Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience. http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.
idem Il y a 6 ans

Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience.

http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent

C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.

Bonjour :) J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant, Les discussions ont un potentiel intéressant, mais je me pose une question qui fait partie des fondamentaux,, celle de la définition des mots que nous utilisons, Du coup, il faut donner aux mots leur sens Qu'est-ce que nous entendons par soigner et qu'est-ce que nous entendons par guérir ? Très grossièrement, soigner définit un problème de santé physique, la grippe, la rubéole, le sida, etc... Tandis que guérir est trouver un problème psychologique et, y retrouver la source et trouver le moyen de le supprimer. L'une des premières étapes est savoir écouter au delà des mots, mais comprendre ses maux, et les accepter. Et c'est là que ça devient intéressant ^^ Nous pouvons guérir, encore faut-il le vouloir. Le malade à guérir a souvent mal à dire de sa maladie, car il ne peut exprimer ses maux avec des mots. Si ça vous intéresse, il y a un psychologue qui raconte très bien et de façon élégante ces termes. Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ? Belle journée :) Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et à ceux qui auront pris le temps de répondre
Ewi Il y a 6 ans

Bonjour

J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant,

Les discussions ont un potentiel intéressant, mais je me pose une question qui fait partie des fondamentaux,, celle de la définition des mots que nous utilisons,

Du coup, il faut donner aux mots leur sens
Qu'est-ce que nous entendons par soigner et qu'est-ce que nous entendons par guérir ?

Très grossièrement, soigner définit un problème de santé physique, la grippe, la rubéole, le sida, etc...
Tandis que guérir est trouver un problème psychologique et, y retrouver la source et trouver le moyen de le supprimer. L'une des premières étapes est savoir écouter au delà des mots, mais comprendre ses maux, et les accepter.

Et c'est là que ça devient intéressant
Nous pouvons guérir, encore faut-il le vouloir. Le malade à guérir a souvent mal à dire de sa maladie, car il ne peut exprimer ses maux avec des mots.

Si ça vous intéresse, il y a un psychologue qui raconte très bien et de façon élégante ces termes.


Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ?


Belle journée

Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et à ceux qui auront pris le temps de répondre

[quote="Meduse"][quote="suffragettes AB"] Pour le mec, j'ai toujours dit que c'était assez frustrant de prendre toujours le même menu à la cafèt, n'empêche j'ai besoin de sécurité affective et puis l'amour ne se résume pas au désir, on peut avoir un appétit démésurée mais mieux vaut rester dans l'équilibre et au final si une personne ne peut pas combler tous nos désirs c'est normal...là je vais me retrouver célibataire, un peu de peur de l'inconnu à ce niveau là, ça fait 12 ans que je n'ai pas été célibataire, et finalement ça va me faire tout drôle et contre toute attente je n'ai pas tant envie que ça d'aller goûter autre chose en fait.[/quote] Alors prend ton temps. Commence par te re-goûter toi même. Re-construire des repères d' avant les compromis du Nous. Aimer ton Je. Comment pourrions nous déléguer nos désirs si nous ne les connaissons pas vraiment nous même ? Et puis tu es maman, si ma mémoire est bonne. Donc t'inquiètes, tu vas pas devenir du jour au lendemain une sérial lovelace, ne sois pas fatiguée d'avance ! :-D Le goût te reviendra car la vie sait toujours être appétissante, quelque soit les ventres. Mais la parade amoureuse, c est plutôt au printemps. Alors le mieux, c est de commencer par t'auto-garantir un peu de soleil dans ton quotidien. Ça peut le faire revenir, ou te faire rencontrer un écho plus en phase avec ta mue.[/quote] <3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie. Je vais encore faire ruer dans les brancards, mais c'est plus facile à vivre la garde alternée pour un homme que pour une femme. Une femme ça a la garde principale en général, c'est mal vu la garde alternée et puis voilà, voir son enfant une semaine sur deux, c'est être un peu touriste dans la parentalité, ce n'est pas une situation normale. Se retrouver une semaine dans un quotidien d'individu sans responsabilités, et une autre semaine dans un quotidien de parent responsable, c'est jongler entre deux rôles dans une vie, c'est trop bizarre...être dans un quotidien de parent 24h sur 24, c'était ma normalité. Ceci dit je pense que pour l'enfant, c'est plus équilibrant, de rester en contact avec ses deux parents régulièrement, et de ne pas être privé d'un de ses parents de manière trop prolongée. Un enfant est aussi proche de son père que de sa mère. C'est pas ce que prêche la psychanalyse, ni l'église catholique mais bon... Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours! J'ai toujours eu le goût et l'imagination débordante, je suis sujette aux flash intempestifs dés qu'un homme charmant me parle un peu trop :), il joue avec le feu; n'empêche que concrètement je suis habituée physiquement à ce con, et que l''hypothèse de sauter dans le corps de quelqu'un d'autre relève de la science-fiction encore dans ma vie. Il me lâche dans la nature, je le lâche dans la nature, on va bien voir ce que ça donne :). N'empêche la dernière fois que c'est arrivé (4 mois) c'est lui qui m'a rattrapé au vol. Il a déjà fait le fanfaron en disant devant mes amis que l'amour n'existe pas dans une discussion généraliste sur les couples. Dois-je en déduire que l'instinct de propriété est plus fort que l'amour chez les hommes?! Je n'ai pas peur d'être l'abandonné, j'ai peur de la période de célibat où on ne peut plus s'abandonner à quelqu'un, une vie sans masculin...une vie sans mâle, c'est le mal :)., un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité. Je vais tâcher de ne pas devenir taré! merci meduse pour la séance.
suffragettes AB Il y a 6 ans


Pour le mec, j'ai toujours dit que c'était assez frustrant de prendre toujours le même menu à la cafèt, n'empêche j'ai besoin de sécurité affective et puis l'amour ne se résume pas au désir, on peut avoir un appétit démésurée mais mieux vaut rester dans l'équilibre et au final si une personne ne peut pas combler tous nos désirs c'est normal...là je vais me retrouver célibataire, un peu de peur de l'inconnu à ce niveau là, ça fait 12 ans que je n'ai pas été célibataire, et finalement ça va me faire tout drôle et contre toute attente je n'ai pas tant envie que ça d'aller goûter autre chose en fait.


Alors prend ton temps.

Commence par te re-goûter toi même. Re-construire des repères d' avant les compromis du Nous. Aimer ton Je. Comment pourrions nous déléguer nos désirs si nous ne les connaissons pas vraiment nous même ?

Et puis tu es maman, si ma mémoire est bonne. Donc t'inquiètes, tu vas pas devenir du jour au lendemain une sérial lovelace, ne sois pas fatiguée d'avance !

Le goût te reviendra car la vie sait toujours être appétissante, quelque soit les ventres. Mais la parade amoureuse, c est plutôt au printemps. Alors le mieux, c est de commencer par t'auto-garantir un peu de soleil dans ton quotidien.

Ça peut le faire revenir,
ou te faire rencontrer un écho plus en phase avec ta mue.
@Meduse


<3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie. Je vais encore faire ruer dans les brancards, mais c'est plus facile à vivre la garde alternée pour un homme que pour une femme. Une femme ça a la garde principale en général, c'est mal vu la garde alternée et puis voilà, voir son enfant une semaine sur deux, c'est être un peu touriste dans la parentalité, ce n'est pas une situation normale. Se retrouver une semaine dans un quotidien d'individu sans responsabilités, et une autre semaine dans un quotidien de parent responsable, c'est jongler entre deux rôles dans une vie, c'est trop bizarre...être dans un quotidien de parent 24h sur 24, c'était ma normalité. Ceci dit je pense que pour l'enfant, c'est plus équilibrant, de rester en contact avec ses deux parents régulièrement, et de ne pas être privé d'un de ses parents de manière trop prolongée. Un enfant est aussi proche de son père que de sa mère. C'est pas ce que prêche la psychanalyse, ni l'église catholique mais bon...

Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours!

J'ai toujours eu le goût et l'imagination débordante, je suis sujette aux flash intempestifs dés qu'un homme charmant me parle un peu trop , il joue avec le feu; n'empêche que concrètement je suis habituée physiquement à ce con, et que l''hypothèse de sauter dans le corps de quelqu'un d'autre relève de la science-fiction encore dans ma vie.

Il me lâche dans la nature, je le lâche dans la nature, on va bien voir ce que ça donne . N'empêche la dernière fois que c'est arrivé (4 mois) c'est lui qui m'a rattrapé au vol. Il a déjà fait le fanfaron en disant devant mes amis que l'amour n'existe pas dans une discussion généraliste sur les couples. Dois-je en déduire que l'instinct de propriété est plus fort que l'amour chez les hommes?!

Je n'ai pas peur d'être l'abandonné, j'ai peur de la période de célibat où on ne peut plus s'abandonner à quelqu'un, une vie sans masculin...une vie sans mâle, c'est le mal ., un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité.

Je vais tâcher de ne pas devenir taré!

merci meduse pour la séance.

[quote="Ewi"]Bonjour :) J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant, Les discussions ont un potentiel intéressant, mais je me pose une question qui fait partie des fondamentaux,, celle de la définition des mots que nous utilisons, Du coup, il faut donner aux mots leur sens Qu'est-ce que nous entendons par soigner et qu'est-ce que nous entendons par guérir ? Très grossièrement, soigner définit un problème de santé physique, la grippe, la rubéole, le sida, etc... Tandis que guérir est trouver un problème psychologique et, y retrouver la source et trouver le moyen de le supprimer. L'une des premières étapes est savoir écouter au delà des mots, mais comprendre ses maux, et les accepter. Et c'est là que ça devient intéressant ^^ Nous pouvons guérir, encore faut-il le vouloir. Le malade à guérir a souvent mal à dire de sa maladie, car il ne peut exprimer ses maux avec des mots. Si ça vous intéresse, il y a un psychologue qui raconte très bien et de façon élégante ces termes. Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ? Belle journée :) Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et à ceux qui auront pris le temps de répondre[/quote] Hello ça fait plaisir de te lire Je réagis à tes propos : Sur les définitions, car je ne suis pas d'accord avec toi, si tu lis celle de soigner : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/soigner/73230 Les deux premières définition sortent du contexte du médical, donc attention à ne pas parler de termes sans aller voir en amont les définitions. :) http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/guérir/38510?q=Guérir#38448 Pour le terme guérir, il n'est pas question essentiellement d'ordre psychologique, et encore moins d'une obligation de trouver la source pour curer ce "mal" duquel nous sommes atteints, sur un plan physique particulièrement : la médecine moderne ( à mon sens ) tends plus à prodiguer des soins en considérant les symptômes et non les causes. En parlant de psychologique là, c'est différent, il y a nécessité comme tu dis d'une identification du mal-être, lié souvent, il me semble, d'un traumatisme, pour avoir la capacité d'une guérison plus pleine. J'ai tendance à penser qu'on peut sublimer le terme de guérison à une réalité, mais qu'on ne peut pas garantir son maintien perpétuel dans le temps. C'est comme si l'équilibre des forces qui sommeillent en nous peuvent à leurs aises faire des vas et viens, en somme. Lavoisier disait " rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme " Et l'eau une fois évaporée n'est pas seule gardienne de sa condition : elle peut retomber en pluie, si les conditions météorologiques le permettent ( donc ce sont des facteurs externes toujours qui jouent sur l'état - là, physique - de l'eau ) voir même se figer en glace pour retourner d'un coup à l'état gazeux, bien qu'elle était en état solide. J'ai pris l'eau comme exemple. On pense trop qu'on est dans un milieu fermé et il me semble que c'est une erreur d'envisager ça comme ça. Il y a des choses qui peuvent dépendre de nous seuls ( identification des maux, équilibrage en nous pour ne pas se faire manger par ce qui nous dévore, limiter l'appétit de nos vices, ect ) mais beaucoup d'autres facteurs ne viennent pas que de nos propres pensées, conscientes ou non. On réagit avec le monde extérieur. Une victime de viol, même si elle se pense guérit, est toujours en proie à l'imaginaire d'une possibilité de renouvellement de cette expérience traumatisante et ignoble. Et contre elle-même. C'est ce que je disais à Kaio plus haut. Ce n'est pas parceque une plaie apparaît refermée que sous la peau ce n'est pas infectée. Méfions nous de l'eau qui dort. Après je souhaite à chacun de pouvoir trouver des voies de paix et ses équilibres mentaux qui font que la vie sait être agréable et qu'elle ne soit pas qu'une quotité minimale de mal-être à porter ad vitam eternam...
AnonymeIl y a 6 ans

Bonjour

J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant,

Les discussions ont un potentiel intéressant, mais je me pose une question qui fait partie des fondamentaux,, celle de la définition des mots que nous utilisons,

Du coup, il faut donner aux mots leur sens
Qu'est-ce que nous entendons par soigner et qu'est-ce que nous entendons par guérir ?

