Je l'aime bien moi Rochechouart . En fait j'aime beaucoup cet album finalement. Et particulièrement le Roi.

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat à l'oseille qu'on trouve dans des grottes

Au programme :
- il fait de la gym pour perdre du bide
- il s’entraîne à claper en rythme
- il prépare les cuivres pour la prochaine tournée...

http://www.youtube.com/watch?v=azPI8p5uRh4
@"boby6"


Hahaha énorme !!!

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision d'hivers frigorifiques dans du papier alu, c'est bien connu l'alu démultiplie le chocolat

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique où les marmottes mettent le chocolat qu'elles ont pondu en prévision

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant alimenté par des poissons qui remuent très très fort la queue pour déclencher une mini centrale hydroélectrique

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes sur des skis à toute allure dans le vent frais de l'Anapurna réchauffé par un radiateur géant

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant les crocodiles bleus à plumes

Foirage total (même pas sous-admissible), moral dans les chaussettes, mais ce soir on fait la fête
@"Alizée"

Arf, c'est jamais cool ça, concours de quoi ??

(remarque, tu me diras, moi le dernier concours que j'ai tenté j'suis allée jusqu'aux oraux où ils m'ont démolie, ben c'est presque pire parce que tu y crois jusqu'au bout, vu que t'as déjà été tellement loin...)
@"Isa"


C'était celui de l'ENS de Lyon en Histoire.

roooh, va bronzer un peu ça ira mieux
@"__Marine__"

option smoothie au soleil

Résultats du concours demain... mine de rien, même si je sais que je ne l'aurai pas, je stresse un peu
@"Alizée"


Alors ? Verdict ?
@"boby6"


Foirage total (même pas sous-admissible), moral dans les chaussettes, mais ce soir on fait la fête

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse de capitaine Crochet d'opérette fuyant

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées comme des sabres en mousse

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn posées sur leurs épaules aiguisées

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes comme alcooliques cloués au bar entre Marie et Marilyn

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres et nous niquaient les dents cariées et incomplètes

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé par des mistral gagnants et les vrais roudoudous qui nous coupaient les lèvres

Résultats du concours demain... mine de rien, même si je sais que je ne l'aurai pas, je stresse un peu

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand que Voldemort enrhumé

Les francofolies de LR le 14 juillet et pour l'instant rien d'autre de prévu...

c'est plus pour "bon allez chaque matin 10mn de plus dans la sdb" que pour le gommage le côté fille dont je parle
@"__Marine__"


Je te comprends totalement (et ça me rassure j'suis pas toute seule comme ça )

Je voulais voter pour 2 en même temps mais c'est pas possible

je me souviens de la reprise de "Song to" de Blur par Louise Attaque et Dionysos...juste énorme! et pour la magie des rencontres il faut que ce genre d'émissions reste sur la grille des programmes,même en troisième partie de soirée.
@"thomas"


Je viens de voir la reprise et effectivement ça envoie du lourd !!!!!!!!!

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition en plus méchant et en plus grand

(j'ai enlevé le "de" j'ai eu beau cherché je n'arrivais pas à comprendre la construction )

Alizée : fais ta tresse sur cheveux mouillé, ça tient mieux. Après vu que ça fait 4 mois que tu n'as pas fait de coupe, tes cheveux on poussé n'importe comment et donc tu n'as plus de vrai coupe. Si ton dégradé était bien prononcé c'est normal aussi.
@"gwen"


Je vais essayer ça alors. Merci .

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe comme un vol de vautours au dessus d'une charogne en voie de recomposition

Les coquelicots des bords de route ondulent sur le rythme des camions lancés à pleine vitesse sur une départementale sinueuse longeant les gorges du Verdon aussi profondes qu'un gouffre sans fond et au milieu coule une rivière dont les eaux tourmentées et boueuses charrient les corps des poissons asphyxiés dans des sacs en plastique qui viennent de touristes porcins qui mangent bio et roulent en 4x4 fabriqués en Chine pour des salaires inexistants et des coups de fouets saignants à flot sur les dos des poissons morts de toutes les pêches du monde dont les confitures collent aux dents et aux doigts des touristes perdus dans les limbes des lacs écossais du sud de la Grande Bretagne au nord de Lorient et à l'Est de Cassis qui a l'odeur de rose mentholée et multicolores comme maillots de bains sur une plage surchargée de futures écrevisses bronzant benèze que l'on arrosera d'eau de vie pour les faire flamber à la tombée de la nuit autour d'un feu de camp où les chamanes rentrent en transe

Wow pinaise, je pensais pas qu'en racontant ma VDM du matin j'aurais autant de copains/copines

Je sais pas vous, mais moi j'ai failli leur jeter mon radio-réveil aux types ce matin (heureusement, je me suis retenue)

(bon d'accord comme dit viper82, ça me laisse le temps de profiter de ma journée, mais fuck quoi, quand même)
@"Isa"


Un radio-réveil a si vite fait de passer par la fenêtre

Une petite question : au vu de mon anarchie capillaire, et de mon passage récent (d'il y a au moins 4 mois) chez le coiffeur qui m'a fait un dégradé, je n'arrive plus à me faire une tresse correcte sans que les cheveux se barrent, or je dois nécessairement m'attacher les cheveux pour bosser : est-ce qu'il existe une solution efficace pour que mes cheveux m'obéissent et restent en place ? (la queue de cheval pas possible, je suis migraineuse et c'est un déclencheur )