Aux miroirs des fous la rage des loups. Un oeil perçant les âmes s'épanchant dans la poussière du vent, on entrevoit le cris des absents. Une étincelle s'affiche au bras d 'un roi et la lueur se niche au fond d'une voix. L'épouvante se cache, les dents se relachent, une boule de chair dans le silence des nerfs, s'effritte comme une craie au gout fade, puis la paix. Le courage s'épuise dans la colère au coeur d'une pluie de fer. Un sortilège aux mains dans la couleur des reins qui se bouchent, qui se couchent et les hymnes s'écrasent dans l'abîme des detours. Le ciel s'embrase au creux de l'amour. Aux miroirs des fous une image se noue, c'est l'ombre et la lumière mais le clou est éphémère. Les loups crèvent sans misère. Ce sont des joyaux que l'on couvre dans la rivière. Une larme d'argent dans les yeux d'avant, un sourire de machine a couper l'échine du masque qui implore la naissance de son corps. L'éclosion est imminente la marche du feu est lente. Elle nous arrache la peau et aussi quelques mots des miroirs des fous. L'ange devient flou, perception d'un regard, vision qui s'égare et va fendre nos mémoires de cendres...l'échappatoire.
Pelican bleu Il y a 6 ans

Aux miroirs des fous
la rage des loups.
Un oeil perçant
les âmes s'épanchant
dans la poussière du vent,
on entrevoit le cris des absents.

Une étincelle s'affiche
au bras d 'un roi
et la lueur se niche
au fond d'une voix.

L'épouvante se cache,
les dents se relachent,
une boule de chair
dans le silence des nerfs, s'effritte comme une craie
au gout fade, puis la paix.

Le courage s'épuise dans la colère
au coeur d'une pluie de fer.
Un sortilège aux mains
dans la couleur des reins
qui se bouchent,
qui se couchent
et les hymnes s'écrasent
dans l'abîme des detours.
Le ciel s'embrase
au creux de l'amour.

Aux miroirs des fous
une image se noue,
c'est l'ombre et la lumière
mais le clou est éphémère.
Les loups crèvent sans misère.
Ce sont des joyaux que l'on couvre dans la rivière.

Une larme d'argent
dans les yeux d'avant,
un sourire de machine
a couper l'échine
du masque qui implore
la naissance de son corps.

L'éclosion est imminente
la marche du feu est lente.
Elle nous arrache la peau
et aussi quelques mots
des miroirs des fous.

L'ange devient flou,
perception d'un regard,
vision qui s'égare
et va fendre nos mémoires
de cendres...l'échappatoire.

Une étoile se profile ...prétention de mon être. Quand d autres s'inclinent toi tu iras naître, l'euphorie , puis tu files en nos coeurs ,en nos cimes
Pelican bleu Il y a 6 ans

Une étoile se profile ...prétention de mon être.
Quand d autres s'inclinent
toi tu iras naître,
l'euphorie , puis tu files
en nos coeurs ,en nos cimes

Une perle d'eau s'échappe au ruisseau, aux couleurs des heures d'un été, là où j'étais... Et se crispe le muscle et fuis l'artère, un cri qu'on osculte, s'arrache l'amer... La terre a tremblé aux trippes dévastées, la douleur s'acharne... la plume m'accable... C'est le vide qui m'incarne, c'est le triste qui s'attable. Ses rires qui me hantent au gout du jour et sa lueur, l'ivresse est morte au crime du coeur. À la perle d'eau qui résonne comme un écho. ..
Pelican bleu Il y a 6 ans

Une perle d'eau
s'échappe au ruisseau,
aux couleurs
des heures
d'un été,
là où j'étais...
Et se crispe le muscle
et fuis l'artère,
un cri qu'on osculte,
s'arrache l'amer...
La terre a tremblé
aux trippes dévastées,
la douleur s'acharne...
la plume m'accable...
C'est le vide qui m'incarne,
c'est le triste qui s'attable.
Ses rires qui me hantent
au gout du jour et sa lueur,
l'ivresse est morte au crime du coeur.
À la perle d'eau
qui résonne comme un écho. ..



