Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse sur des vélo-solex au pays du kleenex où l'on mouche ses ex; Diable, qu'ils nous oppressent et nous consument tel un réflexe on se projette alors en dehors de l'espace temps, en dehors de toute logique, on est libéré du carcan de la rationalité

J'AI FAIM !!!!!

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés et enturbannés lancés à pleine vitesse

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination des poneys irlandais enrhumés

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemar gastronomique de molécules explosives qui ne rassasient que l'imagination

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemars gastronomique de molécules explosives

Ah oui cauchemar sans d c'est mieux

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin des plages de lave, rêve sans faim ou cauchemard gastronomique

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement au vent qu' Eole souffle sur le sable fin

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Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé imperturbable refroidissant lentement

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre et l'odeur des madeleines à la mandarine, souvenirs ressortis d'une tasse de thé

L'attente avant le concert, l'impatience qui monte (première fois que j'assistais à un concert de Saez oblige)
Elle était profonde
Le mélange de rock et d'acoustique
Embrasons-nous au milieu de ma petite couturière (il ne chantait pas encore les Anarchitectures II à Toulouse )
Putain vous m'aurez-plus
Le 'tit problème technique avant le Roi
Tu y crois avec un final magistral
L'empressement après le concert de trouver une autre date
...

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle sucrée-salée, elle respire la joie de vivre

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil, les yeux noyés par une houle

Un livre posé sur ses genoux enchylosés et rougis par le soleil

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival qui nous laisse rêveur quand la pluie ruisselle sur nos visages blafards et nous ramène à nos tristes réalités. Ma guitare pour seule compagne et ma bouteille pour seule remède aux heures sombres passées dans l'illusion d'une vie rêvée.Des villes englouties par ce noir, ce blanc, ces zébrures... ce monde qui n'a qu'un souffle, souffle de vie et d'espoir, sous ses yeux vairons d'un Bowie d'opérette qui joue des claquettes

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival qui nous laisse rêveur quand la pluie ruisselle sur nos visages blafards et nous ramène à nos tristes réalités. Ma guitare pour seule compagne et ma bouteille pour seule remède aux heures sombres passées dans l'illusion d'une vie rêvée.Des villes englouties par ce noir, ce blanc, ces zébrures... ce monde qui n'a qu'un souffle, souffle de vie et d'espoir

Messine (en regardant la mer )

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival qui nous laisse rêveur quand la pluie ruisselle sur nos visages

jej33 oui je l'ai vu au ciné. Il est vraiment émouvant (et c'est rare que je dise ça d'un film ).


Fin 2012: Premier film ( Mauvaise fille ) et première récompense en tant qu'actrice avec le prix du " meilleur espoir féminin ".


@"jej33"


Ce film est magnifique, et pour un premier rôle au ciné elle a vraiment assuré.

Les génies sont revenus galvanisés par un temps estival

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides photo chopé à la volé et cachant les sillons du temps perdu par la seule maladie incurable excepté par les souvenirs de mon enfance passé mais pas dépassé, las sur mon lit de mort la faucheuse cette grande dame qui nous uni définitivement

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides photo chopé à la volé et cachant les sillons du temps perdu par la seule maladie incurable excepté par les souvenirs de mon enfance passé mais pas dépassé

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides photo chopé à la volé et cachant les sillons du temps perdu par la seule maladie incurable excepté par les souvenirs

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides photo chopé à la volé et cachant

Il y a ces œuvres oubliées qui planent au gré des vents du sud, amer parfum de ma jeunesse innocente pervertie par la pensée unique des vers de terre, pensant, pansé de ses blessures béantes que ton amour m'a laissé; ainsi rampant, je ne peux aimer que toi et ton parfum de corps en putréfaction grouillant de mouches amer de solitude et avide d'espoir trouvé au fond d'un verre de Betty dont le taux d'alcoolémie était proche de la folie pétillante de Baudelaire dont l'opium se confond avec de l'absinthe et entame son esprit ramolli par les intempéries du printemps sans fleurs et sans couleur, claire-obscure de mon âme vagabonde et intrépide désir de nouveauté je me lance sans parachute dans l'abîme tes yeux pour m'y noyer et y perdre la mémoire, ma vieillesse comme seule remède à la jeunesse éternelle tant vantée par les publicités anti-rides

11) J'aimerais faire le tour du monde à la voile
12) et prendre le transsibérien
13) Je veux être prof d'histoire
14) Je savais nager à 4 ans, et je nage toujours comme quand j'avais 4 ans
15) Petite, j'essayais de faire faire la course aux escargots, ça n'a jamais marché.
16) Avant quand j'écoutais Germaine, je pensais que Renaud disait "panthère rose" au lieu de "Kanterbraü"
17) Je ne sais pas non plus me maquiller __Marine__
18) Je connais par coeur René la taupe (mais ce n'est pas de ma faute... c'était à la mode un été à la colo )
19) J'aimerais faire la fête de l'Huma, mais ça ne tombe jamais au bon moment
20) J'espère que Toulouse va battre Toulon vendredi