Très grossièrement, soigner définit un problème de santé physique, la grippe, la rubéole, le sida, etc...
Tandis que guérir est trouver un problème psychologique et, y retrouver la source et trouver le moyen de le supprimer. L'une des premières étapes est savoir écouter au delà des mots, mais comprendre ses maux, et les accepter.

Et c'est là que ça devient intéressant
Nous pouvons guérir, encore faut-il le vouloir. Le malade à guérir a souvent mal à dire de sa maladie, car il ne peut exprimer ses maux avec des mots.

Si ça vous intéresse, il y a un psychologue qui raconte très bien et de façon élégante ces termes.


Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ?


Belle journée

Merci à ceux qui auront pris le temps de lire, et à ceux qui auront pris le temps de répondre


Hello ça fait plaisir de te lire

Je réagis à tes propos :

Sur les définitions, car je ne suis pas d'accord avec toi, si tu lis celle de soigner :

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/soigner/73230

Les deux premières définition sortent du contexte du médical, donc attention à ne pas parler de termes sans aller voir en amont les définitions.

http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/guérir/38510?q=Guérir#38448

Pour le terme guérir, il n'est pas question essentiellement d'ordre psychologique, et encore moins d'une obligation de trouver la source pour curer ce "mal" duquel nous sommes atteints, sur un plan physique particulièrement : la médecine moderne ( à mon sens ) tends plus à prodiguer des soins en considérant les symptômes et non les causes.

En parlant de psychologique là, c'est différent, il y a nécessité comme tu dis d'une identification du mal-être, lié souvent, il me semble, d'un traumatisme, pour avoir la capacité d'une guérison plus pleine.
J'ai tendance à penser qu'on peut sublimer le terme de guérison à une réalité, mais qu'on ne peut pas garantir son maintien perpétuel dans le temps. C'est comme si l'équilibre des forces qui sommeillent en nous peuvent à leurs aises faire des vas et viens, en somme.

Lavoisier disait " rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme "
Et l'eau une fois évaporée n'est pas seule gardienne de sa condition : elle peut retomber en pluie, si les conditions météorologiques le permettent ( donc ce sont des facteurs externes toujours qui jouent sur l'état - là, physique - de l'eau ) voir même se figer en glace pour retourner d'un coup à l'état gazeux, bien qu'elle était en état solide.
J'ai pris l'eau comme exemple. On pense trop qu'on est dans un milieu fermé et il me semble que c'est une erreur d'envisager ça comme ça. Il y a des choses qui peuvent dépendre de nous seuls ( identification des maux, équilibrage en nous pour ne pas se faire manger par ce qui nous dévore, limiter l'appétit de nos vices, ect ) mais beaucoup d'autres facteurs ne viennent pas que de nos propres pensées, conscientes ou non. On réagit avec le monde extérieur.

Une victime de viol, même si elle se pense guérit, est toujours en proie à l'imaginaire d'une possibilité de renouvellement de cette expérience traumatisante et ignoble. Et contre elle-même.

C'est ce que je disais à Kaio plus haut. Ce n'est pas parceque une plaie apparaît refermée que sous la peau ce n'est pas infectée.
Méfions nous de l'eau qui dort.

Après je souhaite à chacun de pouvoir trouver des voies de paix et ses équilibres mentaux qui font que la vie sait être agréable et qu'elle ne soit pas qu'une quotité minimale de mal-être à porter ad vitam eternam...


[quote="Churinga"] Lavoisier disait " rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme " Et l'eau une fois évaporée n'est pas seule gardienne de sa condition : elle peut retomber en pluie, si les conditions météorologiques le permettent ( donc ce sont des facteurs externes toujours qui jouent sur l'état - là, physique - de l'eau ) voir même se figer en glace pour retourner d'un coup à l'état gazeux, bien qu'elle était en état solide. J'ai pris l'eau comme exemple. On pense trop qu'on est dans un milieu fermé et il me semble que c'est une erreur d'envisager ça comme ça. Il y a des choses qui peuvent dépendre de nous seuls ( identification des maux, équilibrage en nous pour ne pas se faire manger par ce qui nous dévore, limiter l'appétit de nos vices, ect ) mais beaucoup d'autres facteurs ne viennent pas que de nos propres pensées, conscientes ou non. On réagit avec le monde extérieur. [/quote] +1, j'adore le concept. Un humain change régulièrement d'état (psychique et physique) dans sa vie, toujours en mouvement, rien n'est figé.
suffragettes AB Il y a 6 ans


Lavoisier disait " rien ne se perd rien ne se crée tout se transforme "
Et l'eau une fois évaporée n'est pas seule gardienne de sa condition : elle peut retomber en pluie, si les conditions météorologiques le permettent ( donc ce sont des facteurs externes toujours qui jouent sur l'état - là, physique - de l'eau ) voir même se figer en glace pour retourner d'un coup à l'état gazeux, bien qu'elle était en état solide.
J'ai pris l'eau comme exemple. On pense trop qu'on est dans un milieu fermé et il me semble que c'est une erreur d'envisager ça comme ça. Il y a des choses qui peuvent dépendre de nous seuls ( identification des maux, équilibrage en nous pour ne pas se faire manger par ce qui nous dévore, limiter l'appétit de nos vices, ect ) mais beaucoup d'autres facteurs ne viennent pas que de nos propres pensées, conscientes ou non. On réagit avec le monde extérieur.

@Churinga


+1, j'adore le concept. Un humain change régulièrement d'état (psychique et physique) dans sa vie, toujours en mouvement, rien n'est figé.

Salut Churinga, merci pour ta réponse :) En effet, mon explication est très simpliste en limitant les termes uniquement d'un point de vue psychologique au lieu de le conserver une vision générale de ces deux termes, Et ne t'en fais pas, j'avais fait des recherches avant d'écrire ma réponse ;) Dans tous les cas oui, soigner ou guérir, c'est l'histoire d'agir sur un état, état qui est en évolution perpétuel tout le long de notre vie. Là où je fais la différence, c'est ici: http://lechantducorps.free.fr/public/soignerouguerir.pdf Chant du corps = Association qui met en place des ateliers, activités etc, pour la recherche du bien-être, activités suivis par des professionnels dans leur domaine. Soigner va permettre de faire disparaître les symptômes, en prenant soin, en s'occupant de la personne, pour l'amener vers l'état de guérison. C'est ce qu'on remarque dans tes liens d'ailleurs, si tu regardes, les mots pour définir "soigner", tu as "s'occuper de..." "prendre soin de...". Dans guérir, tu as l'idée globale de faire disparaître définitivement, "faire cesser", "faire disparaître". Je cite directement le lien que j'ai mis: " se guérir implique de répondre à des besoins affectifs, psychiques et spirituels qui exigent une prise de conscience très profonde et un changement radical intérieur. " C'est que je tentais de dire plus haut, mais grossièrement, et en restant dans le domaine de la santé psychologique, et je m'en excuse, je voulais parler du terme guérir au-delà de ceux qu'on peut retrouver dans le terme soigner :) (et qui font que des amalgames peuvent se former). Pour essayer de faire encore un peu général, mais surtout côté psy, je te laisserai te tourner vers le site de l'OMS directement, Mais guérir est mener à l'état de bonne santé, et la bonne santé est l'état de bien-être physique, mental et social. Pour le physique, tu as la médecine qui la plupart du temps va te soigner. Pour le mental tu as la psychiatrie, qui la plupart du temps va te soigner. Pour le social, on va dire que tu as ton réseau d'amis, qui la plupart du temps vont simplement te soigner. (Bon, la société aussi ... Normalement...) Ce qui est déjà bien ! Mais du coup, techniquement, c'est possible de guérir complètement. Mais: - Si tu ne vas pas chez le médecin quand tu as des soucis de santé, - Quand tu ne vas pas voir un psy quand tu sens que tu en as gros sur la patate, - Quand tu ne t'entoures pas des personnes qui t'apportent les bonnes ondes, voire que tu t'entoures de personnes néfastes à ton épanouissement personnel, Et bieh, c'est plus un baton dans les roues que tu te mets, c'est tout un arbre =/ (ça fait un grand vélo, oui). Et c'est là où je voulais en venir :) Guérir, ce n'est pas ne plus avoir de cicatrices, c'est savoir vivre avec et pouvoir continuer à s'épanouir et atteindre ce bien-être général. Perso, j'ai des problèmes de santé, c'est galère, mais j'ai appris à vivre avec, et je me sens bien comme je suis. Il faut que je fasse du sport, mais à part ça, ça va J'ai eu des altercations violentes dans la rue et je suis rentré chez moi la tête ensanglantée, mais je vis avec, et j'arrive à m'épanouir quand même :) Je sais qu'il y a des gens néfastes pour moi, et je l'accepte, j'arrive à vivre avec, en gardant une certaine distance, suffisamment pour ne pas souffrir. Mais comme vous l'avez dit, Churinga et Suffragettes AB, l'humain change d'état constamment, et forcément, ce bien être disparait, mais c'est à nous de se soigner, pour aller à la guérison :) J'espère que j'ai été un peu plus compréhensible, et pas trop long à lire, Belle journée :) PS: je ne me relis pas, du coup désolé pour les fautes =/
Ewi Il y a 6 ans

Salut Churinga, merci pour ta réponse

En effet, mon explication est très simpliste en limitant les termes uniquement d'un point de vue psychologique au lieu de le conserver une vision générale de ces deux termes,

Et ne t'en fais pas, j'avais fait des recherches avant d'écrire ma réponse

Dans tous les cas oui, soigner ou guérir, c'est l'histoire d'agir sur un état, état qui est en évolution perpétuel tout le long de notre vie.

Là où je fais la différence, c'est ici:
http://lechantducorps.free.fr/public/soignerouguerir.pdf

Chant du corps = Association qui met en place des ateliers, activités etc, pour la recherche du bien-être, activités suivis par des professionnels dans leur domaine.

