suis l’hirondelle => j'ai le coeur rouge XXXXXX moi je vais pas à la messe => Non moi je suis pour six tocards => je suis pas boursi-tocard Je suis la population dans le XXXXXXX => dans le zef[/quote] Merci! C'est bien ça avance :-)
Poka Il y a 7 ans

dans mon terroriste :
L’est pas paysan tue leurs « XXXXXXXX »
=> l'est pas paysan du Larzac

dans je suis :

Je suis XXXXX, je suis pour rien
=> je suis pogo

XXXXXXX, je suis l’hirondelle
=> j'ai le coeur rouge

XXXXXX moi je vais pas à la messe
=>

Non moi je suis pour six tocards
=> je suis pas boursi-tocard

Je suis la population dans le XXXXXXX
=> dans le zef

Merci! C'est bien ça avance

de rien, t'as fait 99% du taff ;) puisque faut pinailler : Je suis trait d’union sans trait d’union => il manque... un trait d'union ? :D :D même si à vrai dire j'en ai aucune idée
Lénitram Il y a 7 ans

de rien, t'as fait 99% du taff
puisque faut pinailler : Je suis trait d’union sans trait d’union => il manque... un trait d'union ? même si à vrai dire j'en ai aucune idée

Merci de faire le dernier pourcent alors! J'ai bloqué dessus un petit temps, mais en fait, j'en n'ai pas trop l'impression. Je viens de regarder dans le dictionnaire, il n'y en a pas. Ou alors, c'est beaucoup plus subtil, mais j'ai pas encore compris :D (Le peuple ne fait pas d'union pour faire un traité contre la suppression du trait d'union????)
Poka Il y a 7 ans

Merci de faire le dernier pourcent alors!
J'ai bloqué dessus un petit temps, mais en fait, j'en n'ai pas trop l'impression. Je viens de regarder dans le dictionnaire, il n'y en a pas.
Ou alors, c'est beaucoup plus subtil, mais j'ai pas encore compris (Le peuple ne fait pas d'union pour faire un traité contre la suppression du trait d'union????)

C'est pas moi qui fait les règles dans ce domaine. Depuis toujours, on (les modos et moi) applique les consignes de Saez, transmises par @Tioum. Pas de lien/astuce pour télécharger/écouter. Pas de nom de magasin qui vend avant l'heure. A chaque sortie d'album, les paroles sont retranscrites, et on ne m'a jamais demandé de les censurer. Ne t'inquiete pas, il sait comment me contacter s'il change d'avis. Voila, y'a rien de plus à comprendre.
blat Il y a 7 ans

C'est pas moi qui fait les règles dans ce domaine.

Depuis toujours, on (les modos et moi) applique les consignes de Saez, transmises par Tioum. Pas de lien/astuce pour télécharger/écouter. Pas de nom de magasin qui vend avant l'heure.

A chaque sortie d'album, les paroles sont retranscrites, et on ne m'a jamais demandé de les censurer. Ne t'inquiete pas, il sait comment me contacter s'il change d'avis.

Voila, y'a rien de plus à comprendre.

Tu devrais surtout envoyer un mail @ ccc pour leur exprimer ton point de vue. Ici la ligne semble claire... Du coup.... ben voilà !
viper82 Il y a 7 ans

Tu devrais surtout envoyer un mail @ ccc pour leur exprimer ton point de vue.

Ici la ligne semble claire...

Du coup.... ben voilà !

Depuis que ce forum existe ? Pour le reste tu attends Saez à la sortie d'un concert, et tu lui en touches deux mots. Ca tiendrait qu'à moi, les chansons seraient en téléchargement pour tous les manifestants, et la musique ne serait pas coupée dès que l'on change d'onglet dans le navigateur. Du coup, la question ne se poserait pas. :D
blat Il y a 7 ans

Depuis que ce forum existe ?

Pour le reste tu attends Saez à la sortie d'un concert, et tu lui en touches deux mots.

Ca tiendrait qu'à moi, les chansons seraient en téléchargement pour tous les manifestants, et la musique ne serait pas coupée dès que l'on change d'onglet dans le navigateur. Du coup, la question ne se poserait pas.

Mon Terroriste: Les poneys dans les HLM ???? L'est pas né dans les HLM (Mieux?)
Moi Il y a 7 ans

Mon Terroriste:
Les poneys dans les HLM
????
L'est pas né dans les HLM
(Mieux?)

Et les licornes?
Marta012 Il y a 7 ans

Et les licornes?

Merci @Poka ! Quelques corrections/propositions : Dans L'Humaniste : Ami, n’ai[b]e[/b] pas peur de mourir Qu’il n’[b]ait[/b] rien de plus beau qu’aimer Dans L'Oiseau Liberté : Que se lèvent tous ceux qui ne mènent dieu sur terre => Que se lèvent tous ceux qui ont le même dieu sur terre Et perdu[b]s[/b] dans l’écrin de notre mère la terre Envolé[b]s[/b] sur le dos de l’oiseau liberté Emporté[b]s[/b] par les crocs de la haine incarnée Dans Les Enfants Lunes : Avec ma gueule peinte en blanc pour vent du désespoir/pourfend du désespoir => Avec ma gueule peinte en blanc au vent du désespoir (ainsi que dans le dernier paragraphe c'est "au" et non "pour") Dans Le Dernier Disque : Seront mieux avec moi emporté[b]e[/b]s dans ma tombe Dans Mon Terroriste : L’est pas gréviste[s]s[/s] manifestant L’est pas contre le[s]s[/s] dieu[s]x[/s] l’argent Dans Je Suis : XXXXX y’a pas de frontière => En hiver y'a pas de frontière (mais pas sûre) Moi j’ai pas de follower[s]s[/s] Je suis nénuph/f/ar avec un « F » => je dirais qu'on peut mettre "nénufar". Peuple désuni désunion[b]s[/b] Tant que ça fait vendre dans [b]les choux gras[/b]
melie Il y a 7 ans

Merci Poka !

Quelques corrections/propositions :

Dans L'Humaniste :
Ami, n’aie pas peur de mourir

Qu’il n’ait rien de plus beau qu’aimer

Dans L'Oiseau Liberté :
Que se lèvent tous ceux qui ne mènent dieu sur terre => Que se lèvent tous ceux qui ont le même dieu sur terre

Et perdus dans l’écrin de notre mère la terre
Envolés sur le dos de l’oiseau liberté
Emportés par les crocs de la haine incarnée

Dans Les Enfants Lunes :
Avec ma gueule peinte en blanc pour vent du désespoir/pourfend du désespoir => Avec ma gueule peinte en blanc au vent du désespoir (ainsi que dans le dernier paragraphe c'est "au" et non "pour")

Dans Le Dernier Disque :
Seront mieux avec moi emportées dans ma tombe

Dans Mon Terroriste :
L’est pas grévistes manifestant
L’est pas contre les dieux l’argent

Dans Je Suis :
XXXXX y’a pas de frontière => En hiver y'a pas de frontière (mais pas sûre)

Moi j’ai pas de followers

Je suis nénuph/f/ar avec un « F » => je dirais qu'on peut mettre "nénufar".

Peuple désuni désunions

Tant que ça fait vendre dans les choux gras

Merci @Melie C'est corrigé! Allez, on y est presque :-)
Poka Il y a 7 ans

Merci melie
C'est corrigé! Allez, on y est presque

Merci @Poka :)
éoline Il y a 7 ans

Merci Poka