raaaa j\'arrête pas de réactualiser la page de myspace en trépignant d\'impatienCe ...<br />dejà que la chanson précédente m\'a brulé les oreilles toute la journéeee ( faudrait que j\'ecoute moins fort Saez dans le tram je suppose ) <br /><br />c dur d\'attendreune si belle promesse , j\'en ai des papillons dans le ventre :blush:

MERCIIIIIII Nicolas<br /><br /> c\'est Barnabé ( mon lecteur mp3) qui gazouille de joie en toN nom...

houlalaaaaaaaaa pas la peine de t\'enflammer missmojorisin <br /><br />g d\'abord pensé radiohead niveau voix mais je voulais pas soulever la polémique... pour archive çame fait penser a lights dans la montée de voix c tout<br /> scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz scuz !!!

j\'adorrrrre <br />ça m\'a fait penser au dernier album d\'archive ( lights) niveau arrangement...<br />jreprends ce qui a été dit plus haut par rapport a debbie et sexe... oui il place la barre très haut et je meurs d\'impatience d\'en connaitre la suite...<br />merci moNsieur Saezzzzz<br />c\'est reparti pour deux ans yeahhhhhhhhhhhhh !

voilà j\'ai trouvé ce joli montage pas mal du tout <br /><br />


montage jours étranges

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

bon ben joyeux anniversaire a moi...:<br /><br />pfff le forum ne m\'aime pas... je cite :<br /><br /> \"Fêtant son anniversaire aujourd\'hui : Aucun \" <br /><br /><br />snifff... même saezlive m\'a oublié..

Pour ceuX qui oNt paS suivi:<br /><br />Ben si y a eut 80 dates accoustiques de la tournée 2005 ( suffit de faire repeat one sur itunes du concert de Nancy ) <br />Ben si Y a eut un dvd "autour de debbie" ( c\'est juste que damien prefere visionner ses videos de vacances-tequila tout seul dans son saloN... ) <br />Ben si y a un livre "classique" , genre le rouge et le noir,ecrit par Monsieur saez ( c\'est juste qu\'il l\'a écrit y a bien longtemps sous le pseudonyme de Stendahl.. pour pas faire trop de pub) ( d\'ailleurs il aurait meme en projet l\'histoire d\'une bourgeoise libertine et suicidaire...bon pour l\'instant il a que le titre de madame Bovary...mais on suit de pres ) <br />Voilà moi j\'y crois...<br /><br /><br />Pour ce qui est des rumeurs inaveréés : ( que j\'ai moi même lancées aux dernieres eurockeennes)<br /> - jdois avouer que l\'histoire de "l\'anus artificiel de Matthew Bellamy" n\'est peut etre qu\'une pure fabulation de ma part ( mais ça me fait rever...)<br /> - jdois avouer aussi que Paul Mac cartney n\'a pas divorcé pour moi ( mais ça ne veut pas dire qu\'un jour il ne sera pas mien...) <br /> - que Saez n\'est pas en prisOn ( mais ça c\'est pas de moI ) <br /> - Qu\'il n\'est pas non plus pretre de niveau 8 chez les Raeliens, il a meme pas de carte d\'invincibilté :blink: ...( ça c\'est de mOi)<br /> - et qu\'il ne se nourrit probablement pas que de truCs qui finissent en "ouille" ( bon ça aussi ) <br /><br /><br />Voilà je tenais a faire ma confessioN...ouhhhhh ça m\'enleve un poids du coeur:!:!!!!!