Soigner va permettre de faire disparaître les symptômes, en prenant soin, en s'occupant de la personne, pour l'amener vers l'état de guérison. C'est ce qu'on remarque dans tes liens d'ailleurs, si tu regardes, les mots pour définir "soigner", tu as "s'occuper de..." "prendre soin de...". Dans guérir, tu as l'idée globale de faire disparaître définitivement, "faire cesser", "faire disparaître".

Je cite directement le lien que j'ai mis:
" se guérir implique de répondre à des besoins affectifs, psychiques et spirituels qui exigent une prise de conscience très profonde et un changement radical intérieur. "

C'est que je tentais de dire plus haut, mais grossièrement, et en restant dans le domaine de la santé psychologique, et je m'en excuse, je voulais parler du terme guérir au-delà de ceux qu'on peut retrouver dans le terme soigner (et qui font que des amalgames peuvent se former).

Pour essayer de faire encore un peu général, mais surtout côté psy, je te laisserai te tourner vers le site de l'OMS directement,

Mais guérir est mener à l'état de bonne santé, et la bonne santé est l'état de bien-être physique, mental et social. Pour le physique, tu as la médecine qui la plupart du temps va te soigner. Pour le mental tu as la psychiatrie, qui la plupart du temps va te soigner. Pour le social, on va dire que tu as ton réseau d'amis, qui la plupart du temps vont simplement te soigner. (Bon, la société aussi ... Normalement...)

Ce qui est déjà bien !

Mais du coup, techniquement, c'est possible de guérir complètement. Mais:
- Si tu ne vas pas chez le médecin quand tu as des soucis de santé,
- Quand tu ne vas pas voir un psy quand tu sens que tu en as gros sur la patate,
- Quand tu ne t'entoures pas des personnes qui t'apportent les bonnes ondes, voire que tu t'entoures de personnes néfastes à ton épanouissement personnel,

Et bieh, c'est plus un baton dans les roues que tu te mets, c'est tout un arbre =/ (ça fait un grand vélo, oui).

Et c'est là où je voulais en venir Guérir, ce n'est pas ne plus avoir de cicatrices, c'est savoir vivre avec et pouvoir continuer à s'épanouir et atteindre ce bien-être général.

Perso, j'ai des problèmes de santé, c'est galère, mais j'ai appris à vivre avec, et je me sens bien comme je suis. Il faut que je fasse du sport, mais à part ça, ça va
J'ai eu des altercations violentes dans la rue et je suis rentré chez moi la tête ensanglantée, mais je vis avec, et j'arrive à m'épanouir quand même
Je sais qu'il y a des gens néfastes pour moi, et je l'accepte, j'arrive à vivre avec, en gardant une certaine distance, suffisamment pour ne pas souffrir.

Mais comme vous l'avez dit, Churinga et Suffragettes AB, l'humain change d'état constamment, et forcément, ce bien être disparait, mais c'est à nous de se soigner, pour aller à la guérison

J'espère que j'ai été un peu plus compréhensible, et pas trop long à lire,

Belle journée

PS: je ne me relis pas, du coup désolé pour les fautes =/

[quote="Ewi"]Bonjour :) J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant (...) [/quote] Welcome @Ewi :) Il me semble que ce n'est jamais ennuyant quand nous avons la démarche de partager ce qui nous intéresse, ou des questionnements authentiques. Tout dépend comment tu le fais, je te rappelle que le boudoir a migré dans le bac à sable ;-) J'aime bien l'intéraction sur le sujet en tout cas. Merci @Isa pour ton lien ! Donc ... il y a mille et une manière de soigner, mais pour guérir faut quand même de la bonne volonté, ça reste une démarche personnelle, une question de choix, d'intention : se faire du bien, ou se noyer dans son mal. [quote="Ewi"]Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ? [/quote] Personnellement, je trouve qu'une idée est mieux illustrée par des anecdotes de vie direct, ça rend l'échange moins "scolaire" que de rester dans la définition généraliste. Peut être, pour le confort de lecture de chacun, juste tenter d'être concis ?
AnonymeIl y a 6 ans

Bonjour J'aime beaucoup la psychologie et la philosophie, du coup, je me permets de passer ici, au risque d'être peu intéressant ou ennuyant (...)


Welcome Ewi

Il me semble que ce n'est jamais ennuyant quand nous avons la démarche de partager ce qui nous intéresse, ou des questionnements authentiques. Tout dépend comment tu le fais, je te rappelle que le boudoir a migré dans le bac à sable

J'aime bien l'intéraction sur le sujet en tout cas.
Merci Isa pour ton lien !

Donc ... il y a mille et une manière de soigner, mais pour guérir faut quand même de la bonne volonté, ça reste une démarche personnelle, une question de choix, d'intention : se faire du bien, ou se noyer dans son mal.

Je ne sais pas comment le divan fonctionne exactement, je peux poser toutes les questions que je veux ? Ou je peux raconter tout ce que je veux ? Est-ce que ça doit voir un lien avec ma vie directe ? Ou est-ce que je peux parler d'un sujet qui m'intéresse vraiment beaucoup sur l'humain ?


Personnellement, je trouve qu'une idée est mieux illustrée par des anecdotes de vie direct, ça rend l'échange moins "scolaire" que de rester dans la définition généraliste. Peut être, pour le confort de lecture de chacun, juste tenter d'être concis ?

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung Pour ceux que ça peut éventuellement intéresser ;) J'entends ce que tu dis, oui, je suis partiellement d'accord. Sur le fond. La forme, un peu moins. Après, je ne suis pas d'accord avec toi dans le sens où pour te " guérir " tu n'es pas obligé de passer par des professionnels de la " santé." Si ils ne traitent que les symptômes, ces gens-là, c'est à chacun d'être vigilant à son état intérieur et à faire de la prévention ( savoir s'écouter pour résumer grossièrement - donc apprendre à écouter son corps, ses fonctionnements, ses mécanismes...) J'ai tendance à penser que le corps fonctionne par équilibre : une maladie qui se déclare, ou un quelconque déconvenu de santé ( problèmes de peau, de digestion, céphalées, ect ) ne sont que la résultantes d'un dérèglement dans ton corps qui "t'informe" d'un déséquilibre. Comme une cirrhose, un cancer, une tumeur, un rhume ou d'autres trucs... Pour guérir déjà, il faut être informé qu'on a une pathologie, une maladie, une chose qui nous atteint et qui altère du coup notre état naturel ( qui est in facto considéré comme le plus sain possible ) J'ai toujours pensé que le mental était un facteur déterminant dans le déclenchement ou non d'une dégradation de santé. Je ne sais pas si il existe des expériences scientifiques sur la volonté, mais je fais un lien avec certaines capacités que des personnes ont de faire régresser des maladies juste par des prises de Placebo. Je pense que les êtres vivants sont très complexes, l'homme encore plus, car sa psyché à une part prédominante, selon moi, dans l'évolution de ses états physiques ( les apathies que peuvent amener les dépressions par exemple ) J'vais pas épiloguer plus ;)
AnonymeIl y a 6 ans

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung

Pour ceux que ça peut éventuellement intéresser

J'entends ce que tu dis, oui, je suis partiellement d'accord. Sur le fond. La forme, un peu moins.

Après, je ne suis pas d'accord avec toi dans le sens où pour te " guérir " tu n'es pas obligé de passer par des professionnels de la " santé."
Si ils ne traitent que les symptômes, ces gens-là, c'est à chacun d'être vigilant à son état intérieur et à faire de la prévention ( savoir s'écouter pour résumer grossièrement - donc apprendre à écouter son corps, ses fonctionnements, ses mécanismes...)

J'ai tendance à penser que le corps fonctionne par équilibre : une maladie qui se déclare, ou un quelconque déconvenu de santé ( problèmes de peau, de digestion, céphalées, ect ) ne sont que la résultantes d'un dérèglement dans ton corps qui "t'informe" d'un déséquilibre.

Comme une cirrhose, un cancer, une tumeur, un rhume ou d'autres trucs...

Pour guérir déjà, il faut être informé qu'on a une pathologie, une maladie, une chose qui nous atteint et qui altère du coup notre état naturel ( qui est in facto considéré comme le plus sain possible )

J'ai toujours pensé que le mental était un facteur déterminant dans le déclenchement ou non d'une dégradation de santé. Je ne sais pas si il existe des expériences scientifiques sur la volonté, mais je fais un lien avec certaines capacités que des personnes ont de faire régresser des maladies juste par des prises de Placebo.

Je pense que les êtres vivants sont très complexes, l'homme encore plus, car sa psyché à une part prédominante, selon moi, dans l'évolution de ses états physiques ( les apathies que peuvent amener les dépressions par exemple )

J'vais pas épiloguer plus

[quote="suffragettes AB"]<3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie. [/quote] Tes croyances sont très polémiques @suffragettes_AB et se basent sur un passé dont les moeurs sont un peu révolus...Il me semble. J'ai personnellement vécu la garde plus ou moins alternée. Mon neveu aussi est en train de la vivre. Et ça se passe très bien ! Notamment parce que les parents sont pas trop cons, et entretiennent une relation respectueuse et amicale. Pour l'enfant, ce sera ainsi plus simple de déterminer quels conditionnements sont l'héritage de la mère, et lesquels sont plutôt un héritage du père. [quote="suffragettes AB"]Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours! (...) un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité. [/quote] Il parait qu'une crise est toujours une super opportunité de changement. Si tu l'acceptes, et que tu en prend ton parti, je suis prête à parier que cette pèriode charnière sera très bénéfique dans ton développement personnel. Pis, des hommes, c'est pas ce qui manque pour peupler son paysage. Si tu changes ta normalité (que l'on pourrait aussi qualifier d'habitude) tu peux peut être troquer ton boulet d'ex par un coloc sympa et intellectuellement stimulant, un ami, un collègue, un papy pour qui travailler ... j'sais pas moi, les mâles c'est pas ce qui manquent sur cette planète ! ;) [quote="suffragettes AB"]merci meduse pour la séance.[/quote] Avec plaisir ;)
AnonymeIl y a 6 ans

<3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie.


Tes croyances sont très polémiques suffragettes AB et se basent sur un passé dont les moeurs sont un peu révolus...Il me semble. J'ai personnellement vécu la garde plus ou moins alternée. Mon neveu aussi est en train de la vivre. Et ça se passe très bien ! Notamment parce que les parents sont pas trop cons, et entretiennent une relation respectueuse et amicale. Pour l'enfant, ce sera ainsi plus simple de déterminer quels conditionnements sont l'héritage de la mère, et lesquels sont plutôt un héritage du père.

Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours! (...) un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité.


Il parait qu'une crise est toujours une super opportunité de changement. Si tu l'acceptes, et que tu en prend ton parti, je suis prête à parier que cette pèriode charnière sera très bénéfique dans ton développement personnel. Pis, des hommes, c'est pas ce qui manque pour peupler son paysage. Si tu changes ta normalité (que l'on pourrait aussi qualifier d'habitude) tu peux peut être troquer ton boulet d'ex par un coloc sympa et intellectuellement stimulant, un ami, un collègue, un papy pour qui travailler ... j'sais pas moi, les mâles c'est pas ce qui manquent sur cette planète !


merci meduse pour la séance.

