J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords


Je te rassure Isa même dans le sud-ouest fait le même temps !!!
@"gwen"


Alors que je suis parti de Lorraine pour ça :'( C'est honteux ce temps dans le sud-ouest, c'est comme ça tous les ans ?
@"flippeur"


non pas tous les ans, bien heureusement

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons

Ma petite entreprise - reprise par Benjamin Biolay

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente

J'aime le sexe sous les tropiques

La fin de la folie c'est comme un livre sans page

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent qui a remplacé les pôles qui ont viré le noyaux

Alex Beaupain - Je suis un souvenir
( certainement la chanson la plus poignante que j'ai entendu en ce début 2013... )


http://www.youtube.com/watch?v=yXd28E0nS5E
@"jej33"


aaah j'ai le cafard maintenant !!!

Chanson que personne n'écoute - Miossec

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère ni boussole où le Nord est au Sud et l'Est à l'Ouest, l'océan a remplacé le continent

Autour de moi les fous

et maintenant : PJ Harvey / Thom Yorke - This Mess We're In

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe inextricable d'un monde sans repère

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé avec du fil d'Ariane oublié dans le labyrinthe

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades de paniers en osier tressé

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes sioux plantés tels des salades

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités par des capillo-tracteurs sillonnant des champs de scalpes

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités

Aller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire remplissant le cœur des enfants et les têtes des amants décapités

ller, c'est décidé, j'arrête. A chaque fois ça tombe sur moi malheureux comme les blés d'un champs de maïs en perdition tel un Titanic sans iceberg pour chambouler sa routine et arriver à bon porc, car tout est bon dans le cochon aussi têtu soit-il et toutes les queues en tire-bouchon débouchent des bouteilles des plus voraces mangeurs de raisins immangeables grillés au soleil d'hiver des saints de glace dont le dessin du galbe, semblable à un Picasso, sont carrément torturés par des formes angulaires harmonieuses comme un Rubik'cube triangulaire qui n'a de cesse de s'emmêler dans la tête du petit Prince capricieux faisant face à Gérard Lambert et Christophe Depardieu ; Dans un aparté assourdissant par son silence de mort qui plane comme un vautour aux serres déchiquetés par la bêtise humaine trop répandue comme une marée noire, mes pensées et mes désirs sont comme les goélands emprisonnés dans le miasme d'égoïsme, comme les hommes se complaisant dans la caverne d'Ali Baba et son harem déserté par les eunuques et par les femmes voilées par leurs souvenirs de déserts brulants et de dromadaires fous surfant sur les dunes houleuses comme des rouleaux, au printemps des poètes maudits et des chanteuses sans voix, des peintres sans pinceau et des sculpteurs sans marbre pour laisser parler leur art par des gestes dans le vide vertigineux de leur imagination sans bornes de kilométrage millimétré au centimètre et au doigt mouillé car trempé dans un verre de rosé que la rosée a noyé de minéraux invisibles et immatériels mais vitaux comme des monades transportant et transmettant leur science littéraire