\"Le scandale était à la mesure de Dieu...\" ( Marguerite DURAS) <br />(texte en rapport avec le Ravissement de Lol V stein de duras...) <br />ooooOOOOooooo<br /><br /><br />Lola Valérie Stein.<br />Tout se mélange ici.<br />J\'ignore comment cela est venu à nous, mais elle et moi c\'était pareil. Cest très vite devenue la même peur.<br /><br /><br /><br />ooooOOOOooooo<br /><br /><br /><br />J\'ai commencé à peupler la ville entière d\'elle, à poser son visage sur des milliers d\'inconnues, à en remplir tout ces trains au départ. Elle était noyée à l\'infini dans ces lieux d\'attente. Et j\'ai comblé la nuit de son ombre affolée, un vertige angoissant. J\'ai rempli la terre entière de ce vide effrayant qu\'elle trainait autour d\'elle, à chaque pas. Son ravissement c\'était une merveille, l\'ivresse à l\'echelle du monde. Et je me suis perdue auprès d\'elle, comme Lol je me suis retrouvée séparée à tout jamais par ce texte. Et la nuit n\'en finissait plus, une course lente, indécise, qui nous faisait suffocantes. C\'était sur ce point là, absolument provocant que Lol et moi nous nous retrouvions, un jugement dernier, crépusculaire.<br /><br /><br /><br /><br /><br />ooooOOOOooooo<br /><br /><br /><br /><br /><br />Le livre ne sera sans doute jamais écrit, mais il reste là, inévitable, et il n\'en peut plus de faire mal et d\'éclipser la plaie, de la ramener à lui. Aujourd\'hui je le sais: elle et moi c\'était définitif, lui, Il ne seraitt plus qu\'un détour insipide de l\'écrit, une page annexée à l\'ennui. <br /><br /><br />ooooOOOOooooo<br /><br /><br />Petite Lol. Très loin déjà, partout dans la nuit, éclatée dans le passage des autres, soufflée par tout les regards humains. Je me couche contre toi, et c\'est contre ton corps fatigué que j\'attends l\'aurore, jusqu\'à la limite éprouvée de cette amour. Petite Lol, maintenant je te comprends, va, je te ressemble, il reste du chemin jusqu\'au lever du jour. La nuit est calme, profonde, dehors d\'autres coeurs s\'eveillent encore à l\'abîme. Le livre est dejà à l\'agonie. Va Lol, je reste contre toi, je suffoque entre tes lignes et j\'expire à bout de souffle contre ta main.<br /><br /><br />ooooOOOOooooo

deux premiers detournements par Mozinor
<br />
<br />


Kill Bill
<br />
<br />

Terminator
<br />
<br />
<br />La classe américaine...
<br />moment d\'anthologie avec Monsieur Elvis Presley...Enjoy!!!!
<br />
<br />

Un p**** d\'energumène...
<br />
<br />

L\'indien et les chips...

c\'est le texte le plus personnel que j\'ai du ecrire, et aujourd\'hui encore je suis incapable d\'en changer une seule ligne, si imparfait soit il ...
<br />il colle vraiment pour une fois à lascene que je voulais decrire, il fai tooujours aussi mal en fait.. arf i\'m a maso-queen...

Je me souviens du nom,
<br />du visage,
<br />des traits
<br />réguliers...
<br />Mais au-delà de toute image confondue, seul le lieu est resté là,
<br />intact,
<br />il est la définition intouchable de cet instant là.
<br />Une image déposée, idéale, inoubliable
<br />sans savoir pourquoi.
<br />C\'est un lieu sombre, vide et eclaté dans la nuit, dans cette nuit là et dans toutes celles qui l\'ont suivie,
<br />un lieu de naufrage, j\'ai pensé.
<br />De cela aussi je me souviens.
<br />Je me souviens également avoir consenti à cela, à ce lieu, à cette terre.
<br />Brûlée
<br />au crime,
<br />imposé, décoloré par le silence violent qui dominait l\'instant.
<br />Je l\'ai regardé, enchantée par l\'humilité de l\'attendu.
<br />Plus que tout autre chose c\'est ce lieu fané qui a compté dans les détours de l\'histoire, il a foudroyé l\'écrit. C\'est ce lieu qui s\'est retrouvé caché, enterré, brutalisé au c

voilà j\'aimerais juste avoir des avis...
<br />
<br />
<br />pour ce qui est de ces textes ils se ressemblent beaucoup et je les vois plus comme une réécriture les uns des autres dans le sens où ils sont une exploration narrative différente a chaque fois d\'un meme sujet que ce soit marta, atala ou les autres de ces heroines sans nom...
<br />
<br />voilà je voudrais juste des avis extérieurs car je n\'ai fait voir ces textes qu\'à mes proches pour l\'instant...