Avec plaisir

[quote="Benjam1"] Quant à toi, le mot était un peu fort probablement, je suis très intrigué, ce que tu as laissé imaginer de ton bout de vie avec Damien, et surtout ce que tu en as fait par la suite, comment tu as géré ça, et mille autres questions, voilà ce qui m'intrigue et m'intéresse.[/quote] Ok, je note. [quote="Benjam1"]Néanmoins, pas certain qu'il faille d'emblée se mettre à poil pour susciter l'intérêt, si ? [/quote] Il me semble. Et c'est pour ça que je continue de chercher la forme adéquate. Et qu'est ce que j'ai envie d'exposer dans cette histoire ? pourquoi ? Qu'est ce qui fait que là c'est juste un égo qui se la raconte ? là une imagination débordante qui erre ? Là une sensibilité qui sait se dire avec talent ?
AnonymeIl y a 6 ans

Quant à toi, le mot était un peu fort probablement, je suis très intrigué, ce que tu as laissé imaginer de ton bout de vie avec Damien, et surtout ce que tu en as fait par la suite, comment tu as géré ça, et mille autres questions, voilà ce qui m'intrigue et m'intéresse.
@Benjam1


Ok, je note.

Néanmoins, pas certain qu'il faille d'emblée se mettre à poil pour susciter l'intérêt, si ?
@Benjam1


Il me semble. Et c'est pour ça que je continue de chercher la forme adéquate. Et qu'est ce que j'ai envie d'exposer dans cette histoire ? pourquoi ? Qu'est ce qui fait que là c'est juste un égo qui se la raconte ? là une imagination débordante qui erre ? Là une sensibilité qui sait se dire avec talent ?

[quote="Meduse"][quote="suffragettes AB"]<3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie. [/quote] Tes croyances sont très polémiques @suffragettes_AB et se basent sur un passé dont les moeurs sont un peu révolus...Il me semble. J'ai personnellement vécu la garde plus ou moins alternée. Mon neveu aussi est en train de la vivre. Et ça se passe très bien ! Notamment parce que les parents sont pas trop cons, et entretiennent une relation respectueuse et amicale. Pour l'enfant, ce sera ainsi plus simple de déterminer quels conditionnements sont l'héritage de la mère, et lesquels sont plutôt un héritage du père. [quote="suffragettes AB"]Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours! (...) un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité. [/quote] Il parait qu'une crise est toujours une super opportunité de changement. Si tu l'acceptes, et que tu en prend ton parti, je suis prête à parier que cette pèriode charnière sera très bénéfique dans ton développement personnel. Pis, des hommes, c'est pas ce qui manque pour peupler son paysage. Si tu changes ta normalité (que l'on pourrait aussi qualifier d'habitude) tu peux peut être troquer ton boulet d'ex par un coloc sympa et intellectuellement stimulant, un ami, un collègue, un papy pour qui travailler ... j'sais pas moi, les mâles c'est pas ce qui manquent sur cette planète ! ;) [quote="suffragettes AB"]merci meduse pour la séance.[/quote] Avec plaisir ;)[/quote] <3 voilà qui est rassurant pour la garde alternée en ce qui concerne ta suggestion de coloc je suis sceptique; une coloc à deux entre un homme et une femme ça existe?! :) Tu dis ça à quelqu'un dont presque tous les potes masculins sont gays! Une coloc avec un gay à la rigueur et encore :)! Putain de la modernité suffragette bordel, ce que je peux être rétro parfois, oui l'amitié homme/femme sans ambiguïtés existe, on est quand même en 2018! Oui un homme et une femme peuvent faire une coloc qu'à deux en restant de marbre. Auto-coaching ;): je pense que le célibat c'est une question d'habitude en fait, on dit toujours que l'appétit vient en mangeant, donc forcément si tu es dans une diète libidinale contrainte; tu t'habitues à vivre sans resto. On s'habitue à tout! Moins on utilise une chose, plus il est possible de l'oublier voilà :). Bon je ne vais pas faire comme la psychanalyse et ramener tout à la libido. Je vais entrer dans l'ère de la "sublimation"! qu'est-ce que la sublimation? pour ceux qui veulent enrichir leur culture psychanalytique, voici :): http://psycha.ru/fr/dictionnaires/laplanche_et_pontalis/voc302.html
suffragettes AB Il y a 6 ans

<3 la garde alternée va faire tout drôle aussi, être parents à mi-temps. On était une famille, là nous allons être des individus qui éduquerons notre enfant une semaine sur deux, comme si on compartimentait notre vie.


Tes croyances sont très polémiques suffragettes AB et se basent sur un passé dont les moeurs sont un peu révolus...Il me semble. J'ai personnellement vécu la garde plus ou moins alternée. Mon neveu aussi est en train de la vivre. Et ça se passe très bien ! Notamment parce que les parents sont pas trop cons, et entretiennent une relation respectueuse et amicale. Pour l'enfant, ce sera ainsi plus simple de déterminer quels conditionnements sont l'héritage de la mère, et lesquels sont plutôt un héritage du père.

Hier en me couchant je me suis dis tristement en écoutant ronfler mon ex "pourquoi nous as t'il fait ça". Sa connerie m'étonnera toujours! (...) un quotidien avec un homme dans les parages 24h sur 24, ça aussi c'était ma normalité.


Il parait qu'une crise est toujours une super opportunité de changement. Si tu l'acceptes, et que tu en prend ton parti, je suis prête à parier que cette pèriode charnière sera très bénéfique dans ton développement personnel. Pis, des hommes, c'est pas ce qui manque pour peupler son paysage. Si tu changes ta normalité (que l'on pourrait aussi qualifier d'habitude) tu peux peut être troquer ton boulet d'ex par un coloc sympa et intellectuellement stimulant, un ami, un collègue, un papy pour qui travailler ... j'sais pas moi, les mâles c'est pas ce qui manquent sur cette planète !


merci meduse pour la séance.

Avec plaisir
@Meduse


<3 voilà qui est rassurant pour la garde alternée

en ce qui concerne ta suggestion de coloc je suis sceptique; une coloc à deux entre un homme et une femme ça existe?! Tu dis ça à quelqu'un dont presque tous les potes masculins sont gays! Une coloc avec un gay à la rigueur et encore !
Putain de la modernité suffragette bordel, ce que je peux être rétro parfois, oui l'amitié homme/femme sans ambiguïtés existe, on est quand même en 2018! Oui un homme et une femme peuvent faire une coloc qu'à deux en restant de marbre.

Auto-coaching : je pense que le célibat c'est une question d'habitude en fait, on dit toujours que l'appétit vient en mangeant, donc forcément si tu es dans une diète libidinale contrainte; tu t'habitues à vivre sans resto. On s'habitue à tout! Moins on utilise une chose, plus il est possible de l'oublier voilà . Bon je ne vais pas faire comme la psychanalyse et ramener tout à la libido. Je vais entrer dans l'ère de la "sublimation"!

qu'est-ce que la sublimation? pour ceux qui veulent enrichir leur culture psychanalytique, voici : http://psycha.ru/fr/dictionnaires/laplanche_et_pontalis/voc302.html

Je suis d'accord avec toi Churinga :) Le mental a une puissance considérable, je pense aux personnes très empathiques ou simplement qui oont physiquement des symptômes quand ils ont peur d'être malade, alors qu'ils ne le sont pas, Perso, quand quelqu'un a mal à la gorge à côté de moi, je vais avoir mal à la gorge à mon tour. C'est parfois galère ^^' Et il y a un tas d'exemples, comme ceux qui marchent pieds nus sur des braises, ou s'assoient sur des pics Et je suis aussi d'accord quand tu dis , nous ne sommes pas particulièrement obligé de passer par des professionnels de la santé. C'est juste que c'est leur métier, donc je les prends en exemple, mais oui bien sûr, et on doit essayer d'être vigilant, quand on souhaite se sentir Bien. Après, c'est aussi cool qu'on ne soit pas d'accord sur tout, c'est ce qui permet de converser ^^, Comme Jung qui a des divergences avec Freud :P Je en sais plus qui disait L'esprit domine la matière, mais on pourrait résumer comme ça :) Merci Méduse pour ton retour :) Je vais m'entrainer à faire concis, c'est vrai que j'ai tendance à pondre des pavés
Ewi Il y a 6 ans

Je suis d'accord avec toi Churinga

Le mental a une puissance considérable, je pense aux personnes très empathiques ou simplement qui oont physiquement des symptômes quand ils ont peur d'être malade, alors qu'ils ne le sont pas,

Perso, quand quelqu'un a mal à la gorge à côté de moi, je vais avoir mal à la gorge à mon tour. C'est parfois galère '

Et il y a un tas d'exemples, comme ceux qui marchent pieds nus sur des braises, ou s'assoient sur des pics

Et je suis aussi d'accord quand tu dis , nous ne sommes pas particulièrement obligé de passer par des professionnels de la santé. C'est juste que c'est leur métier, donc je les prends en exemple, mais oui bien sûr, et on doit essayer d'être vigilant, quand on souhaite se sentir Bien. Après, c'est aussi cool qu'on ne soit pas d'accord sur tout, c'est ce qui permet de converser , Comme Jung qui a des divergences avec Freud

Je en sais plus qui disait L'esprit domine la matière, mais on pourrait résumer comme ça

Merci Méduse pour ton retour
Je vais m'entrainer à faire concis, c'est vrai que j'ai tendance à pondre des pavés

si vous cherchiez le terme...c'est psychosomatique ou somatisation.
suffragettes AB Il y a 6 ans

si vous cherchiez le terme...c'est psychosomatique ou somatisation.

Puisqu'il est question de puissance du mental et de guérison, je vous fais part de mon expérience personnelle. A 25 ans, j'ai failli perdre une jambe suite à un accident ( ne sortez pas les mouchoirs, tout va bien :D ). J'ai subi plusieurs opérations. Je suivais ma convalescence en me rendant régulièrement à des consultations de contrôle. Après 2/3 mois de contrôle, ça n'avançait pas et j'avais le droit à un " bon, ok, on se revoit dans 3 semaines " et là, j'ai pété un plomb ( à l'époque , je faisais beaucoup de sport et l'immobilité me pesait ), j'leur ai dit que ça suffisait maintenant, que je voulais savoir exactement ce qu'il en était. Ils m'ont avoué qu'en fait tout n'allait pas si bien que ça et qu'ils envisageaient d'autres opérations. Ils m'ont expliqué, sur ma demande, les soucis de ma jambe et là, j'ai dit : non, pas d'opération. Je suis sortie de l'immobilisme dans lequel on essayait de me maintenir et je suis partie là où je me sentais bien, à la montagne, j'ai viré les béquilles et j'ai marché normalement ( pas de la rando, hein ) avec ma patte fracassée soutenue par un fixateur externe. J' ai " écouté " ma jambe ( 2 ans de yoga pendant l'adolescence avec une vraie prof de yoga m'ont bien aidée ), j'ai suivi un remède de ma grand-mère pour la régénérescence de l'os, bref, je me suis impliquée. Quand je suis allée faire contrôler ma jambe, les médecins ont pu constater, avec étonnement, que le processus de guérison de l'os avait démarré. J'ai continué comme ça plusieurs mois jusqu'à guérison complète. Les kinés et médecins me prédisaient des séquelles, et handicap. Et là aussi, je me suis accrochée, j'ai tout récupéré, j'ai tout fait pour. Ils m'avaient dit que je devrais faire une croix sur plusieurs sports que je pratiquais etc...J'ai pu tous les pratiquer par la suite. 1,5/2 ans après l'accident ma jambe avait retrouvé les mêmes fonctionnalités que sa jumelle. Et pour parfaire ma rééducation, j'ai fait une formation de danse. Pas de séquelle, juste un peu mal au genou des fois, mais franchement c'est rien par rapport à ce qu'il a pris. A la dernière consultation, le médecin m'a avoué que, quand il m'a vue arriver le premier jour, il ne pensait pas que je m'en sortirais aussi bien et en aussi peu de temps ( c'était déjà bien assez long ). Je raconte cette anecdote, non pas pour incriminer la médecine, les médecins sont là et heureusement, ( moi, ils m'ont sauvé ma gambette) mais pour insister sur le fait que le mental est important. Il faut oser essayer de déjouer un pronostic, ne pas se laisser condamner par un pronostic. Alors, je ne dis pas non plus que c'est possible pour tout, je pense que ça serait faux. Ma guérison, je la dois d'une part à une chance et d'autre part à ma volonté de guérir. Une fois la guérison physique acquise, c'est la blessure psychologique, émotionnelle liée à l'accident qui s'est ouverte et là, c'est une autre histoire, l'histoire d'une autre guérison...
éoline Il y a 6 ans

Puisqu'il est question de puissance du mental et de guérison, je vous fais part de mon expérience personnelle.

