---- mon brave chien qui a eu peur de l'orage toute la nuit et m'a empêché de dormir
++ boire du karkadé de bon matin

Je ne m'étais jamais vraiment intéressée à ce topic mais ce soir j'ai pris le temps de regarder. J'aime beaucoup. Merci pour ces partages


+ 100 pareil et en effet c'est très sympa, merci !

J'adore le premier, bravo c'est top

++ puces et broquantes ce matin
--- rien de bien
- et en plus ça fay chaud

La petite chanson japonaise d'après "Tu y crois"
je l'ai écouté hier soir, je l'avais oubliée, elle m'a fait peur.. elle a un truc qui fait peur cette chanson. mais j'aime bien


Shakura, ma fille l'avait apprise l'année dernière à l'école


Elle est un peu étrange c'est vrai mais je l'aime bien aussi !
Elle me fait sursauter à chaque fois qu'elle commence, je m'y attends jamais
C'est original de faire apprendre ça à l'école, ça change un peu des grands classiques qu'ils apprennent chaque année

La petite chanson japonaise d'après "Tu y crois"

+++ Dr.Martens V Clarissa II reçues ce matin

-- ces disputes stériles qui mènent à rien...

Fait chaud, trop trop chaud

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur une peau de banane flambée au rhum et se tordit la cheville

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac, il en avait deux, pardi, au cas où le premier tombe à l'eau la tête la première, il pourrait essayer de s'en sortir ainsi mais c est a ce moment précis que la nuit tomba et patatras il glissa sur

+++ nouvelle paire de docs <3
++++ Fête de la musique ce soir
--- il fait chaaauuud

Ventilateur

(allez savoir pourquoi, j'aime beaucoup cet objet!)

petitecaillou : puis-je passer commande, svp Merci 😊 ?


Quand tu veux !
Je ne te garanti pas le résultat par contre (dire que je foire déjà les gâteaux au chocolat) 😊




Ou l'art de réunir deux passions : les macarons et les licornes <3 !!

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que l’éphémère devienne éternité car leurs coeurs étaient purs comme des colombes vertes pomme volant au dessus de la Garonne comme Aladin et Jasmine en canoë ramant au gré des flots tel des naufragés incompris, mais qu'à cela ne tienne car le beau prince avait plus d'un tour dans son sac

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse et son prince ne voulaient pas connaître l'illusion d'une probable fin et préféraient croire que

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur du Soleil en plein chaos car il va bientôt s'éteindre et laisser la place à du vide alors que la princesse

+++ belle journée pique-nique pour moi aussi, c'était très sympa et ça fait du bien !

-- demain c'est lundi

Elle était belle ; elle était douce ; elle était charmante...mais, elle était tristesse ; elle était défaitiste ; elle était à poil et poilue de toute part mais surtout sous le menton parce que les princesses ont des poils rugueux et rêches et roses pailletées, sauf le mardi; c'est le jour pendant lequel elle mange des brocolis rouges et moisis (beurk!) et des carottes pour avoir les cuisses roses comme toutes les princesses, elle attend a la fenêtre son prince venu d'une autre planète à cloche pied pour écouter le son des cloches de Pâques et lui offrir des œufs au chocolat sauf que les princesses aiment pas le chocolat car les princesses ne font pas caca marron mais caca rose comme les licornes qui aiment la pastèque en plastique rose et sans pépins oranges car elle est allergique, pauvre d'elle, elle devient toute bleue se mis à suffoquer et tomba dans les pommes quand soudain apparu, là-bas dans le lointain un schtroumpf violet et turquoise pour lui faire du bouche à bouche mais avec son nez trop long et trop fourchu il lui creva son jolie oeil vert ce n'était pas un schtroumpf, c'était en réalité un ours qui pète des paillettes qui font pousser les fleurs la où le vent les sèment et qui se goinfre de gaufres chantilly et caramel beurre salé avec une bonne bière bien fraîche sans alcools et à la limonade celui ci se décida de chanter La Carioca et il jouait de la guitare comme Manitas de la Bitas pour impressionner l animal de compagnie de la princesse qui n était autre qu'une grenouille daltonienne avec une patte en moins mais le double d'orteils sur l'autre, bref la grenouille idéale, qui était on ne peut plus conquise par cet ours mal léché mais fier comme un coq qui montrait ses fesses pour séduire les donzelles à peine sorties du nid mais aussi celles qui comptaient déjà plusieurs printemps et des pâquerettes et des marguerites mais surtout pas des chrysanthèmes violettes à reflets bleus, un rien pouvait séduire cette princesse-grenouille si charmante avec sa petite robe à pois sauf peut-être qu'en réalité elle cachait un lourd secret, elle n'était pas une vraie princesse, mais ça personne ne le savait à part le caribou d'Amérique du nord qui l'avait découvert il y a longtemps alors qu'il traversait avec elle le Sahara et le Pole Nord, deux endroits opposés mais tellement proches grâce à la fibre textile qui les unissait puisqu'ils étaient siamois depuis la naissance jusqu'à ce que la mort les sépare dans cet autre monde, qu'est le monde fantastique d'Oz ou peut être celui d'Harry Potter vaincu par Voldemort avec l'aide des Bisounours et des alizés continentaux mais dans sa tête, elle veut rester princesse du château de brumes avec son cavalier sans tête qui court tout nu dans les forêts en se fouettant avec des orties et donc les couilles pendantes revigorées par les orties ou les ronces des fossés redeviennent rondes et dodues comme on les aime et surtout comme les princesses les adorent, ces petites cochonnes toutes roses et soyeuses comme de la soie et chaudes comme la braise d'un barbecue d'été au printemps et comme l'eau glacée d'un lac en hiver qui s'évapore avec la chaleur

"Allô ! Maman bobo"
Courage courage, c'est pas facile je sais...

(On divague, on divague)

Vas y fais lui écouter la mer (elle aura oublié Damien en deux secondes avec ça)

"Les vrais paradis sont les paradis qu'on a perdus"

M.Proust

++ Aller direct' sur SL pour voir si il y a des news sur CCC ce qui m'évite de taper mon mp culturecontreculture qui est formidablement long !

---- Constater qu'il n'y a rien de nouveau...

Je trouve ce texte tres beau et tres vrai <3
Enfin pour ce que je connais


++ Entièrement d'accord
Je crois qu'il résume bien le fond de ma pensée aussi...
Merci deRouilleEtdOs-31 <3

Je crois que t'as raison Anne...
Merde les gars, avouez qu'il est mort, c'est pas sympa de nous laisser attendre comme ça !
En tout cas, paix à ton âme de groupie qui doit être en plein deuil...
Console toi, Jul est toujours vivant !
Titane, je suis deg aussi...


Ah m'sieur l'ours tu vois c'que tu fais de nous...c'est malin hein...