<br /><br /><br />no direction home BOB dylan

heuuuuuuuuuu ..... \"heu mickael jackson est venu hier chez moi pis*er un coup....\"<br />\" bon d\'accord il est pas vraiment venu pour _ça\"<br />\" mais sa soeur l\'a fait \" :biggrin:

My favourite<br />bon c\'est assez spécial <br />c\'est un langage a part entiere ( oui oui on appelait meme ça la langue durassienne du temps de son vivant) <br />faut prendre le temps de rentrer dans son univers, dans ses silences et dans ses mots a elle<br />mais moi ça m\'a flanqué au sol la premiere fois ...<br />je vous conseille l\'amant, le vice consul, india song ( les trois là se passent dans l\'indochine des années 20 ,30 ) <br />hiroshima mon amour, la douleur, le ravissemnt de lol v stein <br />enfin tous <br /> moi perso je m\'en lasse pas ...<br /><br />qq extraits pour vous faire une idée<br /><br />« Un jour, j\'étais âgée déjà, dans le hall d\'un lieu public, un homme est venu vers moi. Il s\'est fait connaître et il m\'a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu vous dire que pour moi je vous trouve plus belle maintenant que lorsque vous étiez jeune, j\'aime moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté». Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n\'ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante. C\'est entre toutes celle qui me plaît de moi-même, celle où je me reconnais, où je m\'enchante . Entre dix-huit ans et vingt-cinq ans, mon visage est parti dans une direction imprévue, Ce vieillissement a été brutal. Je l\'ai vu gagner mes traits un à un... Ce visage-là, nouveau, je l\'ai gardé. Il a été mon visage. Il a vieilli encore, bien sûr, mais relativement moins qu\'il aurait dû. J\'ai un visage lacéré de rides sèches et profondes, à la peau cassée. Il ne s\'est pas affaissé il a gardé les mêmes contours mais sa matière est détruite. J\'ai un visage détruit...\"<br />ça c\'est le debut de l\'amant <br /><br /><br /><br />\"L\'histoire de ma vie n\'existe pas. ça n\'existe pas. Il n\'y a jamais de centre. Pas de chemin, pas de<br />ligne. Il y a de vastes endroits où l\'on fait croire qu\'il y avait quelqu\'un, ce n\'est pas vrai il n\'y<br />avait personne.<br /><br />Je n\'ai jamais écrit, croyant le faire, je n\'ai jamais aimé, croyant aimer, je n\'ai jamais rien fait<br />qu\'attendre devant la porte fermée.<br /><br />Je me suis dit qu\'on écrivait toujours sur le corps mort du monde et, de même, sur le corps<br />mort de l\'amour.\"<br /><br />M.D.<br /><br />\"Après le départ l\'enfant sort du car. Elle regarde le fleuve. Elle regarde aussi le Chinois élégant qui est à l\'intérieur de la grande auto noire.<br />Elle, l\'enfant, elle est fardée, habillée comme la jeune fille des livres : de la robe en soie indigène d\'un blanc jauni, du chapeau d\'homme d\'« enfance et d\'innocence », au bord plat, en feutre-souple-couleur-bois-de-rose-avec-large-ruban-noir, de ces souliers de bal, très usés, complètement éculés, en-lamé-noir-s\'il-vous-plaît, avec motifs de strass.<br />De la limousine noire est sorti un autre homme que celui du livre, un autre Chinois de la Mandchourie ; Il est un peu différent de celui du livre : il est un peu plus robuste que lui, il a moins peur que lui, plus d\'audace. Il a plus de beauté, plus de santé. Il est plus « pour le cinéma » que celui du livre. Et aussi il a moins de timidité que lui face à l\'enfant.<br />Elle, elle est restée celle du livre, petite, maigre, hardie, difficile à attraper le sens, difficile à dire qui c\'est, moins belle qu\'il n\'en paraît, pauvre, fille de pauvres, ancêtres pauvres, fermiers, cordonniers, première en français tout le temps partout et détestant la France, inconsolable du pays natal et d\'enfance, crachant la viande rouge des steaks occidentaux, amoureuse des hommes faibles, sexuelle comme pas rencontrée encore. Folle de lire, de voir, insolente, libre.