A 25 ans, j'ai failli perdre une jambe suite à un accident ( ne sortez pas les mouchoirs, tout va bien ). J'ai subi plusieurs opérations. Je suivais ma convalescence en me rendant régulièrement à des consultations de contrôle. Après 2/3 mois de contrôle, ça n'avançait pas et j'avais le droit à un " bon, ok, on se revoit dans 3 semaines " et là, j'ai pété un plomb ( à l'époque , je faisais beaucoup de sport et l'immobilité me pesait ), j'leur ai dit que ça suffisait maintenant, que je voulais savoir exactement ce qu'il en était. Ils m'ont avoué qu'en fait tout n'allait pas si bien que ça et qu'ils envisageaient d'autres opérations. Ils m'ont expliqué, sur ma demande, les soucis de ma jambe et là, j'ai dit : non, pas d'opération.

Je suis sortie de l'immobilisme dans lequel on essayait de me maintenir et je suis partie là où je me sentais bien, à la montagne, j'ai viré les béquilles et j'ai marché normalement ( pas de la rando, hein ) avec ma patte fracassée soutenue par un fixateur externe. J' ai " écouté " ma jambe ( 2 ans de yoga pendant l'adolescence avec une vraie prof de yoga m'ont bien aidée ), j'ai suivi un remède de ma grand-mère pour la régénérescence de l'os, bref, je me suis impliquée. Quand je suis allée faire contrôler ma jambe, les médecins ont pu constater, avec étonnement, que le processus de guérison de l'os avait démarré. J'ai continué comme ça plusieurs mois jusqu'à guérison complète. Les kinés et médecins me prédisaient des séquelles, et handicap. Et là aussi, je me suis accrochée, j'ai tout récupéré, j'ai tout fait pour. Ils m'avaient dit que je devrais faire une croix sur plusieurs sports que je pratiquais etc...J'ai pu tous les pratiquer par la suite. 1,5/2 ans après l'accident ma jambe avait retrouvé les mêmes fonctionnalités que sa jumelle.
Et pour parfaire ma rééducation, j'ai fait une formation de danse.
Pas de séquelle, juste un peu mal au genou des fois, mais franchement c'est rien par rapport à ce qu'il a pris.
A la dernière consultation, le médecin m'a avoué que, quand il m'a vue arriver le premier jour, il ne pensait pas que je m'en sortirais aussi bien et en aussi peu de temps ( c'était déjà bien assez long ).

Je raconte cette anecdote, non pas pour incriminer la médecine, les médecins sont là et heureusement, ( moi, ils m'ont sauvé ma gambette) mais pour insister sur le fait que le mental est important. Il faut oser essayer de déjouer un pronostic, ne pas se laisser condamner par un pronostic. Alors, je ne dis pas non plus que c'est possible pour tout, je pense que ça serait faux.
Ma guérison, je la dois d'une part à une chance et d'autre part à ma volonté de guérir.

Une fois la guérison physique acquise, c'est la blessure psychologique, émotionnelle liée à l'accident qui s'est ouverte et là, c'est une autre histoire, l'histoire d'une autre guérison...


j'ai pas tout lu ce serait trop long à rattraper, mais ça fait plaisir de lire des échanges constructifs et des partages d'expériences comme ça. <3 sur ce topic
Maitre Kaio Il y a 6 ans

j'ai pas tout lu ce serait trop long à rattraper, mais ça fait plaisir de lire des échanges constructifs et des partages d'expériences comme ça.

<3 sur ce topic

@éoline ton histoire personnelle est plutôt émouvante ;) c'est chouette ce que tu nous livres comme message. . . Je rejoins pour une fois maître kaio sur le petit <3
AnonymeIl y a 6 ans

éoline ton histoire personnelle est plutôt émouvante c'est chouette ce que tu nous livres comme message. . .

Je rejoins pour une fois maître kaio sur le petit <3

@éoline et @benjam1, j'admire le courage, ce sont de " belles histoires". Benjam1, tu "survolais" vraiment ton corps lorsque tu étais à deux doigts de passer de l'autre côté comme on dit?
zaël Il y a 6 ans

éoline et @benjam1, j'admire le courage, ce sont de " belles histoires".
Benjam1, tu "survolais" vraiment ton corps lorsque tu étais à deux doigts de passer de l'autre côté comme on dit?

On sait c’est qui qui domine https://youtu.be/0X2p45E952E
AnonymeIl y a 6 ans

On sait c’est qui qui domine




https://youtu.be/0X2p45E952E

Merci pour vos petits <3 :)
éoline Il y a 6 ans

Merci pour vos petits <3




Oui, merci pour ces partages, je suis convaincue du pouvoir de l'esprit, mais beaucoup de nihilistes du siècle dernier ont instaurés une ère matérialiste qui je pense, fait grand défaut à l'Homme. J'ai une question à mon tour. Qui ici a déjà réussi à s'émanciper d'une addiction ? (Tabac, alcool, cannabis, drogue dur, tv, sucre, jeux vidéos... Peu importe laquelle, mais une addiction qui, en toute conscience, vous gâchait la vie) Comment ?
AnonymeIl y a 6 ans

Oui, merci pour ces partages, je suis convaincue du pouvoir de l'esprit, mais beaucoup de nihilistes du siècle dernier ont instaurés une ère matérialiste qui je pense, fait grand défaut à l'Homme.

J'ai une question à mon tour. Qui ici a déjà réussi à s'émanciper d'une addiction ?
(Tabac, alcool, cannabis, drogue dur, tv, sucre, jeux vidéos... Peu importe laquelle, mais une addiction qui, en toute conscience, vous gâchait la vie)
Comment ?

Cannabis pour ma part ! ( Youhouuuuuu ) Être dans un contexte où personne ne fume de joints, ne pas connaître de gens ici susceptibles d'en posséder et ne pas avoir de sous Sevrage forcé.
AnonymeIl y a 6 ans

Cannabis pour ma part ! ( Youhouuuuuu )
Être dans un contexte où personne ne fume de joints, ne pas connaître de gens ici susceptibles d'en posséder et ne pas avoir de sous
Sevrage forcé.

