T'as tort, résister c'est le meilleur des trucs à faire sur cette planète.

je les ai vues qu'en photos aussi celles de Victoria mais même en tof ben ça noie la bite d'Eiffel


Y'en a qui profitent de l'absence d'Eléa ce soir, plus dure sera la censure...

Ah c'est pas mal aussi comme idée, mais c'est déjà ce qu'on fait non?!!
Papoter pour se tenir chaud en attendant le prochain concert....

Oui mais le mouchard sous le bras ce n'est pas l'idéal, dès que la touffe est humide on n'entend plus rien, et après ça on va être capables de confondre Darty et Monoprix...

y'a qu'à aller chez Darty pour lui demander!

La liste de pseudo c'est les 25 membres qui ont été le plus présent sur le site.

C'est rigolo de voir que certains d'entre eux sont des "inconnus" et nous ont lu en silence pendant un an !


Ah bon, parce que tu nous vois quand on lit en silence?! Même si on n'est pas connecté?

ah, mais ne nous laisse pas seuls face à nos interrogations s'il te plait!

- une cigarette électronique qui durerait le temps d'un concert entier?

- une centrale à vapeur?

- une machine à glaçons rechargeable pour les chambres d'hôtel?

- un mp3 2GB?.....

Quelle merveille cette @Elea.
Je la crois capable de chercher la petite bête jusque dans la tête d'un ours avec juste une pince à épiler et une lampe frontale!
Et le meilleur c'est que bien souvent elle y arrive...

je suis un bon exemple de membre inactif oisif!! Je ne me connecte presque pas car je n'ai pas l'impression d'avoir grand-chose à dire.
Mais... je passe en moyenne une heure par jour sur SL, à me régaler de vos échanges, qui m'apportent toujours matière à réflexion!

Ah oui, excellente idée pour aller avec un costume!!

ah non mais je veux même pas y penser au grand froid, c'est beaucoup trop tôt...
je ne sais plus quoi faire pour me dire que ça va être possible de passer l'hiver, j'ai démarré le magnésium, la luminothérapie, si vous avez des bonnes idées pas trop ruineuses pour que j'arrive à me lever chaque matin en attendant le printemps!...

ah ça y est, j'ai affuté mes trois neurones, et compris que FAQ = foire aux questions, maintenant c'est sûr je vais y arriver...
le compte fake, ça sera pour la prochaine leçon, à partir d'un certain âge faut pas trop en faire, et puis je trouve ça plus marrant de m'entraîner à prononcer tous les ai, é, è ê, et, est, c'est pas si facile...maintenant...

puis tfaçon on n'a qu'une seule Marine en 2cv sur SL et on se la garde bien au chaud pour passer l'hiver avec ses bonnes idées, parce que l'hiver c'est pas encore commencé que je voudrais déjà que ça soit fini......

ah mais quelle quiche, je ne suis même pas capable de citer le maître correctement...
entre ça et les smileys auquels je ne pige rien, je me demande ce que je fous là!....
ah si je sais, j'attends la sortie du prochain album!
mais putain c'que c'est long..........................

vous êtes toutes des chaudasses qd vous piccolez


ah nous avons là un fin connaisseur!!

ah ben ça explique pourquoi j'ai trouvé aussi facilement!!!.. enfin la mienne je l'ai prise dans un magasin de mecs, pour être sûre d'avoir assez de longueur...et en effet il y en avait plein partout!!

Je viens d'essayer ma nouvelle chemise de bûcheron sur un collant pas trop moche avec une ceinture sympa, dans le genre robe saezienne ça pourrait le faire ?

Ah mais alors vraiment rien du tout.
Dommage, le topic donnait à penser qu'une version de pilule était sortie en italien, ce qui au moins m'aurait fait rigoler, surtout en ce jour de découverte horrifiée de la reprise de Tango par Norman Tesse...

