J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur par un champignon hallucinogène, je ne peux m'empêcher de crier: REVOLUTION ET NATATION, en un mot PLONGEONS MES PIGEONS , RÂLONS et zou, dans le poêlon avec des champignons, des pignons dans le siphon et des chansons dans le polochon sentant le reblochon de Besançon transporté en camion jusqu'à Menton et mélangés à des melons pas vraiment bons

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur par un champignon hallucinogène, je ne peux m'empêcher de crier: REVOLUTION ET NATATION, en un mot PLONGEONS MES PIGEONS , RÂLONS et zou, dans le poêlon avec des champignons, des pignons dans le siphon et des chansons dans le polochon sentant le reblochon de Besançon transporté en camion jusqu'à Menton

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Palabra mi amor - Shaka Ponk

Entre les enfants de la télé et touche pas à mon poste, je me demande bien quelle émission me gonfle le plus. Des émissions où tout le monde il est gentil où tout ce qu'ils font est formidable... c'est insupportable.
@"Samurai_Mugen"

T'as rien compris! Le message important c'est il y a "Frédéric Lopez" le reste osef
@"tortillo"


Oui parce que l'émission en soit elle sert strictement à rien.

Frédéric Lopez (l) (l) dans "Les enfants de la télé"
@"tortillo"


Pareil, juste parce qu'il y a Alexandre Astier
(mais c'est chiant et en plus il participe pô)

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Sur des conseils brillants, Quelque chose noir, de Jacques Roubaud. Un recueil publié suite à la mort de sa femme. Jamais dans le pathos, même si on entre dans l'intimité de la douleur, très beau. Bon ce n'est pas à lire si vous êtes déprimés.
@"Angie"


Son dernier recueil est génial, "ode à la ligne 29 des autobus parisiens".
Jacques Roubaud est passé à Ombre blanche (libraire de Toulouse) et a un peu expliqué le processus d'écriture. J'aime beaucoup le jeu sur les mots, et son utilisation assez particulière de l'orthographe pour faire des rimes et des alexandrins parfait .

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur par un champignon hallucinogène

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée et pourrie de l'intérieur

J'aime le sexe sous les tropiques cancéreux par l'humidité omniprésente de ton anatomie chevaline, dont la superbe queue de soie et d'or gît au sol lasse des balancements houleux, monotones des vas et viens de passants cadavériques blancs comme la page angoissante de l'écrivain en manque d'inspiration romanesque, ne sachant plus écrire qu'à l'encre invisible par les escargots gothiques et enrhumés, je laisse s'envoler mon esprit vers d'autres horizons brumeux mais doux comme des agneaux innocents qu'on mène à l'abattoir sans remords errant dans les limbes vastes et inconnues d'un nouveau monde encore endormi tel un crotale sous le soleil froid de Pluton qui tourne le dos au soleil et ouvre les bras à l'Univers vibrillonant de mille éclairs au chocolat et au café pour le goûter des morts-vivants boiteux et manchots, sourds et muets, aveugles mais sentant le poisson Lune dont le premier quartier ressemble à celui d'une orange desséchée

Avant toute chose je tiens à dire que je ne pensais pas faire un truc de dépressif... on s'est plutôt bien marré à l'écrire, et au moment du résultat et bien on s'est aperçu que ce n'était pas drôle du tout (mais bon c'est trop compliqué d'en refaire une ...). Peut-être qu'on s'est imposé trop de contraintes (mêmes sonorités des rimes, même rythme, mêmes structures grammaticales...). De plus on était deux à l'écrire (donc merci à Marie, qui n'est pas sur SL).



Pigeon (et soûl)

Encore un jour de merde pour les pigeons en transe
Qui ont la tête en guimauve à se soucier de leur panse
Comme toujours il est huit heures du soir j’suis encore à la bourre
Je me suis encore couché trop tard à parler aux fous
Encore

Encore une soirée où la guimauve en transe
Encore elle va s’faire picorer même si elle est un peu rance
Alors on va ripailler faire semblant d’être des gueux
Pour finir dans le caniveau et demain on se f’ra vieux

Puisqu’on est des pigeons
Puisqu’ils sont bêtes et soûls
Puisque la foule n’a plus d’horizon
Dans ce monde de ripoux
Puisqu’on est des moutons
Contents d’être dans la boue
Puisque les cerveaux en guimauve gagnent quand on devient soul

Encore un jour de merde pour les pigeons en transe
Mais on va quand même bûcher pour des diplômes qui n’ont plus de sens
Comme toujours il est huit heures du soir j’suis encore à la bourre
Mais je sais qu’on est des bagnards à travailler
A mort

Encore une soirée où la guimauve en transe
Encore elle va s’faire picorer dans un monde sans nuance
Alors elle va ripailler faire semblant d’s’occuper
Mais toujours revenir dans un état miteux

Puisqu’on est des pigeons
Puisqu’ils sont bêtes et soûls
Puisque la foule n’a plus d’horizon
Dans ce monde de ripoux
Puisqu’on est des moutons
Contents d’être dans la boue
Puisque c’est sûr qu’demain nous nous battrons
Je ne sais où

Encore un jour de merde pour les pigeons en transe
Où on va quand même bûcher pour des diplômes qui n’ont plus de sens
Comme toujours il est huit heures du soir j’suis encore à la bourre
Mais je sais qu’on est des bagnards à travailler toujours.


Je ne m'étais jamais essayée à la réécriture de chansons, et ma foi j'aime bien ça

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oui c'est ça, je ne sais jamais comment ça s'écrit ' (d'habitude, le goûter je ne l'écris pas... )

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Un copain vient de relayer ça sur son mur Facebook, c'est assez édifiant sur le fonctionnement de notre société je trouve (hélas) : http://www.rue89.com/2013/05/16/soldes-a-virgin-etes-comportes-comme-pourritures-242388

Perso je trouve ça hyper violent le comportement des gens
@"Isa"


outch, c'est lamentable...

AAAAAAAAAAAH PUTAIN LES DOIGTS DE PIED DANS LE COIN DU MUR ÇA FAIT MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL !!!!!!!!!!!!!!!

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05 - Emploi ou occupation actuel(le) : Etudiante en Histoire
36 - Série préférée : KAAMELOTT
@"Nulie"


Cool, une camarade future historienne fan de Kaamelott !! Bienvenue !!

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