:-) Bravo @Churinga
AnonymeIl y a 6 ans

Bravo @Churinga

j'ai réussi a arrêter la nicotine de 2012 à 2014, après un an et demi de vapotage avant gardiste en 2011. J'ai pris dix kilos en deux ans...un cigare à un nouvel an auquel a succédé quelques jours de voie enrouée...et de fil en aiguille j'ai repris la clop, excellent pour la gestion du poid, j'ai perdu 14 kilos. Mais je suis de nouveau au vapotage depuis septembre, et je regonfle à nouveau. aaaaaaahhhh la pulsion orale, la clop, la bouffe et j'en passe :) Je me suis rendue compte dans mon quotidien de non fumeuse à quel point la clop prend de la place dans la vie d'un fumeur....dans son cerveau...la nicotine d'une clop met une heure et demi pour être évacué par le corps...donc toutes les heures et demi le fumeur fume, comme une démangeaison, on a envie de se gratter alors on se gratte...cette métaphore n'est pas de moi, mais d'allen carr, je recommande son livre "la méthode simple pour arrêter de fumer", le mec fumait 4 paquets par jours et préconise l'arrêt du tabac sans substituts, avant la cigarette électronique j'avais tenté deux mois avec la méthode allen carr...un excellent livre pour renforcer le psychologique, point de morale culpabilisante mais de l'efficacité!!!... putain vous avez de la chance :) j'ai retrouvé les citations best of de ce livre que j'avais épinglé, allez si ça peut aider ceux qui veulent arrêter de fumer, je mets ça ici: "Après avoir écrasé une cigarette, la quantité de nicotine, contenue dans le sang, diminue de moitié en 30 minutes et de trois quart en une heure (...), c'est pourquoi, le tabagisme provoque une réaction en chaîne: chaque cigarette rend la suivante indispensable (...). Ce n'est pas le tabac qui permet de se détendre mais l'absence de tabac qui entraîne des tensions." "Peu à peu le sens des mots s'est imposé à moi: Lorsque la nicotine quitte l'organisme, le fumeur éprouve une sensation de vide et d'insécurité, et ne trouve de soulagement qu'en allumant une autre cigarette (...) Soyons clairs et nets: je n'ai pas découvert ce jour-là que le fumeur éprouve une sensation de vide et d'insécurité quand la nicotine quitte l'organisme et qu'il ne trouve de soulagement qu'en allumant une autre cigarette. Ce phénomène était déjà connu des médecins et des industriels de tabac, depuis de longues années (...) En revanche, j'ai découvert que si les gens continuent à fumer, c'est uniquement pour gratter cette démangeaison et en aucun cas pour en apprécier le goût,se détendre, rendre les repas plus agréables, lutter contre le stress ou se concentrer."p 103/104 "Une non-fumeuse a ses bons et ses mauvais jours, exactement comme une fumeuse. Pour simplifier, disons qu'elles partent toutes les deux à égalité. Et puis un jour, la seconde allume sa première cigarette. Ne nous occupons pas de ses quintes de toux, de son vertige, ni des autres effets toxiques du tabac, et admettons qu'elles sont encore à égalité. Mais dés qu'elle éteint cette première cigarette, la nicotine quitte son organisme et produit une sensation de manque. A ce stade, ce symptôme est trop ténu pour que la fumeuse en ait conscience.Elle se sent à peine moins bien que la fumeuse. Si elle rallume une cigarette, l'impression de vide et d'insécurité disparaît et elle se retrouve dans la même situation qu'avant d'avoir allumé sa première cigarette. Ahurissant, non? Si ma démonstration est exacte, cela signifie que les gens continuent à fumer dans le seul but de connaître le bien-être qui était le leur avant d'avoir allumé leur première cigarette. Autrement dit, le plaisir et le soutien que vous procure le tabac se résume à vous donner l'impression d'être une non-fumeuse. Vous obtenez réellement un plaisir et un soutien, mais ce serait une illusion d' en d'en attribuer le crédit à la cigarette. Au contraire, celle-ci est responsable de la perte de votre bien-être initial.La cigarette suivante ne résout pas le problème bien entendu: elle ne fait qu'introduire une nouvelle dose de nicotine dans votre organisme et crée par là même l'état de manque dont vous allez souffrir durant toute votre existence.(...) Au fur et à mesure que notre organisme s'immunise contre la nicotine, nous avons de plus en plus de mal à retrouver notre état antérieur. Allumer une cigarette ne suffit plus. Nous souffrons d'une sorte de gueule de bois permanente, d'un malaise qui nous semble normal. Le plus triste, c'est que nous croyons disposer désormais d'une arme pour chasser ce sentiment d'inconfort. Comme tous les toxicomanes, nous avons tendance à augmenter notre consommation, ce qui ne fait qu'aggraver le problème..." p 96/97 "Si seulement vous pouviez retrouver vos sensations d'autrefois! Je voudrais avoir les moyens de vous projeter dans le passé, à l'époque où vous n'étiez pas encore tombé dans le piège, ou bien dans le futur: trois semaines après avoir écrasé votre dernière cigarette...et vous n'arriverez pas à comprendre pourquoi vous n'avez pas réagi plus tôt..."p 93 "Quand nous commençons fumer, un laps de temps assez long s'écoule entre le moment où nous nous grattons et le retour de l'irritation.(...) Une fois que l'immunité s'est installée, la démangeaison devient permanente, et votre envie de vous gratter également. Bref, vous vous mettez fumer comme un sapeur." p 131 "Diminuer votre consommation est inutile, car la nature du poison exacerbe votre envie de gratter la démangeaison.(...)Quand vous limitez vos doses de nicotine, vous souffrez de la dîte "démangeaison" et de l'interdiction de vous gratter; ce qui exige une grande volonté et une autodiscipline de tous les instants. Une victoire est possible, à titre provisoire. Mais n'oubliez pas qu'une telle méthode augmente l'envie de fumer et réduit le désir d'arrêter." p 137 "Jeanne était très consciente des effets de la nicotine: " Ce poison a un tel pouvoir sur moi que je n'arriverai jamais lui échapper et certainement pas arrêter sans difficultés"..." Ce pouvoir réside dans le sentiment de panique qui vous envahit l'idée de ne plus pouvoir profiter de la vie ni affronter les épreuves sans le secours d'une cigarette. Mais quand vous vous rendez compte que chaque cigarette entretient votre panique au lieu de l'apaiser, vous vous libérez automatiquement de son emprise. Et ce fameux pouvoir devient votre atout essentiel pour annihiler toute envie de fumer." p 167 "La dépendance à la nicotine produit une sensation de faim permanente et vous rend plus vulnérable l'excès de poids. (...)Représentez-vous le petit monstre sous la forme d'un ver solitaire qui vit dans votre corps et se nourrit de nicotine. Pendant combien de temps allez-vous devoir l'affamer avant qu'il ne trépasse?On peut effectuer des test médicaux pour déterminer quel moment la nicotine a entièrement évacué l'organisme. Mais il n'existe aucun moyen de savoir quel moment le petit monstre cesse de réclamer sa dose, car le besoin est presque imperceptible et identique au sentiment de vide et d'insécurité provoqué par la faim." p 185 "Comme une femme avertie en vaut deux, le fait de savoir quoi vous attendre devrait apaiser vos craintes. A partir de l'instant où vous interrompez l'approvisionnement en nicotine, le manque augmente petit à petit et atteint son point critique à au bout de cinq à sept jours. Ensuite la tension se relâche. L'organisme se désintoxique et revient à un état d'homéostasie, c'est-à-dire d'équilibre. Après environ trois semaines d'abstinence, vous sentez que le petit monstre est mort. Et tout à coup vous vous rendez comptez que non seulement vous n'avez pas fumé une seule cigarette mais l'idée ne vous a même pas traversé l'esprit. Vous êtes capable de profiter de la vie et d'affronter les difficultés quotidiennes sans nicotine. Vous prenez conscience de votre totale liberté. C'est un moment merveilleux pour une ancienne fumeuse quelque soit la méthode utilisée. C'est aussi un passage périlleux qui provoque de nombreux échecs. Cette sensation de liberté en effet peut vous inciter allumer une cigarette en guise de test. Un défi redoutable! Après trois semaines d'abstinence, la fumée a un goût bizarre et désagréable. Vous vous demandez comment vous avez pu y trouver du plaisir. Mais en même temps la nicotine que vous venez d'inhaler commence quitter votre organisme et crée aussitôt un nouveau "petit monstre". Normalement, vous vous abstenez de gratter la démangeaison mais quelques jours ou quelques semaines plus tard, vous risquez d'être de nouveau soumise à la tentation: "J'ai fumé une cigarette l'autre jour, il ne m'est rien arrivé. Il n'y a donc aucun mal recommencer." Alors le piège se referme: avant d'avoir compris ce qui se passait, vous revoilà en train de fumer cigarette sur cigarette."p187 "Plus vous êtes stressée, plus vous avez envie de fumer. Et plus votre besoin de nicotine demeure longtemps insatisfait, plus votre stress s'intensifie. Il n'est pas étonnant que les adeptes de la volonté soient tendues craquer et aient autant de mal à s'en sortir. Avec la méthode simple, vous vous préparez à ressentir cette envie ou ce besoin de fumer. Quand elle vous envahit, vous n'éprouvez donc aucune surprise.Vous savez que le petit monstre jette ses forces ultimes dans la bataille avant de périr. Vous connaissez le mécanisme du piège: le manque a pour origine la dernière cigarette que vous avez fumée. Comme vous n'attendez plus ni plaisir ni soutien du tabac, vous êtes très loin de broyer du noir. Vous vous dites au contraire: "La ruse ne marche plus avec moi. Pas question d'aspirer une seule bouffée de poison supplémentaire. C'est fantastique, je suis libre!." Et vous sautez sur l'occasion d'approfondir votre connaissance du phénomène chaque fois que vous sentez que la nicotine est en train d'évacuer l'organisme." p 188/189 "Vous devez donc vous préparer à entendre votre cerveau hurler pendant les premiers jours: "il me faut une cigarette!" Vous serez alors confrontée un choix. Vous pouvez très bien penser: "Je donnerai n'importe quoi pour en fumer une petite... Combien de temps ce calvaire va-t-il durer?(...) Mais en vous fournissant la clé, la méthode simple vous assure une évasion immédiate, facile et définitive. Lorsque votre cerveau réclamera une cigarette, plutôt que de céder à la panique et de vous lamenter sur votre sort, vous n'aurez qu'à vous dire simplement: "Il s'agit simplement des derniers soubresauts du "petit monstre" l'agonie. C'est fantastique, je suis déjà libre." p 190 "Les substituts ne font que prolonger la vie du grand monstre (le lavage de cerveau). Si vous n'arrivez pas à vous affranchir avant d'avoir arrêté de fumer, comment y parviendrez-vous ensuite?" p 240 "Le recours aux substituts thérapeutiques, en apparence logique, repose en fait sur trois principes erronés: le tabagisme est une accoutumance/Il est difficile de détruire une accoutumance/Le manque de nicotine provoque de terribles souffrances physiques."p 241 "Prescrire à une fumeuse des chewing-gums contenant de la nicotine est absurde. C'est comme si l'on conseillait à une toxicomane qui l'habitude de fumer sa drogue de se l'injecter directement dans les veines."p 242 "SOYEZ SÜRE QUE VOUS AVEZ PRIS LA BONNE DECISION, et par conséquent, ne vous punissez pas en la remettant en cause.Ainsi, vous n'aurez aucun mal arrêter: vous ne souffrirez pas du sevrage, mais vous vous en réjouirez; Quand vous verrez quelqu'un allumer une cigarette, vous éprouverez de la compassion et non pas de l'envie."p 250
suffragettes AB Il y a 6 ans

j'ai réussi a arrêter la nicotine de 2012 à 2014, après un an et demi de vapotage avant gardiste en 2011. J'ai pris dix kilos en deux ans...un cigare à un nouvel an auquel a succédé quelques jours de voie enrouée...et de fil en aiguille j'ai repris la clop, excellent pour la gestion du poid, j'ai perdu 14 kilos. Mais je suis de nouveau au vapotage depuis septembre, et je regonfle à nouveau. aaaaaaahhhh la pulsion orale, la clop, la bouffe et j'en passe
Je me suis rendue compte dans mon quotidien de non fumeuse à quel point la clop prend de la place dans la vie d'un fumeur....dans son cerveau...la nicotine d'une clop met une heure et demi pour être évacué par le corps...donc toutes les heures et demi le fumeur fume, comme une démangeaison, on a envie de se gratter alors on se gratte...cette métaphore n'est pas de moi, mais d'allen carr, je recommande son livre "la méthode simple pour arrêter de fumer", le mec fumait 4 paquets par jours et préconise l'arrêt du tabac sans substituts, avant la cigarette électronique j'avais tenté deux mois avec la méthode allen carr...un excellent livre pour renforcer le psychologique, point de morale culpabilisante mais de l'efficacité!!!...
putain vous avez de la chance j'ai retrouvé les citations best of de ce livre que j'avais épinglé, allez si ça peut aider ceux qui veulent arrêter de fumer, je mets ça ici:

"Après avoir écrasé une cigarette, la quantité de nicotine, contenue dans le sang, diminue de moitié en 30 minutes et de trois quart en une heure (...), c'est pourquoi, le tabagisme provoque une réaction en chaîne: chaque cigarette rend la suivante indispensable (...). Ce n'est pas le tabac qui permet de se détendre mais l'absence de tabac qui entraîne des tensions."

"Peu à peu le sens des mots s'est imposé à moi: Lorsque la nicotine quitte l'organisme, le fumeur éprouve une sensation de vide et d'insécurité, et ne trouve de soulagement qu'en allumant une autre cigarette (...) Soyons clairs et nets: je n'ai pas découvert ce jour-là que le fumeur éprouve une sensation de vide et d'insécurité quand la nicotine quitte l'organisme et qu'il ne trouve de soulagement qu'en allumant une autre cigarette. Ce phénomène était déjà connu des médecins et des industriels de tabac, depuis de longues années (...) En revanche, j'ai découvert que si les gens continuent à fumer, c'est uniquement pour gratter cette démangeaison et en aucun cas pour en apprécier le goût,se détendre, rendre les repas plus agréables, lutter contre le stress ou se concentrer."p 103/104

"Une non-fumeuse a ses bons et ses mauvais jours, exactement comme une fumeuse. Pour simplifier, disons qu'elles partent toutes les deux à égalité. Et puis un jour, la seconde allume sa première cigarette. Ne nous occupons pas de ses quintes de toux, de son vertige, ni des autres effets toxiques du tabac, et admettons qu'elles sont encore à égalité. Mais dés qu'elle éteint cette première cigarette, la nicotine quitte son organisme et produit une sensation de manque. A ce stade, ce symptôme est trop ténu pour que la fumeuse en ait conscience.Elle se sent à peine moins bien que la fumeuse. Si elle rallume une cigarette, l'impression de vide et d'insécurité disparaît et elle se retrouve dans la même situation qu'avant d'avoir allumé sa première cigarette. Ahurissant, non? Si ma démonstration est exacte, cela signifie que les gens continuent à fumer dans le seul but de connaître le bien-être qui était le leur avant d'avoir allumé leur première cigarette. Autrement dit, le plaisir et le soutien que vous procure le tabac se résume à vous donner l'impression d'être une non-fumeuse.
Vous obtenez réellement un plaisir et un soutien, mais ce serait une illusion d' en d'en attribuer le crédit à la cigarette. Au contraire, celle-ci est responsable de la perte de votre bien-être initial.La cigarette suivante ne résout pas le problème bien entendu: elle ne fait qu'introduire une nouvelle dose de nicotine dans votre organisme et crée par là même l'état de manque dont vous allez souffrir durant toute votre existence.(...) Au fur et à mesure que notre organisme s'immunise contre la nicotine, nous avons de plus en plus de mal à retrouver notre état antérieur. Allumer une cigarette ne suffit plus. Nous souffrons d'une sorte de gueule de bois permanente, d'un malaise qui nous semble normal. Le plus triste, c'est que nous croyons disposer désormais d'une arme pour chasser ce sentiment d'inconfort. Comme tous les toxicomanes, nous avons tendance à augmenter notre consommation, ce qui ne fait qu'aggraver le problème..." p 96/97

