+ c'est le printemps
++ on a enfin un membre de SL qui a le bras long, pour ceux qui veulent un taf à Monaco...

Oui mais voilà, Carla s'est envolée pour Tel Aviv, puisqu'elle peut en avoir 2 pour le prix d'1, autant aller goûter à l'original...

ALLO OUI

SAY MOUA
@Paul Bismuth


Ben dis donc, pour un mec qui veut à tout prix retomber dans l'anonymat et retrouver son petit job de promoteur immobilier à Tel Aviv, je trouve que tu t'exprimes beaucoup, ça commence à te plaire la célébrité ?!!!

bienvenue Gatoou

il existe ce film "Le cercle des portes disparus"?
@didier



@didier avec ton imagination débordante tu peux commencer à écrire le scénario!

ALLO OUI?

SAY MOUAAAAAA
@Paul Bismuth


Mais dis donc alors c'est bien TOOUAAAAA qui raconte aujourd'hui ta vie dans le Figaro, ou c'est l'autre?!

@Paul Bismuth


J'espère que ce genre de chef d'oeuvre va être mis en vente à la boutique rapidement

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles quand je reviens bredouille de la chasse à l'andouille

Salut say moi Paul Bismuth le roi de l'embrouille qui mange des nouilles au fenouil en tambouille et j'ai la trouille de la rouille et des grenouilles

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien jusqu'au bout des seins transpirants d'un pus sirupeux et de ses cheveux péroxydés et électriques elle envoie des éclairs au chocolat blanc et au caramel si exquis par son goût pétillant au gaz de source souterraine d'un état souverain dans le domaine de la cuisine moléculaire et non nourrissante car chargée de vents d'électrons tout ronds comme des queues de pelles pour faire les châteaux de sable en Espagne médiévale où les V2 étaient les premiers missiles balistiques opérationnels de l'ére spatial et avaient l'air de cochons de l'espace intergalactiques tout mignons dans leurs scaphandres violets couleur de la paix des moutons qui refusent de se laisser tondre la laine sur le dos



Moi ce qui m'interroge, c'est, comment vous faites pour tomber sur des trucs aussi vieux ? Y a vraiment des gens qui lisent tous les topics ?


Lire tous les topics, non (je ferai ça à la retraite!..., bientôt quoi ), mais je trouve intéressant d'aller farfouiller dans les archives du forum, et de lire toutes les pages quand un sujet m'intéresse, par exemple "pour écouter Saez doit-on avoir les idées politiques de ses chansons?"c'est bien de reprendre le débat depuis le début...
Mais bon, je ne me suis pas encore enfilée les 767 pages de Trollages divers

Qui c'est qui est de Suisse par ici ?


Ben y'a moi, mais je suis exilée en Union Européenne ces temps-ci...
Pourquoi t'as une envie subite de Ragusa?


http://youtu.be/V4UWxlVvT1A


faut montrer patte blanche pour la voir cette vidéo!

la liberté sur le net se rétrécie un peu trop vite.

elle est disponible aussi lá ( pour les pattes de toutes les couleurs et ceux qui aiment lire sans Big Brother qui surveille )

http://youtu.be/w-z2M8fr21c

edit: j'ai oublié d'ajouter que je la trouve pas terrible cette vidéo. On prend des stéréotypes et pour que les mecs comprennent mieux le concept du sexisme on inverse les rôles des acteurs. Ça aide vous trouvez vous?


Merci Eléa, grâce à toi j'ai pu regarder cette vidéo sans donner mon âge
Par contre, ça m'a coupé l'appétit pour la soirée, je dirais même que j'ai envie de gerber.
Voir ce mec se faire humilier est triste et révoltant

Ah bon c'est pas Saez qui est au programme?

et toi t'es prêt ?!
Presque !


Et bien sûr, tu as prévu de payer ton coup aux 3092 membres qui seront présents ce jour-là

M-2 !!!

Vous êtes prêts ?!


et toi t'es prêt ?!

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire car elle a aujourd'hui 22 ans, si jeune et déjà si intelligente comme un mollusque polytechnicien

The Lunchbox, un vrai bijou tout en finesse dans le Bombay d'aujourd'hui, tout y est juste parfait

Retour à l'Agora d'Evry en 2002 pour me donner la patate :

Noir désir - Les écorchés.

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Même avec des écouteurs le son n'est pas génial, mais on s'en fout un peu, l'essentiel est dans la présence.
Y'a plus qu'à continuer sur cette lancée, lundi 17 à Reims par exemple... et puis le mardi 18 à Clermont dans l'Oise, le 21 à Toulon, le 22 à Tarascon...

