Vladimir Nabokov (en russe : Владимир Владимирович Набоков) est un romancier, poète et critique littéraire américain d'origine russe né à Saint-Pétersbourg le 10 avril du calendrier julien/22 avril 1899, mort à Montreux le 2 juillet 1977.
Nabokov reste un des derniers romanciers 'classiques'.
La consécration vient ensuite avec le succès de Lolita en 1955. Le roman fait scandale, est refusé par les éditeurs américains et doit être publié à Paris, mais la critique y reconnaît un chef-d'œuvre. Le livre est adapté au cinéma par Stanley Kubrick en 1962, puis de nouveau par Adrian Lyne en 1997. Cette histoire raconte l'amour passionné et charnel d'un Européen, nommé Humbert Humbert, pour une jeune « nymphette » américaine de douze ans. Emaillé de références à l'Annabel Lee d'Edgar Allan Poe, Lolita est aussi une description passionnée des Etats-Unis et un chef-d'œuvre de poésie en prose.
" Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme. Lo-lii-ta : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais pour taper, à trois reprises, contre les dents. Lo. Lii. Ta. "
Donatien Alphonse François, comte de Sade, dit le marquis de Sade[1], né le 2 juin 1740 à Paris et mort le 2 décembre 1814
c'est pas le bon timing
né le 10 février 1890 à Moscou et mort le 31 mai 1960 à Peredelkino près de Moscou, est un poète et romancier russe.
La publication en 1957 du Docteur Jivago, digne héritier de la tradition classique du roman russe, motive la décision de l'Académie suédoise qui accorde le prix Nobel à Pasternak le 23 octobre 1958. Cela déclenche la colère des autorités soviétiques, considérant l'auteur comme un « agent de l'Occident capitaliste, anti-communiste et anti-patriotique », lequel est forcé de décliner la récompense, s'épargnant à lui ainsi qu'à ses proches de lourdes sanctions - de son vivant. Après sa mort, Olga Ivinskaïa et sa fille Irina Emélianova sont arrêtées, entre autres, pour trafic de devises: le pouvoir décide de se venger (voir l'ouvrage de cette dernière, Légendes de la rue Potapov, paru chez Fayard).
Il meurt deux ans plus tard des suites d'un cancer. Sur son lit de mort, il aurait dit à sa femme : « La vie a été belle, très belle, mais il faut aussi mourir un jour. J'ai aimé la vie et toi. » (extrait de Le fantôme de Staline de Vladimir Fédorovski).
Docteur Jivago ne paraît en URSS qu'en 1988 à la faveur de la perestroïka.
A toi Pablo !









