Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées

Bien avant - Benjamin Biolay
@"Alizée"


Ma préférée de toute sa disco ( à égalité avec " négatif )

Tu fais exprès, avoue?!



Ecoute ce bijoux Alizée...
Clarika je suis sur que tu l'as connais pas.


http://www.youtube.com/watch?v=OwFkDRZH3Fo

@"jej33"


J'aime bien aussi

April Fool - Patti Smith

Bien avant - Benjamin Biolay

Tou-lou-sains ! Tou-lou-sains !
@"Alizée"


BORDEAUX BEGLES BORDEAUX BEGLES !!!
@"jej33"


ILS ONT GAGNE !!!!!!! (57-7 )
Bordeaux-Bègles ? Je ne connais pas...

Le chant des partisans version Leonard Cohen

Tou-lou-sains ! Tou-lou-sains !

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts du temps inexorable qui emporte tout avec lui

(c'était plus joyeux au début )

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes de la vie qui passe sous des ponts

Si je dois en choisir un seul (ce qui est compliqué) je dirais : les chansons d'amour de Christophe Honoré

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, où les routes sont des tapis de fleurs que le capitaliste ne trouvera jamais et de s'en aller main dans la main, avant que ce soit un 4 septembre qui se marie en juin, vers un horizon sans limite de plaines désertes que tes yeux inonderont de leurs larmes grosses comme les étoiles filantes

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses ou les hivers ressemblent à des printemps, ou les routes sont des tapis de fleurs...

This Mess We're In - PJ Harvey / Thom Yorke

putain de découverte, merci jej33

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes s'envole au gré des vents vers des terres plus heureuses

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté, galvanisé dans cette course de tricycles jaunes

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route dans le profond chagrin je me suis emporté, transporté

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert et les tambours indiens me montrent le chemin, la nuit nous faisons route

c'est chaud de rester cohérent avec des bouts de chanson

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts et cette Marguerite nue est venue me chercher au comptoir des pas perdus dans le désert

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent la nuit au fond des forêts avec les druides

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains aux sourires sataniques de ceux qui savent que les arbres dansent

Bis baby boum boum - Noir Désir / Brigitte Fontaine

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois, des sourires en coton et y planter les graines de baobabs nains

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton pour y construire des cabanes en bois...

heu... de Jupiter ?

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes qui les emportent sur pluton

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol en poursuivant des farandoles d'enfants en fête sur des planches à roulettes

(pas de ma faute je suis en train d'écouter la chanson )

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol très pentu du bateau dans la tempête en train de sombrer

mince y'a eu un bug avec la phrase de zaberlo

Clap clap clap clop clop clop, les ongles vernis tapent sur le comptoir, un homme marche sur les mains et la femme tronc roule au sol très pentu