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse tout-terrain rempli de chocolat pour son anniversaire

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré enferré dans un caddie suisse


Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne à trois pattes, Misère, comme la chienne de Léo Ferré






Merci à Google et Yahoo! surtout


Ah quel régal toute cette lecture, je ris, je pleure, j'enrage aussi parfois, d'avoir manqué tant de concerts...
Merci encore à SL qui rend l'hiver et l'attente plus supportables

Maitre Kaio suce des géants des nains et des cactus à boobs épineux et pines boobesques dont le pouvoir aphrodisiaque est inversement proportionnel au plaisir des sens sucrés qui baissent quand l'estomac sature de trop sans oublier de préciser à tortillo ce qui est inutile est indispensable à la survie de notre espèce de cacahuète à ressort calibrée pour la compétition du Dakar en Amérique du Sud dont le slalom entre les lamas roses à pois jaunes provoque des chutes de chattes, de bites et de couilles bleues du grand schtroumpf à qui Gargamel a enlevé les chaussures pour en faire une douce couche pour son chat unijambiste et qui sent le sapin en plastique pêché au beau milieu du Pacifique par Alain Colas et Tabarly à bord de leur Optimist autovideurs en boîte de sardines à l'huile de coude périmée d'être restée trop longtemps dans la soute d'un B52 qui a perdu ses ailes dans l’œil du cyclone dévasté car il a perdu son souffle dans un sprint avec Usain Bolt et Kirikou qui fait cocorico en verlan avec sa petite kekette à l'air frais du matin brumeux quand les gorilles jouent à saute mouton brésilien en monokini rose bonbon et à paillettes qui aveuglent les curieux passants sans soucis de vêtements car ils n'en ont pas sinon ils attraperaient le syndrome des soldes compulsives qui vident les porte-monnaie et rendent hystériques les mamies en déambulateur qui n'ont plus toute leur tête et plus toutes leurs dents jaunies par le temps qui court un sprint à cloche pied à Clochemerle et moineau qui chiant sur les passants se déleste d'un fardeau inutile mais tellement bon pour la Terre et les pâtures pour vaches normandes qui font le lait pour les crêpes au bon blé et aux œufs de poules en chocolat au piment oiseau avec 70% de cacao et 30% de caca bas de gamme de chez les hard-discounteurs italiens qui parlent avec les mains et les doigts de pied en éventail à carreaux Vichy époque Pétain du chemin des dames de trèfle qui piquent mon cœur en béret "Allez la France" à Amsterdam dans le quartier rouge où les vitrines explosent de la chaleur des corps de Buzz l'éclair au café théâtre des délices culinaires où les culs linéaires jouent du chien rouge en buvant des mojitos sur une terrasse terrassée par le terrassement du terrain sur lequel Bisounour s'enlise dans les méandres de la glaise boueuse et spongieuse de l'épreuve de lutte de Fort Boyard où la combattante en maillot une pièce perd son maillot et son adversaire son string et, ainsi, nues, elles se roulent dans la boue et sont méconnaissables à tel point qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas son cul qui gratte en rythme de samba endiablée par des diablotins infernaux à se taper la tête contre un mur en plastique mou comme les œufs qui servent de testicules à un orang-outan démembré à la machette ensanglantée que tenait didier à deux mains moins 8 doigts de la victoire contre le Danemark réchauffé par les danoises montée sur talons hauts en verre de Murano soufflé par un trompettiste de la Nouvelle-Orléans la nuit du massacre de la Saint-Valentin, où des hommes assoiffés d'alcool de canne à sucre roux envahissent les rues déguisés en vaches normandes blanches et marrons comme ce beau ballon de rugby immaculé mais tout taché après une partie humide et boueuse dans une mare à futurs magrets fumés au feu de bois dans la cheminée d'une usine de textile des Pyrénées qui, avec des poils d'ours, tisse un hamac doux comme un poncho et chaud comme ma bite qui aurait attrapé la maladie improbable de la chaude-pisse un matin de novembre humide comme la chatte de ma chienne

- - - - - eh ben voilà, frère européen, il va te falloir repartir à la pêche au permis de travail si tu as envie d'aller faire les vendanges en Suisse

+ on s'en fout les vendanges sont finies...

++ je vais me consoler en faisant une orgie de fraises Tagada

résultat partiel des élections en Suisse :

+++++ l'IVG continuera à être remboursé...

- - - - - toujours l'incertitude pour l'initiative de l'UDC contre l'immigration de masse, ça fait pourtant 4 heures que le vote est fini, après-midi de triste attente, heureusement qu'il y a SL pour tenir le coup

Ayé ma curiosité refait surface... Je veux savoir ! je veux savoir ! je veux savoir ! (je fais partie de ceux qui kiffent les détails inutiles, comme sa twingo jaune, et ouais......)
@Spleen

Mais non @Spleen, c'est pas toi qui vient d'écrire ça!!

Et pourtant c'est déjà pour une histoire semblable qu'il s'est fait virer de Monoprix en 2013!

+++++++++++ ROLE PRINCIPAL DANS UNE PIECE DE THEAAAAAAAATREEUUUUU !!!!! (Oui ! Depuis le temps que j'attends ça !)
- Je vais galérer avec mes études "normales" et mes études de théâtre dans les prochains mois.
@Miahël


C'est vraiment super, mais en effet, comment vas-tu faire pour concilier le tout? Répéter le jour et bosser la nuit?
Et c'est quoi comme pièce? un classique bien dur ou une pièce un peu loufoque?