Voit on le sage au creux de la plume ,ou l'hallucination des fous aux creux des reins.... Voit on la foule pour la thune,ou des troupeaux de chiens... Voit on le libre sur la toile ,ou l'araignée en escapade.... Voit on le crochet aux cathodiques,ou le catholique à son crochet... Un pirate aux allures de fou ,chavirant pour un trésor,pour un trou....le prophète te bénira,le feu t'affolera. Les révoltes sont vaines si le cœur ne cogne....
Pelican bleu Il y a 5 ans

Voit on le sage au creux de la plume ,ou l'hallucination des fous aux creux des reins....
Voit on la foule pour la thune,ou des troupeaux de chiens...
Voit on le libre sur la toile ,ou l'araignée en escapade....
Voit on le crochet aux cathodiques,ou le catholique à son crochet...
Un pirate aux allures de fou ,chavirant pour un trésor,pour un trou....le prophète te bénira,le feu t'affolera.
Les révoltes sont vaines si le cœur ne cogne....

Il te reste un crime celui de ton miroir, Il te reste une cime à ton mouroir, Du céleste à la lumière, Au péché de l'arbre... Toi tu dis que l'infini est rare, Et que rare est l'infini, Puis que l'amour est rare, Qu'il nous donne des infinis. Aux yeux la pluie d'une larme, Aux armes la pluie des cieux. Et goutte sur la pierre, La terre et le marbre. Il te reste un crime au regard, Il te reste une cime au phare....
Pelican bleu Il y a 5 ans

Il te reste un crime celui de ton miroir,
Il te reste une cime à ton mouroir,
Du céleste à la lumière,
Au péché de l'arbre...
Toi tu dis que l'infini est rare,
Et que rare est l'infini,
Puis que l'amour est rare,
Qu'il nous donne des infinis.
Aux yeux la pluie d'une larme,
Aux armes la pluie des cieux.
Et goutte sur la pierre,
La terre et le marbre.
Il te reste un crime au regard,
Il te reste une cime au phare....

Merci pour la méditation poétique ! ♡
AnonymeIl y a 5 ans

Merci pour la méditation poétique !

[quote="Meduse"]Merci pour la méditation poétique ! ♡[/quote] Merci d'apprécier et surtout de t'attarder sur mes mots.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Merci pour la méditation poétique !
@Meduse

Merci d'apprécier et surtout de t'attarder sur mes mots.

A l'horizon ton corps se plaît, A déchaîner le ciel, A déchaîner la nuit. Blanche au coton de plume, Pâlit les orages et gorge les plaines, Aux guenilles transpirant nos bourgeons, Je salive des printemps, Qu 'on égrène à ton pollen, Butinant ton cœur ,ta corolle. Puis lâchant ces pétales, Balbutiant au Mistral, Fanant à l'ondee , Quand tu t'y poses à sa surface, Tu chavires à mes bras....
Pelican bleu Il y a 5 ans

A l'horizon ton corps se plaît,
A déchaîner le ciel,
A déchaîner la nuit.
Blanche au coton de plume,
Pâlit les orages et gorge les plaines,
Aux guenilles transpirant nos bourgeons,
Je salive des printemps,
Qu 'on égrène à ton pollen,
Butinant ton cœur ,ta corolle.
Puis lâchant ces pétales,
Balbutiant au Mistral,
Fanant à l'ondee ,
Quand tu t'y poses à sa surface,
Tu chavires à mes bras....

Je serai ton arbre, Je serai ton tronc, Je serai ta bûche, Tu seras ma hache Coupant ma branche, Moi qui ne suis que gland. La sève coulera, Abimé par tes dents, Tu boufferas mes noeuds, Emmêlée par ma chair, Au goût de sapin. Je brulerai en ta terre, Tu te hisseras au delà, D'une cime si fleurie, Comme un bouquet pour toi Aux ronces démolies. En mon essence grave l'écorce, A la pompe toujours s'immole, La jouissance des ordures, Que viens tu faire avec ton cash? Le vulgaire ici bas ne sera jamais les mots, Mais tes pécuniaires à t'en frotter le dos....
Pelican bleu Il y a 5 ans