larme a l\'oeil...merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ça me touche beaucoup que quelqu\'un aime...<br /><br /><br />Marta : <br /><br />Ils sont tous là et implorent Marta.<br />Marta dans l\'ombre, Marta lumière, Marta de poussière et de sang, posée sur l\'écrit, violente et résolue.<br />Peut être qu\'elle se trouvait déjà loin dans cet appel désespéré, peut être qu\'à la nuit même elle était partie, devenue l\'écume de ses mots, perdue dans sa pensée, claire et insoumise...<br /><br />Marta et sa propre chute au pays des soleils et des libertés.<br />Marta de larmes et de cris,<br />prostituée au hasard des mots...<br />Ephémère, volatile Marta...sans savoir pourquoi.<br /><br />Dès le départ elle respirait l\'agonie. Une éternelle petite garce, une fée tragique; elle, elle aimait la fuite, pire que cela elle incarnait l\'exil, c\'était elle la petite Clandestine, l\'orage irrésolu, c\'était la mer toute entière, le torrent dévastateur. Un corps blanc, blême, translucide, une ombre de voiles, cachée dans l\'aube, le supplice de l\'aurore...encore une fois... Marta, elle les a tous mis à terre par son silence, par tous ces cris qu\'ils ont jeté à travers la nuit, comme une bouteille à la mer, et auxquels elle n\'a jamais porté écho. On ignore même si elle a entendu cette clameur qui s\'élevait de l\'eau, elle a juste préféré l\'appel du désarroi pour les laisser crever dans cet amour, seuls, séparés de l\'univers...des âmes qui épousent la poussière ...<br /><br />Marta divine, coincée entre l\'affable et l\'éther, une héroïne improbable, seule, abandonnée au coeur du naufrage ... Il y a aussi, par delà le conte, cette valse, désespérée, à l\'essence même du drame, qui palpite, hurle, tangue dans les veines, suinte dans le corps tout entier, une valse récurrente, enivrante, dégoûtante d\'absolu, portée à la misère de l\'entracte, et qui résonne de plus en plus fort dans chaque alinéa du livre.<br />Elle était restée là, entière, au mieu de ses ruines emmêlées.<br />Tout était là, la reine de cendres, les brumes que j\'avais dessiné pour elle et le silence impardonnable sur la dune, de l\'autre côté du monde, négative et alerte, inutile et merveilleuse.<br />Un songe exquis mais opprimé.<br />Une page bêtement inconsolable...<br /><br />Marta à la robe couverte de sang.<br />Marta fascinante, jetée dans l\'éternité.<br />Une beauté hivernale et glacée d\'orgueil, et elle, elle indifférente au drame, elle dansant parmi les ombres, dans sa valse vide, éclairant la voie de sa rythmique obscène, dans cette pluie de suie, de cendre, de sang, cette pluie éclatante qui salit le conte à chaque chapitre, cette pluie omniprésente...Une averse idéale, engluée à l\'évidence du conte. Le drame était bordé d\'absolu, de toute part il aura déserté ma raison.<br />Marta, petite vierge rampante, toujours égarée, étrangère dans cet amour insondable de la nuit, dans le spectacle latent des néons impassibles...les lumières de la cité comme une pluie dévorante sur le c

