Et bien vous avez cartonné ! On va en faire une chanson, que tout le monde aimera et on deviendra riche et célèbre


ça m'étonnerais fort... (mais je l'ai relu et tout se tient plus ou MOINS )

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque dont la célèbre conclusion philosophique de Monsieur Germain est "Elle était profonde".
@Didier


La boucle est bouclée , maintenant il faut comprendre le sens de cette phrase ce qui n'est pas gagné

On tente de conclure la phrase ??

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir sur un air d'Offenbach et avec une mise en scène vaudevillesque ...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque de théâtre de marionnettes qui va droit dans un opéra comique se faire applaudir...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement comme des pantins de carnaval se noyant dans un défilé grotesque...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus de la société cupide qui les a pourtant enfantés et qui les manipule habilement ...

Le train bleu - J-L Murat

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques des cœurs des vies errantes de ces individus exclus

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises comme les alouettes attirées par les miroirs brisés et opaques...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur et libérateur des contraintes de ses milliards de congénères qui aiment eux aussi les pare-brises...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient de la vie du trop plein de sang d'une autre qui coule en lui tel un poison salvateur...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition et des papillons de lumière sur nos pare-brise avant de s'écraser comme un moustique ivre et inconscient...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur mais non salvateur bien que protecteur des poissons clowns en voie de disparition...

(je fatigue )

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant et ses allures de cupidité, d'un épicurisme libérateur

Alizée elle m'empêche de dormir à cause du jeu de la phrase qui ne s'arrête jamais malgré l'incohérence évidente de cette dernière...

Au secouuuuuuurs !!!!!


Mais cette phrase est d'une parfaite limpidité o_0. Et puis tu as le droit de capituler *sourire sadique*

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé dont le mystère est affligeant par son néant

Aaarrrgh j'ai eu du mal là

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible comme un rêveur sous la lune sanguine se détachant sur un ciel étoilé

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine, d'une beauté souveraine, d'un absolu inaccessible

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur, d'une lueur en fuite, d'une mélodie incertaine...

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté, berceuse d'une vie imagée, d'un espoir vain mais créateur...

(c'est bien la clarté qui est berceuse là ? )

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité qui relient le cerveau au brouillard et le brouillard à la clarté...

On ne bat pas une khâgneuse au cadavre exquis voyons

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager ... loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissable aux couleurs improbables de profondeur et de diversité...

(ou comment essayer de se raccrocher au titre)
Le besoin de virgule commence à se faire sentir

Comme une ombre de Saez

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager ... loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux et attirant comme un aimant mon esprit si dispersé par des pensées insaisissables....

(le sens de la phrase devient de plus en plus compliqué à capter ... mais où est passé "elle était profonde" ?)

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager ... loin d'ici, là où en bord de mer, les goélands chantent et la brise légère vient balayer les pleurs d'un passé renversant et la peur d'un futur vertigineux ...

Je viens de m'apercevoir (à la fin de la phrase bien sûr) que le copié collé était plus rapide que de tout retaper .

En fait c'est le festival des Victoires de la Musique.


ça y ressemble un peu effectivement + Saez

"Elle était profonde" je m'en lasse pas de cet accordéon à bretelles si bouleversant et mélancolique qui me rappelait mon enfance et qui me fait voyager ...

Faut voir sur scène, mais là j'accroche pas vraiment .