Je serai ton arbre,
Je serai ton tronc,
Je serai ta bûche,
Tu seras ma hache
Coupant ma branche,
Moi qui ne suis que gland.
La sève coulera,
Abimé par tes dents,
Tu boufferas mes noeuds,
Emmêlée par ma chair,
Au goût de sapin.
Je brulerai en ta terre,
Tu te hisseras au delà,
D'une cime si fleurie,
Comme un bouquet pour toi
Aux ronces démolies.
En mon essence grave l'écorce,
A la pompe toujours s'immole,
La jouissance des ordures,
Que viens tu faire avec ton cash?
Le vulgaire ici bas ne sera jamais les mots,
Mais tes pécuniaires à t'en frotter le dos....

ah les balades en forêt! la communion avec la nature :)
suffragettes AB Il y a 5 ans

ah les balades en forêt! la communion avec la nature

Se dépose le calcaire dans ta carcasse Abusive de paresse qui caresse puis casse, Il est de ces émeraudes fragiles et délictuelles, Qui percent à jour les crocs,d'un mordant habituel, De cadavres de bêtes à peines sauvages, Pour rugir à ta face enfarinée d'un fusil, Qui penses tu te protégera tout en te plongeant au carnage, Puis tes dessous souillés d'en être puni, Voilà la soumission de tes appétits, Des appétences de la vie.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Se dépose le calcaire dans ta carcasse
Abusive de paresse qui caresse puis casse,
Il est de ces émeraudes fragiles et délictuelles,
Qui percent à jour les crocs,d'un mordant habituel,
De cadavres de bêtes à peines sauvages,
Pour rugir à ta face enfarinée d'un fusil,
Qui penses tu te protégera tout en te plongeant au carnage,
Puis tes dessous souillés d'en être puni,
Voilà la soumission de tes appétits,
Des appétences de la vie.

Il y a quelque chose, oh pas grand chose, que je ne comprends pas (et ce n'est pas une critique, c'est moi), mais le dernier me plaît particulièrement
AnonymeIl y a 5 ans

Il y a quelque chose, oh pas grand chose, que je ne comprends pas (et ce n'est pas une critique, c'est moi), mais le dernier me plaît particulièrement

[quote="Damnée"]Il y a quelque chose, oh pas grand chose, que je ne comprends pas (et ce n'est pas une critique, c'est moi), mais le dernier me plaît particulièrement[/quote] Merci bien, Certains mots nous font plus échos que d'autres,c'est à mon sens la beauté de la poésie, l'aléatoire d'une si grande précision...pour ma part l'une de mes quêtes.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Il y a quelque chose, oh pas grand chose, que je ne comprends pas (et ce n'est pas une critique, c'est moi), mais le dernier me plaît particulièrement
@Damnée

Merci bien,
Certains mots nous font plus échos que d'autres,c'est à mon sens la beauté de la poésie, l'aléatoire d'une si grande précision...pour ma part l'une de mes quêtes.

Il y a des solitudes aux ombres, Il y a des silences aux fêlures, Ça lézardent nos mémoires, Comme on fissure le sombre, Le souffre aux blessures, La puanteur de nos foires, D'armes, d'hommes ou de temps, Nos accessoires qui pullulent, Accrocs, il nous faut notre dose, Les drogues changent avec le vent, Consommer cet inutile,cette pilule, L'hallucination des choses... Toi tu veux baisser la température, Puis ta facture, Jette tes publicités, Et tes réseaux toujours plus connectés.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Il y a des solitudes aux ombres,
Il y a des silences aux fêlures,
Ça lézardent nos mémoires,
Comme on fissure le sombre,
Le souffre aux blessures,
La puanteur de nos foires,
D'armes, d'hommes ou de temps,
Nos accessoires qui pullulent,
Accrocs, il nous faut notre dose,
Les drogues changent avec le vent,
Consommer cet inutile,cette pilule,
L'hallucination des choses...
Toi tu veux baisser la température,
Puis ta facture,
Jette tes publicités,
Et tes réseaux toujours plus connectés.

Les stigmates des fleurs lacèrent nos jardins brumeux. Il vient un jour où se meurent nos racines. Et si demain se faisait joli à l'ordre des machines. Les clous de nos futurs flânent aux printemps radieux. L'eau fraîche abreuve nos gorges sèches, Trop de sel à nos champs que l'on bêche. ....
Pelican bleu Il y a 5 ans

Les stigmates des fleurs lacèrent nos jardins brumeux.
Il vient un jour où se meurent nos racines.
Et si demain se faisait joli à l'ordre des machines.
Les clous de nos futurs flânent aux printemps radieux.
L'eau fraîche abreuve nos gorges sèches,
Trop de sel à nos champs que l'on bêche.
....