"Si seulement vous pouviez retrouver vos sensations d'autrefois! Je voudrais avoir les moyens de vous projeter dans le passé, à l'époque où vous n'étiez pas encore tombé dans le piège, ou bien dans le futur: trois semaines après avoir écrasé votre dernière cigarette...et vous n'arriverez pas à comprendre pourquoi vous n'avez pas réagi plus tôt..."p 93

"Quand nous commençons fumer, un laps de temps assez long s'écoule entre le moment où nous nous grattons et le retour de l'irritation.(...) Une fois que l'immunité s'est installée, la démangeaison devient permanente, et votre envie de vous gratter également. Bref, vous vous mettez fumer comme un sapeur." p 131

"Diminuer votre consommation est inutile, car la nature du poison exacerbe votre envie de gratter la démangeaison.(...)Quand vous limitez vos doses de nicotine, vous souffrez de la dîte "démangeaison" et de l'interdiction de vous gratter; ce qui exige une grande volonté et une autodiscipline de tous les instants. Une victoire est possible, à titre provisoire. Mais n'oubliez pas qu'une telle méthode augmente l'envie de fumer et réduit le désir d'arrêter." p 137

"Jeanne était très consciente des effets de la nicotine: " Ce poison a un tel pouvoir sur moi que je n'arriverai jamais lui échapper et certainement pas arrêter sans difficultés"..." Ce pouvoir réside dans le sentiment de panique qui vous envahit l'idée de ne plus pouvoir profiter de la vie ni affronter les épreuves sans le secours d'une cigarette. Mais quand vous vous rendez compte que chaque cigarette entretient votre panique au lieu de l'apaiser, vous vous libérez automatiquement de son emprise. Et ce fameux pouvoir devient votre atout essentiel pour annihiler toute envie de fumer." p 167

"La dépendance à la nicotine produit une sensation de faim permanente et vous rend plus vulnérable l'excès de poids. (...)Représentez-vous le petit monstre sous la forme d'un ver solitaire qui vit dans votre corps et se nourrit de nicotine. Pendant combien de temps allez-vous devoir l'affamer avant qu'il ne trépasse?On peut effectuer des test médicaux pour déterminer quel moment la nicotine a entièrement évacué l'organisme. Mais il n'existe aucun moyen de savoir quel moment le petit monstre cesse de réclamer sa dose, car le besoin est presque imperceptible et identique au sentiment de vide et d'insécurité provoqué par la faim." p 185

"Comme une femme avertie en vaut deux, le fait de savoir quoi vous attendre devrait apaiser vos craintes. A partir de l'instant où vous interrompez l'approvisionnement en nicotine, le manque augmente petit à petit et atteint son point critique à au bout de cinq à sept jours. Ensuite la tension se relâche. L'organisme se désintoxique et revient à un état d'homéostasie, c'est-à-dire d'équilibre. Après environ trois semaines d'abstinence, vous sentez que le petit monstre est mort. Et tout à coup vous vous rendez comptez que non seulement vous n'avez pas fumé une seule cigarette mais l'idée ne vous a même pas traversé l'esprit. Vous êtes capable de profiter de la vie et d'affronter les difficultés quotidiennes sans nicotine. Vous prenez conscience de votre totale liberté. C'est un moment merveilleux pour une ancienne fumeuse quelque soit la méthode utilisée. C'est aussi un passage périlleux qui provoque de nombreux échecs. Cette sensation de liberté en effet peut vous inciter allumer une cigarette en guise de test. Un défi redoutable! Après trois semaines d'abstinence, la fumée a un goût bizarre et désagréable. Vous vous demandez comment vous avez pu y trouver du plaisir. Mais en même temps la nicotine que vous venez d'inhaler commence quitter votre organisme et crée aussitôt un nouveau "petit monstre". Normalement, vous vous abstenez de gratter la démangeaison mais quelques jours ou quelques semaines plus tard, vous risquez d'être de nouveau soumise à la tentation: "J'ai fumé une cigarette l'autre jour, il ne m'est rien arrivé. Il n'y a donc aucun mal recommencer." Alors le piège se referme: avant d'avoir compris ce qui se passait, vous revoilà en train de fumer cigarette sur cigarette."p187

"Plus vous êtes stressée, plus vous avez envie de fumer. Et plus votre besoin de nicotine demeure longtemps insatisfait, plus votre stress s'intensifie. Il n'est pas étonnant que les adeptes de la volonté soient tendues craquer et aient autant de mal à s'en sortir. Avec la méthode simple, vous vous préparez à ressentir cette envie ou ce besoin de fumer. Quand elle vous envahit, vous n'éprouvez donc aucune surprise.Vous savez que le petit monstre jette ses forces ultimes dans la bataille avant de périr. Vous connaissez le mécanisme du piège: le manque a pour origine la dernière cigarette que vous avez fumée. Comme vous n'attendez plus ni plaisir ni soutien du tabac, vous êtes très loin de broyer du noir. Vous vous dites au contraire: "La ruse ne marche plus avec moi. Pas question d'aspirer une seule bouffée de poison supplémentaire. C'est fantastique, je suis libre!." Et vous sautez sur l'occasion d'approfondir votre connaissance du phénomène chaque fois que vous sentez que la nicotine est en train d'évacuer l'organisme." p 188/189

"Vous devez donc vous préparer à entendre votre cerveau hurler pendant les premiers jours: "il me faut une cigarette!" Vous serez alors confrontée un choix. Vous pouvez très bien penser: "Je donnerai n'importe quoi pour en fumer une petite... Combien de temps ce calvaire va-t-il durer?(...) Mais en vous fournissant la clé, la méthode simple vous assure une évasion immédiate, facile et définitive. Lorsque votre cerveau réclamera une cigarette, plutôt que de céder à la panique et de vous lamenter sur votre sort, vous n'aurez qu'à vous dire simplement: "Il s'agit simplement des derniers soubresauts du "petit monstre" l'agonie. C'est fantastique, je suis déjà libre." p 190

"Les substituts ne font que prolonger la vie du grand monstre (le lavage de cerveau). Si vous n'arrivez pas à vous affranchir avant d'avoir arrêté de fumer, comment y parviendrez-vous ensuite?" p 240

"Le recours aux substituts thérapeutiques, en apparence logique, repose en fait sur trois principes erronés: le tabagisme est une accoutumance/Il est difficile de détruire une accoutumance/Le manque de nicotine provoque de terribles souffrances physiques."p 241

"Prescrire à une fumeuse des chewing-gums contenant de la nicotine est absurde. C'est comme si l'on conseillait à une toxicomane qui l'habitude de fumer sa drogue de se l'injecter directement dans les veines."p 242

"SOYEZ SÜRE QUE VOUS AVEZ PRIS LA BONNE DECISION, et par conséquent, ne vous punissez pas en la remettant en cause.Ainsi, vous n'aurez aucun mal arrêter: vous ne souffrirez pas du sevrage, mais vous vous en réjouirez; Quand vous verrez quelqu'un allumer une cigarette, vous éprouverez de la compassion et non pas de l'envie."p 250

[quote="idem"]Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience. http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.[/quote] Chaque fois où je lis "Cyrulnik et ses travaux sur la résilience", je me souviens de cet article : http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2013/06/27/boris-cyrulnik-stop-ou-encore-partie2/ Dans 15ans, on en sera à citer Aberkane...
boby6 Il y a 6 ans

Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience.

http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent

C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.


Chaque fois où je lis "Cyrulnik et ses travaux sur la résilience", je me souviens de cet article : http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2013/06/27/boris-cyrulnik-stop-ou-encore-partie2/

Dans 15ans, on en sera à citer Aberkane...

[quote="boby6"][quote="idem"]Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience. http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.[/quote] Chaque fois où je lis "Cyrulnik et ses travaux sur la résilience", je me souviens de cet article : http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2013/06/27/boris-cyrulnik-stop-ou-encore-partie2/ Dans 15ans, on en sera à citer Aberkane...[/quote] lol quel escroc ce boris! ça le rend encore plus sympathique :)
suffragettes AB Il y a 6 ans

Votre discussion sur la cicatrisation des plaies (toutes les interventions d'ailleurs) m'ont fait penser aux travaux de Cyrulnik sur la résilience.

http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Travail-psychanalytique/Interviews/Resilience-comment-ils-s-en-sortent

C'est un aperçu rapide et plein de vulgarisation du concept mais j'aime bien la partie qui aborde le rapport à la créativité des résilients. Je trouve l'image de l'exploration de chemins non balisés plutôt pertinente.


Chaque fois où je lis "Cyrulnik et ses travaux sur la résilience", je me souviens de cet article : http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2013/06/27/boris-cyrulnik-stop-ou-encore-partie2/

Dans 15ans, on en sera à citer Aberkane...


lol quel escroc ce boris! ça le rend encore plus sympathique

Huhu de quoi alimenter tout un topic sur les imposteurs des sciences humaines ! Le concept de résilience n'en reste pas moins intéressant et Cyrulnik... le roi de la vulgarisation pour le coup :D
idem Il y a 6 ans

Huhu de quoi alimenter tout un topic sur les imposteurs des sciences humaines !
Le concept de résilience n'en reste pas moins intéressant et Cyrulnik... le roi de la vulgarisation pour le coup

On peut aussi dire que Baudelaire est un imposteur. Un poète ça doit tendre à l'universel, ça ne prône pas d'une manière visionnaire un futur génocide ... " Belle conspiration à organiser pour l'extermination de la race juive. " On peut aussi parler de LF Céline . Donc : s'en tenir aux œuvres et à ce qu'elles dégagent comme sens. Pas à l'imposture d'un article qui cherche à démanteler le fond en s'attaquant seulement à la forme.
AnonymeIl y a 6 ans

On peut aussi dire que Baudelaire est un imposteur. Un poète ça doit tendre à l'universel, ça ne prône pas d'une manière visionnaire un futur génocide ...

" Belle conspiration à organiser pour l'extermination de la race juive. "

On peut aussi parler de LF Céline .

Donc : s'en tenir aux œuvres et à ce qu'elles dégagent comme sens. Pas à l'imposture d'un article qui cherche à démanteler le fond en s'attaquant seulement à la forme.

