J'aime beaucoup. Evadons nous
Alextine Il y a 6 ans

J'aime beaucoup. Evadons nous

Sous ce nouveau soleil, août avait presque déjà l'odeur des saisons plus sombres, le renouveau était en avance. Dans une fièvre de la rencontre, extraire de la vase de notre quotidien, sortir du précipice des coeurs percés, le souffle de la confiance. Dans un grand élan, sous un air nouveau, l'acteur A espérait l'acteur B, nouvelle main tendue dans la mer de poings fermés. Où es- tu secret mais chéri complice ? Les mots font des mariages que le mariage désapprouve. L'extrême froideur venu sans crier gare laisse au fond du marécage la princesse devenue crapaud, alors que le batracien est parti à la valse du printemps. Le serrure est fermée. La clé cassée. Évasion abandonnée. Livraison d'un coeur remise à plus tard. Mais quand ?
Nulie Il y a 6 ans

Sous ce nouveau soleil, août avait presque déjà l'odeur des saisons plus sombres, le renouveau était en avance. Dans une fièvre de la rencontre, extraire de la vase de notre quotidien, sortir du précipice des coeurs percés, le souffle de la confiance. Dans un grand élan, sous un air nouveau, l'acteur A espérait l'acteur B, nouvelle main tendue dans la mer de poings fermés. Où es- tu secret mais chéri complice ? Les mots font des mariages que le mariage désapprouve. L'extrême froideur venu sans crier gare laisse au fond du marécage la princesse devenue crapaud, alors que le batracien est parti à la valse du printemps. Le serrure est fermée. La clé cassée. Évasion abandonnée. Livraison d'un coeur remise à plus tard. Mais quand ?

[quote="Nulie"]Sous ce nouveau soleil, août avait presque déjà l'odeur des saisons plus sombres, le renouveau était en avance. Dans une fièvre de la rencontre, extraire de la vase de notre quotidien, sortir du précipice des coeurs percés, le souffle de la confiance. Dans un grand élan, sous un air nouveau, l'acteur A espérait l'acteur B, nouvelle main tendue dans la mer de poings fermés. Où es- tu secret mais chéri complice ? Les mots font des mariages que le mariage désapprouve. L'extrême froideur venu sans crier gare laisse au fond du marécage la princesse devenue crapaud, alors que le batracien est parti à la valse du printemps. Le serrure est fermée. La clé cassée. Évasion abandonnée. Livraison d'un coeur remise à plus tard. Mais quand ?[/quote]<3 <3
JoannLataste Il y a 6 ans

Sous ce nouveau soleil, août avait presque déjà l'odeur des saisons plus sombres, le renouveau était en avance. Dans une fièvre de la rencontre, extraire de la vase de notre quotidien, sortir du précipice des coeurs percés, le souffle de la confiance. Dans un grand élan, sous un air nouveau, l'acteur A espérait l'acteur B, nouvelle main tendue dans la mer de poings fermés. Où es- tu secret mais chéri complice ? Les mots font des mariages que le mariage désapprouve. L'extrême froideur venu sans crier gare laisse au fond du marécage la princesse devenue crapaud, alors que le batracien est parti à la valse du printemps. Le serrure est fermée. La clé cassée. Évasion abandonnée. Livraison d'un coeur remise à plus tard. Mais quand ?
<3 <3

Merci bien @JoannLataste :) :)
Nulie Il y a 6 ans

Merci bien JoannLataste

Bon, l'évasion étant effective, je vous propose un nouveau thème : l'Innocence. En espérant qu'il vous inspire...
éoline Il y a 6 ans

Bon, l'évasion étant effective, je vous propose un nouveau thème : l'Innocence.
En espérant qu'il vous inspire...

Bon ...personne pour chahuter, triturer, bousculer ou sublimer l'Innocence ?
éoline Il y a 6 ans

Bon ...personne pour chahuter, triturer, bousculer ou sublimer l'Innocence ?

Petit bout à venir, toute une vie à construire. Il y a aura deux grands près de toi, qui t'apprendront quand tu grandiras, la vie et ses aléas. Petit bout à venir, toute une vie à construire. Des hauts, des bas, t'en verras, mais t'en fais pas Liza, ces deux grands enfants-là sauront prendre soin de toi j'en doute pas. Y'en a un que j'connais bien. Il sait faire rire, il sait gronder. Il sait aimer, et protéger. Je sais que dans ce rôle là il fera tout pour être parfait. Petit bout à venir, petit bout d'innocence qui va grandir (oooh que c'est niais :D )
Marta012 Il y a 6 ans


Petit bout à venir, toute une vie à construire. Il y a aura deux grands près de toi, qui t'apprendront quand tu grandiras, la vie et ses aléas.

Petit bout à venir, toute une vie à construire. Des hauts, des bas, t'en verras, mais t'en fais pas Liza, ces deux grands enfants-là sauront prendre soin de toi j'en doute pas.

Y'en a un que j'connais bien. Il sait faire rire, il sait gronder. Il sait aimer, et protéger. Je sais que dans ce rôle là il fera tout pour être parfait.