Dans les vapeurs oxydées De ta fibre immolée, Ton adn délabré Tu n'es plus ,tu n'as su.... Qu'un corps sans donnée. La machine t'a remplacé. L'Homme est obsolète, Il n'est qu 'un squelette, Au milieu de la terre, Tu pourris à tes vers, Et trinque ta misère, Il trébuche à ton fer.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Dans les vapeurs oxydées
De ta fibre immolée,
Ton adn délabré
Tu n'es plus ,tu n'as su....
Qu'un corps sans donnée.
La machine t'a remplacé.
L'Homme est obsolète,
Il n'est qu 'un squelette,
Au milieu de la terre,
Tu pourris à tes vers,
Et trinque ta misère,
Il trébuche à ton fer.

Je suis un con comme les autres. A se prendre pour un dieu,voilà où cela nous mène,nous nous sommes perdus,je me suis perdu... Au bas fond technologique, à ces vipères dans l'incendie,aux morsures pétrolières, à la consommation cannibale... Oui monsieur nous bouffons nos âmes,nous noyons la terre,qu'on asphyxie, elle mute a nos pharmaceutiques,elle fera des petits monstres à la peau dure...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Je suis un con comme les autres.
A se prendre pour un dieu,voilà où cela nous mène,nous nous sommes perdus,je me suis perdu...
Au bas fond technologique, à ces vipères dans l'incendie,aux morsures pétrolières, à la consommation cannibale...
Oui monsieur nous bouffons nos âmes,nous noyons la terre,qu'on asphyxie, elle mute a nos pharmaceutiques,elle fera des petits monstres à la peau dure...

Quand je serai parti, Nul n'aura l'envie, Ni l'esprit de m'écrire, Puisque le mépris , Faisant grâce à mes yeux De vous servir, Dans la gueule des bleus, Et puis comme ébloui, Par cette médiocrité, Cette suffisance , Cette obscurité, D'une délivrance, J'aurai l'orgueil d'être tenter, D'une pichenette bien placée, De vous réduire au silence , Par mon impertinence, Si il suffisait d' un soufflet, Pour vous faire retomber, Pour au moins vous vexer, En ces termes je serai consolé. Mais de grâce, j'en suis convaincu, votre bêtise sera ma déconvenue.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Quand je serai parti,
Nul n'aura l'envie,
Ni l'esprit de m'écrire,
Puisque le mépris ,
Faisant grâce à mes yeux
De vous servir,
Dans la gueule des bleus,
Et puis comme ébloui,
Par cette médiocrité,
Cette suffisance ,
Cette obscurité,
D'une délivrance,
J'aurai l'orgueil d'être tenter,
D'une pichenette bien placée,
De vous réduire au silence ,
Par mon impertinence,
Si il suffisait d' un soufflet,
Pour vous faire retomber,
Pour au moins vous vexer,
En ces termes je serai consolé.
Mais de grâce, j'en suis convaincu,
votre bêtise sera ma déconvenue.

Le pélican bleu se transforme en corbeau noir ?!
AnonymeIl y a 5 ans

Le pélican bleu se transforme en corbeau noir ?!

[quote="Meduse"]Le pélican bleu se transforme en corbeau noir ?![/quote] Où c'est peut être un Pélican noir ou encore un corbeau bleu...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Le pélican bleu se transforme en corbeau noir ?!
@Meduse

Où c'est peut être un Pélican noir ou encore un corbeau bleu...

Quand l'ombre se fait lourd, A nos fines impatiences, Quand le souffle se fait sourd, Au gré de nos confidences Sussurees,de la bouche à l'oreille, De la salive et le miel... Délectation de ta couche.... En tes charmes je m'attache A ton parfum je touche... L'exaltation des sens qu'on lâche.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Quand l'ombre se fait lourd,
A nos fines impatiences,
Quand le souffle se fait sourd,
Au gré de nos confidences
Sussurees,de la bouche à l'oreille,
De la salive et le miel...
Délectation de ta couche....
En tes charmes je m'attache
A ton parfum je touche...
L'exaltation des sens qu'on lâche.

