Au bas fond du vide on creuse toujours plus, voilà le néant à notre reflet!
Pelican bleu Il y a 5 ans

Au bas fond du vide on creuse toujours plus, voilà le néant à notre reflet!

Consommons,cliquons,comme on dit surfons... Amazon t'écoute,te viol et nous payons ... La répression nous guette ami...la dictature est là, À donner des leçons, à se voir trop beau,on a perdu l'éclat. Allez crève ,allez crève... Pas besoin de moutons pour chanter... Pas besoin de troupeau pour s'élever... Nous serons le peuple de la résistance ! Dans la veine y'a du sang, Dans la veine y'a du feu, La fumée qui fait mal, Les clameurs du volcan. Quand tu tousses dans le bleu De la pupille infernale...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Consommons,cliquons,comme on dit surfons...
Amazon t'écoute,te viol et nous payons ...
La répression nous guette ami...la dictature est là,
À donner des leçons, à se voir trop beau,on a perdu l'éclat.
Allez crève ,allez crève...
Pas besoin de moutons pour chanter...
Pas besoin de troupeau pour s'élever...
Nous serons le peuple de la résistance !


Dans la veine y'a du sang,
Dans la veine y'a du feu,
La fumée qui fait mal,
Les clameurs du volcan.
Quand tu tousses dans le bleu
De la pupille infernale...

Notre peine est effectivement de vivre...mais si notre vie,notre châtiment nous morfond en profond de nous même, qu'il n'y a plus rien à tenter,alors peut être que l'autre ,notre enfer, à lui,cet enfant ,ce voisin,ce collègue,ce chef,ce messager,ce passant,ce parent,peut être un sourire à lui donner, à lui rendre, à sécher ses larmes, à l'écouter, à pardonner, à lui tendre une joue ou une main,peut être rien qu 'un instant nous aurions changé le cours des choses... Non pas le monde,mais à l'autre... Notre vie ne serait plus vaine mais pleine. Je crois au bien qu'on fait aux autres...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Notre peine est effectivement de vivre...mais si notre vie,notre châtiment nous morfond en profond de nous même, qu'il n'y a plus rien à tenter,alors peut être que l'autre ,notre enfer, à lui,cet enfant ,ce voisin,ce collègue,ce chef,ce messager,ce passant,ce parent,peut être un sourire à lui donner, à lui rendre, à sécher ses larmes, à l'écouter, à pardonner, à lui tendre une joue ou une main,peut être rien qu 'un instant nous aurions changé le cours des choses...
Non pas le monde,mais à l'autre...
Notre vie ne serait plus vaine mais pleine.
Je crois au bien qu'on fait aux autres...

Tendre une main est la plus belle des solutions Rendre un sourire est le plus beau des éphémères Nous sommes tou.te.s dans le même bateau et pourvu qu'il soit ivre
AnonymeIl y a 5 ans

Tendre une main est la plus belle des solutions
Rendre un sourire est le plus beau des éphémères
Nous sommes tou.te.s dans le même bateau et pourvu qu'il soit ivre

C'est peut être d'une banalité à en pleurer ,mais je crois qu'à notre époque où on laisse encore crever des gens dans nos rues, où des cris abjectes résonnent dans des stades, où on réprime la pensée pour du fric,je crois en cette banalité...
Pelican bleu Il y a 5 ans

C'est peut être d'une banalité à en pleurer ,mais je crois qu'à notre époque où on laisse encore crever des gens dans nos rues, où des cris abjectes résonnent dans des stades, où on réprime la pensée pour du fric,je crois en cette banalité...

Cette banalité c'est tout ce qui nous reste d'humanité, alors oui il faut y croire
AnonymeIl y a 5 ans

Cette banalité c'est tout ce qui nous reste d'humanité, alors oui il faut y croire

Les coups des corps qui crient, Et compte,et crache la crue, Aux crocs du CAC qui cuit. Se couche le cran qui conclut... La plume de nos égos, Qui flirte avec le chao. Les silences des brumes Aux rayons des enclumes, De la biche au cheval, Ils fendront l'intervalle, Du cosmique à la lumière Du son aux univers.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Les coups des corps qui crient,
Et compte,et crache la crue,
Aux crocs du CAC qui cuit.
Se couche le cran qui conclut...