En tout cas l'idée est bien bonne.
Je vous laisse deviner, moi je suis trop fraîche par ici.
Bienvenue donc à @Les Seins De Marilyn CMoi...

Ah quelle douleur!!!!
Et pour qu'elle soit un peu plus profonde, je me suis envoyé la reprise de Tango dans la foulée....parfois il faut savoir se faire vraiment du mal...
Retenons de ce merveilleux jeune homme la chemise ouverte sur des pectoraux naissants, genre Bernard Henri Levy il y a 40 ans.
Et puis la sincérité, car il en a sûrement une bonne dose pour faire les choses avec autant de sérieux. Dommage qu'à aucun moment il ne nous fasse un clin d'oeil pour nous signifier qu'en fait il se marre.
NORMAN s'il te plait, rassure-nous, la prochaine fois fais-nous un clin d'oeil!!!

Ah oui, sûr que 4 heures ça fait vraiment long, surtout si on pense aux 3 coussins garnis de plantes qui devaient commencer à macérer. Et la couleur de l'eau?!! Mais le texte ne dit pas si ce bain était hebdomadaire ou annuel, et tout le monde n'est pas Marie-Antoinette...
Pour revenir à la fréquence des shampoings, il semble que l'on soit passé de 1 shampoing annuel au début du 20ème siècle au shampoing presque quotidien actuel. Comme la douche quoi!
Je me demande si on est arrivés au bout de ce genre d'excès en matière d'hygiène, et si l'humanité (en tout cas celle qui a accès à l'eau) va faire un peu machine arrière un jour?

Et voilà, pas de shampooing en ces temps anciens, Spleen, ça te branche de jouer à Marie-Antoinette pendant 4 heures?

" Les femmes aussi reçoivent pendant leur bain par leurs femmes de chambre, les « baigneuses » qui préparent le « bain de modestie » (sachets de poudre d'amande, d'écorces d'orange, de racines d'iris parfumant le bain et assouplissant la peau), la baignoire en cuivre de Marie-Antoinette étant par exemple garnie de trois coussins remplis de plantes, l'un pour s'asseoir, les deux autres pour se frictionner. Elles le prennent le matin, le cérémonial de la toilette peut durer quatre heures pour la reine. C'est l'occasion de prendre des leçons de langue, de faire venir un professeur. Le bain n'est pas un moment de détente complète. Le petit déjeuner n'existe pas alors, les gens ont coutume de prendre une tasse de liquide chaud durant le bain. Marie-Antoinette prenait un thé au citron. Les femmes ne se mouillent jamais les cheveux elles non plus, elles les font peigner parfois pendant des heures pour les dégraisser. Pendant le bain, elles les attachent avec une toile plus ou moins volumineuse appelée charlotte. "

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire un mot grossier comme seul peut en dire un dictionnaire spécialisé dans le syndrome gilles de la tourette où les gros mots fusent en trouant les slips en pétant en rythme des tambours du Bronx vietnamien qui fait un bien fou aux cerveaux embrumés, surtout ceux qui sont vides et liquides du néant bien trop plein de n'importe quoi et de n'importe qui, nous on veut y croire à un monde

oui, la prochaine fois je demanderai à une copine de m'accompagner, toute seule je retombe facilement dans mes errances littéraires et forestières!!

et au fait, en parlant d'errance, j'ai testé plusieurs fois de 3 à 6 mois sans me laver les cheveux, ce n'était pas vraiment un choix, les 10 premiers jours sont durs à passer, et après il y a une sorte d'équilibre qui s'installe, et les cheveux deviennent plutôt secs, et un peu poussiéreux, tout à fait supportable, surtout dans le désert quand il n'y a que des dromadaires à séduire, mais rien de doux ni de brillant, et en attendant de savoir comment ils faisaient au temps de Louis XIV, je reste fidèle au shampooing...