************** Le désert de ce livre n\'existe pas,**************************
<br />il n\'existe pas et n\'a jamais existé, l\'histoire du livre ce n\'était même pas l\'abandon, ce n\'était rien, rien,juste le vide qui grandissait et qui prenait tout le monde à la gorge,
<br />l\'ennui c\'était pareil, une mare, écorchée, conjuguée à l\'imparfait encore et encore, toujours lamentablement laissée à l\'exil.
<br />
<br />**************Des ruines de sang,************************************
<br />qui s\'étaient confondues dans la nuit, dans l\'attente du récit. Les ruines defigurent, elles ne servent qu\'à briser l\'envie, elles se perdent, se morfondent, s\'exaltent dans cette douleur.
<br />
<br />**************La robe de Marta,************************************
<br />celle qui dansait au crépuscule, une robe diaphane, virginale, effacée par l\'idée.Marta la flamme ingénue au milieu des corps. Elle n\'a rien apporté de plus que ce qui existait déjà en ces lieux. La pensée était déjà là, informe, tangible sur les lèvres, le mot manquait, elle n\'a fait que cela en somme, porter l\'idée à la lumière du verbe, la faire naitre dans l\'heure visible, Marta, un ange, une pluie salvatrice, abandonnée sur toute les pages du monde. Le conte était figé dans l\'indicible, flanqué d\'un purgatoire atroce.
<br />
<br />**************Il s\'est arrêté à cette robe.*****************************
<br />Tout est en haleine, l\'univers entier est suspendu à sa valse. Le corps n\'est rien dans cette lutte infecte contre l\'ennui. Il se soumet au silence, le jour se lève, il ne reste rien, qu\'un vide assourdissant, une force amusicale qui brûle au creux des reins, s\'enroule autour des hanches, à en devenir fou, l\'altérité à s\'en crever les yeux. Une plaie ouverte, qui se vend au monde, à qui s\'arrêterait, l\'emporterait loin d\'ici, loin de tout se mal, de toutes ces attentes invalides, surnuméraires. Rien ne sert d\'éviter l\'aurore, je l\'ai compris trop tard, l\'idée est désolée, presque ravie par la fin.
<br />
<br />***************Autour de l\'étoile,**************************************
<br />il y a tout ce sang, cette averse obsédante de suie, charbonnée jusqu\'à la pointe du c

dans le genre d\'interpellation typiquement lorraine qui fait mal aux n\'oreilles y\'a \" t\'as qu\'à demander à LA Marie\" niarkkkkkkkkk pourquoi pas La Marguerite tant qu\'on y est grumph alors !!!!

Raphael, la premiere fois que j\'ai vu le clip de caravane j\'ai courru chercher l\'album ...premiere ecoute j\'aime... chanson pour patrick dewaere;)
<br />je suis désolée d\'etre aussi critique mais j\'ai vraiment été déçue point de vue scenique, mais je pense néanmoins qu\'il fait de beaux albums de son coté

Shine on you crazy diamond. [[ dans le wish you were here des Pink Floyd
<br />
<br />
<br />hommage a syd barett qui vient de nous quitter...

De Marguerite Duras : ( I love Maggy !!!!!! )
<br />L\'amant
<br />India Song, le Vice Consul
<br />Hiroshima mon Amour
<br />Nabokov :
<br />Lolita
<br />Rimbaud:
<br />une saison en enfer
<br />Baudelaire :
<br />les fleurs du mal
<br />Racine :
<br /> Phèdre, Andromaque, Bérenice et toutes les autres andouilles qui se lamentent en vers hummmm que c\'est bon !!!
<br />L\'Antigone d\'Anouihl
<br />
<br />et là je relis mon Petit Prince...raaaaaaa
<br />
<br />si avec ça tu trouves pas ton bonheur