Petit bout à venir, petit bout d'innocence qui va grandir

(oooh que c'est niais )

Est ce que tu dis que c'est une bonne nuit ? Est ce que tu vois le levé de lune après les palpitations de la journée ? Toi tu dors. Je te regarde être un parfait né de deux imparfaits qui se conjuguent à travers le temps. Je te regarde dormir dans le silence de cette pièce pour laquelle tu es la vie toute entière. Je te regarde tu ne sais pas. Derrière moi, c'est la lune qui me surveille, prête à me veiller quand j'irais dormir. C'est le sommeil l'innocence. Un temps sans fil qu'on ne ressent plus mais qui reste le seul temps où la mesure de l'onde est palpable. Tu dormiras et je rêverais que tu dors. Que tu marches. Que tu parles. Je rêverais que tu développes ton âme en guise de promesse au monde. Toi une fleur de décennies. Une fleur au rendez-vous entre la pâleur du jour et l'ombre pure de la nuit. Tu dors, veillé par les images du hasard qui font le chemin de nous à toi. Nos particules, ivresse du coeur, chanteuses d'un destin, se sont explosées, éperdues et fondantes, contre la ligne voyageuse de ton sourire. La lune nous regarde, je crois qu'elle t'aime aussi.
Nulie Il y a 6 ans

Est ce que tu dis que c'est une bonne nuit ? Est ce que tu vois le levé de lune après les palpitations de la journée ? Toi tu dors. Je te regarde être un parfait né de deux imparfaits qui se conjuguent à travers le temps. Je te regarde dormir dans le silence de cette pièce pour laquelle tu es la vie toute entière. Je te regarde tu ne sais pas. Derrière moi, c'est la lune qui me surveille, prête à me veiller quand j'irais dormir. C'est le sommeil l'innocence. Un temps sans fil qu'on ne ressent plus mais qui reste le seul temps où la mesure de l'onde est palpable. Tu dormiras et je rêverais que tu dors. Que tu marches. Que tu parles. Je rêverais que tu développes ton âme en guise de promesse au monde. Toi une fleur de décennies. Une fleur au rendez-vous entre la pâleur du jour et l'ombre pure de la nuit. Tu dors, veillé par les images du hasard qui font le chemin de nous à toi. Nos particules, ivresse du coeur, chanteuses d'un destin, se sont explosées, éperdues et fondantes, contre la ligne voyageuse de ton sourire. La lune nous regarde, je crois qu'elle t'aime aussi.

Je prends une profonde inspiration et me lance, même si ces mots n'ont pas été écrits pour cet exercice : Ces mots que l'on aurait dû dire plus tôt. Je crois qu'entre hommes, il est plus difficile d'exprimer ses sentiments. Je me souviens de nous deux, gamins. Tu aimais déjà rouler. Tu enfourchais ton vélo, tu sais, le VTT vert, griffé de toutes parts. Tu montais dessus comme si tu partais à la conquête du monde entier. Les obstacles s'envolant à chaque coup de pédale. Voilà ce que ton amitié représentait à mes yeux. Nous avions toujours 8 ans quand nous étions ensemble. Innocents, inconscients, insouciants. A regarder le monde avec nos yeux d'enfants. Voir les autres et se dire que nous seuls avions compris le sens de la vie. Exalter. Nous seuls respirions, à se faire exploser la poitrine. Se sentir privilégiés, supérieurs, invincibles.
Alextine Il y a 6 ans

Je prends une profonde inspiration et me lance, même si ces mots n'ont pas été écrits pour cet exercice :

Ces mots que l'on aurait dû dire plus tôt. Je crois qu'entre hommes, il est plus difficile d'exprimer ses sentiments. Je me souviens de nous deux, gamins. Tu aimais déjà rouler. Tu enfourchais ton vélo, tu sais, le VTT vert, griffé de toutes parts. Tu montais dessus comme si tu partais à la conquête du monde entier. Les obstacles s'envolant à chaque coup de pédale. Voilà ce que ton amitié représentait à mes yeux.
Nous avions toujours 8 ans quand nous étions ensemble. Innocents, inconscients, insouciants. A regarder le monde avec nos yeux d'enfants. Voir les autres et se dire que nous seuls avions compris le sens de la vie. Exalter. Nous seuls respirions, à se faire exploser la poitrine. Se sentir privilégiés, supérieurs, invincibles.