La plume de nos égos,
Qui flirte avec le chao.
Les silences des brumes
Aux rayons des enclumes,
De la biche au cheval,
Ils fendront l'intervalle,
Du cosmique à la lumière
Du son aux univers.

[quote="Pelican bleu"]Notre peine est effectivement de vivre...mais si notre vie,notre châtiment nous morfond en profond de nous même, qu'il n'y a plus rien à tenter,alors peut être que l'autre ,notre enfer, à lui,cet enfant ,ce voisin,ce collègue,ce chef,ce messager,ce passant,ce parent,peut être un sourire à lui donner, à lui rendre, à sécher ses larmes, à l'écouter, à pardonner, à lui tendre une joue ou une main,peut être rien qu 'un instant nous aurions changé le cours des choses... Non pas le monde,mais à l'autre... Notre vie ne serait plus vaine mais pleine. Je crois au bien qu'on fait aux autres...[/quote] oh, c'est beau.
gavroche_greyjoy Il y a 5 ans

Notre peine est effectivement de vivre...mais si notre vie,notre châtiment nous morfond en profond de nous même, qu'il n'y a plus rien à tenter,alors peut être que l'autre ,notre enfer, à lui,cet enfant ,ce voisin,ce collègue,ce chef,ce messager,ce passant,ce parent,peut être un sourire à lui donner, à lui rendre, à sécher ses larmes, à l'écouter, à pardonner, à lui tendre une joue ou une main,peut être rien qu 'un instant nous aurions changé le cours des choses...
Non pas le monde,mais à l'autre...
Notre vie ne serait plus vaine mais pleine.
Je crois au bien qu'on fait aux autres...


oh, c'est beau.

De la suie aux corps, Des corps d'anges, Des sauts du sort, Sortilège étrange, Étrange jour aux nuances D'ombres, cortèges De lumières et de silences, Fièvre qu'on abrége.
Pelican bleu Il y a 5 ans

De la suie aux corps,
Des corps d'anges,
Des sauts du sort,
Sortilège étrange,
Étrange jour aux nuances
D'ombres, cortèges
De lumières et de silences,
Fièvre qu'on abrége.

Dans le sursis des orages , Je serai funambule aux trottoirs. Aux cotons crèvent les miroirs, Quand aux cimes le sillage, D'un chemin éperdu au cœur, Où l'âme serait grande, Où l'automne serait printemps, Et que l'on rêverait de fleurs, Sans fric ni propagande, Au delà du feu,au delà du vent, Où l'étincelle serait mes sœurs.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Dans le sursis des orages ,
Je serai funambule aux trottoirs.
Aux cotons crèvent les miroirs,
Quand aux cimes le sillage,
D'un chemin éperdu au cœur,
Où l'âme serait grande,
Où l'automne serait printemps,
Et que l'on rêverait de fleurs,
Sans fric ni propagande,
Au delà du feu,au delà du vent,
Où l'étincelle serait mes sœurs.

Aux rives de mes peines, Aux ruisseaux de mon ennui, Quand frappe la mélancolie, Et fuient mes veines, Je dérive au bateau blème Comme on prie le blasphème. Au chemin de croix et de clous, Au sang et ses courroux. Quatre vents sont les fous, Des lumières à vomir d'être saoul. La tempête en nos têtes, dessous La terre tournoye les faces de hiboux. Des becs aux museaux se répandent, Osements d'insectes, cimetières originels, Les tambours et les peaux se tendent. Puis l'encens en nos sens criminels S'y soulèvent aux sacrifices des rituels, Et l'on danse et l'on crève autour de l'écuelle. Le sacré n'est jamais loin des pouvoirs, Quand les croyances fleurissent au bout du jour. La clarté du divin faisant croire ; Se dessine à chaques signes comme les contours, Que l'on crie, que l'on brûle à la chair des livres. À l'esprit qui soulage misères d'ignorances ivres.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Aux rives de mes peines,
Aux ruisseaux de mon ennui,
Quand frappe la mélancolie,
Et fuient mes veines,
Je dérive au bateau blème
Comme on prie le blasphème.

Au chemin de croix et de clous,
Au sang et ses courroux.
Quatre vents sont les fous,
Des lumières à vomir d'être saoul.
La tempête en nos têtes, dessous
La terre tournoye les faces de hiboux.

Des becs aux museaux se répandent,
Osements d'insectes, cimetières originels,
Les tambours et les peaux se tendent.
Puis l'encens en nos sens criminels
S'y soulèvent aux sacrifices des rituels,
Et l'on danse et l'on crève autour de l'écuelle.