Ils sont tous là et implorent Marta.
<br />Marta dans l\'ombre, Marta lumière, Marta de poussière et de sang, posée sur l\'écrit, violente et résolue.
<br />Peut être qu\'elle se trouvait déjà loin dans cet appel désespéré, peut être qu\'à la nuit même elle était partie, devenue l\'écume de ses mots, perdue dans sa pensée, claire et insoumise...
<br />
<br />Marta et sa propre chute au pays des soleils et des libertés.
<br />Marta de larmes et de cris,
<br />prostituée au hasard des mots...
<br />Ephémère, volatile Marta...sans savoir pourquoi.
<br />
<br />Dès le départ elle respirait l\'agonie. Une éternelle petite garce, une fée tragique; elle, elle aimait la fuite, pire que cela elle incarnait l\'exil, c\'était elle la petite Clandestine, l\'orage irrésolu, c\'était la mer toute entière, le torrent dévastateur. Un corps blanc, blême, translucide, une ombre de voiles, cachée dans l\'aube, le supplice de l\'aurore...encore une fois... Marta, elle les a tous mis à terre par son silence, par tous ces cris qu\'ils ont jeté à travers la nuit noire, comme une bouteille à la mer, et auxquels elle n\'a jamais porté écho. On ignore même si elle a entendu cette clameur qui s\'élevait de l\'eau, elle a juste préféré l\'appel du désarroi pour les laisser crever dans cet amour, seuls, séparés de l\'univers...des âmes qui épousent la poussière ...
<br />
<br />Marta divine, coincée entre l\'affable et l\'éther, une héroïne improbable, seule, abandonnée au coeur du naufrage ... Il y a aussi, par delà le conte, cette valse, désespérée, à l\'essence même du drame, qui palpite, hurle, tangue dans les veines, suinte dans le corps tout entier, une valse récurrente, enivrante, dégoûtante d\'absolu, portée à la misère de l\'entracte, et qui résonne de plus en plus fort dans chaque alinéa du livre.
<br />Elle était restée là, entière, au milieu de ses ruines emmêlées.
<br />Tout était là, la reine de cendres, les brumes que j\'avais dessiné pour elle et le silence impardonnable sur la dune, de l\'autre côté du monde, négative et alerte, inutile et merveilleuse.
<br />Un songe exquis mais opprimé.
<br />Une page bêtement inconsolable...
<br />
<br />Marta à la robe couverte de sang.
<br />Marta fascinante, jetée dans l\'éternité.
<br />Une beauté hivernale et glacée d\'orgueil, et elle, elle indifférente au drame, elle dansant parmi les ombres, dans sa valse vide, éclairant la voie de sa rythmique obscène, dans cette pluie de suie, de cendre, de sang, cette pluie éclatante qui salit le conte à chaque chapitre, cette pluie omniprésente...Une averse idéale, engluée à l\'évidence du conte. Le drame était bordé d\'absolu, de toute part il aura déserté ma raison.
<br />Marta, petite vierge rampante, toujours égarée, étrangère dans cet amour insondable de la nuit, dans le spectacle latent des néons impassibles...les lumières de la cité comme une pluie dévorante sur le c

ce serait peut etre ça l\'acquis de l\'evolution, l\'homme lui peut choisir de continuer la perennité , de continuer sa vie malgré sa captivité , alors que l\'animal ne semble pas avoir le choix .

ben pour répondre au dernier message , oui en quelque sorte, il est connu qu\'un animal en captivité ( pr certaines espèces) se laisse mourir en refusant d\'une part sa propre survie ( refus d\'alimentation, état mélancolique, refus de bouger, de jouer, du langage, prostration dans un coin de sa cage) et d\'autre part le maintient de sa lignée ( reproduction =0 ) .
<br />
<br />D\'autre part chez les animaux malades on observe trés souvent un caractère agressif vis a vis de leur propre organisme, ils se mordent eux mêmes, tournent en rond... ils se laissent mourir et participent à aggraver leurs blessures.
<br />
<br />Bref si on fait le parallele, cette situation de mal être qu\'on croit typiquement propre a l\'humanité dérive peut être d\'une variation de cette psychologie rencontrée chez l\'animal. IL y a toujours un être qui souffre moralement ou physiquement et qui decide de renoncer a sa propre survie et par consequent à celle de sa lignée. Mise a part que si l\'animal ne choisit sa cage, l\'homme lui est responsable consciemment ou non des barrières qu\'il dressent autour de lui pour gangrener sa captivité...
<br />
<br />
<br />enfin c\'est qu\'une hypothèse personnelle en deux minutes a la va-vite cela dit pour ceux qui me diront que non on ne choisit pas sa tristesse, sa souffrance, son malheur, je tiens a insister sur le fait que je parlais de conscient et d\'inconscient. certains se reconnaisent comme melancoliques maladifs et d\'autres pensent subir leur desarroi. on est peut etre plus ou moins conscient de participer a notre chute . mais il ne tient qu\'à nous de s\'y refuser ....... voilà :blush: je sais pas si j\'arrive à bien à me faire comprendre ...

oh oui ce serait sympa de faire tourner pour voir un peu ce que ça donne ;...