[quote="Pelican bleu"]Quand l'ombre se fait lourd, A nos fines impatiences, Quand le souffle se fait sourd, Au gré de nos confidences Sussurees,de la bouche à l'oreille, De la salive et le miel... Délectation de ta couche.... En tes charmes je m'attache A ton parfum je touche... L'exaltation des sens qu'on lâche.[/quote] <3
suffragettes AB Il y a 5 ans

Quand l'ombre se fait lourd,
A nos fines impatiences,
Quand le souffle se fait sourd,
Au gré de nos confidences
Sussurees,de la bouche à l'oreille,
De la salive et le miel...
Délectation de ta couche....
En tes charmes je m'attache
A ton parfum je touche...
L'exaltation des sens qu'on lâche.


<3

[quote="suffragettes AB"][quote="Pelican bleu"]Quand l'ombre se fait lourd, A nos fines impatiences, Quand le souffle se fait sourd, Au gré de nos confidences Sussurees,de la bouche à l'oreille, De la salive et le miel... Délectation de ta couche.... En tes charmes je m'attache A ton parfum je touche... L'exaltation des sens qu'on lâche.[/quote] <3[/quote] Désolé je n'ai pas compris ton message...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Quand l'ombre se fait lourd,
A nos fines impatiences,
Quand le souffle se fait sourd,
Au gré de nos confidences
Sussurees,de la bouche à l'oreille,
De la salive et le miel...
Délectation de ta couche....
En tes charmes je m'attache
A ton parfum je touche...
L'exaltation des sens qu'on lâche.


<3

Désolé je n'ai pas compris ton message...

C'est un coeur gros naze
Maitre Kaio Il y a 5 ans

C'est un coeur gros naze

Tu peux être sympa avec les nouveaux steplait Kaio ? Sinon, tu t'abstiens de poster.
Isa modoIl y a 5 ans

Tu peux être sympa avec les nouveaux steplait Kaio ? Sinon, tu t'abstiens de poster.

[quote="Maitre Kaio"]C'est un coeur gros naze[/quote] Merci bien pour l'info
Pelican bleu Il y a 5 ans

C'est un coeur gros naze

Merci bien pour l'info

de rien m'sieur :)
Maitre Kaio Il y a 5 ans

de rien m'sieur

y en a avec qui faut faire des dessins, d'autres avec qui il faut faire des phrases, pelican bleu en tant qu'amateur de mots tu préfères les phrases, cela se conçoit aisément :).
suffragettes AB Il y a 5 ans

y en a avec qui faut faire des dessins, d'autres avec qui il faut faire des phrases, pelican bleu en tant qu'amateur de mots tu préfères les phrases, cela se conçoit aisément .

[quote="suffragettes AB"]y en a avec qui faut faire des dessins, d'autres avec qui il faut faire des phrases, pelican bleu en tant qu'amateur de mots tu préfères les phrases, cela se conçoit aisément :).[/quote] Je suis un peu vieux dans ma tête ...en tout cas pauvre de moi je ne discerne pas "vos codes". Mais j'apprécie beaucoup l'intérêt que l'on peut porter à mes mots.
Pelican bleu Il y a 5 ans

y en a avec qui faut faire des dessins, d'autres avec qui il faut faire des phrases, pelican bleu en tant qu'amateur de mots tu préfères les phrases, cela se conçoit aisément .

Je suis un peu vieux dans ma tête ...en tout cas pauvre de moi je ne discerne pas "vos codes".
Mais j'apprécie beaucoup l'intérêt que l'on peut porter à mes mots.

Il est de ces clartés Sculptant des ombres. Il est de ces ombres Abimant les reflets. Il y a la lumière Et les halos des sombres, Il y a la pénombre Et nos hivers Où les fumées Dansent au coton, D'un pas feutré, Figeant les frissons. Aux creux de la paume, La flore et la faune, Au gré du temps L'oubli se tend
Pelican bleu Il y a 5 ans

Il est de ces clartés
Sculptant des ombres.
Il est de ces ombres
Abimant les reflets.
Il y a la lumière
Et les halos des sombres,
Il y a la pénombre
Et nos hivers
Où les fumées
Dansent au coton,
D'un pas feutré,
Figeant les frissons.
Aux creux de la paume,
La flore et la faune,
Au gré du temps
L'oubli se tend