[quote="Alextine"]Je prends une profonde inspiration et me lance, même si ces mots n'ont pas été écrits pour cet exercice : Ces mots que l'on aurait dû dire plus tôt. Je crois qu'entre hommes, il est plus difficile d'exprimer ses sentiments. Je me souviens de nous deux, gamins. Tu aimais déjà rouler. Tu enfourchais ton vélo, tu sais, le VTT vert, griffé de toutes parts. Tu montais dessus comme si tu partais à la conquête du monde entier. Les obstacles s'envolant à chaque coup de pédale. Voilà ce que ton amitié représentait à mes yeux. Nous avions toujours 8 ans quand nous étions ensemble. Innocents, inconscients, insouciants. A regarder le monde avec nos yeux d'enfants. Voir les autres et se dire que nous seuls avions compris le sens de la vie. Exalter. Nous seuls respirions, à se faire exploser la poitrine. Se sentir privilégiés, supérieurs, invincibles.[/quote]<3 C'est très touchant ! :)
JoannLataste Il y a 6 ans

Je prends une profonde inspiration et me lance, même si ces mots n'ont pas été écrits pour cet exercice :

Ces mots que l'on aurait dû dire plus tôt. Je crois qu'entre hommes, il est plus difficile d'exprimer ses sentiments. Je me souviens de nous deux, gamins. Tu aimais déjà rouler. Tu enfourchais ton vélo, tu sais, le VTT vert, griffé de toutes parts. Tu montais dessus comme si tu partais à la conquête du monde entier. Les obstacles s'envolant à chaque coup de pédale. Voilà ce que ton amitié représentait à mes yeux.
Nous avions toujours 8 ans quand nous étions ensemble. Innocents, inconscients, insouciants. A regarder le monde avec nos yeux d'enfants. Voir les autres et se dire que nous seuls avions compris le sens de la vie. Exalter. Nous seuls respirions, à se faire exploser la poitrine. Se sentir privilégiés, supérieurs, invincibles.
<3 C'est très touchant !

Allez des motivés ? L'ivresse.
Nulie Il y a 6 ans

Allez des motivés ?
L'ivresse.

[quote="Nulie"]Allez des motivés ? L'ivresse.[/quote] "L'ivresse des sens n'a plus de sens quand le coeur des amants est plein de givre. L'ivresse amoureuse est idyllique dans les premiers mois, émois et des mots à foison. Ensuite ce sont des années de silence éthylique. Vaguement interrompues par le plaisir des corps, mais le coeur n'est plus ivre.  L'état amoureux est une addiction, et une fois achevé les effets addictifs; l'amour véritable est censé commencer. Cela semble insensé de se dire que l'on commence à aimer au moment où l'on décuve. Il y a des gens qui recommencent tout le temps tels des drogués de l'amour et puis d'autres qui, dans la bagatelle, vont se contorsionner dans tous les sens. Sans jamais retrouver le ventre fiévreux des premiers effleurements, pourtant si chastes. L'amour, pour défier le temps, doit se sevrer de son alcoolique genèse, et toujours il doutera ensuite de sa réalité, il est plus facile de croire en ses rêves, il est plus facile d'être amoureux que d'aimer. Il est plus facile de boire les paroles des poètes que de se confronter aux conjugaux déboires. Cependant, n'y a t-il pas des alcools plus puissants que d'autres, dont les effets perdurent plus longtemps, n'y a t-il pas des êtres plus puissants que d'autres ? " pas facile de lier le texte en dehors d'une narration :)
suffragettes AB Il y a 6 ans

Allez des motivés ?
L'ivresse.


"L'ivresse des sens n'a plus de sens quand le coeur des amants est plein de givre.

L'ivresse amoureuse est idyllique dans les premiers mois, émois et des mots à foison.

Ensuite ce sont des années de silence éthylique.
Vaguement interrompues par le plaisir des corps, mais le coeur n'est plus ivre. 

L'état amoureux est une addiction, et une fois achevé les effets addictifs; l'amour véritable est censé commencer. Cela semble insensé de se dire que l'on commence à aimer au moment où l'on décuve.

Il y a des gens qui recommencent tout le temps tels des drogués de l'amour et puis d'autres qui, dans la bagatelle, vont se contorsionner dans tous les sens. Sans jamais retrouver le ventre fiévreux des premiers effleurements, pourtant si chastes.

L'amour, pour défier le temps, doit se sevrer de son alcoolique genèse, et toujours il doutera ensuite de sa réalité, il est plus facile de croire en ses rêves, il est plus facile d'être amoureux que d'aimer. Il est plus facile de boire les paroles des poètes que de se confronter aux conjugaux déboires.

Cependant, n'y a t-il pas des alcools plus puissants que d'autres, dont les effets perdurent plus longtemps, n'y a t-il pas des êtres plus puissants que d'autres ? "

pas facile de lier le texte en dehors d'une narration

Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ? J'ai envie de te prendre par le sextant du sens, qu'on puisse calculer d'une paire de chairs à l'autre si l'amer est un bon repère pour nos divagations. Viens viens on navigue ensemble, si tu veux on chavire ensemble, ma main comme un mât dirigé par le vent des désirs, quitte donc le chenil, laisse la meute s'ériger seule, mettons-nous les pieds à flots pour faire des noeuds à nos chevilles et remonter le chéneau qui croule sous les torrentielles pluies diluviennes de nos existences. C'est une invitation aux voyages, à aller traîner les caniveaux pour que nos âmes partent en toute sensibilité vers la route qui borde la mer, faire des vagues contre ton bassin et y plonger, le temps de bourrasques et de s'y assécher la bouche, de ne plus savoir parler mais seulement s'écouter nager, puis s'arrêter sur les rivages de nos peaux, voir perler nos côtes et se ciseler notre souffle de vapeur. Tu viens ? J'ai le goût des dérives, des rivages, d'être pirate et de voguer sur l'ondée des passants des rues, rire des tempêtes et des clameurs des humeurs océaniques, on va se chasser le trésor à se déterrer nos sourires, on aura des tronches de phares et on se pliera aux phrases imprévues, coque contre coque, cueillir des coquillages, moi loup blanc et toi louve des steppes infinies, boire la tasse de l'univers, boire la tasse de l'univers...
AnonymeIl y a 6 ans

Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ?