Le sacré n'est jamais loin des pouvoirs,
Quand les croyances fleurissent au bout du jour.
La clarté du divin faisant croire ;
Se dessine à chaques signes comme les contours,
Que l'on crie, que l'on brûle à la chair des livres.
À l'esprit qui soulage misères d'ignorances ivres.

Un râle long et pénible, D'une douleur ostensible, Au soleil des crépuscules, Au vapeur les tentacules, Surgissant le triste Et l'abominable cœur, Qui ne cesse de battre Et de perdre le fils, Son sang qui pleure. Il faut m'abattre.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Un râle long et pénible,
D'une douleur ostensible,
Au soleil des crépuscules,
Au vapeur les tentacules,
Surgissant le triste
Et l'abominable cœur,
Qui ne cesse de battre
Et de perdre le fils,
Son sang qui pleure.
Il faut m'abattre.

https://drive.google.com/file/d/1ebRea1Db7qClPbyqOTnuRdws6cTxC5Ix/view? Sur le thème Mélancolie Qu'il me pardonne, Que vous me pardonniez.
Pelican bleu Il y a 5 ans

https://drive.google.com/file/d/1ebRea1Db7qClPbyqOTnuRdws6cTxC5Ix/view?

Sur le thème Mélancolie

Qu'il me pardonne,
Que vous me pardonniez.

Des avions pour nos coeurs brûlés... mélancolie... La mémoire de notre histoire l'âme en pluie. On planera qu'aux cieux des poésies, Et la larme s'embrasera aux infinis.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Des avions pour nos coeurs brûlés... mélancolie...
La mémoire de notre histoire l'âme en pluie.
On planera qu'aux cieux des poésies,
Et la larme s'embrasera aux infinis.

L'écho des rêves, La brume des sèves, L'écume des nuits, À l'orée des pluies... Ta défaite est couronnée, De tes ivresses immaculées... Alors quand perlera nos songes, À tes charmes éblouis, Je verrai mes yeux comme une éponge, Te frôler tout engloutis. Et mes armes de chairs Qui font nos si longues batailles, Et nos os amers, Qui froissent nos éphémères murailles.
Pelican bleu Il y a 5 ans

L'écho des rêves,
La brume des sèves,
L'écume des nuits,
À l'orée des pluies...
Ta défaite est couronnée,
De tes ivresses immaculées...
Alors quand perlera nos songes,
À tes charmes éblouis,
Je verrai mes yeux comme une éponge,
Te frôler tout engloutis.
Et mes armes de chairs
Qui font nos si longues batailles,
Et nos os amers,
Qui froissent nos éphémères murailles.

La perversion est un agrément au mal, à moins qu'il ne soit qu 'une volupté au bien.la lumière poussera tes envies et fera de ta vie des équinoxes,d'ombres en ombres,de poussières en poussières.ton aura une rivière asséchée,tes ailes abandonnées. La prière fera recette ,ta misère même pas une miette,du désespoir à l'indécence il n'y a qu'une rive....
Pelican bleu Il y a 5 ans

La perversion est un agrément au mal, à moins qu'il ne soit qu 'une volupté au bien.la lumière poussera tes envies et fera de ta vie des équinoxes,d'ombres en ombres,de poussières en poussières.ton aura une rivière asséchée,tes ailes abandonnées.
La prière fera recette ,ta misère même pas une miette,du désespoir à l'indécence il n'y a qu'une rive....

https://photos.app.goo.gl/SQAooieJ5HopSLxE8 Musique;olafur arnalds
Pelican bleu Il y a 5 ans

https://photos.app.goo.gl/SQAooieJ5HopSLxE8

Musique;olafur arnalds

Des nuées de vers , Pour des immensités, De poésie. Des nuages amers, De n'être à la gravité, Des insomnies... Des ruées vers l'or À la mine brûlée, Des agonies. Des prix pour l'aurore Affre des écorchés Sans répit.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Des nuées de vers ,
Pour des immensités,
De poésie.
Des nuages amers,
De n'être à la gravité,
Des insomnies...
Des ruées vers l'or
À la mine brûlée,
Des agonies.
Des prix pour l'aurore
Affre des écorchés
Sans répit.