<br />Lui, c\'est un Chinois. Un Chinois grand. Il a la peau blanche des Chinois du Nord. Il est très élégant. Il porte le costume en tissu de soie grège et les chaussures anglaises couleur acajou des jeunes banquiers de Saigon.<br />Il la regarde.<br />Ils se regardent. Se sourient. Il s\'approche.<br />Il fume une 555. Elle est très jeune. Il y a un peu de peur dans sa main qui tremble, mais à peine, quand il lui offre une cigarette.<br />-vous fumez ?<br />L\'enfant fait signe : non.<br />- Excusez-moi... C\'est tellement inattendu de vous trouver ici... Vous ne vous rendez pas compte...<br />L\'enfant ne répond pas. Elle ne sourit pas. Elle le regarde fort. Farouche serait le mot pour dire ce regard. Insolent. Sans gène est le mot de la mère : « on ne regarde pas les gens comme ça ». On dirait qu\'elle n\'entend pas bien ce qu\'il dit. Elle regarde les vêtements, l\'automobile. Autour de lui il y a le parfum de l\'eau de Cologne européenne avec, plus lointain, celui de l\'opium et de la soie, du tussor de soie, de l\'ambre de la soie, de l\'ambre de la peau. Elle regarde tout. Le chauffeur, l\'auto, et encore lui, le Chinois. L\'enfance apparaît dans ces regards d\'une curiosité déplacée, toujours surprenante, insatiable. Il la regarde regarder toutes ces nouveautés que le bac transporte ce jour-là. Sa curiosité à lui commence là.<br />L\'enfant dit :<br />- C\'est quoi votre auto ?...<br />- Une Morris Léon Bollée. \"<br />l\'amant<br /><br />\"Si tu reviens, a dit la mère, je mettrai du poison dans ton riz pour te tuer.<br />Tête baissée, elle marche, elle marche. Sa force est grande. Sa faim est aussi grande que sa force. Elle tourne dans le pays plat de Tonlé-Sap, le ciel et le pays se rejoignent en un fil droit, elle marche sans rien atteindre. Elle s\'arrête, repart, repart sous le bol. (page 10)<br />Dans la lumière bouillante et pâle, l\'enfant encore dans le ventre, elle s\'éloigne, sans crainte. Sa route, elle est sûre, est celle de l\'abandon définitif de sa mère. Ses yeux pleurent, mais elle, elle chante à tue-tête un chant enfantin de battambang. (page 28)<br />L\'enfant naît vers Oudang, dans un abri,... La femme l\'a aidée. Pendant deux jours elle lui a apporté du riz, de la soupe de poisson et, le troisième jour, un sac de jute pour le départ, écrit Peter Morgan. \"<br />le vice consul<br /><br />\"LUI : Tu n\'as rien vu à Hiroshima. Rien.<br />ELLE : J\'ai tout vu. Tout... Ainsi l\'hôpital je l\'ai vu. J\'en suis sûre. L\'hôpital existe à Hiroshima. Comment aurais-je pu éviter de le voir ? LUI : Tu n\'as pas vu d\'hôpital à Hiroshima. Tu n\'a rien vu à Hiroshima... ELLE : Je n\'ai rien inventé.<br />LUI : Tu as tout inventé.<br />ELLE : Rien. De même que dans l\'amour cette illusion existe, cette illusion de pouvoir ne jamais oublier, de même j\'ai eu l\'illusion devant Hiroshima que jamais je n\'oublierai. De même que dans l\'amour. \"<br />hiroshima mon amour <br /><br /><br />\"Des années après la guerre, après les mariages, les enfants, les divorces, les livres, il était venu à Paris avec sa femme. Il lui avait téléphoné. C\'est moi. Elle l\'avait reconnu dès la voix. Il avait dit: je voulais seulement entendre votre voix. Elle avait dit: c\'est moi, bonjour. Il était intimidé, il avait peur comme avant. Sa voix tremblait tout à coup, elle avait retrouvé l\'accent de la Chine. Il savait qu\'elle avait commencé à écrire des livres, il l\'avait su par la mère qu\'il avait revu à Saigon. Et aussi pour le petit frère, qu\'il avait été triste pour elle. Et puis il n\'avait plus su quoi dire. Et puis il le lui avait dit. Il lui avait dit que c\'était comme avant, qu\'il l\'aimait encore, qu\'il ne pourrait jamais cesser de l\'aimer, qu\'il l\'aimerait jusqu\'à sa mort.\"<br />M.D. Février-Mai 1984 L\'Amant