J'ai envie de te prendre par le sextant du sens, qu'on puisse calculer d'une paire de chairs à l'autre si l'amer est un bon repère pour nos divagations. Viens viens on navigue ensemble, si tu veux on chavire ensemble, ma main comme un mât dirigé par le vent des désirs, quitte donc le chenil, laisse la meute s'ériger seule, mettons-nous les pieds à flots pour faire des noeuds à nos chevilles et remonter le chéneau qui croule sous les torrentielles pluies diluviennes de nos existences.

C'est une invitation aux voyages, à aller traîner les caniveaux pour que nos âmes partent en toute sensibilité vers la route qui borde la mer, faire des vagues contre ton bassin et y plonger, le temps de bourrasques et de s'y assécher la bouche, de ne plus savoir parler mais seulement s'écouter nager, puis s'arrêter sur les rivages de nos peaux, voir perler nos côtes et se ciseler notre souffle de vapeur.

Tu viens ?

J'ai le goût des dérives, des rivages, d'être pirate et de voguer sur l'ondée des passants des rues, rire des tempêtes et des clameurs des humeurs océaniques, on va se chasser le trésor à se déterrer nos sourires, on aura des tronches de phares et on se pliera aux phrases imprévues, coque contre coque, cueillir des coquillages, moi loup blanc et toi louve des steppes infinies, boire la tasse de l'univers, boire la tasse de l'univers...

[quote="Churinga"]Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ? J'ai envie de te prendre par le sextant du sens, qu'on puisse calculer d'une paire de chairs à l'autre si l'amer est un bon repère pour nos divagations. Viens viens on navigue ensemble, si tu veux on chavire ensemble, ma main comme un mât dirigé par le vent des désirs, quitte donc le chenil, laisse la meute s'ériger seule, mettons-nous les pieds à flots pour faire des noeuds à nos chevilles et remonter le chéneau qui croule sous les torrentielles pluies diluviennes de nos existences. C'est une invitation aux voyages, à aller traîner les caniveaux pour que nos âmes partent en toute sensibilité vers la route qui borde la mer, faire des vagues contre ton bassin et y plonger, le temps de bourrasques et de s'y assécher la bouche, de ne plus savoir parler mais seulement s'écouter nager, puis s'arrêter sur les rivages de nos peaux, voir perler nos côtes et se ciseler notre souffle de vapeur. Tu viens ? J'ai le goût des dérives, des rivages, d'être pirate et de voguer sur l'ondée des passants des rues, rire des tempêtes et des clameurs des humeurs océaniques, on va se chasser le trésor à se déterrer nos sourires, on aura des tronches de phares et on se pliera aux phrases imprévues, coque contre coque, cueillir des coquillages, moi loup blanc et toi louve des steppes infinies, boire la tasse de l'univers, boire la tasse de l'univers...[/quote] <3 revitalisant, ça met de bonne humeur de lire des choses comme ça! Trop fort churinga :)
suffragettes AB Il y a 6 ans

Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ?

J'ai envie de te prendre par le sextant du sens, qu'on puisse calculer d'une paire de chairs à l'autre si l'amer est un bon repère pour nos divagations. Viens viens on navigue ensemble, si tu veux on chavire ensemble, ma main comme un mât dirigé par le vent des désirs, quitte donc le chenil, laisse la meute s'ériger seule, mettons-nous les pieds à flots pour faire des noeuds à nos chevilles et remonter le chéneau qui croule sous les torrentielles pluies diluviennes de nos existences.

C'est une invitation aux voyages, à aller traîner les caniveaux pour que nos âmes partent en toute sensibilité vers la route qui borde la mer, faire des vagues contre ton bassin et y plonger, le temps de bourrasques et de s'y assécher la bouche, de ne plus savoir parler mais seulement s'écouter nager, puis s'arrêter sur les rivages de nos peaux, voir perler nos côtes et se ciseler notre souffle de vapeur.

Tu viens ?

