- - j'ai un rhume. En été...
- - - ... quand il y a le bac demain...
- - - ... sous une chaleur écrasante en LORRAINE !

@"Spleen"


Bon courage @Spleen

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste qui a appris à conduire sans les mains

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure des fromages sur la lunette arrière d'un unijambiste

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes n'aurait pas pris mon chat pour en faire des brochettes molles comme des bons chamallows et des éponges vivantes me rappelant sans cesse la moisissure

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau pour y voir si un poisson à lunettes

J'avais un torticolis à force de regarder le fond de l'eau

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon des illusionnistes de la réalité des cabarets fermés au public pour cause de crue pas cuite au feu de bois d'eucalyptus qui font les bonbons au citron.

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon des illusionnistes de la réalité des cabarets fermés au public pour cause de crue pas cuite au feu de bois d'eucalyptus

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon des illusionnistes de la réalité des cabarets fermés au public pour cause de crue pas cuite

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon des illusionnistes de la réalité des cabarets fermés au public

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon des illusionnistes de la réalité

Merci, c'est sacrément chouette

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière sur les avenues célestes du Panthéon

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador pour des guerres des étoiles filantes en marche arrière

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés par des droïdes alliés à Dark Vador

Morts les enfants - Renaud

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques avec des pièges à rats informatisés

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre pour arseniquer les moustiques

On t'a reconnu Damien...

Photo inédite prise au studio Davout.

Quel bout en train ce Daminou.

@"jej33"


hahaha énorme

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouilles qui croassent en breton des légendes de Fleur de tonnerre que Zeus envoie sur terre

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouille qui croassent en breton

Demi mondaine - les enfants de la guerre

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec et à sang de grenouille

Putain mais fumer de l'herbe pour vous endormir
@"Maitre

Et comme ça on rêve plus ?

Isa Ce qui est sûr, c'est que le manque de sommeil est un facteur favorisant les crises. Après c'est très dur de définir sa véritable origine, en général c'est une question d'hérédité. J'hérite toujours des trucs pourris xD
@"Spleen"


Je compatis @Spleen , c'est très très chiant .

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné peut l'être à sec

OUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS J'AI ENFIN MES APL !!!!!!!!!!!!!!!!!!! J'LES ATTENDAIS DEPUIS JANVIER !!!!!! YOUHOU !!!!!

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes où l'Ours fait de la gymnastique en soulevant des isards sur le toit de son mas provincial dont les herbes bleues comme des oranges poétiques et romantiques comme des vers de terre qui auraient appris à lire Zola en verlan et Laval à l'envers à s'en étouffer de chocolat fondant recouvrant de multiples fruits et de multiples légumes intrus sur ce plateau de la chance aux chansons populaires mais tribales et dithyrambiques en barriques de 100 litres de bière sénégalaise aux fruits rouges comme le cul des babouins à tête d'asticot que les mouches pondent dans le reste des sandwichs poulet-chocolat et des glaces à la viande de cheboeufval hachée en gros morceaux et qu'on ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est certaine elle est venue en char à bochevaleuf sans permis bateau dont le moteur marche au pétrole Hahn que Yachvili glorifie dans une publicité tirée par les cheveux et peu crédible comme les bébés qui vendent la jouissance des minéraux à travers un écran bleu comme le lagon déchaîné