Nous sommes tous des chiens(1ere partie) Si j'avais le courage de mes convictions je ne serai plus torturé, à moins que l'audace de mes mots ne me fassent juste chavirer. Nous sommes tous des chiens,voyez comme ils nous traitent à nous montrer les crocs, à nous apprendre la propreté écologique. Ils nous dressent à coups de bâtons taxés dans la gueule.Il faut bien,il faut bien se coucher toujours à sa place,puis s'y réclamer des caresses à s'y mettre sur le dos...la caresse au goût de punition, expédition punitive, pétrolière,ils t'en donneront la leçon ! Mais si les financiers s'intéressaient vraiment à la terre,elle serait (encore)riche!L'or noir, dictature financière à tes révolutions,les printemps se sont nichés tout au fond, comme un "suppo"ça tend à la correction. Nous sommes tous des chiens, d'ailleurs nous les habillons à notre image, toujours se déguiser,se cacher derrière des accessoires pour éviter,toujours,le reflet d'une société, d'une humanité...Levons nos pattes et pissons sur leurs nouvelles corrompues. Mais bien sûr consommons, cliquons comme on dit surfons, puisque nous sommes bons qu'à lécher nos babines,et travestir "nos maîtres"à force de les sucer, à croire qu 'aux yeux des fureurs le viol est là,voilà la parité !....
Pelican bleu Il y a 5 ans

Nous sommes tous des chiens(1ere partie)

Si j'avais le courage de mes convictions je ne serai plus torturé, à moins que l'audace de mes mots ne me fassent juste chavirer.


Nous sommes tous des chiens,voyez comme ils nous traitent à nous montrer les crocs, à nous apprendre la propreté écologique.
Ils nous dressent à coups de bâtons taxés dans la gueule.Il faut bien,il faut bien se coucher toujours à sa place,puis s'y réclamer des caresses à s'y mettre sur le dos...la caresse au goût de punition, expédition punitive, pétrolière,ils t'en donneront la leçon !
Mais si les financiers s'intéressaient vraiment à la terre,elle serait (encore)riche!L'or noir, dictature financière à tes révolutions,les printemps se sont nichés tout au fond, comme un "suppo"ça tend à la correction.
Nous sommes tous des chiens, d'ailleurs nous les habillons à notre image, toujours se déguiser,se cacher derrière des accessoires pour éviter,toujours,le reflet d'une société, d'une humanité...Levons nos pattes et pissons sur leurs nouvelles corrompues.
Mais bien sûr consommons, cliquons comme on dit surfons, puisque nous sommes bons qu'à lécher nos babines,et travestir "nos maîtres"à force de les sucer, à croire qu 'aux yeux des fureurs le viol est là,voilà la parité !....

(2eme partie) Nous sommes tous des chiens !Et pourtant nous avons du flair, à nous renifler sans cesse,qui font de nos sens olfactifs des airs de volatiles stupides,ou de troupeaux de rêves,mais qui sera le chien de berger, celui là même qui nous mènera un peu plus à l'abattoir.Car bien entendu,il n'est plus question de révolte mais de survie,il n'y a plus de courage ni de solidarité,on gueule par intérêt,pour notre petite paillasse qui finira par brûler comme les autres et le pouvoir l'a bien compris...et ne s'en méfie pas,pire il s'en amuse! Alors ils nous la mettent,ils nous tuent et puis on attend gentiment le soir qu'ils rentrent... Nous sommes tous des chiens,ah non eux sont fidèles...mais cela ne paye pas.Car ils nous trompent et nous de nos gilets cocufiés,que nous arborons fièrement en tapinant en pleine rue pour déclamer qu'ils nous auront plus,tout en réclamant d'être puni!Et oui le pouvoir d'achat est un mensonge de publicitaire, qu'on a gobé, nous promettant qu'on sera plus beau,meilleur,mais jamais un accessoire nous a rendu bon, puisque la chaleur d'une main sera toujours plus douce qu'un radiateur.Et puis de cette notion matraquée à nos pauvres cerveaux,celle ci même pour laquelle on se bat...n'y aurait il pas ici manipulation ?! Alors que vaut un combat qui nous enfonce plus qu'il nous élève, puisque plus on en veut moins on aura,les p'tits sous dont on rêve sont bien leurs gros sous ... Le pouvoir n'est pas dans l'avoir,mais dans l'être et paraître aux yeux du monde n'a de paillettes qu'à ceux qui les regardent.Il n'y a de réjouissant que le bordel que cela provoque,les ordures remontent enfin à leur nez!...
Pelican bleu Il y a 5 ans