J'ai le goût des dérives, des rivages, d'être pirate et de voguer sur l'ondée des passants des rues, rire des tempêtes et des clameurs des humeurs océaniques, on va se chasser le trésor à se déterrer nos sourires, on aura des tronches de phares et on se pliera aux phrases imprévues, coque contre coque, cueillir des coquillages, moi loup blanc et toi louve des steppes infinies, boire la tasse de l'univers, boire la tasse de l'univers...
@Churinga


<3 revitalisant, ça met de bonne humeur de lire des choses comme ça! Trop fort churinga

À moi aussi ;) Merci Pour infos je serai sur CAEN du 24 au 30 si des échouées/échoués ou filoutes/filous sont dans le coin.
AnonymeIl y a 6 ans

À moi aussi
Merci

Pour infos je serai sur CAEN du 24 au 30 si des échouées/échoués ou filoutes/filous sont dans le coin.

[quote="Churinga"]Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ?[/quote] Taillage de sextoy litteraire direct’ merci me suis fait plais’
AnonymeIl y a 6 ans

Pulsion d'un sexe de plume, tu permets que la pointe de mon caducée à billes virtuelles asperge la peau noire de ta pupille par mes incantations ?
@Churinga


Taillage de sextoy litteraire direct’ merci me suis fait plais’

Parfois, c'est mieux ainsi. Quand les disparitions sont complètes. J'ai jamais apprécié les demi-mots, les demi-actes, les demi-lunes. Ça pue l'inachevé et j'préfère quand c'est achevé, que ce soit une relation ou un tableau, un texte ou une action. Y'a le courage de ceux qui veulent se survivre puis le courage de ceux qui veulent en finir. C'est étrange, chaque lot a sa consolation, chaque phrase sa ponctuation. Y'a des journées comme ça où j'comprend pas, j'suis à deux doigts de m'acidifier le corps, puis je repousse, j'attends l'heure propice puis j'la laisse filer, j'coud autre chose, je m'occupe à d'autres affaires, j'traîne du couloir à la chambre, de la cuisine au salon devant une télévision éteinte, j'vais voir ma chienne, j'reste avec elle, j'vais pisser, puis j'reviens ailleurs, j'retourne sur mes pas, j'vais voir mes p'tits loups, je me connecte, je me déconnecte, j'ai le cerveau en vadrouille sur moins de 100m². Je pourrais aller prendre l'air mais j'ai plus que le souffle des cigarettes, des paquets que je vide tout les deux-trois jours, mon humeur qui se colmate au fil de mes consommations, puis mon repas du soir qui m'redonne un peu d'énergie pour aller affronter mes nuits aux heures allongées. J'me sens comme en cage, mais ici ou ailleurs c'est pareil, j'crois que c'est dans ma tête, dans ce quotidien, dans le sens que j'donne plus à mes jours, palpitations irrégulières d'à-coups de plaisirs spontanés et éphémères. J'suis trop changeant et j'ai du mal à changer, maintenant c'est presque toujours trop tôt et plus tard c'est toujours trop tard, c'est comme si l'horlogerie avait pris un sale coup dans ce déménagement. C'est l'être ou l'âme ou le cœur qui s'est dégradé, j'ai plus le goût des papiers, j'sais que ça peut s'arrêter à n'importe quel moment mon inspiration, ma lancée, alors j'pars même pas dans le créatif, j'suis coincé dans les esquisses, les ébauches, j'ai pas ma solitude ni ma tranquillité pour leur faire prendre l'ampleur des navires, pas qu'on me dérange, c'est plutôt moi qui dérange à jamais être chez moi, à être toujours chez les autres, alors j'commence même plus. J'écris des paroles sur une musique que je ne sais pas faire, j'ai pas la voix pour, trop enfouie en dedans, l'gamin n'a pas l'air sûr de lui, ça c'est une faille, c'est les séismes de l'enfance et les vapeurs qu'on porte toute la vie, un manque d'assurance et d'ailleurs ça tombe bien j'suis assuré contre rien, rassuré d'pas grand chose juste que c'est ici que ça se joue, dans la réalité, dans la chair, en dehors des virtualités et des éclaboussures d'humains réduits à une poudre lyophilisée de prêts-à-porter-sa-pensée. J'sais pas si c'est utile d'en vouloir à quelque chose, mais c'est vraiment une sale époque, pourtant ils veulent nous faire croire qu'elle est belle, avec ses publicités brillantes et ses apparences de propreté, à l'accès du tout confort, des illimités à portée de main, des ressources à prendre et à user allègrement, on y croirait presque à tout ça, à cette perfection palpable qu'ils veulent nous soumettre, à la bien-pensance commune, aux normes de notre humanité. Y'a des journées j'sais plus quoi faire, ni pour moi, ni pour les autres. Et les nuits je cauchemarde.
AnonymeIl y a 6 ans

Parfois, c'est mieux ainsi.

Quand les disparitions sont complètes.
J'ai jamais apprécié les demi-mots, les demi-actes, les demi-lunes.

Ça pue l'inachevé et j'préfère quand c'est achevé, que ce soit une relation ou un tableau, un texte ou une action. Y'a le courage de ceux qui veulent se survivre puis le courage de ceux qui veulent en finir.

C'est étrange, chaque lot a sa consolation, chaque phrase sa ponctuation.