150 waaa avec ça y a interet a avoir des places vip concert sur les genoux de damien et il nous paye un mars apres.....et des acces backstage douche...

pour les petit geek <br />


south park lord of warcraft <br /><br />faut avancer la demo du debut et apres c\'est le bonheur ...

nan le coté paiement obligatoire c\'est moche, <br />moi j\'aimais bien l\'idée des t shirts, des dons ou autres ( j\'ai plein de cours de cancero qui mnervent là dailleurs je les vends a qui le veut ) :huh:

joyeux anniversaire pour petit prince

han alors je t\"\'ai meme dit bonjourrr waaaa la classe

moui et personne lui a payé de mousse en attendant<br />pas etonnant qu\'il soitr reparti :sorry:<br />sinon john lennon me fait vous dire qu\"\'il peut pas passer demain sur le chan, il\'a piscine <br />

mdr !!<br />castor en mode Groupie

m\'en fous moi je me fais remarquer a chaque concert seul, ou euh..seul
<br />c\'était toi avec bing a la salle poirel ??

oui je fustige mais je pense pareil<br />c\'est pas une vraie chanson, un delire de 4 heure du mat\' <br />et il a interet a se rouler par terre en la chantant

jparlais du rapport perimetre/population na !

ouais moi aussi j\'ai fait lapprentissage de la propreté y a pas si longtemps<br />ne t\'inquiete pas si t\'es sage il t\'enleveront vite la couche pour te laisser papillonner avec les autres dans le bac a sable <br />et là faudra faire attention y a plein de batailles de chiffres de batailles de mots <br />et c\'est bourré de bisounours, de mike, de castors et pire.....; de petites belges qui flood a mort <br />alors que y a que moi qui suis sage <br />mais personne veut faire le meeting a nancy <br />comprends po ....... :blink: <br />:laugh:

ouais mais vous pactisez avec la capitale c\'est pareil grumph <br /><br />(enfin jdis ça en meme temps j\'adore faire des concerts a paris alors je grumph dans le vent )

mouiiiiii mais bon saez adore la lorraine n\'empeche sinon il nous ferait pas trois concerts sur un an dans un perimetre de 100km a peine <br />moi jdis qu\'il nous adoooooooooooore plus que vous les parisiens

genre le renne qui se veut lourd : a mi chemin entre bruxelles et paris y a ????<br /><br />NANCY!!!!!!!!!!<br /><br /><br /><br />oui bon d\'accord je retourne au coin .... <br /><br />en fait vous m\'aimez pas.................:blink:

nan mais quand j\'étais petite (enfin plus petite , si si on se moque pas ) <br />j\'avais deux grandes terreurs : le chanteur de the cure et tout indochine <br />mais je leur reconnait un avantage et pas des moindre:<br />thanks to madame marguerite duras

( ouinnnnnn desolée indochine ça fait partie d\'un de mes traumatismes d\'enfance........ ça et the cure <br />:blink: )

jcomprends point pourquoi ......... ?

ou alors a nancy ?? <br />nan ?? :laugh:

mouais vla la bouille de l\'exclu <br />m\'enfin je t\'en veux pas vaaaaaa<br />on peut pas etre qu\'un dans un public <br />c trop dur de slammer sinon !

en tout cas <br />le renne adhere<br />le renne adopte <br />le renne adore <br />( le renne parle a la troisieme personne quand le renne est en hypoglycemie )

pffff je croyais avoir l\'exclusivité ///

happy birthday to you mr Yannick78

moi ce qui m\'étonne c\'est que personne ne soit surpris que ,le grand genialissime diamant fou, le petit icare fabuleux qui s\'est grillé les neurones à toutes les drogues possibles,<br />je cite, l\'immense Syd barrett,<br /> soit venu nous causer d\'outre-tombe... <br /><br />le monde le voulait, saelzlive l\'a fait/// clap clap<br />:laugh: <br />( wish you were here syd )

ah oki jpensais que c\'était que la premiere partie qui sortait d\'un article <br />okiiiiii lol