(2eme partie)

Nous sommes tous des chiens !Et pourtant nous avons du flair, à nous renifler sans cesse,qui font de nos sens olfactifs des airs de volatiles stupides,ou de troupeaux de rêves,mais qui sera le chien de berger, celui là même qui nous mènera un peu plus à l'abattoir.Car bien entendu,il n'est plus question de révolte mais de survie,il n'y a plus de courage ni de solidarité,on gueule par intérêt,pour notre petite paillasse qui finira par brûler comme les autres et le pouvoir l'a bien compris...et ne s'en méfie pas,pire il s'en amuse!
Alors ils nous la mettent,ils nous tuent et puis on attend gentiment le soir qu'ils rentrent...
Nous sommes tous des chiens,ah non eux sont fidèles...mais cela ne paye pas.Car ils nous trompent et nous de nos gilets cocufiés,que nous arborons fièrement en tapinant en pleine rue pour déclamer qu'ils nous auront plus,tout en réclamant d'être puni!Et oui le pouvoir d'achat est un mensonge de publicitaire, qu'on a gobé, nous promettant qu'on sera plus beau,meilleur,mais jamais un accessoire nous a rendu bon, puisque la chaleur d'une main sera toujours plus douce qu'un radiateur.Et puis de cette notion matraquée à nos pauvres cerveaux,celle ci même pour laquelle on se bat...n'y aurait il pas ici manipulation ?!
Alors que vaut un combat qui nous enfonce plus qu'il nous élève, puisque plus on en veut moins on aura,les p'tits sous dont on rêve sont bien leurs gros sous ...
Le pouvoir n'est pas dans l'avoir,mais dans l'être et paraître aux yeux du monde n'a de paillettes qu'à ceux qui les regardent.Il n'y a de réjouissant que le bordel que cela provoque,les ordures remontent enfin à leur nez!...

(Fin) Mais à l'horizon toujours pas de lutte pour les naufragés d'une société toujours plus méprisante,car oui tu le connais le clochard du quartier,lui qu'on a emmuré dans sa misère et dont on parle en hiver pour faire vendre dans les journaux... Tu le connais aussi le collègue qui vit dans sa voiture, asphyxié par le fric qu'il n'a pas... Et ta femme qui est payée au rabais puisqu'elle n'a pas une belle paire ... Et ta voisine en fauteuil qui ne peut se déplacer car pas de jambes pas d'accès,elle n'a plus qu'à ramper comme les autres.Alors t'en veux encore des injustices d'écoliers,vas en parler à la terre,elle te dira de creuser en ces profondeurs pharmaceutiques,elle ne nourrit plus elle empoisonne,vois dans ses sanglots nos échoués à la mer cimetière! Nos combats manquent d'âmes, manquent de coeurs, où est la justice des hommes ? Ah oui, c'est vrai nous sommes tous des chiens... je suis enfant de ses dérives,mais à chaque fois que tu consommes je me consume, à chaque fois que je consomme je m'eteins de ce feu de misère,cet incendie ne fera de moi que cendres au vent.Ma plume est ma seule façon de voler,de s'envoler,de survoler. Je serai Pélican bleu au dessus des océans d'argent,de ma plume naviguant au gré des embruns ne chavirant au clair de lune, qu'auprès d'un voilier, d'une barque folle, puis dans sa course à la grande Ours, trajectoire des infinis, j'aurais froid,je serai liberté !
Pelican bleu Il y a 5 ans

(Fin)

Mais à l'horizon toujours pas de lutte pour les naufragés d'une société toujours plus méprisante,car oui tu le connais le clochard du quartier,lui qu'on a emmuré dans sa misère et dont on parle en hiver pour faire vendre dans les journaux...
Tu le connais aussi le collègue qui vit dans sa voiture, asphyxié par le fric qu'il n'a pas...
Et ta femme qui est payée au rabais puisqu'elle n'a pas une belle paire ...
Et ta voisine en fauteuil qui ne peut se déplacer car pas de jambes pas d'accès,elle n'a plus qu'à ramper comme les autres.Alors t'en veux encore des injustices d'écoliers,vas en parler à la terre,elle te dira de creuser en ces profondeurs pharmaceutiques,elle ne nourrit plus elle empoisonne,vois dans ses sanglots nos échoués à la mer cimetière!
Nos combats manquent d'âmes, manquent de coeurs, où est la justice des hommes ?
Ah oui, c'est vrai nous sommes tous des chiens... je suis enfant de ses dérives,mais à chaque fois que tu consommes je me consume, à chaque fois que je consomme je m'eteins de ce feu de misère,cet incendie ne fera de moi que cendres au vent.Ma plume est ma seule façon de voler,de s'envoler,de survoler.
Je serai Pélican bleu au dessus des océans d'argent,de ma plume naviguant au gré des embruns ne chavirant au clair de lune, qu'auprès d'un voilier, d'une barque folle, puis dans sa course à la grande Ours, trajectoire des infinis, j'aurais froid,je serai liberté !