Y'a des journées comme ça où j'comprend pas, j'suis à deux doigts de m'acidifier le corps, puis je repousse, j'attends l'heure propice puis j'la laisse filer, j'coud autre chose, je m'occupe à d'autres affaires, j'traîne du couloir à la chambre, de la cuisine au salon devant une télévision éteinte, j'vais voir ma chienne, j'reste avec elle, j'vais pisser, puis j'reviens ailleurs, j'retourne sur mes pas, j'vais voir mes p'tits loups, je me connecte, je me déconnecte, j'ai le cerveau en vadrouille sur moins de 100m².

Je pourrais aller prendre l'air mais j'ai plus que le souffle des cigarettes, des paquets que je vide tout les deux-trois jours, mon humeur qui se colmate au fil de mes consommations, puis mon repas du soir qui m'redonne un peu d'énergie pour aller affronter mes nuits aux heures allongées.

J'me sens comme en cage, mais ici ou ailleurs c'est pareil, j'crois que c'est dans ma tête, dans ce quotidien, dans le sens que j'donne plus à mes jours, palpitations irrégulières d'à-coups de plaisirs spontanés et éphémères.

J'suis trop changeant et j'ai du mal à changer, maintenant c'est presque toujours trop tôt et plus tard c'est toujours trop tard, c'est comme si l'horlogerie avait pris un sale coup dans ce déménagement. C'est l'être ou l'âme ou le cœur qui s'est dégradé, j'ai plus le goût des papiers, j'sais que ça peut s'arrêter à n'importe quel moment mon inspiration, ma lancée, alors j'pars même pas dans le créatif, j'suis coincé dans les esquisses, les ébauches, j'ai pas ma solitude ni ma tranquillité pour leur faire prendre l'ampleur des navires, pas qu'on me dérange, c'est plutôt moi qui dérange à jamais être chez moi, à être toujours chez les autres, alors j'commence même plus.

J'écris des paroles sur une musique que je ne sais pas faire, j'ai pas la voix pour, trop enfouie en dedans, l'gamin n'a pas l'air sûr de lui, ça c'est une faille, c'est les séismes de l'enfance et les vapeurs qu'on porte toute la vie, un manque d'assurance et d'ailleurs ça tombe bien j'suis assuré contre rien, rassuré d'pas grand chose juste que c'est ici que ça se joue, dans la réalité, dans la chair, en dehors des virtualités et des éclaboussures d'humains réduits à une poudre lyophilisée de prêts-à-porter-sa-pensée.

J'sais pas si c'est utile d'en vouloir à quelque chose, mais c'est vraiment une sale époque, pourtant ils veulent nous faire croire qu'elle est belle, avec ses publicités brillantes et ses apparences de propreté, à l'accès du tout confort, des illimités à portée de main, des ressources à prendre et à user allègrement, on y croirait presque à tout ça, à cette perfection palpable qu'ils veulent nous soumettre, à la bien-pensance commune, aux normes de notre humanité.

Y'a des journées j'sais plus quoi faire, ni pour moi, ni pour les autres.
Et les nuits je cauchemarde.

La conscience est une contrainte.
Maitre Kaio Il y a 6 ans

La conscience est une contrainte.

[quote="Maitre Kaio"]La conscience est une contrainte.[/quote] J'vais reprendre la weed, j'aime pas les contraintes contractuelles, surtout quand j'ai rien signé
AnonymeIl y a 6 ans

La conscience est une contrainte.


J'vais reprendre la weed, j'aime pas les contraintes contractuelles, surtout quand j'ai rien signé

tant que la weed te reprends pas... (c'est pas l'homme qui prend la mer hein)
Maitre Kaio Il y a 6 ans

tant que la weed te reprends pas...

(c'est pas l'homme qui prend la mer hein)

C'EST L'HOMME QUI FUME LA WEEEED Bah j'avoue que dans un but d'apaisement, ça peut être pas mal, sous cet angle là, au moins pour dormir.
AnonymeIl y a 6 ans

C'EST L'HOMME QUI FUME LA WEEEED

Bah j'avoue que dans un but d'apaisement, ça peut être pas mal, sous cet angle là, au moins pour dormir.

c'est un divertissement! si ça pique c'est que t'es sur la bonne voie non? C'est précisément ce que tu dénonces qui triomphe quand tu t'étourdis, quand tu t'engourdis? (et ya mille manières de le faire, pas que la weed et pas que les substances en général, bien sûr)
musashi Il y a 6 ans

c'est un divertissement! si ça pique c'est que t'es sur la bonne voie non?
C'est précisément ce que tu dénonces qui triomphe quand tu t'étourdis, quand tu t'engourdis? (et ya mille manières de le faire, pas que la weed et pas que les substances en général, bien sûr)


Bonne santé, mental sain ou mental sale, mauvaise santé ? Les plus grands ( dont je ne fais pas partie ) avaient des légères tendances à abuser des choses. Pour calmer certains de mes côtés je sais qu'elle peut me canaliser la weed. À la différence de l'alcool qui me fait physiquement plus mal, même si mentalement ça prend moins cher. Un homme qui endort sa conscience est un homme averti, car les yeux grands ouverts avec rien que soi c'est parfois difficile à se supporter... L'alcool est un étourdissement pour ma constitution ( 55kilos 1m75 je ne tiens pas une autoroute de planteur sans me planter ! ) L'herbe agit différent à mon sens sur la constitution. Par contre ouais, ça engourdit. Je ne dirais pas quoi, ni où, ni comment, je laisse les esprits les plus imaginaires se faire leurs propres images. :D
AnonymeIl y a 6 ans

Bonne santé, mental sain ou mental sale, mauvaise santé ?