t\'ecoutes quoi là ?
<br />- Saez
<br />- saez heu c\'est pas le mec de jeunes et cons?
<br />- pffffffffffffffffffff
<br />
<br />
<br />Mac Cartney ça peut pas etre ton fantasme Marie ! ( grumph ! )
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />T\'en es où dans te révisions ? ( toujours sur mon bureau tiens!!! )

bon ben j\'ai pas honte :
<br />
<br />
<br />qu\'est ce qu\'un canife ?
<br />
<br />un petit fien
<br />
<br />
<br />
<br />c\'est ma meilleure blague depuis la maternelle
<br />
<br />
<br />Pluto: Attrapé par la Brigade Canine. Jamais réclamé, il a été euthanasié.
<br />Donald : Servi laqué danS un reStaurant chinoiS d\'Hollywood.
<br />Blanche Neige : S\'eSt à nouveau faite avoir au vieux truc de la pomme empoiSonnée (aux OGM cette foiS).
<br />Le prince charmant : a fini la tête au bout d\'une pique lorS de la révolution.
<br />Atchoum : Mort de pneumonie. (nannnnnnnnnnnnnnnn)
<br />Grincheux : Mort Sur la chaiSe électrique pour avoir abattu quinze perSonneS danS un MacDo.
<br />Joyeux : Tué par un déSéquilibré danS un MacDo.
<br />Dormeur : Ne S\'eSt jamaiS réveillé.
<br />Winnie l\'OurSon : Mort de criSe cardiaque. A pulvériSé touS leS recordS mondiaux de taux de choleStérol.
<br />Alice (Du PayS DeS MerveilleS) : A pasSé preSque toute Sa vie danS un aSile pSychiatrique.
<br />La Belle Au BoiS Dormant : Réveillée en 1986, eSt morte du Sida que le Prince Charmant lui avait refilé.
<br />Pinocchio : ESt devenu une armoire normande de valeur.
<br />Peter Pan : ProStitué au BoiS de Boulogne. Mort d\'une overdoSe.
<br />La Fée Clochette : A Succombé aux avanceS trop presSéeS d\'une luciole mâle
<br />Le Crocodile tic-tac : pulvériSé par la police lorS de Vigipirate à cauSe de Son bruit.
<br />Bambi : Abattu par un membre de la National Rifle AsSociation armé d\'un AK-47. Le corpS n\'a jamaiS été retrouvé.
<br />Bernard & Bianca : DiSparuS en 1996 lorS d\'une misSion en Belgique.
<br />Baloo : Sert de deScente de lit danS un hôtel de luxe de New Delhi.
<br />Le Roi Lion : Fierté du Zoo de Plouc-Sur-Somme.
<br />La Bête : Déprimée et Suicidée à cauSe de problèmeS identitaireS.
<br />
<br />
<br />
<br />Brad Pitt : Acteur jouissant d\'une notoriété phénoménale. D\'ailleurs, à l\'instar de son collègue et néanmoins pote Robert Redford, il possède son propre festival : la Braderie de Lille.
<br />
<br />Ceci dit, je ne m\'explique toujours pas pourquoi Lille...
<br />
<br />
<br />migraine :Cadeau neurologique du ciel pour toutes celles auprès de qui la simulation orgastique est une insulte dommageable à la relation duelle.
<br />
<br />fête a neuneu : La fête à neuneu, c\'est quand ma chienne vient de retrouver son jouet en corde, noué aux deux extrémités, qu\'elle avait enterré quelques semaines auparavant...
<br />
<br />mirage : demi-colère
<br />
<br />Abba : Quatuor de Vikings anti-bonapartistes.
<br />
<br />acculé : Insulte prononcée à la marseillaise
<br />
<br />baise-main : Manière très vieille France de rendre hommage à une femme car il faut bien commencer quelque part.
<br />
<br />le GRAND amour :Le concept le plus bizarre qui ait été créé.
<br />Quand on est jeune, on nous assure qu\'il existe, plus on vieillit, plus on l\'attend,
<br />et quand on en a marre d\'attendre, on prend vraiment n\'importe quoi...
<br />
<br />écureuil : Animal suicidaire à l\'instar du hérissonet vivant trop souvent au bord des routes.