Comme toujours de très beaux écrits pleins de justesses et de poésie. Où fuir dans ce monde toujours plus fou, qui tourne toujours plus vite ? Peut-être que le seul échappatoire est justement cette auberge de la Grande Ourse que le poète-vagabond aimait si bien. "puisque la chaleur d'une main sera toujours plus douce qu'un radiateur." Tellement véridique.
Ame Mélancolique Il y a 5 ans

Comme toujours de très beaux écrits pleins de justesses et de poésie.
Où fuir dans ce monde toujours plus fou, qui tourne toujours plus vite ? Peut-être que le seul échappatoire est justement cette auberge de la Grande Ourse que le poète-vagabond aimait si bien.

"puisque la chaleur d'une main sera toujours plus douce qu'un radiateur."

Tellement véridique.



[quote="Pelican bleu"] oui tu le connais le clochard du quartier,lui qu'on a emmuré dans sa misère et dont on parle en hiver pour faire vendre dans les journaux... Tu le connais aussi le collègue qui vit dans sa voiture, asphyxié par le fric qu'il n'a pas... Et ta femme qui est payée au rabais puisqu'elle n'a pas une belle paire ... Et ta voisine en fauteuil qui ne peut se déplacer car pas de jambes pas d'accès,elle n'a plus qu'à ramper comme les autres.Alors t'en veux encore des injustices d'écoliers,va en parler à la terre,elle te dira de creuser en ces profondeurs pharmaceutiques,elle ne nourrit plus elle empoisonné,voit dans ses sanglots nos échoués à la mer cimetière! Nos combats manquent d'âmes, manquent de coeurs, où est la justice des hommes ? Ah oui, c'est vrai nous sommes tous des chiens... je suis enfant de ses dérives,mais à chaque fois que tu consommes je me consume, à chaque fois que je consomme je m'eteins de ce feu de misère,cet incendie ne fera de moi que cendres au vent.Ma plume est ma seule façon de voler,de s'envoler,de survoler. [/quote] j'adore :)
gavroche_greyjoy Il y a 5 ans


oui tu le connais le clochard du quartier,lui qu'on a emmuré dans sa misère et dont on parle en hiver pour faire vendre dans les journaux...
Tu le connais aussi le collègue qui vit dans sa voiture, asphyxié par le fric qu'il n'a pas...
Et ta femme qui est payée au rabais puisqu'elle n'a pas une belle paire ...
Et ta voisine en fauteuil qui ne peut se déplacer car pas de jambes pas d'accès,elle n'a plus qu'à ramper comme les autres.Alors t'en veux encore des injustices d'écoliers,va en parler à la terre,elle te dira de creuser en ces profondeurs pharmaceutiques,elle ne nourrit plus elle empoisonné,voit dans ses sanglots nos échoués à la mer cimetière!
Nos combats manquent d'âmes, manquent de coeurs, où est la justice des hommes ?
Ah oui, c'est vrai nous sommes tous des chiens... je suis enfant de ses dérives,mais à chaque fois que tu consommes je me consume, à chaque fois que je consomme je m'eteins de ce feu de misère,cet incendie ne fera de moi que cendres au vent.Ma plume est ma seule façon de voler,de s'envoler,de survoler.


j'adore

Aux débris du sable Quand tes yeux font des orages, Ma pupille est une fable, À la boue L'Aurore nage, Nos précipices délicieux, Se dorent déjà à son empreinte, Des supplices ambitieux, dévorent nos cris qui suintent. Aux fracas des dunes Quand mon corps entre dans ton ombre, L'éclat en est une, Toujours à l'affût d'une bombe. Se murmurent d'ici et là les volières, D'un chant de bec, Comme des sanglots à la fourmilière, Des champs d'insectes. Aux marbres qui tombent au froid, Saisissant la feuille d'effroi, De vers inutiles à l'instant, Mais subliment au temps, Crachant nos dérives vives Et impatientes à ses rives...
Pelican bleu Il y a 5 ans