Les plus grands ( dont je ne fais pas partie ) avaient des légères tendances à abuser des choses.
Pour calmer certains de mes côtés je sais qu'elle peut me canaliser la weed. À la différence de l'alcool qui me fait physiquement plus mal, même si mentalement ça prend moins cher.
Un homme qui endort sa conscience est un homme averti, car les yeux grands ouverts avec rien que soi c'est parfois difficile à se supporter...

L'alcool est un étourdissement pour ma constitution ( 55kilos 1m75 je ne tiens pas une autoroute de planteur sans me planter ! ) L'herbe agit différent à mon sens sur la constitution.

Par contre ouais, ça engourdit. Je ne dirais pas quoi, ni où, ni comment, je laisse les esprits les plus imaginaires se faire leurs propres images.


Le temps s'accélère. Il ne se passe rien comme prévu, c'est que des imprévus. Mes bébés partent demain matin. Grosse journée nettoyage de la cave qui m'attend, puis organisation pour le départ, anticipé. J'tremble de l'intérieur, c’est étrange ce mélange d'excitation et d'inconnu
AnonymeIl y a 6 ans

Le temps s'accélère.

Il ne se passe rien comme prévu, c'est que des imprévus.

Mes bébés partent demain matin. Grosse journée nettoyage de la cave qui m'attend, puis organisation pour le départ, anticipé.

J'tremble de l'intérieur, c’est étrange ce mélange d'excitation et d'inconnu

Bonne route l'ami, l'inconnu, il est pas si flippant que ça apparemment... Ce qui compte, c'est le chemin que tu prends, un pas après l'autre.
zaël Il y a 6 ans

Bonne route l'ami, l'inconnu, il est pas si flippant que ça apparemment... Ce qui compte, c'est le chemin que tu prends, un pas après l'autre.

L'immobilisme.
Nulie Il y a 6 ans

L'immobilisme.

[quote="Nulie"]L'immobilisme.[/quote] "Ma cloison immobile en mouvement l'intérieur ça bouge au-dedans ça ne bouge pas d'un cil à l'extérieur un leurre immobile un chakra qui vacille branche et faucille j'ai l'apparence de la statue en vrille mais au fond le volcan qui grille ça voles quand ? Je ne bouge pas de place j'immobilise c'est quand le vol ? C'est qui le vol ? Je voles qui ? Quoi ?! Je ne comprend plus rien... il est où le volant, le voleur, celui qui va mouvoir le mobile que je suis amovible âme avide l'immobilisme de la chair célibataire un courant d'air la porte s'ouvre… yo gars :) On va méditer sur le temps, sur la trique on va converser tantrique on va t'élucider mystère. Ouais en attendant que tremble ma terre sous les hypothèses organiques de gaïa je régule ma thermodynamique intérieure je fais immobile ma séance de yoga :)" pétard c'est dur d'écrire sérieusement en fait :)
suffragettes AB Il y a 5 ans

L'immobilisme.


"Ma cloison immobile

en mouvement l'intérieur

ça bouge au-dedans

ça ne bouge pas d'un cil à l'extérieur

un leurre immobile
un chakra qui vacille
branche et faucille
j'ai l'apparence de la statue en vrille
mais au fond le volcan qui grille

ça voles quand ?

Je ne bouge pas de place

j'immobilise

c'est quand le vol ?
C'est qui le vol ?
Je voles qui ?
Quoi ?!
Je ne comprend plus rien...
il est où le volant, le voleur, celui qui va mouvoir le mobile que je suis
amovible
âme avide
l'immobilisme de la chair
célibataire
un courant d'air
la porte s'ouvre…

yo gars
On va méditer
sur le temps, sur la trique
on va converser tantrique
on va t'élucider mystère.

Ouais en attendant que tremble ma terre
sous les hypothèses organiques de gaïa
je régule ma thermodynamique intérieure
je fais immobile ma séance de yoga "

pétard c'est dur d'écrire sérieusement en fait


Tous frères. A croire qu'on ne se donne la main ou qu'on se reconnaît dans la différence uniquement lorsqu'on soulève des coupes ou qu'on défile dans des marrées de sang. Pour mieux se mettre sur la gueule, demain, pour une place de parking. Tous frères ennemis.
flush Il y a 5 ans

Tous frères.
A croire qu'on ne se donne la main ou qu'on se reconnaît dans la différence uniquement lorsqu'on soulève des coupes ou qu'on défile dans des marrées de sang.
Pour mieux se mettre sur la gueule, demain, pour une place de parking.
Tous frères ennemis.