Ce ne sont pas des sciences "exactes", comme l'humain n'est pas une machine finie et limitée. @suffragettes_AB, merci pour les extraits, j ai les deux bouquins dans ma bibliothèque (pour hommes et pour femmes) depuis des années, mais jamais eu le courage de les lire, ni de me frotter à ce challenge. L'impression que seul la maternité me motiverait suffisamment à vaincre ce petit démon, j'ai nommé la nicotine. (Quitte à grossir, autant que ce soit pour la bonne cause ;))
AnonymeIl y a 6 ans

Ce ne sont pas des sciences "exactes", comme l'humain n'est pas une machine finie et limitée.

suffragettes AB, merci pour les extraits, j ai les deux bouquins dans ma bibliothèque (pour hommes et pour femmes) depuis des années, mais jamais eu le courage de les lire, ni de me frotter à ce challenge. L'impression que seul la maternité me motiverait suffisamment à vaincre ce petit démon, j'ai nommé la nicotine. (Quitte à grossir, autant que ce soit pour la bonne cause )

pendant la grossesse, c'était la première fois que j'essayais d'arrêter, je suis passée de 20 à 3 clops par jour, et du coup j'ai tout pris entre le 4ème mois et le 7ème mois, 25 kilos :), j'ai frisé le diabète gestationnel, et après j'ai fait attention, et me suis familiarisée avec les concepts d'apports caloriques, dire que j'ai passé les 22 premières années de ma vie en pouvant manger plusieurs tablettes de chocolat par semaine sans grossir, je pouvais manger n'importe comment, je n'avais aucune notion des apports caloriques dans mon frêle corps :), aujourd'hui je mange équilibré dans un corps moins frêle, c'est ironique. Je suis sûre que la base hormonale d'une femme enceinte qui essaie d'arrêter de fumer décuple une calorie, et alors si la femme enceinte ingère une tablette de chocolat, ce n'est pas 600 calories qu'elles absorbent c'est 6000, une fois que le tissu adipeux est formé, il fait parti de toi lol. Au début le déguisement me faisait marrer mais là je dois reconnaître que l'expérience sociologique a assez duré :). Voilà de quoi te donner du coeur à l'ouvrage :). S'il y a des drogués du sucre, je préconise la méthode Montignac, il s'agit de manger non pas des aliments à index caloriques faibles, mais de manger des aliments à index glycémique faible, le tout est de garder un taux de glycémie modérée dans le sang...si on boit un verre de coca, on va avoir un pic de glycémie dans le sang, trop de sucre dans le sang d'un coup, et ensuite suivra une hypoglycémie réactionnelle, moment de fringale intense, et paf on tombe dans le piège :). A méditer: les industriels du tabac ont rajouté du sucre dans la clop, la clop sans sucre ça ne marchait pas! Bon sinon pour ceux qui veulent arrêter le joint, il faut rayer l'apologie de matmatah et la main verte de tryo de sa discographie :). bon allez je vais gérer l'addiction au jeu vidéo de mon fils, il est en train de perdre! Qui lui as mis une manette dans les mains à 4 ans?! c'est l'autre con... Ne pas capituler devant les grands communiquants..."j'ai besoin de me calmer en jouant" qu'il vient de hurler à son père...Oui la garde alternée va très bien se passer, chez moi y aura pas de console!
suffragettes AB Il y a 6 ans

pendant la grossesse, c'était la première fois que j'essayais d'arrêter, je suis passée de 20 à 3 clops par jour, et du coup j'ai tout pris entre le 4ème mois et le 7ème mois, 25 kilos , j'ai frisé le diabète gestationnel, et après j'ai fait attention, et me suis familiarisée avec les concepts d'apports caloriques, dire que j'ai passé les 22 premières années de ma vie en pouvant manger plusieurs tablettes de chocolat par semaine sans grossir, je pouvais manger n'importe comment, je n'avais aucune notion des apports caloriques dans mon frêle corps , aujourd'hui je mange équilibré dans un corps moins frêle, c'est ironique.
Je suis sûre que la base hormonale d'une femme enceinte qui essaie d'arrêter de fumer décuple une calorie, et alors si la femme enceinte ingère une tablette de chocolat, ce n'est pas 600 calories qu'elles absorbent c'est 6000, une fois que le tissu adipeux est formé, il fait parti de toi lol. Au début le déguisement me faisait marrer mais là je dois reconnaître que l'expérience sociologique a assez duré . Voilà de quoi te donner du coeur à l'ouvrage .

S'il y a des drogués du sucre, je préconise la méthode Montignac, il s'agit de manger non pas des aliments à index caloriques faibles, mais de manger des aliments à index glycémique faible, le tout est de garder un taux de glycémie modérée dans le sang...si on boit un verre de coca, on va avoir un pic de glycémie dans le sang, trop de sucre dans le sang d'un coup, et ensuite suivra une hypoglycémie réactionnelle, moment de fringale intense, et paf on tombe dans le piège .

A méditer: les industriels du tabac ont rajouté du sucre dans la clop, la clop sans sucre ça ne marchait pas!

Bon sinon pour ceux qui veulent arrêter le joint, il faut rayer l'apologie de matmatah et la main verte de tryo de sa discographie .

bon allez je vais gérer l'addiction au jeu vidéo de mon fils, il est en train de perdre! Qui lui as mis une manette dans les mains à 4 ans?! c'est l'autre con... Ne pas capituler devant les grands communiquants..."j'ai besoin de me calmer en jouant" qu'il vient de hurler à son père...Oui la garde alternée va très bien se passer, chez moi y aura pas de console!




[quote="suffragettes AB"]pendant la grossesse, c'était la première fois que j'essayais d'arrêter, je suis passée de 20 à 3 clops par jour, et du coup j'ai tout pris entre le 4ème mois et le 7ème mois, 25 kilos :), j'ai frisé le diabète gestationnel, et après j'ai fait attention, et me suis familiarisée avec les concepts d'apports caloriques, dire que j'ai passé les 22 premières années de ma vie en pouvant manger plusieurs tablettes de chocolat par semaine sans grossir, je pouvais manger n'importe comment, je n'avais aucune notion des apports caloriques dans mon frêle corps :), aujourd'hui je mange équilibré dans un corps moins frêle, c'est ironique. Je suis sûre que la base hormonale d'une femme enceinte qui essaie d'arrêter de fumer décuple une calorie, et alors si la femme enceinte ingère une tablette de chocolat, ce n'est pas 600 calories qu'elles absorbent c'est 6000, une fois que le tissu adipeux est formé, il fait parti de toi lol. Au début le déguisement me faisait marrer mais là je dois reconnaître que l'expérience sociologique a assez duré :). Voilà de quoi te donner du coeur à l'ouvrage :). S'il y a des drogués du sucre, je préconise la méthode Montignac, il s'agit de manger non pas des aliments à index caloriques faibles, mais de manger des aliments à index glycémique faible, le tout est de garder un taux de glycémie modérée dans le sang...si on boit un verre de coca, on va avoir un pic de glycémie dans le sang, trop de sucre dans le sang d'un coup, et ensuite suivra une hypoglycémie réactionnelle, moment de fringale intense, et paf on tombe dans le piège :). A méditer: les industriels du tabac ont rajouté du sucre dans la clop, la clop sans sucre ça ne marchait pas! Bon sinon pour ceux qui veulent arrêter le joint, il faut rayer l'apologie de matmatah et la main verte de tryo de sa discographie :). bon allez je vais gérer l'addiction au jeu vidéo de mon fils, il est en train de perdre! Qui lui as mis une manette dans les mains à 4 ans?! c'est l'autre con... Ne pas capituler devant les grands communiquants..."j'ai besoin de me calmer en jouant" qu'il vient de hurler à son père...Oui la garde alternée va très bien se passer, chez moi y aura pas de console![/quote] J'ai longtemps cru que j'avais une addiction au café, mais c'est finalement le sucre que je mets dedans qui m'attire. Ma femme est une adepte de Montignac, elle a totalement banni le sucre de son alimentation, non sans mal (il y a du sucre dans les carottes râpées achetées toute faite, par exemple). Le problème, c'est qu'elle ne parvient pas à me convertir à son alimentation (faut dire qu'elle pousse tout à l'extrême, jusqu'au point de faire son "lait" elle-même (non, bande de dégueulasse, ce n'est pas comme vous pensez ;)). Du coup, faire les courses prend le double du temps d'avant, le temps que ma dame lise la liste des ingrédients de tout ce qu'elle achète, à la recherche de l'IG le plus bas possible... Quant à Cyrulnik, je reconnais ma mauvaise foi. C'est juste que je ne digère pas que ce soit à lui qu'on confie la refonte de la maternelle, en s'asseyant sur tous les travaux des chercheurs en science de l'éducation...
boby6 Il y a 6 ans

pendant la grossesse, c'était la première fois que j'essayais d'arrêter, je suis passée de 20 à 3 clops par jour, et du coup j'ai tout pris entre le 4ème mois et le 7ème mois, 25 kilos , j'ai frisé le diabète gestationnel, et après j'ai fait attention, et me suis familiarisée avec les concepts d'apports caloriques, dire que j'ai passé les 22 premières années de ma vie en pouvant manger plusieurs tablettes de chocolat par semaine sans grossir, je pouvais manger n'importe comment, je n'avais aucune notion des apports caloriques dans mon frêle corps , aujourd'hui je mange équilibré dans un corps moins frêle, c'est ironique.
Je suis sûre que la base hormonale d'une femme enceinte qui essaie d'arrêter de fumer décuple une calorie, et alors si la femme enceinte ingère une tablette de chocolat, ce n'est pas 600 calories qu'elles absorbent c'est 6000, une fois que le tissu adipeux est formé, il fait parti de toi lol. Au début le déguisement me faisait marrer mais là je dois reconnaître que l'expérience sociologique a assez duré . Voilà de quoi te donner du coeur à l'ouvrage .


S'il y a des drogués du sucre, je préconise la méthode Montignac, il s'agit de manger non pas des aliments à index caloriques faibles, mais de manger des aliments à index glycémique faible, le tout est de garder un taux de glycémie modérée dans le sang...si on boit un verre de coca, on va avoir un pic de glycémie dans le sang, trop de sucre dans le sang d'un coup, et ensuite suivra une hypoglycémie réactionnelle, moment de fringale intense, et paf on tombe dans le piège .

A méditer: les industriels du tabac ont rajouté du sucre dans la clop, la clop sans sucre ça ne marchait pas!

Bon sinon pour ceux qui veulent arrêter le joint, il faut rayer l'apologie de matmatah et la main verte de tryo de sa discographie .

bon allez je vais gérer l'addiction au jeu vidéo de mon fils, il est en train de perdre! Qui lui as mis une manette dans les mains à 4 ans?! c'est l'autre con... Ne pas capituler devant les grands communiquants..."j'ai besoin de me calmer en jouant" qu'il vient de hurler à son père...Oui la garde alternée va très bien se passer, chez moi y aura pas de console!


J'ai longtemps cru que j'avais une addiction au café, mais c'est finalement le sucre que je mets dedans qui m'attire. Ma femme est une adepte de Montignac, elle a totalement banni le sucre de son alimentation, non sans mal (il y a du sucre dans les carottes râpées achetées toute faite, par exemple). Le problème, c'est qu'elle ne parvient pas à me convertir à son alimentation (faut dire qu'elle pousse tout à l'extrême, jusqu'au point de faire son "lait" elle-même (non, bande de dégueulasse, ce n'est pas comme vous pensez ).
Du coup, faire les courses prend le double du temps d'avant, le temps que ma dame lise la liste des ingrédients de tout ce qu'elle achète, à la recherche de l'IG le plus bas possible...

Quant à Cyrulnik, je reconnais ma mauvaise foi. C'est juste que je ne digère pas que ce soit à lui qu'on confie la refonte de la maternelle, en s'asseyant sur tous les travaux des chercheurs en science de l'éducation...