"Il me semble que je ne juge plus les autres à leurs erreurs, mais aux souffrances qui les leur font commettre"
Jean-René Huguenin


j'accroche tant qu'il y a l'ambivalence entre qui dirrige qui, qui domine qui, mais la fin me dérange, j'atteint mon seuil de tolérance aux "deviances" je crois.

Ah bon il lit le Figaro à la fin du film?!

2 journées de shopping à Paris, avec l'objectif de ressembler à quelque chose d'un peu féminin...
Résultat : 14 bouquins et une chemise de bûcheron, une vraie!!!
Et finalement quoi de mieux pour passer l'hiver, en attendant un prochain concert??

C'est le big boss qui lit le Figaro, il y en a partout dans les bureaux.
Le brûler, le tremper dans l'eau froide?

le Figaro c'est bien pour allumer le feu en rentrant du boulot, comme ça on voit juste les titres des articles qu'on ne lira pas, c'est rassurant parfois de voir à quoi on échappe...

Bientôt l'automne et la fin des moustiques rouges qui pullulent dans les quartiers d'Amsterdam où les marins chantent au clair de la lune mon ami prolo directeur marketing au pôle emploi des chauves souris qui cherchent à atterrir sur les pistes embrumées de son sac à dos fluorescent, et là, seul dans la nuit lumineuse, il décide de manger une fondue basque aux piments mauves à pois oranges des Eparges du sud de la Nouvelle Zélande là où les phoques mangent des sardines au barbecue Areva alimenté par des échoués sous-payés en carambars, dont les papiers d'emballage sont recyclés en cocotte en papier, une cocotte magique qui pond des oeufs au caramel au beurre salé, avec lesquels on fait ces omelettes norvégiennes blondes à grosses mains poilues et pleine de doigts tels des serpents qui ondulent dans le clair de lune indien et basquo-breton avec son verre de cidre pimenté à la menthe sauvage comme l'ours à roulettes russes grippées qui râle en verlan à oualp dans la zonmai et cueille des pâquerettes dans les champs de maïs tondus à moitié de verre rempli d'un liquide saumâtre que le père Fouras interroge sur son origine énigmatique et intergalactique faisant pousser des stalagmites qui tombent à l'horizontal sur une table à masser les chaussures fatiguées d'avancer en arrière vers le destin inéluctable d'un pingouin manchot dansant la valse avec Mélusine ma lointaine cousine coquine coquette qui fait de la bronzette cachée dans la cave du voisin au milieu des bouteilles de bon vin rouges et blancs au bon tannin tanné tel un cuir marqué par les années de lutte pour la libération des crabes des tropiques pris par les glaces qu'on formé les pétroliers de Sibérie pompant la jouissance des minéraux vulgarisés dans la langue française par Emile Littré le bien nommé inventeur de sommiers à ressorts latéraux rouillés comme la coque du Titanic retournée par une salade iceberg elle aussi de Sibérie saharienne remplie de sable et de flocons mauves bites, mais oui, rappelle-toi Maitre Kaio , c'était la couleur de la tienne atteinte de gonococcie rochelaise à trop t'occuper des moules plus trop comestibles ni trop fermées que la vase du vieux port a été bouché par la sardine égarée à cause de son gps qui a pris l'eau du bain croupie par des mois d'attente dans la chaleur de l'hiver et du vin chaud avec les bretzels du marché de nowel qui me donnaient la nausée tout en m'exaspérant à cause de la foule hystérique qui voulait un autographe de Romain Duris qui pète dans de la soie sauvage comme un poisson rouge de colère après un nénuphar récalcitrant à cause de l'armature en acier de Chine qui est arrivé à pied par la mer Méditerranée en passant par Lampedusa yougoslave avec un gant de toilette et du savon noir comme le tableau de Jules Ferry colorié par Casimir et oui-oui qui a voté non-non au projet de constitution pour la 36e République mauritanienne et le tout en mangeant des bretzels issus de l'agriculture biologique de Monsanto à qui je voudrais dire