On est en mode destruction massive !!! Il n'y a plus rien d'important, plus rien qui ne compte vraiment. La vie est un jeu, alors jouons, jouons à celui qui a tort ou celui qui a raison. L'évasion, la fuite, la destruction de notre corps et de nos pensées, tel est le chemin d'aujourd'hui dans cet amour là. Je voudrais partir une bonne fois pour toute car ce monde ne convient pas. Je ne peux pas rester dans ce corps meurtri par la peur et les doutes. La construction de notre amour va s'arrêter là. Il n'y a pas d'autres choix possibles. Et pourtant dieu ou l'univers sait que je t'aime du plus profond de moi même. Mais nos divergences font que nous ne pourrons pas construire ensemble. Les discussions n'ont plus de valeur, elles ne servent plus qu'à combler un vide et nous figent dans un présent bloqué. Plus de conscience, plus de futur, plus de passé, le présent n'a pas de mémoire. Au fond de moi, une envie de me battre, une envie de déplacer des montagnes, mais je ne trouve pas l'énergie, alors je vais me reprendre et regarder ce qui ne va pas. Et je te promet ta liberté, je te promet l'amour, je te promet mon moi, mon vrai moi. Juste encore un peu de temps, encore un peu de pétage de câble et je me trouverai dans cette immensité pour l'équilibre de mon être perdu. À cet or qui ne brille pas, à ce cœur battant toujours plus fort, aime moi comme je m'aime
gimmick63 Il y a 5 ans

On est en mode destruction massive !!! Il n'y a plus rien d'important, plus rien qui ne compte vraiment. La vie est un jeu, alors jouons, jouons à celui qui a tort ou celui qui a raison. L'évasion, la fuite, la destruction de notre corps et de nos pensées, tel est le chemin d'aujourd'hui dans cet amour là. Je voudrais partir une bonne fois pour toute car ce monde ne convient pas. Je ne peux pas rester dans ce corps meurtri par la peur et les doutes. La construction de notre amour va s'arrêter là. Il n'y a pas d'autres choix possibles. Et pourtant dieu ou l'univers sait que je t'aime du plus profond de moi même. Mais nos divergences font que nous ne pourrons pas construire ensemble. Les discussions n'ont plus de valeur, elles ne servent plus qu'à combler un vide et nous figent dans un présent bloqué. Plus de conscience, plus de futur, plus de passé, le présent n'a pas de mémoire.
Au fond de moi, une envie de me battre, une envie de déplacer des montagnes, mais je ne trouve pas l'énergie, alors je vais me reprendre et regarder ce qui ne va pas. Et je te promet ta liberté, je te promet l'amour, je te promet mon moi, mon vrai moi. Juste encore un peu de temps, encore un peu de pétage de câble et je me trouverai dans cette immensité pour l'équilibre de mon être perdu.
À cet or qui ne brille pas, à ce cœur battant toujours plus fort, aime moi comme je m'aime

Ma mémoire est défaillante, Je pense et puis j'oublie, Je ne m'aime plus, Je ne trouve pas la force, Putain de mémoire défaillante, Tout le travail accompli Pour quelques morceaux de joie, Et tant à se battre pour ça, Es ce que mes rêves c'est ça, Reprend toi ! Lève la tête, et sois fière Confiance en ce que tu crois juste, Ta manière sera toujours la meilleure, Explore tout les possibles, Et le meilleur en sortira, Alors regarde toi ! Regarde toi d'un peu plus haut, Regarde toi au présent, Franchi les barrières du mental, Sans jugement et sans mauvaise pensée, Tout va bien à présent, C'est calme, ton corps respire, Regarde ce qui ne te convient plus, Même dans tes blocages, Ton conditionnement, Le regard des autres sur toi, Aime ce que tu es ! Aime tel que tu es ! Donne lui tout ce qui est bon pour lui, Cet être qui n'a besoin que de son amour de lui même.
gimmick63 Il y a 5 ans

Ma mémoire est défaillante,
Je pense et puis j'oublie,
Je ne m'aime plus,
Je ne trouve pas la force,
Putain de mémoire défaillante,
Tout le travail accompli
Pour quelques morceaux de joie,
Et tant à se battre pour ça,
Es ce que mes rêves c'est ça,
Reprend toi !
Lève la tête, et sois fière
Confiance en ce que tu crois juste,
Ta manière sera toujours la meilleure,
Explore tout les possibles,
Et le meilleur en sortira,
Alors regarde toi !
Regarde toi d'un peu plus haut,
Regarde toi au présent,
Franchi les barrières du mental,
Sans jugement et sans mauvaise pensée,
Tout va bien à présent,
C'est calme, ton corps respire,
Regarde ce qui ne te convient plus,
Même dans tes blocages,
Ton conditionnement,
Le regard des autres sur toi,
Aime ce que tu es !
Aime tel que tu es !
Donne lui tout ce qui est bon pour lui,
Cet être qui n'a besoin que de son amour de lui même.