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----- je n'aime plus Toulouse en fait : j'veux aller à Paris !!!!!

+1
En plus dans comme des frères il a le bateau pirate playmobil donc il peut être que bien

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque

sacré Kaio

Le méprisant qui méprise de la daube est-il méprisable par celui qui estime que ce n'est pas de la daube?
@"didier"


Faut qu'on t'appelle monsieur le philosophe maintenant ?

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux


Ca fait donc 33 ans, que je me demande ce que Vic peut bien trouver à Mathieu : il est plutôt moche quand même!
@"muriel"


Tu m'as tué
Disons que la mode de l'époque n'est plus la même aujourd'hui, mais je suis d'accord avec toi !!
Ahhh ce film, qui ne l'a jamais vue au moins 2 fois !!
@"gwen"


Euh... je l'ai jamais vu :$

angie : j'ai vu le spectacle de Tsamere à la tv (seul moyen pour le voir ) et j'ai bien aimé. Ce mec est bien barré.
@"melie"


J'suis allée le voir à Toulouse l'année dernière, ça vaut sacrément le coup. Je confirme il est complètement barré

Ayé j'en suis arrivée à ce stade là
@"Alizée"

alors Alizée, tu survis toujours ?
@"Isa"


Je survis et toi ? tu tiens le coup ?

Le vent c'est pas grave, le problème c'est la pluie :'(

je veux pas être à ce soir, je veux pas être à ce soir (en plus le vent ça empêche de dormir suis morte gr)

promis j'arrête de me plaindre une fois que janvier arrive....
@"__Marine__"


Ouais mais après ce soir tu seras demain, et demain ce sera passé : courage

++ je suis chez mes parents (bon d'ici 2 jours ça va me gonfler mais pour l'instant ça va )
@"Isa"


Ayé j'en suis arrivée à ce stade là

V-A-C-A-N-C-E-S

ben maintenant ça va être l'épreuve du train un jour de départ en vacances.... CHOUETTE !!!

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin fourrées à la guirlande électrique aux ampoules souples au cœur fondant et à l'enrobage moelleux mais pleine de coquilles d’œuf qui craquent comme des biscuits secs et sans glace du mont Blanc

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin fourrées à la guirlande électrique aux ampoules souples au cœur fondant et à l'enrobage moelleux mais pleine de coquilles d’œuf qui craquent comme des biscuits

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin fourrées à la guirlande électrique aux ampoules souples au cœur fondant et à l'enrobage moelleux mais pleine de coquilles d'oeuf

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin fourrées à la guirlande électrique aux ampoules souples au coeur fondant

On résiste

Non, y'a @didier qui floode avec Alizée dans un topic qui n'interesse personne !
@"blat"


méeuh !! on n'embête personne non plus

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin fourrées à la guirlande électrique


Au passage, j'ai corrigé les stats (le top des bavards était faux, j'ai rendu sa 2ème place à Maitre Kaio)
@"blat"


J'en connais une qui va être vénère....Alizée?
@"didier"


J'suis en hibernation de bavardage

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion à trop manger de bûches de sapin

Tutain Alizée ma fifillisation se poursuit ! J'ai acheté des chaussures pour aller avec ma robe de réveillon !
@"Isa"


Héhé, elles sont comment ??? (j'ai acheté des ballerines pour aller avec ma robe, mais j'ai pas passé et je ne passerai pas le cap des talons je pense )

FINI !!! c'est même déjà dans la valise (oui je ne pars que dans 4 jours, mais de voir la valise à moitié faite, ça motive )

alors autant je n'étais pas fan du leonardo de romeo et juliette et titanic, mais dans ses films récents qd meme il envoie!
@"Maitre


J'ai vu Roméo et Juliette, et depuis je suis allergique à Léonardo. Ce film est une erreur . Pas vu gatsby.

Avec Léonardo en plus.
@"Maitre

J'aime pas Léonardo !!!!
:x

Voeux de la direction ce midi, et buffet offert par la boite... Cet aprèm va être hyper productif je sens...
@"Isa"


Et Igor ? On en n'entend plus parler !!!!

Dans la mesure où Jésus est un mythe on peut dire des bêtises
@"Bisounour"


Nowel c'est des conneries, Jésus il est né en été ou au printemps, j'sais plus. Mais bon comme le papa nowel il était en vacances à cette période, zont trafiqué son acte de naissance ! LES IMPOSTEURS !

J'ai pas su me retenir J'ai acheté une rooooooobe! Je deviendrai presque une fille si ça continue
@"tortillo"



entre toi, Alizée et moi, on va pouvoir faire un club des filles-qui-n'en-sont-pas-vraiment-mais-vont-presque-finir-par-le-devenir
@"Isa"



attends, j'suis pas encore à l'étape maquillage !! Faut pas déconner

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre qui souffre d'indigestion

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde sans sens et sans sou en chocolat liégeois de Vienne d'ailleurs mais pas d'ici car on le fait à la framboise et au citron à 6 faces et 3 versos qui s'agitèrent sur un pied d'Estal autour duquel dansent les bacchantes en vacances en Sibérie car les RTT aiment le froid de canard dont les cuisses confites à la graisse d'oie se mangent avec des marrons qu'on dirait des pastèques mutantes avec du maïs bleu comme le soleil au soir du désastre nucléaire d'après-demain et qu'il faut se dépêcher de penser à la réponse de "Si tu devais mourir demain ?" dont le sens varie selon le jour où on la lit à baldaquin ou en mezzanine pour échanges à mezzo voce puissantes pour réveiller les géants verts de rage dévastatrice comme le soc enfoncé dans la terre rouge de la mer Noire pas encore morte d'avoir trop bu de la limonade au gaz de schiste et au soufre