j'pense que l'erreur qu'on commet à chaque texte de Saez, c'est de le lire au premier degré et chercher une "clé", un code permettant de trouver le sens caché. Faut pas voir ça comme une métaphore, mais des jeux d'association, de sens, de mots, des allers et venus entre sens figurés et propres ; voir ça comme un jeu de correspondance, de réponses plutôt que de degrés d'interprétation.putain comment t'as raison. la beauté d'une formulation vaut bien d'égratiner un peu la narration. C'est de la poésie, pas du récit.
Une poésie c'est pas un rapport factuel.
sur cet axe pourquoi pas.Un style bien différent que d'habitude.La blague du mois quoi
???
Tu vois vraiment que c'est de la pure poésie !
D'habitude ça transpire la mélodie et on sent la chansonnette derrière, là c'est pas le cas. Du moins c'est mon ressenti après la lecture.
mais pour le reste ca reste assez commun pour son univers non? formulation, champs lexicaux...
Un style bien différent que d'habitude.La blague du mois quoi
Il y a tjs une part de vrai, une part de fantasme, une part de doute, une part d'envie. Y a rien de nouveau la dedans, il me semble
Ce texte est sympa, certainement, après je me trompe peut être mais vous faites un peu dans la sur-analyse, ça dénature un peu l'ambition première de l'initiative. Enfin j'ai cette impression, qu'il faut prendre soin de la spontanéité.
Mais perso il me manque encore des riffs, et Max à la batterie.
