Finalement, si les fans de Saez ne sortent pas plus du lot que ça, ce n'est pas très gratifiant pour le boss ! Au mions les fans de Mélenchon sont à la hauteur du tribun ! normal, ils ont déjà roulé leur bosse et quand ils étaient jeunes, l'Education Nationale assurait davantage qu'aujourd'hui ! demain, tous décérébrés ?

Il est tant d'apporter du sang neuf pour remuer tout ce neurasthénisme ambiant !
@"citoyenne


Je ne sais pas ce qui est pire, suivre aveuglément ou ne pas avoir d'idéal...

(Ps : désolée, je m'énerve mais ces généralités sur la jeunesse me sidèrent)

Ce que je constate, c'est que la jeunesse n'a plus aucun idéal ! ça se contente de faire son petit concert, de jubiler 2 h et puis après ça va bouffer au mac do, comme si les paroles de SAEZ glissaient sur eux !

finalement ça commence à me décourager et je ne suis pas certaine d'avoir envie de poursuivre ici ! je crois que c'est peine perdue ! les choses ne bougeront que quand tout ce beau monde sera au bord du gouffre ! continuez donc à faire l'autruche et ne vous intéresser à rien d'autres qu'à votre pomme !
@"citoyenne


Je ne pense pas qu'il faille généraliser, j'appartiens à la "jeunesse", on n'est pas tous sans idéal, loin de là, mais cet idéal ne correspond pas forcément à celui de Mélenchon .

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées mais tellement plus attirant qu'un flan fraise tagada, je me réveille ruisselant de pâte à crèpe, Betty dans la main gauche et Marguerite entre mes jambes qui prépare une salade de rondelles de couilles aux champignons hallucinogènes et aphrodisiaques


Tout à fait, vive la liberté et personne n'interdit rien à personne dans ce domaine ! ou la, c'est pas gagné de fédérer la jeunesse de ce beau pays !
@"citoyenne


Je ne comprends bien pas le lien entre ta première et ta deuxième phrase ?


Tu n'y es pas, ce n'est pas une question de thune mais d 'éthique !
@"citoyenne


Il y a un truc que je ne saisis pas : on reste quand même libre d'écouter ce qu'on a envie non ? Pourquoi un bourgeois devrait-il bannir Saez de sa playlist ?
J'ai emmené une amie qui est de droite voir Renaud (alors que bon je pense qu'on peut le considérer comme étant à gauche ) ce qui ne l'a pas empêché d'aimer.

Franchement la musique ça dépasse la simple sphère du politique, bien que l'art soit politique mais ça c'est une autre histoire .

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées mais tellement plus attirant qu'un flan fraise tagada, je me réveille ruisselant de pâte à crèpe

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames dépouillées

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin le chéri de ces dames
@"Didier"


Je suis bien d'accord

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux comme les falaises d'Etretat, antre d'Arsène Lupin

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie rempli de vide dont le caractère imposant est vertigineux

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte de chêne dans un caddie

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar ou une sardine en boîte

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trottinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leitmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une Cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau de roses écloses dans un bar

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trotinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème, pauvreté mais liberté tel est son leïtmotiv, il chevauche des escargots parce que c'est tellement plus classe qu'une cadillac ou qu'une planche à roulette alors que la limace épouse un dromadaire aux bosses carrées et couvertes de plumes d'or des Incas, maîtres dans l'art des calendriers des fins des mondes bien trop réalistes et monnayables qui déchaînent les passions pour la menthe à l'eau

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Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trotinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé m'expliquant les subtilités de la vie de bohème

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trotinette boulevard Malesherbes avec Mallarmé

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre je me revois petit enfant faisant de la trotinette

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, enivrant comme le vin en poudre

Les cadavres exquis dansent la salsa dans ma tête les nuits de pleine lune étoilées quand le ciel est clair et que mon âme est sombre comme ce tableau du Caravage et pourtant porteur d'un érotisme troublant, ennivrant