Aux débris du sable
Quand tes yeux font des orages,
Ma pupille est une fable,
À la boue L'Aurore nage,
Nos précipices délicieux,
Se dorent déjà à son empreinte,
Des supplices ambitieux,
dévorent nos cris qui suintent.
Aux fracas des dunes
Quand mon corps entre dans ton ombre,
L'éclat en est une,
Toujours à l'affût d'une bombe.
Se murmurent d'ici et là les volières,
D'un chant de bec,
Comme des sanglots à la fourmilière,
Des champs d'insectes.
Aux marbres qui tombent au froid,
Saisissant la feuille d'effroi,
De vers inutiles à l'instant,
Mais subliment au temps,
Crachant nos dérives vives
Et impatientes à ses rives...

Nos déflagrations nous emportent,c'est le cœur qui parle.... La bombe au corps et l'écho au chaos, Implosion des sens, explosion de l'âme.
Pelican bleu Il y a 5 ans

Nos déflagrations nous emportent,c'est le cœur qui parle....
La bombe au corps et l'écho au chaos,
Implosion des sens, explosion de l'âme.

Les fleurs puisent dans la rosée de nos sueurs, Et se noyent à l'orée de nos pleurs, Des sentiments,des sangs, ciments, De nos êtres liés , plénitude en solitude. Y aurait il des jardins à nos coeurs? Orchidées ou lilas à nos âmes ont poussé . À l'ombre d'un chagrin qui se meurt, Où la brise découvre au matin un baiser.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Les fleurs puisent dans la rosée de nos sueurs,
Et se noyent à l'orée de nos pleurs,
Des sentiments,des sangs, ciments,
De nos êtres liés , plénitude en solitude.
Y aurait il des jardins à nos coeurs?
Orchidées ou lilas à nos âmes ont poussé .
À l'ombre d'un chagrin qui se meurt,
Où la brise découvre au matin un baiser.

Comme un préambule, à l'odeur du coucher, Il s'éveille pour rendre à la nature sa lumière, De ces nuits qui pâlissent aux passions de s'aimer, Des ardentes fièvres pour des corps de misères, Rougissent tes cendres, dessinant les amants, D'un ciel qui renaît aux fusions s'étreignant.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Comme un préambule, à l'odeur du coucher,
Il s'éveille pour rendre à la nature sa lumière,
De ces nuits qui pâlissent aux passions de s'aimer,
Des ardentes fièvres pour des corps de misères,
Rougissent tes cendres, dessinant les amants,
D'un ciel qui renaît aux fusions s'étreignant.

Les sanglots coulent et colorent des sourires, En éclat,en mille fragments des rires, Éparses,aux pluies où les fantômes sont souvenirs, Des regards passent aux ruisseaux du pire, L'argent coule et colore des saphirs, Le fracas du clinquant en point de mire, C'est l'époque pour se travestir, Pour un peu de monnaies , d'élixir. Je préfère la mélancolie où je chavire, Que toutes vos caisses de désirs.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Les sanglots coulent et colorent des sourires,
En éclat,en mille fragments des rires,
Éparses,aux pluies où les fantômes sont souvenirs,
Des regards passent aux ruisseaux du pire,
L'argent coule et colore des saphirs,
Le fracas du clinquant en point de mire,
C'est l'époque pour se travestir,
Pour un peu de monnaies , d'élixir.
Je préfère la mélancolie où je chavire,
Que toutes vos caisses de désirs.

Écho écho Voyage sur le tapis magique des mots. ♡
AnonymeIl y a 4 ans

Écho écho
Voyage sur le tapis magique des mots.

Et monte et monte l'écho, Et monte et monte ton eau, À mes paupières dévale ton cœur, À ma voix chante ta torpeur... Tes chuchotements résonnent, C'est mon être entier qui frissonne.
Pelican bleu Il y a 4 ans

Et monte et monte l'écho,
Et monte et monte ton eau,
À mes paupières dévale ton cœur,
À ma voix chante ta torpeur...
Tes chuchotements résonnent,
C'est mon être entier qui frissonne.